où X, appelé compteur de switch, est remplacé par le nombre de possibilité dans la section concernée. Le principe est de simuler le nombre approximatif d'heures écoulées depuis le début de l'année.
Pour le moment, 3 sections différentes ont été définies :
Le "plus" parle des records ;
Le "commerce" parle de l'impact financier ou d'anecdotes commerciales ;
Le "reste" parle de tout le reste.
Si vous souhaitez ajouter une nouvelle proposition, plusieurs étapes seront essentielles :
ajoutez la proposition dans la section concerné aussi bien dans la liste que dans le modèle
la présentation dans le modèle ce fait de la forme x=* texte| où x est incrémenté.
la présentation dans la liste se fait simplement sous la forme * texte.
incrémenter le compteur de switch de la section du modèle concernée.
de répéter l'opération en cas de bande dessinée asiatique sur la page équivalente du portail éponyme.
Instructions : à lire avant de mettre à jour la rubrique !
Textes et illustrations
Les anecdotes doivent être tirées d’un article de Wikipédia où elles ont des sources correctement identifiées : une rubrique « Le saviez-vous ? » ne se conçoit que si les informations données sont vérifiables.
Essayer de varier les sujets traités.
Ne pas utiliser une image affichant une marque commerciale couverte par le droit d'auteur, même si elle domine le marché et que sa représentation semble évidente. Chercher une autre image non liée à la marque.
Limiter la présence des images. Une seule image suffit en général, associée de préférence à la première anecdote de la liste.
Mettre en commentaire la ou les images avec <!-- et -->, exemple : <!--[[Fichier:Michael Moorcock 2012.jpg|40px|droite|Michael Moorcock en 2012.]]-->. De la même manière, mettre en commentaire le texte y faisant référence comme (photo), (illustration), (tableau), etc. Exemple : <!-- ''(photo)''-->.
Retirer les deux anecdotes de la fin de la liste pour les mettre dans les archives (liste qui se complète en revanche par la fin).
Vous pouvez demander conseil et poser vos questions sur la page de discussion.
Si une anecdote vous semble inadéquate, merci de ne pas simplement la supprimer et de prendre en compte qu'un consensus a permis son acceptation. Les discussions qui y ont abouti sont consultables depuis la page de discussion de l'article mis en gras dans le texte de l'anecdote. Il est donc recommandé d'en discuter préalablement sur la page de discussion des LSV ou sur le bistro.
PS : Le portail sur les bandes dessinées étant en pleine refonte, tout nouvel ajout d'images est dorénavant déconseillé pour des raisons d'affichages. Vous pouvez nous faire part de vos remarques sur la page de discussion du portail.
C’est dans The Yellow Kid, de Richard Felton Outcault qu’est apparue la première forme, primitive, de phylactère dans une bande dessinée (on en trouvait déjà chez James Gillray au XVIIe siècle). Ainsi, les paroles des personnages étaient retranscrites non pas dans des bulles mais sur leurs vêtements.
En 1989, 38 % de tous les livres et magazines publiés au Japon étaient des mangas.
Weekly Shōnen Jump coûte seulement 230 yens (1,63 euro) pour environ 480-500 pages. Ultra Jump, 500 yens (3,54 euros) pour une petite vingtaine de chapitres (450-500 pages).
2005 est une année record concernant la progression de la publication de nouveaux titres de bandes dessinées asiatiques en français, soit une progression de 151 %. 227 nouveaux titres ont été publiés en 2000, 269 en 2001, 377 en 2002, 521 en 2003, 754 en 2004, 1 142 en 2005, 1 418 en 2006 et 1 428 en 2007[1].
En 2005, un manga, Naruto, s'est hissé jusqu'à la 28e place du classement des ventes, du jamais vu jusque-là.
Le pseudonyme d’Hergé est basé sur l'inversion des initiales de Georges Remi, soit RG, sous la forme phonétique. C’est à partir de 1924 que le futur père de Tintin signe ses illustrations sous ce nom.
Rumiko Takahashi, mangaka, était en 2004 la troisième contribuable la plus imposée du Japon (excluant un sportif professionnel, un tarento et trois chanteurs) : elle dû s'acquitter de 170,64 millions de yen, soit environ 1.3 million d'euro en 2004[3].
Le nom d'Obélix vient de l'obèle, un signe typographique utilisé dans les manuscrits anciens pour noter un passage douteux ou un renvoi. Le nom de son compère, Astérix, vient lui aussi d'un signe typographique, l'astérisque, utilisé pour indiquer un renvoi. Ces utilisations de noms de symbole par Goscinny viennent du fait que sa famille possédait une imprimerie. Il connaissait donc les signes typographiques utilisés. Cependant, on attribue généralement l'origine du mot aux obélisques, des colonnes de pierre célébrant le soleil chez les Égyptiens.
Le tome 17 de XIII, L'Or de Maximilien, devait révéler l'énigme des trois montres d'argent, énigme que les lecteurs tentaient de percer depuis longtemps. Pour préserver le secret, Jean Van Hamme n'a envoyé son scénario qu'au seul William Vance, son dessinateur. Pour le lire, son éditeur a fait le voyage jusqu'au domicile belge des Van Hamme.
La maîtresse d'école de Titeuf existe vraiment ; elle s'appelle en réalité Madame Duss et fut celle de Zep à l'époque. Dès qu'un journal suisse veut mettre du Titeuf à la une, il interviewe Madame Duss.