Portail:Bande dessinée/Le saviez-vous ?

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le saviez-vous ?
Le système de "le saviez-vous ?" utilisé par le projet bande dessinée utilise un système de rotation par heure selon la formule suivante :


{{#expr:((({{CURRENTMONTH}} - 1) * 30 * 24 + ({{CURRENTDAY}} - 1) * 24 + {{CURRENTHOUR}}) mod X) + 1}}


X, appelé compteur de switch, est remplacé par le nombre de possibilité dans la section concernée. Le principe est de simuler le nombre approximatif d'heures écoulées depuis le début de l'année.

Pour le moment, 3 sections différentes ont été définies :

  • Le "plus" parle des records ;
  • Le "commerce" parle de l'impact financier ou d'anecdotes commerciales ;
  • Le "reste" parle de tout le reste.

Si vous souhaitez ajouter une nouvelle proposition, plusieurs étapes seront essentielles :

  1. ajoutez la proposition dans la section concerné aussi bien dans la liste que dans le modèle
    • la présentation dans le modèle ce fait de la forme x=* texte|x est incrémenté.
    • la présentation dans la liste se fait simplement sous la forme * texte.
  2. incrémenter le compteur de switch de la section du modèle concernée.
  3. de répéter l'opération en cas de bande dessinée asiatique sur la page équivalente du portail éponyme.

Instructions : à lire avant de mettre à jour la rubrique !

Textes et illustrations

  • Les anecdotes doivent être tirées d’un article de Wikipédia où elles ont des sources correctement identifiées : une rubrique « Le saviez-vous ? » ne se conçoit que si les informations données sont vérifiables.
  • Essayer de varier les sujets traités.
  • Ne pas utiliser une image affichant une marque commerciale couverte par le droit d'auteur, même si elle domine le marché et que sa représentation semble évidente. Chercher une autre image non liée à la marque.
  • Limiter la présence des images. Une seule image suffit en général, associée de préférence à la première anecdote de la liste.

Ajout d’une anecdote

Renouvellement quotidien

Si une anecdote vous semble inadéquate, merci de ne pas simplement la supprimer et de prendre en compte qu'un consensus a permis son acceptation. Les discussions qui y ont abouti sont consultables depuis la page de discussion de l'article mis en gras dans le texte de l'anecdote. Il est donc recommandé d'en discuter préalablement sur la page de discussion des LSV ou sur le bistro.

PS : Le portail sur les bandes dessinées étant en pleine refonte, tout nouvel ajout d'images est dorénavant déconseillé pour des raisons d'affichages. Vous pouvez nous faire part de vos remarques sur la page de discussion du portail.


Liste actuelle

Le "plus"

Le "commerce"

  • En 1989, 38 % de tous les livres et magazines publiés au Japon étaient des mangas.
  • Weekly Shōnen Jump coûte seulement 230 yens (1,63 euro) pour environ 480-500 pages. Ultra Jump, 500 yens (3,54 euros) pour une petite vingtaine de chapitres (450-500 pages).
  • 2005 est une année record concernant la progression de la publication de nouveaux titres de bandes dessinées asiatiques en français, soit une progression de 151 %. 227 nouveaux titres ont été publiés en 2000, 269 en 2001, 377 en 2002, 521 en 2003, 754 en 2004, 1 142 en 2005, 1 418 en 2006 et 1 428 en 2007[1].
  • En 2005, un manga, Naruto, s'est hissé jusqu'à la 28e place du classement des ventes, du jamais vu jusque-là.
  • En 2005, une BD vendue sur 3 était un manga.
  • Entre 1990 et 2005, le nombre d'éditeurs français de manga est passé de 1 à 25.
  • La Corée est aujourd'hui le premier pays producteur de manhwa dans le monde.
  • Début 2006, la France est, avec 10 millions d'exemplaires annuels, le plus gros « consommateur » de manga au monde après le Japon.
  • Sur l'étoile, le premier album de la série Le Monde d'Edena était au départ un récit promotionnel pour Citroën.
  • La couverture gouachée de Tintin en Amérique a été adjugée le 29 mars 2008 à 780 000 euros, le nouveau record pour un original de bande dessinée.

Le "reste"

  • 20th Century Boys de Naoki Urasawa a remporté le Prix de la série au festival d'Angoulême en 2004. Il s'agit de la première bande dessinée asiatique à avoir reçu un prix décerné par le jury[2].
  • Osamu Tezuka, né le , est le père du manga moderne.
  • Le pseudonyme d’Hergé est basé sur l'inversion des initiales de Georges Remi, soit RG, sous la forme phonétique. C’est à partir de 1924 que le futur père de Tintin signe ses illustrations sous ce nom.
  • Wikipe-tan est une personnification de Wikipédia.
  • Rumiko Takahashi, mangaka, était en 2004 la troisième contribuable la plus imposée du Japon (excluant un sportif professionnel, un tarento et trois chanteurs) : elle dû s'acquitter de 170,64 millions de yen, soit environ 1.3 million d'euro en 2004[3].
  • Le nom d'Obélix vient de l'obèle, un signe typographique utilisé dans les manuscrits anciens pour noter un passage douteux ou un renvoi. Le nom de son compère, Astérix, vient lui aussi d'un signe typographique, l'astérisque, utilisé pour indiquer un renvoi. Ces utilisations de noms de symbole par Goscinny viennent du fait que sa famille possédait une imprimerie. Il connaissait donc les signes typographiques utilisés. Cependant, on attribue généralement l'origine du mot aux obélisques, des colonnes de pierre célébrant le soleil chez les Égyptiens.
  • Le tome 17 de XIII, L'Or de Maximilien, devait révéler l'énigme des trois montres d'argent, énigme que les lecteurs tentaient de percer depuis longtemps. Pour préserver le secret, Jean Van Hamme n'a envoyé son scénario qu'au seul William Vance, son dessinateur. Pour le lire, son éditeur a fait le voyage jusqu'au domicile belge des Van Hamme.
  • La maîtresse d'école de Titeuf existe vraiment ; elle s'appelle en réalité Madame Duss et fut celle de Zep à l'époque. Dès qu'un journal suisse veut mettre du Titeuf à la une, il interviewe Madame Duss.
  • Après avoir été fait chevalier des Arts et des Lettres en 2003, Philippe Geluck a eu droit à une exposition de 1 000 m² à l'École nationale supérieure des beaux-arts. On y pénétrait par un crayon long de 28 mètres. « Si vous saviez de quoi je ris avec mes amis, rigole Geluck. Peut-être un jour publierai-je ce que je m'interdis aujourd'hui. Ça surpendra ! »
  • « Être lu par des grands patrons m'intimide », disait Stephen Desberg à la veille de la publication d'IRS 4 par Les Échos en 2003. Au fil des jours, il a été rassuré : une douzaine de grands chefs d'entreprises, de Louis Schweitzer (Renault), à François Henrot (Rothschild & Cie), sont venus dire dans le quotidien économique combien ils adoraient la bande dessinée !
  • Il a fallu attendre trente ans et Les Pieds Nickelés de Louis Forton pour que la bande dessinée traverse l’Atlantique.
  • Difool, l'animateur de radio, a choisi son pseudonyme en référence à John Difool, l'antihéros de L'Incal.
  • Le monde de Troy est relaté dans 8 séries de bandes dessinées, toutes scénarisées par Arleston.
  • DC Comics tire son nom de la revue Detective Comics.

Références