Utilisateur:Le Néo-existentialiste

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Nouvelle philo: le Néo-existentialismeLe Néo-existentialisme est la nouvelle pensée existentialiste voire le vrai existentialisme comme jamais il n'a été conçu jusqu'ici!


AVANT-PROPOS : A supposer que la vraie mission de la philosophie soit la recherche vers la trouvaille et la révélation de la « Vérité », celle-là qui soit à mesure de dépouiller l’homme de tous ses préjugés, craintes, maux et faiblesses, mais qui aussi soit à mesure même de le dépouiller de son humanité, sa nature humaine au cas où celle-ci aurait été une erreur, un accident de parcours, un état « anormal » dans l’Existence, quel aurait dû alors être le premier objet de cette activité curieuse de philosophie ? Les branches du Savoir se sont constituées et chacune s’est élancée de son côté avec son propre objet et jusqu’à nos jours l’on ne cesse de s’émerveiller et de savourer leurs esquisses vraisemblables de la « Vérité », leurs débuts vraisemblables de la « Vérité », leurs fruits vraisemblables de cette « Vérité » si celle-ci en est la réelle qui soit supposée et qui se fait encore trop désirée. Mais encore une fois de plus quel aurait dû être le premier objet de la philosophie ? Si celle-ci peut se vanter d’avoir soulevé et identifié les objets des sciences, d’avoir explicitement esquissé leurs chemins respectifs et d’y avoir circonscrit individuellement chacune d’elles, force est de reconnaître qu’aucun de ces objets, qu’aucun de ces chemins n’est à proprement parler celui qui puisse suffire à la philosophie comme le véritable et seul champ d’investigation. Serait-ce dire que la philosophie est de l’errance, que le philosophe vit dans l’erreur au point d’être toujours proie aux accidents et chutes comme Thalès dans le puits, ou serait-ce dire que la philosophie a déjà rempli sa mission, que le philosophe est quelqu’un de déjà accompli au point que tout ce qui lui arrive est tout de suite vu comme apportant son besant de salut et de bonheur comme si c’en est le cas avec Socrate buvant comme une coupe salutaire la coupe de ciguë ? La réponse demeure en tout cas trop hésitante, parce que trop sombre, trop opaque, et la situation trop ambiguë. Toujours est-il que celui qui cherche est celui qui se sait être proie à l’errance et qui sait que cette errance demeure la condition de sa recherche qui à son tour est la condition d’un quelconque bout de savoir. Cependant une chose paraît et demeure trop curieuse à savoir le fait que tout le Savoir de l’Homme avec sa pluralité de branches coïncide et découle d’un seul et simple état d’un seul « être ou présence » dans ce Monde-ci et dans l’organisme charnel, nous voulons nommer la « conscience en soi » dans son activité toujours et totalement déployée sur le dehors à elle la « conscience en soi. » Or toute cette activité concerne toujours et incessamment tout objet autre que la « conscience en soi », ce qui alors semble trop curieux. Aussi pourrait-on se demander naturellement pourquoi, au lieu d’aller s’empêtrer exclusivement dans tout ce qui coïncide et découle de l’activité de la « conscience en soi » » tel que tout le Savoir humain, la philosophie ne pourrait pas retourner et se concentrer sur et autour de cela même à savoir la « conscience en soi » qui en tous les cas se fait le vecteur et le support incontestable de tout ce Savoir avec sa pluralité de branches. Certes beaucoup d’initiatives ont été menées depuis longtemps dans ce sens vers la « conscience en soi » mais jusqu’aujourd’hui l’on peut toujours craindre que tous les résultats présentés jusqu’ici n’aient pas été à la mesure du soupçon encore trop grand et sournoisement très dense que nourrit toujours en nous le cas de ce phénomène de la « conscience en soi. » Or ce soupçon fait naître un autre et pas des moindres, soupçon qui alors porte cette fois-ci sur la nature ou la signification même de la « Vérité » qui naturellement pourrait se révéler voire risque même de se révéler comme ne s’orientant aucunement vers le sens du plus grand service ou profit de la nature humaine et anthropocentrique. Cela d’ailleurs reflèterait le côté impartial de la philosophie ce qui est en outre très souhaitable puisque cette impartialité doit faire partie de ses caractères qui lui sont nécessaires pour être en mesure de pouvoir dépouiller notre genre de ce qui se nomme préjugés, craintes, maux, faiblesses et peut-être même de ce qui se nomme nature humaine. Ne serait-ce pas d’ailleurs ce soupçon qui aurait poussé F. Nietzsche à prophétiser pour le « surhomme ? » Vous avez là, si nous en croyiez, ce qui a alors motivé la réflexion néo-existentialiste dont Jubil Boissy s’est fait le précurseur (…) tellement que le fond semble inédit… http://philo2007.forumsdediscussions.net --Le Néo-existentialisme:une prophétie de la philosophie de rupture 6 juin 2007 à 01:43 (CEST)