Utilisateur:Montvalen

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Maison Frayssines


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Maison Frayssines, olim Frayssines de Montvalen


Armes de la famille : Frayssines de Montvalen

Blasonnement

Ecartelé : aux I et IV, partie au 1 d’argent à un frêne de sinople, au 2 aussi d’argent à un sorbier de sinople, les racines des deux arbres arrossées d’une onde d’argent chargée d’un poisson de sable, le tout sous un chef cousu d’argent, chargé de trois étoiles de sable (Frayssines de Latour) ; Aux II et III, partie ondée au I, d’argent à un frêne arraché de sinople, au 2 de sable au lion d’or grimpant contre un mont adextré d’argent (Frayssines de Montvalen). Devise : Liber commodo ille Fraxinus.


Branches

Frayssines de Latour et Frayssines de Montvalen.


Période

XVe siècle - XXIe siècle


Pays ou province d’origine

Vicomté d’Albi


Allégeance

Comté de Toulouse

Royaume de France


Preuves de noblesse


Autres

Maintenue de noblesse en 1565, 1595, 1671 et 1696.


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La famille Frayssines est une famille française originaire du Tarn, qui a donné les Frayssines de Latour et les Frayssines de Montvalen. Elle est anciennement connue sous le patronyme occitan de Fraxines. Elle compte des militaires et des administrateurs.

1 Les origines (Fraxine(s), Fraxinéas, Fraissines, Frayssines) 2 Famille Frayssines de Latour 3 Famille Frayssines, olim Frayssines de Montvalen 4 Filiations et alliances 5 Armes et devise 6 Particularités historiques

7 Articles connexes

8 Notes et références

Les origines (Fraxine(s), Fraxinéas, Fraissines, Frayssines)

La famille Frayssines est une famille subsistante de la noblesse française[1] de noblesse d'ancienne extraction sur preuves de 1261, originaire de la province du Languedoc. Frayssines était à l’époque une terre vierge sans nom : la charte qui nous apprend cette libéralité, est accompagné de la quittance de 37 sols et 7 deniers morlans, payés par Bernard de Fraxines pour l’amortissement de ce fief, pour « Monseigneur le Comte de Poitiers et de Toulouse »[2].

La famille Frayssines fait actuellement partie des plus anciennes maisons du pays languedocien, d'où les membres ont essaimé pour la première fois dans l'Aveyron et le Tarn, puis dans les départements actuels de la Haute-Garonne, en Midi-Pyrénées. Cette famille tire donc son patronyme du nom latin issu du Moyen Âge provenant de Fraxinéas (seigneurie de Fraissenhas)[3], une bastide fondée en 1261 au sortir des guerres contre les Cathares par Alphonse de Poitiers (1220-1271), le tout nouveau comte de Toulouse (frère de Louis IX de France). Dès les XV-XVIe siècles, la famille a attestée avoir été en possession d'anciennes parcelles de terres cultivables. Frayssines, qui veut dire Frêne, est l'étymologie du nom et du village occitan Fraissenhas "ensemble de frênes". C'est donc sous le nom Frayssines que la famille s'est répandue en Guyenne et en Languedoc, transplantée dans tout le Midi-Pyrénées où elle existe encore de nos jours.

On retrouve la première trace de ce patronyme dans un don fait par Bertrand de Fraxines, 1er seigneur de Fraissenhas (1242), chevalier de l’ordre de Malte et commandeur, à l’abbaye de Thorboulbonne, en Aveyron, en l’année 1242. La famille a ensuite pris racine dans la paroisse de Puycelsi, près d’Albi.

Sous l'Ancien Régime, cette famille à produit successivement quatre secrétaires du roi, des laboureurs aisés, deux consuls, un parlementaire du Parlement de Toulouse, un homme de loi à Villefranche-de-Rouergue, un prêtre réfractaire à la Constitution Civile du Clergé durant la Révolution, trois maires (de Caussade, de Castelnau-de-Montmirail et d’Ardus), des notables du Midi-Toulousain, des militaires, des officiers d’infanterie dont un membre de l’Ordre Royale et Militaire de Saint-Louis, un décoré de la Croix de Guerre, un capitaine d’après-guerre de la légion d’Honneur et des fonctionnaires de la fonction publique hospitalière.

Elle donne de nombreux personnages fort intéressants dans l'histoire de cette famille, et compte de nombreuses branches (ou ramifications).

Sa seigneurie de Frayssines ne resta pas très longtemps dans cette famille : en 1572-1575, durant la période des guerres de religion (France) entre catholiques et protestants, elle n'en faisait déjà plus partie. La ligne des seigneurs de Fraxines se fondit dans celle des Frayssines de Latour, qui, à son tour, se fondra à son extinction (1866) dans celle des Frayssines de Montvalen. Il est à noter que dans certains registres et ouvrages anciens, le patronyme Fraysse se confond avec celui de Frayssines.

Famille Frayssines de Latour

Un document relatif aux Chroniques des Archives Départementales du Tarn fait l'inventaire des titres de la famille Frayssines, établie dans la région de Penne (Saint-Vergondin), et Villefranche d'Albigeois vers 1500. Cependant, les documents du Cabinets des Titres concernant cette famille nous donnent une brève analyse relative aux premiers degrés de sa filiation, ainsi que le rattachement des différentes branches ; Charles d'Hozier (1640-1732), Garde des Sceaux de Louis XIV, ainsi que l'éminent Bernard Chérin, lui-même, généalogiste et historiographe de Louis XVI, indique plusieurs filiations (ou ramifications) différentes pour la période antérieure au XVIe siècle.

La filiation prouvée est considérée comme établie depuis Guilhem de Fraxines, alias Frayssines, 1er du nom, seigneur de Fraissenhas en 1535, élevé au rang de protecteur protestant de la capitainerie de Ségur en 1565, maintenue dans sa charge en 1571[4]. Il fut le grand-père de Jean 1er Fraxines, olim Frayssines, bourgeois de Penne et sieur de Latour en 1637, auteur de la branche devenue noble des Frayssines de Latour.

Les premiers degrés de sa filiation suivie depuis Bertrand de Fraxines (v.1220-1282), 1er seigneur de Fraissenhas en 1262, chevalier de l'ordre de Malte et Commandeur. Il est important de préciser que sa branche n'est pas à confondre avec celle qui vivait à Pamiers ou à Toulouse, qui portait le même patronyme. Son descendant direct, Guilhem 1er de Fraxines (v.1490-1575), parfois dit de Fraixines, seigneur de Fraissenhas en 1535, perdit sa terre seigneuriale durant les premières persécutions contre ceux qui adhéraient aux nouvelles idées religieuses dans les années 1520 ; Ce sera en effet entre 1540 et 1550 que commença à se développer les clivages entre Catholiques et Protestants. La terre de Fraissenhas (Fraissines à l'époque) devra être abandonnée en 1565 au profit de la famille catholique de Rocazel. Pourtant, par une décision de maître Michel Érard, conseiller, maître des Requêtes ordinaire de l'hôtel de la reine de Navarre, Jeanne III d'Albret (1528-1572), comtesse de Rodez et de Villemur-sur-Tarn, etc (mère du futur Henri IV), le sieur Guilhem de Frayssines fut maintenu dans la jouissance de la capitainerie de Ségur en date du 19 juin 1571 (que lui avait été octroyée par ladite dame dix années plus tôt, lors de la perte de la place de Fraissenhas.

Guilhem 1er sera l'auteur de notables spécialisés notamment dans des petites fonctions d'État, et plus particulièrement au maintien de la survivance de terres qui appartenaient à des seigneurs plus puissants. Le XVIe siècle voit donc la formation de diverses branches de cette famille, s'alliant le plus souvent avec la noblesse ou la bourgeoisie locales : certains de ses membres accédèrent à la noblesse par l'achat d'une charge (vers 1600) de Conseillers Politique, secrétaire du Roi auprès de la Communauté de Penne, ou bien par l'exercice de charges militaires : les maintenues de noblesses de 1632, 1676 et 1742, furent attribués aux membres de la famille ayant exécuté des carrières aussi bien civiles que militaires. Les seigneurs de Latour furent sur quatre générations successives "conseillers politiques de la communauté de Penne.

Plusieurs membres de la branche aînée laissèrent leur marque dans la vie locale comme Pierre II Frayssines (1634-1709), seigneur de Latour (ou de Latour de Frayssines), qui fit enregistrer son blason dans le Grand Armorial général de France de Charles-René d'Hozier (1640-1732) en 1696. Le chef de la branche cadette de Montvalen, Jean 1er Frayssines de Montvalen (1629-1719), seigneur de Landiague et de Montvalen (1669), puis co-seigneur de Montvalen (1720), refusera de suivre l'exemple de son aîné pour des raisons purement fiscales.

La ligne aînée de Frayssines de Latour obtint les terres et le château de Latour (construit en 1612) où de nombreuses tiges (toutes aujourd'hui éteintes) s'y rattachaient : seigneuries de Larroque (Frayssines de Larroque), de Cabarros (Frayssines de Cabarros), de Candamine (Frayssines de Candamine) et de Lavergnère (Frayssines de Lavergnère). Pour la seigneurie de Latour, les membres étaient vassaux de la famille Rigal d'Ouvrier (depuis messire Louis Rigal d'Ouvrier, Baron de Bruniquel et de Penne). Actuellement, la ligne aînée des Frayssines de Latour s'est éteinte avec son dernier représentant mâle en 1866.

Famille Frayssines, olim Frayssines de Montvalen

Sur un des nombreux mamelons groupés sans ordre bien apparent qui séparent, à l'extrémité du département, les bassins du Tarn et du Tescou, s'élève le village de Montvalen, qui tire sans doute son nom de cette configuration particulière du pays, monts et vallées. L'histoire se tait sur son origine et son rôle dans les siècles passés. Étymologiquement, Montvalen, le village refuge de la branche collatérale de la famille Frayssines, était une formation occitane sur mont et signifie "Mont Vaillant". Son nom latin est Montvalenti, formé en 1259. Ici, à la frontière du Rouergue et du Quercy (Montvalen se trouvant à 52 kilomètres d'Albi), en pays de Cordes-Gresigne, les bastides et les villages perchés ont gardé l'empreinte des cathares et des templiers.

Les terres et le nom de Montvalen proviennent d'un ancêtre direct de la famille, noble Robert de Montvalen (mort après 1580), seigneur, recteur de Saint-Jean de Janes ; le mariage de sa fille et héritière, Bertrande de Montvalen (v.1565-1640), avec Pierre 1er Frayssines de Latour (1560-1630), fera du second fils du couple, Guilhaume Frayssines (1589-1669), déjà seigneur de Landiague et de La Rivière (1632) et substitut du procureur général du roi (1624)[5], le nouveau seigneur de Montvalen. Guilhaume était un protestant qui y établit sa famille afin d'échapper aux guerres de religions mais aussi et surtout par héritage de la seigneurie de Montvalen, donné à la mort de sa mère, Bertrande de Montvalen, en 1640 : dès lors il prit le nom de Frayssines de Montvalen. C’est par cette filiation que la seconde branche de la famille Frayssines se fondit avec la Maison éteinte de Montvalen : des lettres de sauvegarde sur héritage, furent effectuées en 1639 à Rabastens en faveur de Guilhaume Frayssines, Seigneur de Landiague. Il est à noter que les anciens et premiers seigneurs de Montvalen étaient à l’époque vassaux de la Maison de Rabastens dans le diocèse de Montauban, canton de Salvagnac[6].

Depuis 1581, Montvalen était un fief protestant (en même temps que la baronnie de Tauriac, terres et village voisin), et où une bataille se tint au lieu-dit Lou-Camp-de-Las-Armos en 1624. Mais la seigneurie conquise par les catholiques définitivement (comme dans la plupart des bourg et fiefs de la région), parvient un temps aux mains de la famille Fouquet jusqu’à restitution.

La charge de consul de Montvalen fut confiée au fils de Guillaume, Jean 1er Frayssines (1629-1719), seigneur de Landiague et de Montvalen (1669), puis co-seigneur de Montvalen (1690), seigneur de La Rivière (1720, par donation de son frère cadet Pierre), dit le Jeune. Ce dernier avait succédé vers 1690 au consulat de Montvalen à la suite de Jean II Estabes (vivant en 1689), sieur de La Rinaille, son beau-frère ! C'est ainsi que les membres de cette branche furent successivement consuls de Montvalen (la paroisse de Saint-Martin-de-Montvalen ayant pour annexe les églises de Saint-Fabien, de Saint-Sébastien et de Saint-Laurent-de-La-Rivière). Egalement en 1690, Jean 1er dû céder des parts de la seigneurie de Montvalen à son cousin : en effet, sa grand-mère, dame Bertrade de Montavlen, avait en effet deux héritiers pour la seigneurie de Montvalen, que fit valoir la Maison de Clarac, par jugement rendu en date du mois d’août 1690, au bénéfice du mariage contracté par Anne de Clarac (parente de la Maison de Montvalen) avec Honoré 1er de Fleyre (1672-†), seigneur de Camboulan. Ce dernier devint, par la dote de la mariée, co-seigneur de Montvalen en part égale avec ledit Jean Frayssines, ci-présent[7].

En 1720, Charles Louis Auguste Fouquet (1684-1761), duc de Gisors, marquis de Belle-Isle, vicomte de Villemur, baron de Penne, de Lézignan et de Castelnau-de-Montmirail, seigneur de Puylaurens et de Bisy, céda les co-seigneuries de Montvalen et du Born (y compris la justice), en faveur du marquis de Tauriac, qui, dès ce moment, nomma les officiers de justice et établit les consuls. En 1754, l’héritier, Louis Joseph Eugène de Boyer de Castanet (1722-1803), marquis de Tauriac, vicomte de Monclar, baron de Roquemaure, seigneur de Castanet, de Lacoste et de Saint-Urcisse, et co-seigneur de Bondogoux, dénombra toutes ces terres et consentit le 21 mai 1777 à un premier partage de la co-Seigneurie de Montvalen par rachat du Marquis de Tauriac à la Maison de Fleyres au profit de Jean II Frayssines (1703-1778) ; enfin, lors de la réunion de l’ensemble des fiefs de la Maison Frayssines en réunissant ses possessions (fiefs) personnelles, Jean II devint le 1er baron de Montvalen (érigé en baronnie)[8]. Un deuxième dénombrement eut lieu en 1784, confirment le premier acte : ce second dénombrement permis, par Lettres Patentes de 1785, le maintien au bénéfice de la Maison Frayssines du partage de la co-seigneurie de Montvalen, érigé en baronnie, en faveur de Jean III Frayssines (1732-1788), 2ém baron de Montvalen, seigneur de Landiague, sieur de La Rivière et de Pierrault, fils aîné de Jean II, et ce, provenant de la part de la Maison de Boyer de Castanet de Tauriac (Marquis de Tauriac et autres lieux), par actes notariale rendu par la Maison de Fleyres, en date de la même année[9]. Les lettres patentes n'ont pu être scellées définitivement en raison de la chute de Louis XVI en 1792. La transmission du nom " de Montvalen" en fut donc irrégulière sans pour autant y renoncer définitivement pour lui et sa famille.

La famille Frayssines a produit successivement quatre secrétaires du roi, des laboureurs aisés, un représentant, des consuls, un parlementaire du Parlement de Toulouse, un homme de loi à Villefranche-de-Rouergue, un prêtre réfractaire à la Constitution Civile du Clergé durant la Révolution, deux maires (Varenne et Ardus), des notables du Midi-Toulousain, des militaires, des officiers dont un membre de l’Ordre Royal et Militaire de Saint-Louis, un décoré de la Croix de Guerre, un capitaine d’après-guerre de la légion d’Honneur et des fonctionnaires.

Filiations et alliances

La généalogie de la famille Frayssines montre une filiation avec les familles du Languedoc. La tige Frayssines, dite de Montvalen est devenue la branche aînée à l'extinction en 1866 de celle de Frayssines de Latour.

La filiation est établie, sans interruption, tant par les anciens papiers et parchemins de famille, testaments, titres et contrats divers, que par les actes notariés ou de l’état civil (naissances, mariages et décès), dispensées par la famille elle-même, les généalogistes de l’ancien régime ou par les Archives Départementales du Tarn.

De Martin de Viviès (1555), de Montvalen (1586), de Clarac, de Fleyres de Camboulan, de Lortal (1602), de Degua (1605), de Cahuzac (1628), Estabes de La Rinaille (1669), La Capelle de Cas (1672, ou de Cas Lacapelle), d’Arribat (1702), Gisquet (1702), de Forras de Roquerouge (1711), Plasses (1737), Plantade (1731), Roux de La Vinouse (1739), Malbert (1745), Martin de Bellerive (1776), Bénezet (1812)…

Particularités historiques

Louis XIV voulant récupérer un impôt supplémentaire pour financer ses guerres, commanda à son juge d’Armes (garde des Sceaux) et généalogiste Charles d'Hozier de constituer un armorial général, où une grande partie de la population de l’époque fut enregistrée à partir de 1696, du Dauphin de France au paysan aisé ; il ne contient pas moins de 120 077 blasons répertoriés issus de toutes les provinces du pays, dont 116 944 noms et 180 000 noms de familles (dont 80 000 non nobles) ! En réalité, cet édit royal n’était ni plus ni moins qu’une taxation supplémentaire du droit de porter des armoiries, jusqu’ici de possession libre, aussi bien pour la noblesse que pour les non-nobles… La ligne Frayssines de Latour dut céder 20 livres tournois pour voir ses armes enregistrées ! Ceci ne rapporta pas moins de 5 800 000 livres au trésor royal entre 1696 et 1709.

La construction du château de Montvalen-Tauriac est ancienne ; il fut reconstruit au XVIIIe siècle. Montvalen se présente comme un long bâtiment rectangulaire à 7 travées. Le château de Montvalen dut être vendu en 1803 par l’aîné, Jean IV Frayssines (1784-1852), Seigneur de Landiague et des Gasquets, et Co-Seigneur de Montvalen, pour le département du Tarn, puis racheté par la famille de Martin de Viviés, lointains cousins. Cette dernière le revendit à la mairie de Montvalen qui le céda à nouveau à une famille du Lot en 2012.

Articles connexes

Familles subsistantes de la noblesse française (A à K)

Familles subsistantes de la noblesse française (L à Z)

Liste des chevaliers de l'ordre royal et militaire de Saint Louis

Notes et référence

[1]) Index des Familles Nobles ou Notables du Midi-Toulousain du 15-16ém siècle – Tome VI, p. 102..

[2]) Histoire du Grand-Prieuré de Toulouse, et des diverses possessions de l’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem dans le sud-ouest de la France, Languedoc, Pays de Foix, de Comminges, de Béarn, Gascogne, Guyenne, Périgord, Quercy, Albigeois, Rouergue, avec les pièces justificatives et les catalogues des Commandeurs, par A. Du Bourg, Ed. Louis Sistac et Joseph Boubée, Editeurs-Libraires (1883).

[3]) Fraxinéas, dit aussi Fraissenhas, alias Frayssines : petit village de la commune de Puycelsi, canton de Valence-d’Albigeois, Le Garde des Sceau de Louis XIV, Charles d’Hozier, attribua d’office dans son Armorial de France de 1696 le blason suivant : d’azur à une billette d’or. – Armorial Général de France de C. d’Hozier (1696) ; Les Noms de Lieux du Tarn, d’Ernest Nègre, 3ém édition, Paris, 1972, p. 71.

[4]) Confirmation de la capitainerie de Ségur aux Fonds d’Armagnac : série A. 252 (Liasse de 5 pièces) 1535 à 1607 – Archives Départementales du Gers et de l’Aveyron.

[5]) Nomination : Frayssines (Guilhaume), fils de sieur de Latour et de dame de Montvalen, substitut du procureur général du roi (Louis XIII), 6 décembre 1624. B 447, f°81. Archives Départementales du Tarn.

[6]) Le Languedoc et le Rouergue dans les Chartes.

[7]) Acte notarial de maître Plasse, Cote 3E 21672. Archives Départementales du Tarn.

[8]) Lettre d’érection de terres en fiefs de dignité tenus à titre héréditaire ; Archives Départementale du Tarn.

[9]) Cadastre et acte notariale, Archives Départementales du Tarn.