Utilisateur:Marcelo novais teles

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Concours de courts sur l`Entre-deux tours (6): L`entre deux[modifier | modifier le code]

Résumé : C`est L`entre deux, de Marcelo Novais Teles qui a remporté le Grand Prix, décerné le 2 juin. Le jury était composé de Diane Arnaud, maître de conférences à Paris 7, Dominique Bouilleret, chef opérateur, Sylvie Brenet, productrice et de Laurent Roth, réalisateur, scénariste et critique. Le concours était organisé par l`association Le Film Pur, en partenariat avec CanalObs.tv.Voir le site du Film purVoir le Prix CanalObs des internautesVoir le Prix (symbolique) de la rédaction de Canal

TOURNEE

Réalisation : Mathieu Amalric

Scénario : Mathieu Amalric, Marcelo Novais Teles, Philippe Di Folco

Directeur de la photographie : Christophe Beaucarne

Durée : 111 min.

Distributeur : Le Pacte

Sortie le 30 juin 2010

Casting : Mathieu Amalric, Anne Benoit, Antoine Gouy, Aurélia Petit, Julie Ferrier…

A casa onde nasci

(La maison ou je suis né)

France - Brésil / 1996 / Documentaire / 28 minutes / Beta Sp / Couleur

"La maison où je suis né" est celle où j'ai vécu de l'âge de 2 ans jusqu'à 9 ans. Mon frère Jorge, quant à lui, y est né. C'est pourquoi, lorsque nous avons eu l'idée de faire ce film, le fait qu'il soit "l'acteur" et moi "le réalisateur" s'est imposé tout de suite.

Réalisation : Marcelo Novais Teles

Interprétation : Jorge Novais, Demétrius Damasceno, Clara Choveaux…

Diffusion Paris Tout Court

L’Abécédaire de Mathieu Amalric

15 janvier 2007 18:00

Cycle Regards Brésilien

Les samedis et dimanches, à partir de 15h

Sans prétendre circonscrire une création cinématographique et artistique Brésilienne, historiquement importante et d'une grande vitalité, les cycles du week-end sont cet été entièrement consacrés au Brésil, et vous proposent une selection de regards, de documentaires et de longs-métrages.

Cette sélection illustre bien la volonté farouche des artistes Brésiliens de créer leur propre langage, leur propre modernité, tout en « digérant » les différents mouvements de création internationaux et les différentes inspirations.

Cette « anthropophagie culturelle » revendiquée par Oswald de Andrade, qui se retrouve en effet à un degré ou un autre, dans l'ADN de la création brésilienne moderne, a été notoirement incarnée par le cinéma novo dans les années soixante.

Ce cinéma qui a pu s'inspirer de Rosselini, Renoir, Bunuel, Eisenstein, ou Orson Welles, avec des moyens souvent dérisoires, garants de son indépendance financière et artistique, est l'objet du magnifique documentaire de Dominique Dreyfus l'âge d'or du cinéma brésilien présenté à 15h55 les samedis.

Dans le film maudit d'Orson Welles, It's All True, tourné en 1942, inachevé mais retrouvé en 1993, on retrouve les pêcheurs brésiliens photographiés par Marcel Gautherot. Dans une esthétique très proche de celle du photographe, Welles fait rejouer leur propre vie aux protagonistes, les 'jangadeiros' qui avaient parcouru 2000km sur un radeau peu avant le tournage.

Marcelo Novais Teles, scénariste et réalisateur contemporain, fait sien ce principe de faire rejouer leur propre vie aux personnages, dans ses films mélancoliques où il transforme sa propre vie en roman. A travers un cinéma qui a gardé la radicalité du cinéma novo, celle de l'autoproduction et des moyens techniques légers, alliés à une écriture très construite, s'exprime la mélancolie douce-amère d'un brésilien expatrié à Paris qui porte un regard sur ses racines.