Utilisateur:Emmanuel minguez
Technicien de génie civil j'ai participé à la réalisation de grands ouvrages ponts à Roissy en France , travaux d' aménagement du port de Dunkerque , fondations des cinq étages du centre Pompidou et de nombreux travaux fluviaux et maritimes .Une déconvenue sur un chantier Mosellan m'a fait douter de l'efficacité du systéme égyptien pour transporter les énormes blocs qu'ils mettaient en oeuvre quotidiennement . Aprés réflexion j'ai expérimenté à grande échelle un procédé basé sur le principe d'Archiméde . Avec ce systéme les monolithes les plus lourds se déplacent et se positionnent sans efforts surhumains (Expérience réalisée à Bonneeuil sur marne le 2 octobre 1982 en présence de l'archéologue départemental du val de marne et de nombreux journalistes : "une fréle jeune fille" avait tracté sans efforts un bloc de 5 tonnes ).Dés lors je me suis attaché a retrouver les traces sur le terrain ,et que ce soit à stonehenge à sacsahuaman ou bien sur l'ile de Pàques ces traces sont encore bien évidentes et concordantes . Les textes de Hérodote et ses machines faites de morceaux de bois courts (qui ont toute l'allure de chadouffs faits pour puiser de l'eau ) la lecture du papyrus Anastasi qui chiffre la construction d'une rampe avec des détails d'éxécution trés précis,et surtout la maniére et les moyens mis en oeuvre dans le récit de Pline pour déplacer l'obélisque d'Alexandrie sont d'une telle exactitude qu'il n'est plus possible de douter ( le déplacement de l'obélisque d'Alexandrie est précis a tel point qu'il donne le détail chiffré de cette opération sans erreur . Comment Pline qui n'est uniquement qu'un historien a t'il pu imaginer un tel stratagéme qui permet de déplacer d'aussi lourdes charges ???... ) D'autres arguments peuvent apporter d'autres renseignements .Ainsi une fresque de la tombe de Thoutmosis III dans sa représentation trés proche du procédé que je préconise pour construire les pyramides (texte de Pline concernant le transport de l'obélisque d'Alexandrie : Ptolémée Philadelphe érigea un obélisque de 80 coudées dans Alexandrie , taillé sans sculpture ,par ordre du roi Necthébis ; Il fut bien plus difficile à transporter et à dresser qu'à faire . Selon les uns il fut amené sur place par eau , par les soins de l'architecte Satyrus ; On creusa un canal qui allait du Nil au lieu ou l'obélisque était étendu???... Deux larges bàteaux de transport furent chargés de blocs de la méme pierre , chacun d'un pied cube ,jusqu'à concurrence du double du poids de l'obélisque ,les barges ainsi chargées passérent sous l'énorme masse dont les extrémités seules portaient sur le bord du canal , et le soulevérent dés que l'on eut oté les pierres!!!... Pline Histoire naturelle , livre XXXVI . )Toutes les pyramides dans lesquelles de lourds monolithes sont incorporés nécessitent le méme aménagement de base :un "temple d'accueil"; une "chaussée" proporttionnelle à l'importance de la construction ;et un "temple" haut .Cette triade n'est pas uniquement spécifique aux pyramides puisqu'elle se retrouve également à Stonehenge , sur l'le de Pàques ,et curieusement alors que les pharaons se font enterrer dans les tombes de la vallée des rois ces chaussées sont indispensables à l'édification des temples qu'ils construisirent au pied de la vallée des rois :Ramesseum ,temple de Deir el Bahari ,et autres sans exception .Alors si l'eau était la fabuleuse potion magique qui permettait de déplacer les plus lourds obélisques comment ont ils pu le réaliser sans contestation possible .C'est ce que nous allons démontrer. Prenons en exemple le plus lourd des obélisques connu (obélisque inachevé d'Assouan 1200 TONNES ); ses dimensions sont pour le moins impressionnantes et malgré cela les égyptiens savaient qu'ils allaient pouvoir le transporter et surtout l'ériger !!!... Pour avoir une premiére marge de sécurité importante nous allons donner à cet obélisque les dimensions suivantes : longueur 45.00 métres Arétes 3.50 métres le volume est donc : 45.00 X 3.50 X 3.50 = 551 M3 .La densité du granit étant de 2,5 son poids sera de 551 X 2,5 = 1400 tonnes (arrondi supérieur )La premiére opération sera la création d'une piscine à l'aide de gabions qui servira à immerger l'obélisque ( les gabions trés souvent utilises pour canaliser des fleuves ou soutenir des terres sont des casiers en osier ou autres matériaux aujourd'hui plus modernes que l'on emplit de pierrailles et de limon que l'on empile pour créer des retenues ) Ainsi immergé notre obélisque subira la poussée d'ARCHIM2DE (tout corps plongé dans un liquide ... )Son poids alors sera désormais de 1400 - 551 = 849 Tonnes . Une compensation de flottabilité équivalente de 849 métres cubes devra étre réalisée pour que l'obélisque soit enfin dégagé de toute son inertie . Pour obtenir cette flottaison avant la mise en eau de la "piscine" des caissons de bois cubiques ayant chacun 3.50 X 3.50 X 3.50 = 42.875 m3 auront été placé de part et d'autre des cotés du mastodonte .pour faire flotter les 849 tonnes de l'obélisque une simple division nous en procure le résultat soit 849 : 42.875 = (arrondi supérieur) 20 caissons . Une seule question reste des lors en suspens : Est il possible de positionner 20 caissons sur l'obélisque ? La longueur du monolithe étant de 45 métres ,les dimensions des caissons etant de 3.50 m il sea donc possible de disposer 45.00 : 3.50 = 12 caissons sur chaque coté soit 24 au total qui peuvent faire flotter 24 X42.875 = 1029 tonnes Notre excédent sera alors de 1029 - 849 =180 tonnes Ainsi harnaché notre obélisque flotte et il peut étre tiré sans efforts surhumains .Ainsi harnaché l'obélisque est amené jusqu'au NIL gràce à .un canal réalisé en gabions et empli d'eau. Voila le mastodonte dans le courant du fleuve et là il n'est plumetres pour povoir positionner l'aiguille de granit sur son socle .s utile de le tracter le courant du Nil s'en chargera .Il faudra certainement le freiner pour qu'il n'aille pas trop vite . Ce transport qui posait un probléme quasiment insoluble trouvait dés lors par ce procédé une solution rationnelle . Maitenant l'obélisque glissait au fil de l'eau , il n'avait pas été utile de le charger sur le haut d'un navire ce qui au demeurant est une abbération ( fresque du temple de Deir el Bahari ) et il avait supprimé aussi non seulement la création d'une rampe totalement plane mais également évité de mettre en place les 8750 haleurs que l'on aurait du positionner sur celle ci pour tracter l'obélisque !!!...(Ce chiffre a été calculé en fonction du résultat obtenu par l'archéologue J P MOHEN lors de son expérience de déplacement d'un mégalithe de 32 tonnes à BOUGON dans les deux sévres) .L'équipage était arrivé sans encombre sur le port du temple de Karnak .Restait désormais à l'eriger . Dans ce cas précis la rampe que préconisent pratiquement tous les chercheurs pour ériger l'obélisque aurait rencontre de telles difficultés que nous éviterons d'en parler trop longuement (la pente de la rampe eut nécessité un nombre beaucoup plus important qu' en terrain plat ( 8750 ) mais elle aurait également nécéssité sa poursuite avec le méme pourcentage de pente au delà de l'emplacement choisi pour ériger le mastodonte !!!...Outre cela de trés grosses difficultés techniques auraient été quasiment insolubles si on avait procédé a l'aide de boites à sable :cisaillement du granit en position de basculement, choc inévitable avec le pylone se trouvant face au basculement ,et impossibilité de le bouger si l'emplacement n'était pas celui qui avait été choisi ... pour Hashetsoup la salle (OUADJIT du temple de Karnak est l'endroit ou l'obélisque devait étre érigé .Glissant au fil du NIL l'obélisque est parvenu sans efforts à Louxor ou il est prévu de l'implanter . Une double rangée de gabions formant canal haute de 4 métres ( travail dérisoire pour des gens de métier )le conduira par flottaison jusqu'au lieu de son érection .Là une cuve de reception sera construite toujours en gabions . Cette derniére devra etre plus haute de deux métres par rapport à l'obélisque .En position horizontale le mastodonte a été amené au dessus de son socle . En perçant les deux caissons du pied l'obélisque s'est redressé en positon verticale avec douceur et surtout préservé du risque de cisaillement de sa masse ce qui lui aurait été fatal.L'obélisque tel une quille s'est redressé en position verticale.Cette fois se seront les deux caissons supérieurs qui seront ouverts Amené au dessus de son socle il sera ajouté de l'eau dans ces caissons pour qu'il soit mis en place exactement à l'endroit prévu .Si par cas la manoeuvre échouait il serait possible de la renouveller et ce autant de fois que nécessaire .( a suivre ): Dix raisons qui démontrent que les rampes de traction ne sont qu'une vue de l'esprit imaginatif de certains chercheurs . Tous les archéologues de la planéte se sont bases sur une fresque de la tombe de Djéoutyhetep en Egypte pour accepter sans en discuter la possibilité humaine.C'est donc par ce moyen et uniquement de cette maniére que les constructeurs des grands monuments déplaçaient leurs lourdes charges . Avant que de poursuivre j'ouvrirais ici une petite parenthése sur le réalisme des représentations égyptiennes .Il se trouve sur le temple d'Hashetsoup à Deir el Bahari une fresque qui explique comment les obélisques de la célébre reine furent acheminés jusqu'à leur destination .Pour se rendre à l'évidence il suffit d'appliquer à cette scéne une echelle de grandeur proportionnelle aux éléments connus pour étalir la proportion dans ses véritables dimensions : longueur des obélisques mis bout à bout 60 métres , poupe de l'embarcation 20 métres , proue 20 métres soit au total 100 métres . Et puis nouvelle difficulté ,comment à t'on fait pour jucher à plus de 9 métres de hauteur des obélisques pesant chacun plus de 300 tonnes ???... et quel trasporteur professionnel oserait naviguer avec un centre de gravité placé aussi haut sans craindre un renversement de l'équipage . Pour toutes ces raisons il est difficile de croire en la réalité de telles fresques et nous verrons les problémes que rencontrérent les équipes qui partirent en Egypte pour ramener à PARIS l'obélisque de la concorde .Mais revenons à la célébre fresque de DJOUTI HETEP :4 rangées de 43 hommes sont préposés à la traction du traineau.Sur ce dernier une statue posée sur un traineau de bois àété évalué à 60 tonnes par les archéologues. Il est donc aisé d'obtenir le ratio que chaque participant devra produire pour tracter l'équipage: 60.000 : 172 = 348,800 Kilos par participant. Comme l'archéologie a une obligation c'est celle d'expérimenter et de vérifier la possibilité de semblables figurations quelques chercheurs aussi bien à Stonehenge qu'en France se sont attachés àdemontrer la véracité de ces données. Le résultat en angleterre comme en France a été assez différent de ce qu'ils en espéraient;J P MOHEN à Bougon et son collégue anglais à Stonehenge n'ont obtenu que la moitié du ratio que les archéologues espéraient mais ce ne furent pas des échecs puisqu'ils apportaient enfin une réponse expérimentale à la traction des lourds monolithes..Ces démonstrations apportérent en outre bien des détails interessants qui confirmérent l'erreur de la fresque:entre autres celui de la position des haleurs qui devaient se positionner face à la charge pour obtenir un meilleur rendement.Detrés nombreux chercheurs ont émis différentes sortes de rampes:J Ph LAUER,J P ADAM,Georges GOYON,Flinders PETRIE et tout récemment J P HOUDIN pour ne citer qu'eux ont proposé des rampes de toutes sortes,et toutes se sont heurtées aux mémes impossibilites de réalisation.En supposant que ce soit des rampes frontales le passage de la partie plane de la piste à celle qui entame la montée a dix pour cent aurait formé un angle de quelques degrés ce qui ne permet plus d'avoir une traction en ligne directe. Dans le cas qui a été expérimenté par J P MOHEN la longueur de l'équipage était de plus de 60 métres pour un bloc de 32 tonnes Dans ce cas d'école la moitié des haleurs n'auraient plus aucun contact avec le sol ce qui pourrait poser quelques problémes d'efficacité ???...La méme difficulté se serait retrouvé en arrivant sur la plateforme de pose. Les cordes de traction auraient une friction sur plus de la moitié de l'équipage. STONEHENGE : prochainement nous aborderons le probléme de la construction de Stonehenge.Nous essaieronst d'apporter des solutions rationnelles inédites qui ne se satisferont pas d'un simple recopiage de certains articles d'auteurs connus mais nous apporterons une nouvelle vision en employant des techniques "primaires"connues depuis toujours . Comment STONEHENGE fut il implanté ?...On a souvent cherché trés loin ce qui était parfois trés proche ou rendu compliqué ce qui en fait etait trés simple . Déformation de nos esprits modernes rompus aux mathématiques Pythagoriciennes certes oui mais oubli de principes simplement efficaces il ne faut plus en douter . Alors que chacun s'est évertué à tracer un cercle à l'aide d'un pieu de bois fiché en terre(trace dont on n'a d'ailleurs jamais retrouvé l'empreinte dans le sol crayeux du site malgré les recherches acharnées)et d'une laniére de cuir ou de corde tendue faisant office de longueur constante de rayon l'on a perdu la simplicité surtout lorsqu'il a fallu aprés cette simple opération diviser le cercle en trente portions égales . Diviser une circonférence en deux,quatre,six,huit,douze,seize,vingt quatre,trente deux parts est aisé mais la sectionner en TRENTE et précisément en trente sections égales devient plus délicat-surtout si l'on use des procédés mathématiques modernes. La connaissance des gens du néolithique etaient certainement plus simples plus empiriques que ce que nous imaginons. Alors pour retrouver leur METHODE essayons de faire abstraction pour une fois de l'acquis de nos connaissances et faisons un trés long retour en arriére . Ce large retour nous raménera dans les classes de notre prime enfance et là curieusement nous serons plus à méme de nous replonger dans le savoir qui était celui des gands bàtisseurs du néolithique. Pour des enfants qui font une ronde parfaite point de centre pour obtenir une répartition proportionnelle tout autour d'un cercle; il suffit pour cela de se donner la main et de tendre les bras pour avoir une division parfaite tout autour de la circonférence . S'ils sont dix,nous aurons dix divisions s'ils sont quinze nous en obtiendrons quinze et s'is sont trente ou multiples eh bien ilil suffira alors de planter derriére chaque participant des piquets qui seront fichés au sol et d'en choisir un pour chaque multiple .En procedant de la sorte les constructeurs auraient ils utlisé une mesure métrique que l'on appelle la brasse ou encore la toise ; Implanté grace à l'écartement tendu des bras une vérification de la circoférence des cercles ( Base de l'implantation générale du monument )mérite que l'on s'y intéresse. TROUS D'AUBREY Ils sont implantes sur une circonférence de 274 métres de longueur qui divisé par leur nombre ( 56 )produit 4,90 métres mesure que nous allons découvrir dans bien des mesures qui intéressent ce monument . Cette mesure correspond de toute évidense à TROIS brasses ce qui procure une valeur de la brasse utilisée à Stonehene : 4.90 : 3 = I.663 métre .Des lors vérifions quelques longueurs . HEEL STONE ( hors sol = 4.90 ) Trois brasses HAUTEUR des SARSENS plus épaisseur du linteau = 4.90 m Trois brasses LONGUEUR des LINTEAUX circulaires au dessus des sarsens = 3.20 m Deux brasses SLAUGHTER STONE longueur 6.55 m = 4,01 brasses HAUTEUR du TRILITHON No 53 54 = 6.450m (Selon flinders PETRIE )quatre brasses Ainsi nous pourrions poursuivre et obtenir bien plus d'éléments tres proches de cette brasse de 1.633