Voir la source de Lycée Paul-Claudel-d'Hulst

{{Voir homonymes|PCH}}

{{Infobox École
 | directrice            = Laurence de Nanteuil
 | options               = [[Enseignement du grec ancien|Grec ancien]], {{lien|lang=en|trad=Instruction in Latin|fr=Enseignement du latin|texte=latin}}, [[Enseignement du russe|russe]], [[Enseignement de l'italien|italien]], {{lien|lang=en|trad=Visual arts education|fr=Enseignement des arts plastiques|texte=arts plastiques}}, [[Enseignement de la musique|musique]]
 | formation             = [[Collège en France|Collège]] <br /> [[Lycée en France|Lycée général]]
 | matricule             = 
 | type                  = [[Enseignement privé en France#Rapports avec les établissements sous contrat|Établissement privé sous contrat d'association avec l'État]]
 | image                 = Paris 7e Petit Hôtel de Villars 027.jpg
 | légende               = Façade de la [[#Section petit Villars|section petit Villars]], [[rue de Grenelle]].
 | site                  = {{Url|https://paulclaudel-hulst.fr}}
 | académie              = [[Académie de Paris|Paris]]
 | fondation             = 1914
 | devise                = ''Veritas liberabit vos'' (« La vérité vous libérera »)<ref>Elle est issue des paroles prononcées par le cardinal [[Alfred Baudrillart]] à la fondation du Collège d'Hulst ; il s'agit là d'une référence à une formule du [[Jésus-Christ|Christ]] dans l'[[Évangile selon Jean]] ([[s:la:Vulgata Clementina/Evangelium Secundum Joannem#Caput 8|chapitre 8, verset 32]]).</ref>
 | protection            = {{Classé MH|1954}}<br />{{Inscrit MH|1954}}
}}

Le [[Collège en France|collège]]-[[Lycée en France|lycée]] '''Paul-Claudel-d'Hulst''', régulièrement abrégé sous l'acronyme '''PCH'''<ref name=":4">{{Ouvrage|titre=Partenariat stratégique ANGE|date=2020|format électronique=pdf|lire en ligne=http://classlab-ange.eu/wp-content/uploads/2020/12/PCH_sce%CC%81nario-3.pdf|page=1}}.</ref>, est un [[École|établissement]] [[Enseignement secondaire|secondaire]] [[École privée|privé]] [[Enseignement privé en France#Rapports avec les établissements sous contrat|sous contrat d'association avec l'État]]. Situé dans le {{7e arrondissement de Paris}}, il est issu de la fusion de deux établissements préexistants, Paul-Claudel et le collège d'Hulst. Il s'étend donc sur deux sites géographiquement distincts, nommés ''petit Villars'' (118-120, [[rue de Grenelle]]) et ''Narbonne-Pelet'' (21, [[rue de Varenne]]). Sous [[Enseignement privé en France#Régime juridique des établissements privés|tutelle diocésaine]], il accueille des élèves de la [[Classe de sixième française|sixième]] à la [[Classe de terminale française|terminale]] et revendique une éducation [[Catholicisme|catholique]].

La [[Petit hôtel de Villars|section collège]] de l'établissement est en partie classée, en partie inscrite au titre des [[Monument historique (France)|monuments historiques]], respectivement pour les boiseries [[Style Régence|Régence]] des salles d'apparat et pour l'aile bâtie par [[Claude Louis Hector de Villars]] au {{s-|XVIII}}<ref name="M">{{Base Mérimée|PA00088746|Petit Hôtel de Villars}}.</ref>.

== Histoire ==

=== Section petit Villars ===
{{Article détaillé|Petit hôtel de Villars}}

==== Genèse du site rue de Grenelle ====
[[Fichier:Rigaud_-_Claude_Louis_Hector_de_Villars_-_Château_de_Vaux-le-Vicomte.jpg|gauche|vignette|[[Claude Louis Hector de Villars]], duc et [[maréchal de France]].]]
En 1717, le duc et [[Pairie de France (Ancien Régime)|pair de France]] [[Claude Louis Hector de Villars]], maréchal de [[Louis XIV]], décide l'édification d'une [[Petit hôtel de Villars#Aile principale|aile annexe]] à l'ouest de son hôtel particulier, dès lors appelée ''petit hôtel de Villars''. Passée de main en main, cette dernière prend son indépendance de l'hôtel principal en 1849, lorsque, acheté par la [[Famille de Portes|marquise de Portes]], il se métamorphose pour devenir une véritable [[Hôtel particulier|demeure parisienne]] : sont alors ajoutées ou transformées les [[Petit hôtel de Villars#Ailes latérales|ailes Est et Ouest]], qui flanquent l'aile principale, ainsi que l'[[Petit hôtel de Villars#Aile sud|aile Sud]], ouverte sur la rue de Grenelle — les bâtiments n'ont pas été modifiés depuis. L'hôtel est ensuite vendu à la [[famille Cahen d'Anvers]] puis au [[Henri de La Ferronnays (1876-1946)|marquis de La Ferronays]] et accueille, entre 1945 et 1952 les Anciens de la [[2e division blindée (France)|{{2e}} division blindée]] du [[Philippe Leclerc de Hauteclocque|maréchal Leclerc de Hauteclocque]]. Le site obtient sa reconnaissance en tant que [[Monument historique (France)|monument historique]] en 1954<ref name="M"/>.

==== Sainte-Marie-des-Invalides ====
Installée dans les lieux depuis 1952 sous la direction de la [[communauté apostolique Saint-François-Xavier]], l'institution de jeunes filles Sainte-Marie-des-Invalides (aujourd'hui [[Sainte-Marie de Neuilly]]) achète finalement l'hôtel en 1961, conservant encore aujourd'hui sa propriété. Cette communauté, fondée en 1912 par [[Madeleine Daniélou]] dans le but de retranscrire dans un environnement [[Catholicisme|catholique]] les préceptes qu'elle avait reçus au [[collège Sévigné]], est particulièrement investie dans l'enseignement, et ce jusqu'à aujourd'hui.  Le premier établissement éducatif qui prend ainsi place au petit hôtel de Villars accueille déjà une population aisée et bourgeoise, habitant principalement dans le {{7e arrondissement de Paris}}, à l'exemple de l'actrice [[Anémone (actrice)|Anémone]], de la femme politique [[Anne-Marie Idrac]], de la productrice [[Fabienne Servan-Schreiber]] ou encore de la journaliste [[Colombe Pringle]].

==== Paul-Claudel ====
[[Fichier:Paris_7e_Petit_Hôtel_de_Villars_026.jpg|vignette|Plaque indiquant l'ancien lycée Paul-Claudel.]]
En 1980, la communauté se retire et laisse place à un nouvel établissement. Celui-ci fusionne avec le Cours Maupré (du nom des demoiselles Maupré, fondatrices du cours<ref>{{Ouvrage|prénom=Gabrielle|nom=Rochecourt|titre=La Cigale|date=2004|éditeur=[[L'Harmattan]]|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=bUmHbHHUWjUC&pg=PA12&dq=maupré|isbn=978-2-7475-6111-2|page=14}}.</ref>), école de jeunes filles jusqu'ici tenue par des [[Sœurs dominicaines|religieuses dominicaines]] au 71, [[rue de Grenelle]]. Cette adresse a notamment vu passer, en tant qu'élèves, la [[Liste des épouses et compagnes des présidents de la République française|Première dame de France]] [[Bernadette Chirac]], l'actrice [[Agnès Soral]], l'humoriste [[Sylvie Joly]] et la femme d'affaires [[Claire Dorland-Clauzel]]. Nommé d'après l'écrivain catholique [[Paul Claudel]], le nouveau collège-lycée devient mixte et conserve les élèves et professeurs de Sainte-Marie-des-Invalides ; malgré les offres de rachat par des investisseurs privés, il se maintient grâce au soutien des institutions publiques.

=== Section Narbonne-Pelet ===

==== Genèse du site rue de Varenne ====
[[File:Plaque Louis Veuillot, 21 rue de Varenne, Paris 7e.jpg|thumb|Plaque commémorative de la mort de [[Louis Veuillot]] en 1883 (façade de la section Narbonne-Pelet).|gauche]]
En 1678, [[François de La Planche#Famille|Sébastien François de La Planche]], issu d'une famille de tapissiers [[comté de Flandre|flamand]]s qui a donné son nom à la [[rue de La Planche]], voisine de l'hôtel, fait construire une première demeure, dans un [[faubourg Saint-Germain]] alors naissant. Vendue en 1697 au [[Famille de Saint-Gelais de Lusignan|marquis de Saint-Gelais]], elle est remplacée dès 1704 par un hôtel particulier dans le mode structurel et architectural caractéristique du [[Faubourg Saint-Germain|noble faubourg]]. Y résident alors successivement le maréchal marquis [[Yves d'Alègre]], à partir de 1725, et la duchesse [[douairière]] Geneviève Marie de [[duc de Lauzun|Lauzun]], veuve du duc [[Antonin Nompar de Caumont]]<ref name=":2">{{Ouvrage|auteur=Société de l'histoire de l'art français|titre=Nouvelles Archives de l'art français|éditeur=J. Baur|date=1872|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=0AZWAAAAcAAJ&pg=PA292&dq=narbonne+pelet|page=292}}.</ref>. Il passe ensuite, par héritage, au baron Charles Bernard Martial de Narbonne-Pelet (1720-1775), à la mort duquel l'hôtel est séparé en deux parties, l'hôtel de Saint-Gelais (aujourd'hui 23, rue de Varenne) et l'[[hôtel de Narbonne-Pelet]] proprement dit, qui apparaît alors pour la première fois<ref name=":2" />. Il se conserve dans cette même famille jusqu'à la fin du {{s-|XIX}}<ref>{{Ouvrage|titre=Annuaire héraldique|date=1895|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=H-_-ZaaqEaoC&pg=PA388&dq=narbonne-pelet|page=388}}.</ref>, passant notamment par le diplomate et [[Pairie de France (Ancien Régime)|pair de France]] [[Raymond Jacques Marie de Narbonne-Pelet]]. L'hôtel est transformé en appartements bourgeois en 1845 et accueille, à partir de 1872, le polémiste catholique [[Louis Veuillot]], dont une plaque sur la façade de l'établissement rappelle la présence et la mort en 1883. Une première école de jeunes filles, le cours Faber<ref name=":3" />, du nom des possesseurs de l'hôtel<ref>{{Ouvrage|titre=Tout-Paris|éditeur=A. La Fare|date=1918|lire en ligne=https://books.google.fr/books?hl=fr&id=1lYyAQAAMAAJ&dq=faber|page=248}}.</ref>, s'ouvre en ces lieux à partir de 1909.

==== Collège d'Hulst ====
Avec le concours du cardinal [[Alfred Baudrillart]] et de legs privés, Jenny Pimor, ancienne élève de l'[[Institut catholique de Paris]], fonde un premier collège d'Hulst à Paris en 1914, rue Dante puis quai du Marché-Neuf. Il est nommé d'après [[Maurice d'Hulst|{{Mgr|d'Hulst}}]], premier recteur de l'[[Institut catholique de Paris]]. Il s'agit alors d'un collège de jeunes filles (quoiqu'en réalité déjà partiellement mixte<ref name=":3" />), quasi exclusivement fréquenté dès cette époque par la haute bourgeoisie, si bien qu'il est surnommé « collège des [[deux cents familles]] »<ref>[[Rosemonde Pujol]], ''Le Vingtième Sexe'', Gawsewitch, 2008 ([https://books.google.fr/books?id=ipwUAQAAIAAJ lire en ligne]), p. 47.</ref>. Le titre de « collège » est alors illégal dans l'enseignement privé, bien que toléré<ref name=":3">[[Henri Peretz]], « La Création de l'enseignement secondaire libre de jeunes filles à Paris (1905-1920) », ''Revue d'histoire moderne et contemporaine'', 1985 ([https://www.persee.fr/doc/rhmc_0048-8003_1985_num_32_2_1317 lire en ligne]), p. 255-263.</ref>. L'établissement, qui obtient en 1927 le [[loi Falloux|statut d'établissement secondaire reconnu par l'État]]<ref name=":3" />, ouvre de nombreuses succursales en France comme à l'étranger, jusqu'à racheter le Cours Faber en 1933. L'essor de l'institution s'essouffle cependant dans les années qui suivent et les diverses implantations ferment progressivement, entre 1939 et 1968, à l'exception de deux d'entre elles : celle de [[Versailles]], qui prend alors son autonomie pour devenir l'actuel lycée [[Saint-Jean-Hulst]], et celle de la rue de Varenne, qui continue à exister sous le même nom jusqu'en 2016.

Parmi les personnes notoires qui ont côtoyé le collège d'Hulst, on compte, comme professeurs, [[Marie Pila]] et [[Daniel Pennac]], qui a puisé dans cette expérience l'inspiration de son essai ''[[Comme un roman]]'' ; [[Claire Dorland-Clauzel]], la comédienne [[Dominique Prado]] et l'écrivaine [[Juliette Benzoni]], en tant qu'élèves ; ainsi que la résistante [[Rosemonde Pujol]], surveillante dans l'établissement.

=== Fusion et sociologie du nouvel établissement ===
[[File:P1170526 Paris VII rue de Varenne n°21 rwk.jpg|vignette|Façade et portail de la [[#Section Narbonne-Pelet|section Narbonne-Pelet]], rue de Varenne.|300px]]
En 2016 s'opère la fusion des deux établissements, préparée de longue date par des projets communs, et pour laquelle l'ancien collège d'Hulst est intégralement réaménagé, avec la construction d'un nouveau bâtiment en fond de jardin sur l'emplacement d'une ancienne annexe vétuste donnant sur la [[rue de Narbonne]]. Aurélien Régnier, directeur du collège d'Hulst, prend alors les rênes des l'établissement ainsi fusionné sous le nom de Paul-Claudel-d'Hulst. Les 21 classes de Paul-Claudel (trois classes à tous les niveaux) et les 14 classes du collège d'Hulst (une par niveau au collège, quatre en seconde, trois en première et en terminale) se mêlent alors pour former les 35 classes actuelles de l'établissement.

Du fait de la différence de niveau scolaire initiale entre les deux ensembles scolaires ({{33e}} pour [[#Paul-Claudel|Paul-Claudel]], {{153e}} pour le [[#Collège d'Hulst|collège d'Hulst]] en 2015<ref>Nicolas Enault, Christophe Momboisse, [https://www.francetvinfo.fr/bac/classement-des-lycees/2015.html « Le classement des lycées 2015 : le palmarès des meilleurs établissements »], sur ''francetvinfo.fr'', {{1er}} avril 2015.</ref>), le lycée connaît une certaine hétérogénéité interne, depuis résorbée. Les profils respectifs des deux établissements se distinguent en effet nettement : le collège d'Hulst se caractérise par des élèves de niveau très divers tandis que Paul-Claudel est plutôt marqué par une attente d'excellence dans les résultats de l'enfant. Majoritairement issus de milieux fortunés, ses élèves ont cependant des niveaux très disparates<ref name=":4" />.

=== Chefs d'établissement ===
*Isabelle de Nanteuil (Paul-Claudel, 2002-2016) ;
*Aurélien Régnier (collège d'Hulst, 2014-2016 ; Paul-Claudel-d'Hulst, 2016-2017) ;
*Alexandrine Lionet (Paul-Claudel-d'Hulst, 2017-2021) ;
*Laurence de Nanteuil (Paul-Claudel-d'Hulst, depuis 2021).

== Enseignement ==

=== Effectifs ===
Outre une équipe d'environ 85 professeurs et 35 salariés, l'établissement compte environ 1050 élèves. En raison du passage de quatre à sept classes entre le collège et le lycée, une grande partie des élèves de seconde proviennent d'autres [[Liste des collèges et lycées de Paris|établissements parisiens]], tels [[Collège Stanislas (Paris)|Stanislas]] ou [[Lycée Victor-Duruy|Victor-Duruy]].

{| class="centre" style="border-collapse:separate; border: 1px solid darkgray; border-spacing:10px; font-size:90%; text-align:center; padding: 0.5em; width:600px"
|-
| rowspan="4" style="background:#e17055; color:#FFFFFF; font-size:120%; width:180px;" | '''Collège''' <br /> <small>''(section petit Villars)''</small>
| [[Classe de sixième française|{{6e}}]] || 4 classes <br /> ~ 120 élèves
| rowspan="4" style="border-left:solid;" | '''16 classes <br /> ~ 480 élèves'''
|-
| [[Classe de cinquième française|{{5e}}]] || 4 classes <br /> ~ 120 élèves
|-
| [[Classe de quatrième française|{{4e}}]] || 4 classes <br /> ~ 120 élèves
|-
| [[Classe de troisième française|{{3e}}]] || 4 classes <br /> ~ 120 élèves
|-
| rowspan="3" style="background:#e17055; color:#FFFFFF; font-size:120%;" | '''Lycée''' <br /> <small>''(section Narbonne-Pelet)''</small>
| [[Seconde (lycée)|{{2de}}]]|| 6 classes <br /> ~ 180 élèves
| rowspan="3" style="border-left:solid;" | '''18 classes <br /> ~ 540 élèves'''
|-
| [[Première (lycée)|{{1re}}]] || 6 classes <br /> ~ 180 élèves
|-
| [[Classe de terminale française|T<sup>ale</sup>]] || 6 classes <br /> ~ 180 élèves
|-
| style="border-top:solid; padding:5px;" colspan="4" | '''~ 1 000 élèves — 34 classes'''
|}

=== Projets et mise en valeur ===
Le lycée mène divers projets :
* le concours d'éloquence ''Oratoria'' (« art oratoire » en latin), où les élèves peuvent présenter un texte choisi, qu'ils déclament, pour ensuite participer, s'ils sont sélectionnés, à une épreuve de controverse ;
* la campagne de mécénat ''Construire 2025'', qui vise à récolter des fonds à hauteur de 3 millions d'euros pour restaurer les salles de petit Villars classées monument historique, se procurer des équipements techniques et réhabiliter certains espaces de l'établissement, inaptes à la présence de classes ;
* les conversations Ariane, conçues par l'homme d'affaires [[Christian Streiff]], où des parents d'élèves viennent présenter leur métier pour proposer des pistes d'orientation professionnelle ;
* sur le plan spirituel de cet établissement catholique, le [[Frat]] est proposé aux lycéens et aux collégiens, tandis qu'un groupe de prière est mené par des élèves du lycée, sous le nom de ''Dei Hebdo''.

== Galerie ==
=== Petit Villars ===
<gallery heights="200px" widths="200px">
File:Paris - Petit Hôtel de Villars - 118 rue de Grenelle - 003.jpg
File:Paris - Petit Hôtel de Villars - 118 rue de Grenelle - 002.jpg|Porte du [[petit hôtel de Villars]].
File:Paris - Petit Hôtel de Villars - 118 rue de Grenelle - 004.jpg
File:Paris - Petit Hôtel de Villars - 118 rue de Grenelle - 001.jpg|Vue globale.
</gallery>

=== Narbonne-Pelet ===
<gallery heights="200px" widths="200px">
File:Hôtel de Narbonne-Pelet, 21 rue de Varenne, Paris 7e.jpg|Grand portail.
</gallery>

== Notes et références ==
<references />

== Voir aussi ==
{{Autres projets|commons=Category:Lycée Paul Claudel-d'Hulst|commons titre=Lycée Paul Claudel-d'Hulst}}

=== Bibliographie ===
* {{Ouvrage|auteur=Atelier Herbez Architectes|titre=Rénovation et extension. Collège-lycée Paul-Claudel-d'Hulst, Paris {{7e}}|format électronique=pdf|date=2020|lire en ligne=http://aha.archi/version2020/wp-content/uploads/2020/11/Hulst.pdf}}

=== Articles connexes ===
* [[Petit hôtel de Villars]]
* [[Hôtel de Narbonne-Pelet]]

=== Liens externes ===
* Site de l'établissement — [https://paulclaudel-hulst.fr paulclaudel-hulst.fr]
* [https://dualdiploma.org Dual Diploma Academica]

{{Palette|Lycée de Paris|Système éducatif français}}
{{Portail|écoles|éducation|catholicisme|Paris|MH}}

{{DEFAULTSORT:Lycée Paul-Claudel-d'Hulst}}
[[Catégorie:Lycée privé en France|Paul-Claudel-d'Hulst]]
[[Catégorie:Lycée à Paris|Paul-Claudel-d'Hulst]]
[[Catégorie:Collège à Paris|Paul-Claudel-d'Hulst]]
[[Catégorie:Enseignement catholique]]
[[Catégorie:Histoire de l'éducation en France]]
[[Catégorie:Lycée monument historique en France|Paul-Claudel-d'Hulst]]
[[Catégorie:7e arrondissement de Paris]]
[[Catégorie:Établissement scolaire fondé en 2016]]