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Discussion:Impartition

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Impartition est un terme canadien. En France on utilise plus volontiers le terme externalisation (à défaut d'autres anglicismes). Je pense qu’il est utile de définir ces termes comme des synonymes et créer externalisation et non pas définir Impartition à partir d’externalisation.

Je serais assez d'accord, si les belges et suisses appuient la proposition ;-)) --Pgreenfinch 28 fev 2005 à 16:44 (CET)

Je suis également d'avis d'utiliser le terme externalisation, terme communémant utiliser en France, alors que je n'ai jamais entendu parler d'impartition, bien que travaillant dans l'externalisation. --Dude 26 avril 2006

exemple impartition[modifier le code]

Je pense que dans une encyclopédie on doit se retenir de donner des références commerciales, même sous forme d'exemple, sauf si cette référence commerciale est devenue un standard de fait . Encore dans ce dernier cas, faudrait-il la citer en italique En l'occurence je pense que "CGI" n'est pas un standard de fait pour l'externalisation.

J'aimerais connaître l'étymologie de ce terme "impartition". D'après le Robert historique de la langue française, le mot "partition" a d'abord été employé avec le sens de 'participation'...

Le terme "impartition" a été traité dès 1968 par un auteur français qui se nomme P-Y Barreyre, ce terme a surtout été repris dans un de ses articles co écrit avec M. Bouche de 1982. Ils en donnent la définition suivante et son étymologie: « Associé par son étymologie latine aux notions de partage, de délégation et de confiance envers le prestataire, ce mot désigne un choix économique et un état d’esprit : - Un choix économique : il y a impartition lorsqu’une entreprise placée devant l’option "faire ou faire-faire" choisit le second terme de l’alternative. Par exemple, elle décide de confier à un laboratoire universitaire ou à un centre technique professionnel, une recherche sous contrat plutôt que d’investir dans cette étude. - Un état d’esprit : on peut parler d’attitude managériale, voire de politique d’impartition, lorsque l’organisme qui s’adresse ainsi à l’extérieur ne considère pas seulement son intérêt à court terme mais, se plaçant dans une perspective stratégique, considère l’autre comme un partenaire avec lequel il faut s’attacher à développer une collaboration susceptible de produire des effets de synergie et où chacun trouve son avantage. Le principe d’impartition peut être ainsi érigé, implicitement ou explicitement, au rang des politiques qui déterminent l’allocation des ressources d’une entreprise ainsi que la manière dont elle entend se positionner dans son environnement commercial, économique, sociopolitique et technologique, à l’échelle nationale ou internationale. » Il est ,certes, rarement employé en France aujourd'hui, et employé au Canada. On ne peut assimiler l'impartition à de l'externalisation ou à de la sous-traitance. Peut être ce terme regroupe-t-il ces deux notions et peut même s'étendre à certaines formes de partenariat.

externalisation plutôt qu'impartition[modifier le code]

Je suis aussi d'avis d'utiliser le terme relativement courant aujourd'hui d'externalisation plutôt que celui d'impartition que je n'ai jamais entendu auparavant. Pidji7 29 août 2006 à 16:26 (CEST)[répondre]

un avis belge[modifier le code]

C'est ici que je découvre les terme d'infogérance et d'impartition. Je ne suis pas contre leur emploi, mais j'estime qu'il faudrait y associer les synonymes externalisation et outsourcing (bien qu'anglicisme, il est largement utilisé). Piku 2 novembre 2006 à 00:27 (CET)[répondre]

externalisation plutôt qu'impartition (2ème et dernier avis)[modifier le code]

Google annonce 1'180'000 pages en français pour externalisation et 169'000 pages en français pour impartition, dont les meilleures références pointent d'ailleurs sur Wikipedia. Je propose donc de renommer définitivement Impartition par Externalisation, en mentionnant toutefois le terme d'Impartition qui semble très courant au Canada. Pidji7 4 mars 2007 à 21:26 (CET)[répondre]