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La société humaine est associée aux cultures de l'espèce humaine (homo sapiens) dans la biosphère. Reconnue dans le phylum des espèces, la socialisation humaine, avec l'habitat, est en rapport avec le grégarisme relatif naturel de l'espèce. La société humaine s'adapte, globalement, à l'environnement biophysique et humain local. Elle et sa nature culturelle participent à la diffusion des connaissances, des sciences, des techniques et de la compréhension des rôles écologiques des individus composants l'espèce. Elle s'occupe de la gestion des savoirs dans l'administration des sociétés de citoyens.
La société civile est le domaine de la vie civique et sociale humaine. Organisée, volontaire, largement autosuffisante et autonome dans l'État, la société civile est une société de droit. Une élection est un des événements principaux où la société civile se trouve mobilisée, notamment à travers l'éducation de l'électorat.
La société civile est avant tout la totalité des citoyens d'une commune, d'une région, d'un État-nation ou – maintenant, pour la France, en particulier – de l'Union européenne. Toutefois, dans la pratique, ceux-ci n'agissent pas forcément individuellement, mais souvent dans le cadre associatif. Une telle association peut être considérée représentative à condition qu'elle ait été constituée sur la base de la volonté et des propres intérêts des citoyens s'étant déclarés formellement et juridiquement ses membres.
Le rasoir d'Hanlon est une règle de raisonnement permettant d'éliminer des hypothèses. Formulée en 1980 par le programmeur américain Robert J. Hanlon, cette règle s'énonce de la manière suivante : « Ne jamais attribuer à la malveillance ce que la bêtise suffit à expliquer ». L'attribution à Hanlon a été mise en question dans un premier temps, certains auteurs y voyant plutôt une corruption du nom de Robert A. Heinlein, l'auteur d'une considération assez proche. La règle tire son nom du rasoir d'Ockham, qui pose un principe de simplicité, tant au niveau métaphysique, en recommandant de ne pas multiplier les conjectures sur les entités, qu'au niveau méthodologique, en recommandant de ne pas multiplier les hypothèses. Elle revient donc à considérer soit qu'il est plus simple et donc plus plausible de supposer la bêtise plutôt que la malveillance, la première étant plus vraisemblable en général, soit qu'il est inutile d'ajouter la conjecture d'une intention maligne à celle d'un manque de compétence. Cette règle ne caractérise toutefois la bêtise qu'au plan du comportement. D'autres notions, celles de biais cognitif, de principe de charité ou d'effet pervers, permettent d'éviter que l'opposition entre malveillance et bêtise ne devienne un faux dilemme.
Mikhaïl Mikhaïlovitch Bakhtine est un historien et théoricien russe de la littérature. Bakhtine s'est également intéressé à la psychanalyse, à l'esthétique et à l'éthique, et a été un précurseur de la sociolinguistique.
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