Aller au contenu

James Abbott McNeill Whistler

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
James Abbott McNeill Whistler
Autoportrait (vers 1872).
Detroit Institute of Arts (Détroit)
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 69 ans)
Londres
Sépulture
Chiswick Burial Ground (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom dans la langue maternelle
James WhistlerVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
James Abbot McNeill WhistlerVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Domicile
Formation
Activités
Père
George Washington Whistler (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Anna McNeill Whistler (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
William McNeill Whistler (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Beatrix Godwin Whistler (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Parentèle
Rose Fuller Whistler (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Membre de
Mouvement
Maître
Genres artistiques
Influencé par
Distinction
Archives conservées par
Bibliothèque de l'université de Leeds (d) (Elliott Collection MS Whistler)
Glasgow University Library (en)[1]Voir et modifier les données sur Wikidata
Œuvres principales
signature de James Abbott McNeill Whistler
Signature
Vue de la sépulture.

James Abbott McNeill Whistler (/ˈdʒeɪmz ˈæbət məkˈniːl ˈwɪslɚ[2]) () est un peintre et graveur américain, lié aux mouvements symboliste et impressionniste.

Biographie[modifier | modifier le code]

James Abbott McNeill Whistler est né le à Lowell, dans le Massachusetts, au nord-est des États-Unis. Son père s'appelait George Washington Whistler (en), et sa mère Anna Matilda McNeill.

En 1842, son père, ingénieur, est employé au chemin de fer à Saint-Pétersbourg, dans l'empire russe. Là, le jeune Whistler s'inscrit à l'Académie impériale des beaux-arts et apprend le français. Plus tard, au cours de son procès contre John Ruskin, Whistler revendiquera la Russie comme lieu de naissance : « Je suis né quand et où je veux, et je ne veux pas être né à Lowell », déclarera-t-il. Il conserve néanmoins sa nationalité américaine[3].

Le jeune garçon s'installe à Londres en 1848, mais après la mort de son père en 1849, Whistler et sa mère reviennent à Pomfret, dans le Connecticut. Cette même année, il fait le portrait de sa nièce Annie Haden (1848-1937), qui devint plus tard Mme Charles Thynne. C'est la fille aînée de la demi-sœur de Whistler, Deborah, et de son mari Francis Seymour Haden, chirurgien et graveur[4].

Il entre à l'école locale pour ensuite s'inscrire en 1851 à l'Académie militaire de West Point, où son père avait autrefois appris le dessin et la cartographie. Il échoue à l'examen de chimie, comme il s'est lui-même exprimé plus tard : « Si le silicium avait été un gaz, j'aurais été un jour général. » Il en est renvoyé en 1854.

Formation[modifier | modifier le code]

En 1855, il part étudier la peinture à Paris, après avoir hérité d'une petite somme d'argent. En 1856, il s'inscrit à l'atelier de Charles Gleyre[3], alors atelier le plus célèbre après celui de Thomas Couture, où il côtoie George du Maurier. D'autres élèves préparent le concours d'entrée à l'École des beaux-arts : Monet, Renoir, Sisley et Bazille. Volontiers plus dandy que bohème, il fait l'objet de caricatures. George du Maurier le dépeint dans son roman Trilby (1894) sous les traits de Joe Sibley. Whistler menaça son ancien ami du Maurier de lui faire un procès[5]. Il se lie d'amitié avec Alphonse Legros et Henri Fantin-Latour. Ils décident de faire carrière et fondent la Société des Trois.

En 1858, il s'associe avec Alphonse Legros et Fantin-Latour. Ce dernier le représente au centre de son Hommage à Delacroix, aux côtés de Manet et Baudelaire, marquant ainsi sa place dans l'avant-garde artistique parisienne. Il rencontre Gustave Courbet (1818-1877) qui le considère brièvement comme "son élève"[6], et est sensible à la représentation sans compromis de la vie quotidienne des peintres réalistes[7].

A Londres[modifier | modifier le code]

En 1859, il arrive à Londres où il passe une longue partie de sa vie mais partage sa carrière entre Londres et Paris. Il se présente comme un aristocrate sudiste ruiné, bien que sa sympathie envers les sudistes pendant la Guerre civile américaine ne soit pas démontrée. Il voyage en France et en 1861 visite la Bretagne[8].

Au début des années 1860, il commence à développer une esthétique de l’art pour l’art, évitant les détails narratifs ou naturalistes pour se concentrer davantage sur les préoccupations formelles. Il se rend à Trouville en 1865, avec sa maîtresse, Joanna Hiffernan[9]. Il y peint avec Gustave Courbet et expérimente une série de paysages marins de plus en plus simplifiés[10].

Son tableau de la Dame en blanc en 1862, intrigue d'autant plus le public que le sujet Joanna Hiffernan, une immigrante irlandaise, est peu connue dans la société britannique[11]. Il réalisera deux autres portraits d'elle en robe blanche, regroupant finalement les trois sous le titre commun Symphonie en blanc. Surprenant le public, il déclare que, comme la musique, ces œuvres concernaient uniquement des qualités abstraites telles que la ligne et la couleur[12].

En 1863, Napoléon III fait ouvrir le Salon des Refusés dans un coin du Palais de l'Industrie. Deux tableaux font sensation : Le Déjeuner sur l'herbe de Manet et La Dame en blanc de Whistler, œuvre refusée l'année précédente à la Royal Academy de Londres.

Découvrant Vélasquez et la peinture espagnole introduite au Louvre par Louis-Philippe, il part pour Madrid afin d'admirer l'œuvre du maître, mais le voyage s'interrompt à Guéthary. Cependant, Vélasquez l'influencera dans nombre de portraits comme Arrangement en noir (1884), son Autoportrait en brun et or (1896), ou dans Arrangement noir et or, le comte Robert de Montesquiou (1891-1892, The Frick Collection, New York)[13].

The Artist in His Studio (L'Artiste dans son atelier)
1865-1866
Art Institute of Chicago

Il s'intéresse également à la peinture extrême-orientale et collectionne les porcelaines et les tissus orientaux ou, comme Dante Gabriel Rossetti, les bois gravés servant à imprimer les tissus[14]. Dans The Artist in His Studio (Art Institute of Chicago), il est entouré d'œuvres de sa collection : trois rouleaux japonais sont accrochés au mur et de la porcelaine chinoise orne les étagères de gauche. La composition rappelle également Velázquez. Il harmonise les éléments artistiques occidentaux et orientaux, se plaçant ainsi au centre d'une telle entreprise[15].

En 1862, après de courts séjours dans d'autres quartiers de la ville, Whistler s'installe à Chelsea, un quartier situé le long de la rive nord de la Tamise, au sud-ouest de Londres. Il s'installe à plusieurs reprises dans le quartier, loue plusieurs propriétés près de la rivière[16].

En 1866, il se rend vers le port chilien de Valparaiso, apparemment dans l'intention de se battre aux côtés du Chili dans sa guerre contre l'Espagne. Les raisons complètes de ce voyage impétueux restent floues[17], mais il passe six mois au Chili et y peint de nombreuses marines[18]. Il y participe aussi à un trafic d'armes[19]. Dans Crépuscule à Valparaiso, il montrerait le retrait des flottes britanniques, américaines et françaises du port. Les Espagnols avaient annoncé leur intention de bombarder la ville, ce qu'ils firent le lendemain. À ce moment-là, Whistler s'était enfui vers les collines à cheval[20].

La Chambre des paons[modifier | modifier le code]

Symphony in flesh colour : Portrait of Mrs Frances Dawson
1871-1874
New York, The Frick Collection

En 1870, Whistler peint les portraits en pied de l'armateur anglais Frederick Leyland[21] et de sa femme Frances Dawson (1834-1910)[22]. Leyland lui commande alors la décoration du hall d'entrée de sa maison. Quand Jeckyll qui décorait la salle à manger tombe malade, Whistler se propose pour finir le travail. Craignant que les roses rouges ornant les tentures murales en cuir ne s'accordent pas avec les couleurs de La Princesse, il propose de retoucher le cuir avec de la peinture jaune, et Leyland a accepté cette modification mineure[23]. Il a également autorisé Whistler à embellir la corniche et les lambris avec un « motif de vagues » dérivé du dessin de la porte en verre au plomb de Jeckyll.

Leyland s'est rendu ensuite chez lui à Liverpool et pendant son absence, Whistler est devenu plus audacieux dans ses révisions[23]. Ces modifications ont donné Harmonie en bleu et or : la Chambre du paon (Freer Gallery of Art à Washington)[24]. La pièce est conçue et peinte dans une riche palette de verts-bleus brillants rehaussée à la feuille d'or. Elle est considérée comme un exemple du « style anglo-japonais ». La peinture est inspirée de la porcelaine bleue et blanche copiée du catalogue de Monsieur Henry Thompson et des porcelaines que Leyland avait rassemblées.

À son retour, Leyland a été choqué par les « améliorations ». L'artiste et le mécène se sont si violemment disputés au sujet de la salle et de la rémunération pour l'œuvre, que cette relation importante pour Whistler, a pris fin. Whistler aurait dit à Leyland : « Ah, je t'ai rendu célèbre. Mon travail vivra quand tu seras oublié. Pourtant, par chance, dans les âges sombres à venir, on se souviendra de toi comme du propriétaire de la Peacock Room. "[25].

La Chambre des paons
Maison Leyland

Le différend entre Whistler et Leyland ne s’est pas arrêté là. En 1879, Whistler fut contraint de déclarer faillite et Leyland était alors son principal créancier. Lorsque les créanciers sont arrivés pour inventorier la maison de l'artiste en vue de sa liquidation, ils ont été accueillis par The Gold Scab: Eruption in Frilthy Lucre (The Creditor), une grande caricature peinte de Leyland représenté en paon démoniaque anthropomorphe jouant du piano, assis sur la maison de Whistler[26]. Ce tableau est peint dans les mêmes couleurs que celles de la salle du Paon[27].

Plus tard, Whistler a eu accès à la maison de Leyland et a peint deux paons combattant destinés à représenter l'artiste et son mécène, qu'il a intitulés Art and Money: or, The Story of the Room[28],[23]. Cette scène est censée représenter l'artiste et son commanditaire : l'un tient un pinceau et l'autre un sac d'argent…

Jeckyll quant à lui, est mort fou trois ans plus tard. Peut-être en guise d'expiation partielle pour ce qu'il avait fait, Whistler a envoyé des lettres aux journaux attribuant le mérite à Jeckyll, qui fut longtemps son ami, pour la conception structurelle de la pièce[29].

La pièce entière sera achetée plus tard par l'industriel et esthète Charles Lang Freer (en), qui y installera une collection d'œuvres de Whistler. Les courriers publiés entre Charles Lang Freer et Whistler révèlent l'intérêt de ce dernier à rassembler son travail aux États-Unis.

Arrangement en gris et noir n°1- La mère de l'artiste, 1871
Paris, Musée d'Orsay

Les Années 1870[modifier | modifier le code]

Depuis 1859, il a son atelier et vit avec sa mère Anna Matilda McNeill Whistler (1804-1881), dans le quartier de Chelsea. Il y fait le portrait de sa mère conservé au Musée d'Orsay. C'est après avoir vu ce portrait dans son atelier que le grand critique social et victorien Thomas Carlyle a demandé à Whistler de peindre son portrait[30]. Son frère William vit lui aussi à Londres. Après avoir servi comme médecin militaire pour l'armée confédérée, le Dr William McNeill Whistler s'est installé dans la ville après la guerre civile et était un médecin respecté[31]. Whistler a pour compagne Maud Franklin qui est probablement le modèle d'Harmony in grey and peach (Fogg Art Museum)[32].

Nocturne: Blue and Silver - Chelsea, 1871
Londres, Tate

Whistler explore également le thème de la vie moderne adopté par nombre des impressionnistes français dans les Cremorne Gardens à proximité[33].

C'est dans cette période qu'il commence les "Nocturnes" avec Nocturne: Blue and Silver - Chelsea (Tate Gallery). Initialement appelé « clairs de lune », sur une suggestion de son mécène Frederick Leyland, Whistler les renomme « nocturnes », une expression communément associée à la musique de Frédéric Chopin[34]. Ces peintures sont destinées à transmettre une idée de la beauté et de la tranquillité de la Tamise le soir ou la nuit et l'influence des gravures sur bois japonaises y est évidente dans la gamme relativement restreinte de couleurs[35]. Embarquant sur un bateau au crépuscule, il reste parfois sur le fleuve toute la nuit, dessinant et mémorisant la scène[36].

Cette rupture avec les peintures narratives très détaillées et soigneusement construites de ses contemporains a suscité la colère des critiques de l’époque. En 1877, l’écrivain et critique britannique John Ruskin a fustigé Whistler pour Nocturne in Blue and Silver (Fogg Art Museum), l’accusant d’avoir « jeté un pot de peinture au visage du public ». En réponse, Whistler a poursuivi Ruskin pour diffamation. Après un procès très médiatisé, il a gagné le procès, mais n'a reçu qu'un sou de dommages-intérêts[37]. Ses Nocturnes furent d’importants précurseurs de la peinture symboliste. Il a exprimé ses théories dans des publications telles que The Red Rag et sa célèbre conférence « Ten O'Clock », prononcée pour la première fois à Londres en 1885[38].

Harmony in Flesh Colour and Black: Mrs Louise Jopling, 1877
Glasgow, Hunterian Art Gallery

Il réalise également des portraits et dans le journal de l'architecte Edward W Godwin (1833-1886) celui-ci mentionne que Whistler a peint Harmonie en couleur chair et noir : Portrait de Mme Louise Jopling en seulement une heure et demie : « Une exposition presque horrible de puissance nerveuse et de concentration ». La « puissance nerveuse » de Whistler est extrêmement présente dans la rapidité et la franchise de la manipulation de la peinture. Louise Jopling-Rowe (1843-1933) est une poétesse et peintre qui créa plus tard sa propre école d'art pour étudiantes. Son deuxième mari, Joseph Middlemore Jopling, fut témoin lors du mariage de Whistler en 1888 avec Beatrix Godwin[39].

Après son procès avec John Ruskin, Whistler est en faillite. L'année suivante, en 1878, il reçoit une commande de la Fine Art Society de Londres pour produire une série de gravures de Venise. Il y passe une quinzaine de mois, vivant dans des conditions réduites et empruntant nombre de ses fournitures à la communauté admirative de jeunes peintres américains avec lesquels il se lie d'amitié. Alors qu'il réalise plus de cinquante gravures vénitiennes et quatre-vingt-dix pastels, il ne produit que trois peintures à l'huile, dont Nocturne en bleu et argent : La lagune, Venise[40].

Entre 1877 et 1879, il fait construire sa propre maison et son atelier La Maison Blanche par Edward W Godwin, toujours à Chelsea, dans la rue Tite[41]. Il est très vite, obligé de la revendre en raison de ses difficultés financières du au procès[42].

Les Années 1880, gravures et aquarelles[modifier | modifier le code]

En Bretagne en 1880 il rencontre Mortimer Menpes qui devient son élève et partage un appartement avec lui à Cheyne Walk, sur le quai de Chelsea. Il lui enseigne la gravure[16].

L'année suivante il accueille Walter Sickert (1860-1942) comme élève et assistant pour l'eau-forte. Celui-ci trouvait l'enseignement de la Slade School médiocre[43].

A Grey Note: Village Street, 1884
Glasgow, Hunterian Art Gallery

Il a séjourné trois mois en Cornouailles en 1884, avec Mortimer Menpes et Walter Sickert. Il y a peint une vue de l'atelier du Dr Slack dans Fore Street à St Ive dans « Une note grise : Village Street ». Il serait passé devant ce bâtiment chaque jour en allant de son logement à Barnoon au port. On pense que la façade de cette maison a été modifiée ultérieurement[44].

En 1885, alors qu'il loue un studio sur Fulham Road, près de la limite ouest de Chelsea, et une maison à The Vale, plus à l’est, il rencontre Théodore Roussel[45]. Il l'incite à graver sur métal et à partir de 1888, Roussel développe son propre style. De cette époque, date une des huiles les plus connues de Roussel, marquée par le japonisme, Jeune fille lisant (The Reading Girl, 1886-87), conservée à la Tate Modern à Londres[46]. Whistler, juge ce tableau magnifique, en donne à la même époque, une version lithographiée.

Les années 1880 après les Nocturnes produits en studio de la décennie précédente, sont celles d'un retour à la peinture en plein air. C'est le cas de Scène côtière, Baigneurs (Art Institut of Chicago)[47]. En 1885, c'est à Dieppe, qu'il réalise l'aquarelle Variations in Violet and Grey - Market Place. Elle est exposée à Londres en 1886, à Paris en 1887 où elle est acclamée par Camille Pissarro, et à New York en 1889[48].

Le modèle d'« Harmonie en rouge : lampe » (1884 - 1886) est Beatrix Godwin, artiste talentueuse et dont un certain nombre de peintures, gravures et dessins sont conservés dans la collection Hunterian à Glasgow. On pense que cette œuvre a été peinte dans l'atelier de Whistler, au 454, Fulham Road, à Londres[49].

En 1886, il retrouve George A. Lucas (1824-1909) qu'il avait rencontré à l'Académie militaire de West Point. Il réalise son portrait dans la maison de campagne de celui-ci à Boissise-la-Bertrand, près de Paris. Ce collectionneur d'art et agent basé à Paris joue un rôle important dans l'élaboration de la collection de William T. et Henry Walters[50].

En 1888, Whistler épouse Beatrix, la veuve d'E. W. Godwin. Pendant leur lune de miel à l'automne ils passent deux semaines en Bretagne et Whistler réalise de nombreuses peintures sur panneaux telles que « Le bord de mer, Dieppe » (Hunterian Gallery). Ils se rendent ensuite dans le sud de la vallée de la Loire[51].

Les huit ans de leur mariage sont très heureux. Ils séjournent deux mois à Amsterdam en septembre 1889 où il réalise plus d'une douzaine de gravures, plusieurs croquis à l'aquarelle et au moins deux petits panneaux à l'huile[52]. Il fait à cette époque plusieurs portraits en pied de son épouse et de sa sœur Ethel Birnie Philip (1861-1920) qu'il appelle affectueusement Bunnie[53].

Les années 1890, le symbolisme[modifier | modifier le code]

En 1891 il termine dans son atelier londonien, le portrait de Robert de Montesquiou dont l'extrême simplicité et la palette sombre du tableau rappellent les portraits en pied de Velázquez. De nombreux contemporains l'ont décrit comme étant comme une apparition et le relie aux courants symbolistes des années 1890. Le désir de Whistler de capturer l'âme de Montesquiou est suggéré par ses derniers mots au modèle épuisé : « Regardez-moi encore un instant, et vous regarderez pour toujours ! »[54]

110, rue du Bac, Paris.
Plaque au n° 110 rue du Bac (7e arrondissement de Paris), où le peintre vit de 1892 à 1901.

En 1892, il revient avec elle à Paris et s'installe dans l'atelier d'Antonio de La Gandara au 110, rue du Bac pour terminer son portrait en cours du comte Robert de Montesquiou. Pour le remercier, Whistler lui offre un meuble palette identique au sien[55].

L'été 1893, à la fin d'un séjour prolongé en Bretagne, Whistler et sa femme passent du temps à Bréhat, une petite île de pêche au large de la côte accidentée la plus septentrionale. Il y réalise des toiles telles que The Deep Sea et Violet et Bleu parmi les rouleaux, depuis un bateau « en pleine mer »[56]. Il a gardé contact avec son ancien élève Sickert qui séjourne souvent à Dieppe et fait le portrait de son épouse Ellen Cobden, dans Vert et Violet[57].

Dans les années 1890, inspiré par la sculpture grecque et les estampes japonaises, il est fasciné par la représentation de la forme féminine vêtue de draperies diaphanes. Il développe ce thème dans toutes les techniques, notamment la lithographie par transfert, l'huile, le pastel et l'aquarelle. Il fournit généralement des vêtements à ses modèles, souvent des robes arachnéennes classiques avec des tailles hautes et des corsages croisés associés à des foulards aux couleurs vives. Ses modèles avaient besoin d'un certain degré de force et d'agilité, car il leur demandait parfois de danser dans son atelier jusqu'à ce qu'il trouve une pose appropriée[58].

Il expose à l'exposition universelle de 1893 à Chicago où il est remarqué par Arthur Jerome Eddy un avocat collectionneur et défenseur de l'art moderne. Eddy s'est rendu ensuite expressément à l'atelier de l'artiste à Paris pour lui demander un portrait. Les deux hommes devinrent des amis durables et Eddy publia un livre sur Whistler après la mort de l'artiste en 1903[59].

En 1895, dans la station balnéaire de Lyme Regis en 1895, il fait le portrait de Rosie Randall, huit ans, fille du maire de la ville. Il fait partie d'un petit groupe d'études qu'il entreprend en hommage aux enfants qu'il appelait « les petites filles de Lyme Regis »[60]

Alors qu'il est au sommet de sa carrière, on découvre que sa femme a un cancer. En février 1896, le couple retourne à Londres, logeant à l'hôtel Savoy. Whistler dessine la Tamise depuis la fenêtre ou depuis le balcon de leur appartement. Trixie décède quelques mois plus tard.

Whistler meurt le et est enterré à l'église St Nicholas dans le quartier de Chiswick, à Londres.

Distinctions[modifier | modifier le code]

Personnalité[modifier | modifier le code]

Symphonie en blanc n°1 : la jeune fille en blanc, 1862, National Gallery of Art, Washington.

Whistler était réputé pour son esprit acéré, particulièrement dans des échanges avec son ami Oscar Wilde. Tous les deux étaient des figures de la société parisienne en cette fin du XIXe siècle.

On raconte que le jeune Oscar Wilde, alors invité à un des dîners de Whistler, son hôte lui fit une remarque brillante, et Wilde aurait répliqué : « Je regrette de ne pas l'avoir dit plus tôt. » Ce à quoi Whistler riposta : « Vous le ferez, Oscar, vous le ferez ! »

Quand Oscar Wilde sera publiquement reconnu homosexuel en 1895, Whistler le raillera ouvertement.

En 1878, Whistler poursuit en justice pour diffamation le critique John Ruskin après que celui-ci a condamné sa peinture Nocturne en noir et or : la fusée qui retombe (1874). Au procès, l'avocat de Ruskin croise Whistler et lui dit : « Combien de temps vous a-t-il fallu pour peindre Nocturne in Black and Gold ?, « Une demi-journée », répond Whistler, « Ainsi », continue l'avocat, « vous facturez deux cents guinées le travail d'une demi-journée ? », « Non, mais pour l'expérience d'une vie ! », répondit Whistler[Passage problématique][61].

Whistler eut une indemnisation symbolique, mais le procès lui avait coûté mille livres, plus les dépenses.

Cette somme, et les dettes énormes contractées pour construire sa résidence, « la Maison Blanche »[41], dans la rue Tite à Chelsea, l'acculent à la faillite. Alors qu'un journal néerlandais annonce sa mort après une crise cardiaque, il écrit au journal, disant que la lecture de sa propre nécrologie l'a incité à « un rougeoiement tendre de santé ».

Notoriété[modifier | modifier le code]

Whistler a été mondialement reconnu de son vivant[62]. En 1884, il est élu membre d'honneur de l'Académie royale des beaux-arts de Munich. En 1892, il est fait officier de la Légion d'honneur en France et il est devenu membre fondateur et premier président de la Société internationale des sculpteurs, peintres et graveurs en 1898[63] (qui en réalité est une association très british et, centrée sur Londres, n'avait d'internationale que le nom).

Il est souvent admis qu'il a été l'un des modèles d'un personnage important d'À la recherche du temps perdu de Marcel Proust : le peintre Elstir[64].

Influence[modifier | modifier le code]

Gris et Argent - La Plage de Battersea, 1863, Art Institute of Chicago (Chicago).

Après le procès de Ruskin, tout ce que Whistler mentionne ou écrit sur son travail, et tout particulièrement ce qu'il dit, est fait dans le but avoué de se dissocier de l'école anglaise de peinture, de rompre les relations qu'il a parmi les Académiciens Royaux et les artistes qu'il a connus pendant les années 1860. Malgré ses tentatives pour prouver qu'il n'appartenait à aucune école, il est sans aucun doute l'un des peintres victoriens qui a le plus revitalisé la peinture britannique.

L'influence laissée par Whistler est très significative et est sujet d'expositions de musées et de publications. Un voyage à Venise en 1880 pour réaliser une série de gravures a non seulement renfloué ses finances, mais a aussi stimulé de nouveau le regard que les artistes et les photographes ont porté sur la ville.

Whistler était persuadé que l'art devrait se concentrer sur l'harmonie des couleurs, ce qui lui valut beaucoup de critiques. Il est vu alors comme un précurseur de l'art abstrait. Il aime l'harmonie des formes et des couleurs et souhaite créer un art basé sur des lois précises de composition où le dessin est maîtrisé. Il disait :

« L'Art est la science du Beau. »

Considéré comme le précurseur de l'impressionnisme anglais, il conçoit la peinture comme une pure expérience esthétique au-delà des valeurs de la représentation et se rapprochera de la culture symboliste des années 1880-1890. Ses contemporains comparent ses nocturnes et ses symphonies picturales aux variations subtiles de la musique de Richard Wagner.

La maison dans laquelle il est né est devenue le musée Whistler (en).

Œuvre[modifier | modifier le code]

  • Arrangement en gris et noir no 1[3] (1871) est le portrait que Whistler fit de sa mère. D'une composition dépouillée, cette peinture, courammnent intitulée la Mère de Whistler, est achetée par le gouvernement français en 1891[3] et est maintenant exposée au Musée d'Orsay à Paris.
  • La Fille en blanc (1862) soulève une controverse pendant son exposition à Londres et, plus tard, au Salon des Refusés à Paris. Certains voulaient voir Whistler médium ou spirite, d'autres coopté par la Confrérie préraphaélite de Dante Gabriel Rossetti avec lequel il avait des relations d'amitié, alors que pour le peintre ce tableau incarne sa théorie selon laquelle l'art devrait essentiellement être concerné par l'harmonie des couleurs, non par la représentation réelle du monde. Whistler adopte finalement le titre Symphonie en blanc, plus proche de sa démarche. Le modèle qui a posé pour La Fille en blanc, Joanna Hiffernan, a également posé pour Gustave Courbet qui peint la série de portrait Jo, la belle irlandaise durant l'hiver de 1865-1866, peut-être dans son atelier du 18 boulevard Pigalle à Paris. Fin 1866, Whistler quitta sans explication l'Europe pour Valparaiso.
  • Variations en violet et vert, 1871, musée d'Orsay, Paris : Whistler transpose la technique de l'estampe japonaise pour représenter la Tamise et préfigure l'impressionnisme.
Vue d'une terrasse du Luxembourg, vers 1893, lithographie, 32.1 × 19.5 cm, Brooklyn Museum, Brooklyn.
  • Estampes : graveur très doué, Whistler a produit nombre de lithographies et des pointes sèches. Ses lithographies, certaines dessinées sur le papier puis lithographiées, d'autres dessinées directement sur la pierre, sont presque aussi nombreuses que ses gravures.
Certaines des lithographies sont des portraits, deux ou trois ont pour sujet la Tamise, tandis que d'autres représentent le Faubourg Saint-Germain à Paris et des églises géorgiennes de Soho et de Bloomsbury à Londres. Les gravures sont des portraits de famille ou de ses maîtresses et des scènes de rue à Londres et à Venise.

Son œuvre est exposée dans de nombreux musées publics en Europe comme aux États-Unis. Rosalind Birnie Philip, une jeune sœur de sa dernière épouse, a donné et légué à la Hunterian Art Gallery de Glasgow un fonds très important de peintures, dessins et documents[65]. La collection Freer, qui a intégré le National Museum of Asian Art de la Smithsonian Institution de Washington[66], est également riche de ses œuvres.

Collections publiques[modifier | modifier le code]

Liste non exhaustive. Les sources indiquées donnent accès à la visualisation des œuvres. Les lieux sont classés en ordre alphabétique (pays puis villes et noms)

États-Unis[modifier | modifier le code]

  • Amherst, Mead Art Museum, Amherst
    • The Giudecca; note in Flesh Colour (1879-1880) pastel (15.9 x 25.4 cm)[67]
  • Andover, Phillips Academy, Addison Gallery of Acedamic Art
    • Brown and Silver: Old Battersea Bridge (Brun et argent : le vieux pont de Battersea) (1859-1863) huile sur toile marouflée sur panneau (63.8 cm x 76 cm)[68]
  • Ann Arbor, University of Michigan Museum of Art
    • Sea and Rain (1865) huile sur toile (53 x 73.3 cm)[69]
  • Baltimore, The Walters Art Museum
    • Portrait of George A. Lucas (1886) huile sur panneau (21.7 x 12.5 cm)[70]
  • Boston, Isabella Stewart Gardner Museum
    • Harmony in Blue and Silver: Trouville (1865) huile sur toile (49.5 x 75.5 cm)[71]
    • Three girls (1870-1875) aquarelle (8.7 x 13.3 cm)[72]
    • Nocturne, Blue and Silver: Battersea Reach (vers 1872-1876) huile sur toile (39.4 x 62.9 cm)[73]
  • Boston, Museum of Fine Arts
    • The Last of Old Westminster (1862) huile sur toile (61 x 78.1 cm)[74]
    • Harmony in Flesh Colour and Red (vers 1869) huile et crayon de cire sur toile (39.7 x 35.6 cm)[75]
    • Nocturne in Blue and Silver: The Lagoon, Venice (1879-1880) huile sur toile (50.2 x 65.4 cm)[76]
    • Street in Old Chelsea (1880-1885) huile sur panneau (13.3 x 22.9 cm)[77]
    • Little Rose of Lyme Regis (1895) huile sur toile (51.4 x 31.1 cm)[78]
    • The Master Smith of Lyme Regis (1895) huile sur toile (51.4 x 31.1 cm)[79]
  • Cambridge (Massachusetts), Harvard Art Museums, Fogg Art Museum
    • Nocturne in Blue and Silver (vers 1871-1872) huile sur panneau de bois (44.5 x 61 cm)[80]
    • Miss Maud Franklin (vers 1872-1873) huile sur toile (62.7 x 41 cm)[81]
    • Harmony in Grey and Peach Colour (1872-1874) huile sur toile (193 x 101 cm)[82]
    • Nocturne in Grey and Gold: Chelsea Snow (1876) huile sur toile (47 x 62.2 cm)[83]
    • The Storm-- Sunset (1880) pastel sur papier vélin marron (18.6 x 29 cm)[84]
    • Sunset; Red and Gold--The Gondolier (1880) pastel sur papier vélin marron (19.2 x 28.5 cm)[85]
    • Green and Violet: Mrs. Walter Sickert (1893-1894) huile sur toile (86.4 x 62.2 cm)[86]
    • Violet and Blue: The Red Feather (1896-1900) huile sur toile (50.8 x 31 cm)[87]
    • Harmony in Blue and Silver: Beaching the Boat, Étretat (vers 1897) huile sur panneau de bois (13.6 x 23.5 cm)[88]
  • Art Institute of Chicago
    • Grey and Silver: Old Battersea Reach (1863) huile sur toile (50.8 × 68.6 cm)[89]
    • Trouville (Grey and Green, the Silver Sea) (1865) huile sur toile (51.5 × 77.2 cm)[90]
    • The Artist in His Studio (vers 1865-1866) huile sur planche montée sur panneau de bois (62 × 46.5 cm)[91]
    • Portrait of Dr. William McNeill Whistler (vers 1871-1873) huile sur toile (43.7 × 34.8 cm)[92]
    • Nocturne: Blue and Gold-Southampton Water (1872) huile sur toile (51 × 76.7 cm)[93]
    • Study for “Arrangement in Grey and Black, No. 2: Portrait of Thomas Carlyle” (1872-1873) huile sur toile (28.6 × 21 cm)[94]
    • Corte del Paradiso (1880) pastel et craie noire sur papier vélin marron avec inclusions de fibres (30.1× 14.9 cm)[95]
    • Coast Scene, Bathers (vers 1884-1885) huile sur toile (13.3 × 21.9 cm)[96]
    • Violet and Silver - The Deep Sea (1893) huile sur toile (50.2 × 73.3 cm)[97]
    • Green and Blue: The Dancer (vers 1893) aquarelle et aquarelle opaque avec traces de craie noire sur papier vélin marron couché sur papier cartonné (27.5 × 18.3 cm)[98]
    • Arrangement in Flesh Color and Brown: Portrait of Arthur Jerome Eddy (1894) huile sur toile (210.7 × 93.3 cm)[99]
    • Study of a Girl’s Head and Shoulders (1896-1897) huile sur toile (15.5 × 9.5 cm)[100]
  • Cincinnati Art Museum
    • Fishing Boats (1879-1880) pastel (29.5 x 20 cm)[101]
  • Cincinnati, Taft Museum of Art
    • At the Piano (1858-1859) huile sur toile[102]
  • Cleveland Museum of Art
    • Japanese Woman Painting a Fan (recto); Standing Woman Holding Up Her Dress (verso) (vers 1872) craie noire et pastel (27.9 x 17.6 cm)[103]
    • The Violin Player (vers 1894) huile sur toile (79 x 53.3 cm)[104]
  • Denver Art Museum
    • The Pink Cap (non daté) aquarelle sur papier (50.8 x 41.9 cm)[105]
  • Detroit Institute of Arts
    • Arrangement in Gray: Portrait of the Painter (vers 1872) huile sur toile (74.9 × 53.3 cm)[106]
    • Nocturne en noir et or : la fusée qui retombe (1875) huile sur toile (60.3 × 46.7 cm)[107]
    • Violet and Blue: Among the Rollers (vers 1893) huile sur panneau (17.8 × 25.4 cm)[108]
    • Robert Barr (1894-1895) huile sur toile (39.4 × 32.4 cm)[109]
  • Greenburg, Westmoreland Museum of American Art
    • Canal, San Canciano, Venice (vers 1880) pastel (28.6 x 16.5 cm)[110]
  • Hartford, Wadsworth Atheneum Museum of Art
    • The Coast of Brittany (Alone with the tide) (1861) huile sur toile (87.3 x 115.8 cm)[111]
  • Musée d'Art d'Indianapolis
    • Thames Nocturne (vers 1872) huile sur toile (46.4 × 76.8 cm)[112]
  • New Haven, Yale Center for British Art
    • Nocturne in Blue and Silver (1872-1878) huile sur toile (44.5 ×61 cm)[113]
  • New York, The Frick Collection
    • Symphony in Grey and Green: The Ocean (1866) huile sur toile (80.6 × 101.9 cm)[114]
    • Arrangement in Brown and Black: Portrait of Miss Rosa Corder (1876-1878) huile sur toile (192.4 × 92.4 cm)[115]
    • Symphony in Flesh Color and Pink: Portrait of Mrs. Frances Leyland (1871-1874) huile sur toile (195.9 × 102.2 cm)[116]
    • The Cemetery: Venice (1879) pastel sur traces de marquage au graphite sur papier vélin brun foncé (20.3 x 30.1 cm)[117]
    • Nocturne: Venice (1880) pastel sur papier vélin brun foncé (20.3 x 30.2 cm)[118]
    • Venetian Canal (1880) craie noire et pastel sur papier vélin brun foncé (30.1 x 20.5 cm)[119]
    • Harmony in Pink and Gray: Portrait of Lady Meux (1881-1882) huile sur toile (193.7 × 93 cm)[120]
    • Arrangement in Black and Gold: Comte Robert de Montesquiou-Fezensac (1891-1892) huile sur toile (208.6 × 91.8 cm)[13]
  • New York, Metropolitan Museum of Art
    • Cremorne Gardens, No. 2 (années 1870) huile sur toile (68.6 x 134.9 cm)[121]
    • Arrangement in Black, No. 3: Sir Henry Irving as Philip II of Spain (1876, retravaillé en 1885) huile sur toile (215.3 x 108.6 cm)[122]
    • Harmony in Yellow and Gold: The Gold Girl—Connie Gilchrist (vers 1876-1877) huile sur toile (217.8 x 109.5)[123]
    • Nocturne in Green and Gold (1877 peut-être) huile sur toile (63.8 x 77.2 cm)[124]
    • Note in Pink and Brown (vers 1880) fusain et pastel sur papier vélin marron foncé (29.8 x 18.4 cm)[125]
    • Arrangement in Black: Girl Reading (années 1880) huile sur bois (22.9 x 30.5 cm)[126]
    • Arrangement in Flesh Colour and Black: Portrait of Theodore Duret (1883) huile sur toile (193.4 x 90.8 cm)[127]
    • Lady in Gray (vers 1883) aquarelle et gouache sur papier vélin marron foncé (28.6 x 12.7 cm)[128]
    • Gold and Brown: Dordrecht (vers 1884) aquarelle sur papier vélin blanc cassé, plaqué sur carton (12.5 x 21.4 cm)[129]
    • Variations in Violet and Grey - Market Place, Dieppe (1885) gouache et aquarelle sur papier vélin blanc cassé, monté sur carton (20.2 x 12.7 cm)[130]
    • Edward Guthrie Kennedy (1893-1895) huile sur toile (29.4 x 17.8 cm)[131]
  • Philadelphia Museum of Art
    • Purple and Rose: The Lange Leizen of the Six Marks (1864) huile sur toile (93.3 × 61.3 cm)[132]
    • Nocturne (1875-1880) huile sur toile (31.1 x 51.8 cm)[133]
    • Arrangement in Black (The Lady in the Yellow Buskin) (vers 1883) huile sur toile (218.4 × 110.5 cm)[134]
    • Grand Canal, Venice (Moonlight) (après 1890) huile sur toile (84.1 x 54.3 cm)[135]
  • Carnegie Museum of Art, Pittsburgh
    • Arrangement in Black (Portrait of Señor Pablo de Sarasate) (1884) huile sur toile (228.6 x 121.9 cm)[136]
  • Rhode Island School of Design Museum, Providence
    • Harmony in Blue: The Duet (vers 1874) huile sur toile (27.3 x 47 cm)[137]
    • The General Dealer (vers 1886-1887) huile sur toile (13 x 22.5 cm)[138]
  • Musée d'Art de Toledo
    • Crepuscule in Opal: Trouville (1865) huile sur toile (35 x 46 cm)[139]
  • Washington, Corcoran Gallery of Art
    • Battersea Reach (vers 1863) huile sur toile (50.8 x 76.3 cm)[140]
  • Freer Gallery of Art, Washington
    • Sam Weller's Landlord in the Fleet (1853-1855) aquarelle et graphite sur papier (10.4 x 14.9 cm)[141]
    • Self portrait with a hat (1857-1859) huile sur toile (46.3 x 38.1 cm)[142]
    • Portrait of Major Whistler (1857-1859) huile sur panneau de bois (31.3 x 25.1 cm)[143]
    • The Thames in Ice (1860) huile sur toile (74.6 x 55.3 cm)[144]
    • La Princesse du pays de la porcelaine (1863-1864) huile sur toile (201.5 x 116.1 cm)[145]
    • Variations in Flesh Colour and Green - The Balcony (1864-1870, ajouts 1870-1879) huile sur panneau de bois (61.4 × 48.5 cm)[146]
    • Blue and Silver: Trouville (vers 1865) huile sur toile (59.3 x 72.8 cm)[147]
    • Symphony in Green and Violet (vers 1868) huile sur carton monté sur panneau de bois (61.9 x 45.8 cm)[148]
    • Symphony in Blue and Pink (vers 1868) huile sur carton monté sur panneau de bois (46.7 x 61.8 cm)[149]
    • Symphony in White and Red (vers 1868) huile sur carton monté sur panneau de bois (46.8 x 61.8 cm)[150]
    • Variations in Blue and Green (vers 1868) huile sur carton monté sur panneau de bois (46.9 x 61.8 cm)[151]
    • The White Symphony: Three Girls (vers 1868) huile sur carton monté sur panneau de bois (46.4 x 61.6 cm)[152]
    • Arrangement in Black: Portrait of F. R. Leyland (1870-1873) huile sur toile (218.5 x 119.4 cm)[21]
    • Nocturne: Blue and Silver - Battersea Reach (1870-1875) huile sur toile (49.9 x 72.3 cm)[153]
    • Variations in Pink and Grey: Chelsea (1871-1872) huile sur toile (82 × 62.7 cm)[154]
    • Nocturne: Cremorne Gardens, No. 3 (vers 1872-1877) huile sur toile (44.9 x 63.1 cm)[155]
    • Nocturne in Black and Gold: Entrance to Southampton Water (vers 1875-1876) huile sur toile (47.6 x 62.3 cm)[156]
    • Harmony in Blue and Gold: The Peacock Room (1876-1877) huile et feuille d'or sur toile, cuir, carreaux de mosaïque (422 x 613 cm)[24]
    • Nocturne: Grey and Silver - Chelsea Embankment, Winter (vers 1879) huile sur toile (62.6 x 47.5 cm)[157]
    • Venus (vers 1868 retravaillé vers 1879-1903) huile sur carton monté sur panneau de bois (61.9 x 45.6 cm)[158]
    • Chelsea Shops (début années 1880) huile sur panneau (13.5 x 23.4 cm)[159]
    • London Bridge (1881) aquarelle et graphite sur papier (17.5 x 27.8 cm)[160]
    • The Angry Sea (1883-1884) huile sur panneau de bois (12.4 x 21.7 cm)[161]
    • Note in Blue and Opal - The Sun Cloud (1883-1884) huile sur panneau de bois (12.4 x 21.7 cm)[162]
    • Arrangement in Grey: Portrait of Master Stephen Manuel (1885) huile sur toile (50.8 x 38.1 cm)[163]
    • The Purple Cap (années 1890) dessin; craie et pastel sur papier gris (27.6 x 18.1 cm)[164]
    • Rose and Red: The Little Pink Cap (vers 1890) dessin; craie et pastel sur papier gris (27.9 x 18.4 cm)[165]
    • Blue and Gold - The Rose Azalea (vers 1893-1895) aquarelle avec pastel et fusain sur papier marron (27.8 × 18.1 cm)[166]
    • The Little Red Glove (1896-1902) huile sur toile (51.3 x 31.5 cm)[167]
    • Rose and Gold: The Little Lady Sophie of Soho (1898-1899) huile sur toile (64.5 x 53.5 cm)[168]
    • Blue and Silver - Boat Entering Pourville (1899) huile sur panneau de bois (14.1 x 23.4 cm)[169]
    • Portrait of Charles Lang Freer (1902-1903) huile sur panneau de bois (86 × 65.5 cm)[170]
  • Washington, Hirshhorn Museum and Sculpture Garden
    • Girl in Black (Pouting Tom) (1896-1901) huile sur toile (51.4 X 31.4 cm)[171]
  • Washington, National Gallery of Art
    • Wapping (1860-1864) huile sur toile (72 x 101.8 cm)[172]
    • Symphony in White, No. 1: The White Girl (1862) huile sur toile (213 x 107.9 cm)[173]
    • Battersea Reach (1863) huile sur toile (50.8 × 76.36 cm)[174]
    • Grey and Silver: Chelsea Wharf (1864-1868) huile sur toile (61 x 46 cm)[175]
    • Mother of Pearl and Silver: The Andalusian (vers 1888-1900) huile sur toile (191.5 x 89.8 cm)[176]
    • Alice Butt (vers 1895) huile sur toile (51.7 x 38.1 cm)[177]
    • Alexander Arnold Hannay (vers 1896) huile sur toile (22.3 x 13.3 cm)[178]
    • Gold and Brown: Self-Portrait (vers 1896-1898) huile sur toile (62.5 x 46.8 cm)[179]
    • George W. Vanderbilt (1897-1903) huile sur toile (208.6 x 91.1 cm)[180]
  • Washington, Smithsonian American Art Museum
    • Head of a Young Woman (vers 1890) huile sur toile montée sur panneau de bois (45.8 x 37.8 cm)[181]

France[modifier | modifier le code]

  • Paris, Musée d'Orsay
    • L'Homme à la pipe (vers 1859) huile sur toile (41 x 33 cm)[182]
    • Arrangement en gris et noir n°1- La mère de l'artiste (1871) huile sur toile (144.3 x 163 cm)[183]
    • Variations en violet et vert (1871) huile sur toile (61.5 x 36 cm)[184]
  • Vulaines-sur-Seine, Musée départemental Stéphane Mallarmé
    • Rose et gris. Portrait de Geneviève Mallarmé (20 octobre 1897), huile sur bois (20,6 x 12,2 cm)[réf. souhaitée]

Japon[modifier | modifier le code]

Pays-Bas[modifier | modifier le code]

Royaume-Uni[modifier | modifier le code]

  • Birmingham, The Barber Institute of Fine Arts
    • Symphony in White, No. III (1865-1867) huile sur toile (51.4 × 76.9 cm)[187]
  • Cambridge, The Fitzwilliam Museum
    • Portrait Study of a Man (années 1890) huile sur panneau (16.8 × 10.2 cm)[188]
  • Cardiff, National Museum Wales
    • Nocturne: blue and gold, St Mark's, Venice (1879-1880) huile sur toile (44.5 x 59.7 cm)[189]
  • Edimbourg, The Scottish National Gallery
    • An Arrangement in Grey and Green: John James Cowan (1846–1936) huile sur toile (95.5 × 51 cm)[190]
  • Glasgow, The Burrel collection
    • Nocturne: Grey and Gold, Westminster Bridge (vers 1871-1872) huile sur toile (71 × 86.4 cm)[191]
  • Glasgow, Hunterian Art Gallery
    • The Artist's Niece (1849) huile sur papier (8 × 7.5 cm)[192]
    • Head of a Peasant Woman (1855-1858) huile sur panneau (25.9 × 18 cm)[193]
    • Battersea Reach from Lindsey Houses (vers 1864-1871) huile sur toile (51.3 × 76.5 cm)[194]
    • The Morning after the Revolution: Valparaiso (1866) huile sur toile (76.5 × 63.9 cm)[195]
    • Harmony in Flesh Colour and Black: Mrs Louise Jopling (1877) huile sur toile (192.5 × 90 cm)[196]
    • A Grey Note: Village Street (1884) huile sur panneau (12.5 × 21.5 cm)[197]
    • Harmony in Red: Lamplight (1884-1886) huile sur toile (190.5 × 89.5 cm)[198]
    • A Shop (vers 1884-1890) huile sur panneau (13.9 × 23.3 cm)[199]
    • The Sea Shore, Dieppe (1885-1888) huile sur panneau (8.9 × 14 cm)[200]
    • Harmony in Blue and Violet: Miss Finch (vers 1885) huile sur toile (191.1 × 88.9 cm)[201]
    • The Sea, Brittany (1888) huile sur panneau (8.2 × 14 cm)[202]
    • The Canal, Amsterdam (1889) huile sur panneau (13.8 × 23.2 cm)[203]
    • Rose et argent: La jolie mutine (vers 1890) huile sur toile (190.5 × 89.5 cm)[204]
    • Harmony in Brown: The Felt Hat (vers 1890-1892) huile sur toile (191.3 × 89.9 cm)[205]
    • Red and Black: The Fan (vers 1891-1894) huile sur toile (187.4 × 89.8 cm)[206]
    • The Bathing Posts, Brittany (1893) huile sur panneau (16.6 × 24.3 cm)[207]
    • Rose et or: La tulipe (1894) huile sur toile (190.5 × 89 cm)[208]
    • Harmony in Black: Miss Ethel Philip (vers 1894-1896) huile sur toile (187.2 × 89.7 cm)[209]
    • The Little Forge, Lyme Regis (1895) huile sur panneau (13.6 × 23.4 cm)[210]
    • Brown and Gold (vers 1895-1900) huile sur toile (95.8 × 51.5 cm)[211]
    • La Toison rouge (vers 1896-1902) huile sur toile (51.5 × 31 cm)[212]
    • Lillie: An Oval (1896) huile sur toile (60.5 × 48.8 cm)[213]
    • The Jade Necklace (1896-1900) huile sur toile (51 × 31.7 cm)[214]
    • Grey and Silver: The Thames (vers 1896) huile sur toile (61.3 × 46.1 cm)[215]
    • Miss Rosalind Birnie Philip Standing (vers 1897) huile sur panneau (23.4 × 13.7 cm)[216]
    • Violet and Rose: Carmen qui rit (vers 1898) huile sur toile (56.4 × 43.3 cm)[217]
    • Harmony in Rose and Green: Carmen (vers 1898) huile sur toile (57.8 × 44.5 cm)[218]
    • Green and Silver: The Great Sea (1899) huile sur panneau (17.1 × 24.8 cm)[219]
    • A Shop with a Balcony (vers 1899) huile sur panneau (22.3 × 13.7 cm)[220]
    • Grenat et or: Le petit cardinal (vers 1900-1901) huile sur toile (51.5 × 31.7 cm)[221]
    • A Distant Dome (vers1901) huile sur panneau (12.7 × 21.7 cm)[222]
    • Dorothy Seton (A Daughter of Eve) (1903) huile sur toile (51.7× 31.8 cm)[223]
  • Glasgow, Kelvingrove Museum
    • Arrangement in Grey and Black, No. 2: Portrait of Thomas Carlyle (1872-1873) huile sur toile (171.1 × 143.6 cm)[224]
  • Leeds Art Gallery
    • Harmony in White and Blue (années 1860) huile sur toile (209.5 × 87.5 cm)[225]
  • Londres, Tate
    • Symphony in White, No. 2: The Little White Girl (1864) huile sur toile (76,5 × 51,1 cm)[226]
    • Crepuscule in Flesh Colour and Green: Valparaiso (1866) huile sur toile (58.6 × 75.9 cm)[227]
    • Three Figures: Pink and Grey (1868-1878) huile sur toile (139.1 × 185.4 cm)[228]
    • Nocturne: Blue and Silver - Chelsea (1871) huile sur bois (50,2 × 60,8 cm)[229]
    • Nocturne: Blue and Silver - Cremorne Lights (1872) huile sur toile (50.2 × 74.3 cm)[230]
    • Harmony in Grey and Green: Miss Cicely Alexander (1872-1874) huile sur toile (190.2 × 97.8 cm)[231]
    • Nocturne: Blue and Gold - Old Battersea Bridge (vers 1872-1875) huile sur toile (68,3 × 51,2 cm)[232]
    • Miss Agnes Mary Alexander (vers 1873) huile sur toile (192.4 × 101.6 cm)[233]
    • Nocturne: Black and Gold - The Fire Wheel (1875) huile sur toile (54,3 × 76,2 cm)[234]
  • Oxford, The Ashmolean Museum of Art and Archaeology
    • The Shore, Pourville (1899) huile sur panneau (13.7 × 23.3 cm)[235]

Russie[modifier | modifier le code]

  • Moscou, musée des Beaux-Arts Pouchkine
    • Marine, arrangement en bleu et noir (date non mentionnée) huile sur bois (13,6 x 22,7 cm)[236]
  • Saint-Pétersbourg, musée de l'Ermitage
    • Marine, arrangement en gris et noir (date non mentionnée) huile sur bois (13,6 x 23,6 cm)[237]
    • La Marchande d’oranges (1890) huile sur bois (13,8 x 23,2 cm)[238]


Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « https://www.gla.ac.uk/whistler/ »
  2. Prononciation en anglais américain retranscrite phonémiquement selon la norme API.
  3. a b c et d « James Abbott McNeill Whistler, Arrangement en gris et noir no 1 », Musée d'Orsay (consulté le ).
  4. La Nièce, Glasgow University
  5. (en) Fales Library, Reading Wilde : Querying Spaces, NYU Press, 1995, 92 p. (ISBN 978-0-81472-601-3), p. 46.
  6. Mère de l'artiste, Musée d'Orsay<
  7. Paysanne, Université de Glasgow
  8. La Côte, Wadsworth Atheneum
  9. Rain and sea, Université du Michigan
  10. Silver sea, Art Institute of Chicago
  11. Symphonie in white, Tate gallery
  12. White girl, National Gallery of Art
  13. a et b (en) « Arrangement in Black and Gold: Comte Robert de Montesquiou-Fezensac », sur collections.frick.org (consulté le ).
  14. Purple and Rose, Philadephia Museum
  15. L'Artiste dans son Atelier, Chicago
  16. a et b (en) Meg Hausberg [1991], « James McNeill Whistler and Theodore Roussel: Linked Visions », The Art Institute of Chicago.
  17. Crépuscule, Université de Glasgow
  18. The Ocean, Frick Collection
  19. (fr) « WHISTLER JAMES ABBOTT (1834-1903) », Encyclopaedia universalis (consulté le ).
  20. Crépuscule, Valparaiso, Tate Gallery
  21. a et b (en) The Smithsonian Institution, « Arrangement in Black: Portrait of F. R. Leyland » (consulté le ).
  22. Flesh Colour, Frick Collection
  23. a b et c Catlin, « Whistler's 'Peacock Room' Open After Weeks of Restoration », Smithsonian Magazine, Smithsonian Institution, (consulté le )
  24. a et b (en) The Smithsonian Institution, « Harmony in Blue and Gold: The Peacock Room » (consulté le ).
  25. Lisa N Peters, James McNeill Whistler, New York City, Smithmark, (ISBN 9781880908709, OCLC 40598527, lire en ligne Inscription nécessaire), 37
  26. The Creditor, san Francisco
  27. Hogarty, « FRAME WORK: The Gold Scab: Eruption in Frilthy Lucre (The Creditor) by James McNeill Whistler », De Young, (consulté le )
  28. Linda Merrill, The Peacock Room: A Cultural Biography,
  29. Susan Hobbs, The Whistler Peacock Room, Washington, D.C., 4th, (ISBN 9780934686341, OCLC 6626888, LCCN 80020516, lire en ligne), [1]
  30. Arrangemement in Grey and black, Art UK
  31. William Whistler, Art Institute of Chicago
  32. Harmony in grey and peach, Fogg art Museum
  33. Cremorne gardens, Metropolitan Museum
  34. Nocturne in blue and silver, Yale Center
  35. Nocturne Blue and Silver, Tate Gallery
  36. Blue and Glod, Tate Gallery
  37. Nocture Blue and Silver, Fogg Art Museum
  38. James A. Whistler, National Gallery of Scotland
  39. Louise Jopling, Université de Glasgow
  40. Nocture en bleu et argent, Musée des Beaux-Arts de Boston
  41. a et b (en)« White House, Tite Street, Chelsea » , Bibliothèque du Congrès.
  42. Richard Tames, Voyages dans l’Histoire : Londres, National Geographic, 2011 (ISBN 978-2-84582-342-6).
  43. (en) Wendy Baron et al., Sickert Paintings, Yale University Press, New Haven et Londres, (ISBN 0-300-05373-8), p. 34
  44. Note grise, Whistler, Université de Glasgow
  45. Art Institute of Chicago (en) L'Oublié, estampe en couleur par stencils, notice œuvre, catalogue numérisé du AIC.
  46. Notice de l'œuvre sur le site de la Tate Modern
  47. Scène côtière, Art Institute of Chicago
  48. Violet and grey, Metropolitan Museum
  49. Harmonie en rouge, Université de Glasgow
  50. Georges Lucas, Walters art Museum
  51. Bord de mer, Université de Glasgow
  52. Le Canal, Université de Glasgow
  53. Rose et argent, Université de Glasgow
  54. Robert de Montesquoiu, Frick Collection
  55. Xavier Mathieu, Antonio de La Gandara, un témoin de la Belle Époque, librairie des musées, (ISBN 978-2-35404-021-5).
  56. Violet et bleu, Detroit Institute
  57. Vert et Violet, Fogg Art Museum
  58. Green and blue, Art Institute of Chicago
  59. Arrangement in flesh color, Art Institute of Chicago
  60. Little Rose, Musée de Boston
  61. (en) « The Annual Register: A Review of Public Events at Home and Abroad for the Year 1878, Part II, Remarkable Trials: Whistler v. Ruskin » Accès libre, sur Google Livres, (consulté le ), p. 216-217.
  62. Isabelle Enaud-Lechien, James Whistler, le peintre et le polémiste, Art Création Réalisation, .
  63. À ne pas confondre avec la Société anonyme des artistes peintres, sculpteurs et graveurs fondée en 1874 par les impressionnistes.
  64. « Un marginal nommé Whistler », Article de Christiane Duparc dans L'Express du .
  65. « The Hunterian ».
  66. « National Museum of Asian Art »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  67. (en) Five Colleges, Inc, « The Giudecca; Note in Flesh Colour » (consulté le ).
  68. (en) Phillips Academy, « Brown and Silver: Old Battersea Bridge » (consulté le ).
  69. (en) Regents of the University of Michigan, « Sea and Rain » (consulté le ).
  70. (en) The Walters Art Museum, « Portrait of George A. Lucas » (consulté le ).
  71. (en) The Isabella Stewart Gardner Museum, « Harmony in Blue and Silver: Trouville » (consulté le ).
  72. (en) The Isabella Stewart Gardner Museum, « Three Girls » (consulté le ).
  73. (en) The Isabella Stewart Gardner Museum, « Nocturne, Blue and Silver: Battersea Reach » (consulté le ).
  74. (en) Museum of Fine Arts, Boston, « The Last of Old Westminster » (consulté le ).
  75. (en) Museum of Fine Arts, Boston, « Harmony in Flesh Colour and Red » (consulté le ).
  76. (en) Museum of Fine Arts, Boston, « Nocturne in Blue and Silver: The Lagoon, Venice » (consulté le ).
  77. (en) Museum of Fine Arts, Boston, « Street in Old Chelsea » (consulté le ).
  78. (en) Museum of Fine Arts, Boston, « Little Rose of Lyme Regis » (consulté le ).
  79. (en) Museum of Fine Arts, Boston, « The Master Smith of Lyme Regis » (consulté le ).
  80. (en) President and Fellows of Harvard College, « Nocturne in Blue and Silver » (consulté le ).
  81. (en) President and Fellows of Harvard College, « Miss Maud Franklin » (consulté le ).
  82. (en) President and Fellows of Harvard College, « Harmony in Grey and Peach Colour » (consulté le ).
  83. (en) President and Fellows of Harvard College, « Nocturne in Grey and Gold: Chelsea Snow » (consulté le ).
  84. (en) President and Fellows of Harvard College, « The Storm-- Sunset » (consulté le ).
  85. (en) President and Fellows of Harvard College, « Sunset; Red and Gold--The Gondolier » (consulté le ).
  86. (en) President and Fellows of Harvard College, « Green and Violet: Mrs. Walter Sickert » (consulté le ).
  87. (en) President and Fellows of Harvard College, « Violet and Blue: The Red Feather » (consulté le ).
  88. (en) President and Fellows of Harvard College, « Harmony in Blue and Silver: Beaching the Boat, Étretat » (consulté le ).
  89. (en) Art Institute of Chicago, « Grey and Silver: Old Battersea Reach » (consulté le ).
  90. (en) Art Institute of Chicago, « Trouville (Grey and Green, the Silver Sea) » (consulté le ).
  91. (en) Art Institute of Chicago, « The Artist in His Studio » (consulté le ).
  92. (en) Art Institute of Chicago, « Portrait of Dr. William McNeill Whistler » (consulté le ).
  93. (en) Art Institute of Chicago, « Nocturne: Blue and Gold—Southampton Water » (consulté le ).
  94. (en) Art Institute of Chicago, « Study for “Arrangement in Grey and Black, No. 2: Portrait of Thomas Carlyle” » (consulté le ).
  95. (en) « Corte del Paradiso », sur artic.edu.
  96. « Coast Scene, Bathers », sur artic.edu.
  97. (en) Art Institute of Chicago, « Violet and Silver - The Deep Sea » (consulté le ).
  98. (en) « Green and Blue: The Dancer », sur artic.edu.
  99. (en) Art Institute of Chicago, « Arrangement in Flesh Color and Brown: Portrait of Arthur Jerome Eddy » (consulté le ).
  100. (en) « Study of a Girl’s Head and Shoulders », sur artic.edu.
  101. (en) « Fishing Boats », sur cincinnatiartmuseum.org (consulté le ).
  102. (en) « At the Piano », sur webkiosk.taftmuseum.org (consulté le ).
  103. (en) « Japanese Woman Painting a Fan (recto); Standing Woman Holding Up Her Dress (verso) », sur clevelandart.org (consulté le ).
  104. (en) « The Violin Player », sur clevelandart.org (consulté le ).
  105. (en) « The Pink Cap », sur denverartmuseum.org (consulté le ).
  106. (en) « Arrangement in Gray: Portrait of the Painter », sur dia.org (consulté le ).
  107. (en) « Nocturne in Black and Gold, the Falling Rocket », sur dia.org (consulté le ).
  108. (en) « Violet and Blue: Among the Rollers », sur dia.org (consulté le ).
  109. (en) « Robert Barr », sur dia.org (consulté le ).
  110. (en) « Canal, San Canciano, Venice », sur collection.thewestmoreland.org (consulté le ).
  111. (en) « Coast of Brittany (Alone with the Tide) », sur thewadsworth.org (consulté le ).
  112. « Thames Nocturne ».
  113. (en) « Nocturne in Blue and Silver », sur artuk.org (consulté le ).
  114. (en) « Symphony in Grey and Green: The Ocean », sur collections.frick.org (consulté le ).
  115. (en) « Arrangement in Brown and Black: Portrait of Miss Rosa Corder », sur collections.frick.org (consulté le ).
  116. (en) « Symphony in Flesh Color and Pink: Portrait of Mrs. Frances Leyland », sur collections.frick.org (consulté le ).
  117. (en) « The Cemetery: Venice », sur collections.frick.org (consulté le ).
  118. (en) « Nocturne: Venice », sur collections.frick.org (consulté le ).
  119. (en) « Venetian Canal », sur collections.frick.org (consulté le ).
  120. (en) « Harmony in Pink and Gray: Portrait of Lady Meux », sur collections.frick.org (consulté le ).
  121. (en) « Cremorne Gardens, No. 2 », sur metmuseum.org (consulté le ).
  122. (en) « Arrangement in Black, No. 3: Sir Henry Irving as Philip II of Spain », sur metmuseum.org (consulté le ).
  123. (en) « Harmony in Yellow and Gold: The Gold Girl—Connie Gilchrist », sur metmuseum.org (consulté le ).
  124. (en) « Nocturne in Green and Gold », sur metmuseum.org (consulté le ).
  125. (en) « Note in Pink and Brown », sur metmuseum.org (consulté le ).
  126. (en) « Arrangement in Black: Girl Reading », sur metmuseum.org (consulté le ).
  127. (en) « Arrangement in Flesh Colour and Black: Portrait of Theodore Duret », sur metmuseum.org (consulté le ).
  128. (en) « Lady in Gray », sur metmuseum.org (consulté le ).
  129. (en) « Gold and Brown: Dordrecht », sur metmuseum.org (consulté le ).
  130. (en) « Variations in Violet and Grey—Market Place, Dieppe », sur metmuseum.org (consulté le ).
  131. (en) « Edward Guthrie Kennedy », sur metmuseum.org (consulté le ).
  132. (en) « Purple and Rose: The Lange Leizen of the Six Marks », sur philamuseum.org (consulté le ).
  133. (en) « Nocturne », sur philamuseum.org (consulté le ).
  134. (en) « Arrangement in Black (The Lady in the Yellow Buskin) », sur philamuseum.org (consulté le ).
  135. (en) « Grand Canal, Venice (Moonlight) », sur philamuseum.org (consulté le ).
  136. (en) « Arrangement in Black: Portrait of Señor Pablo de Sarasate », sur collection.cmoa.org (consulté le ).
  137. (en) « Harmony in Blue: The Duet », sur risdmuseum.org (consulté le ).
  138. (en) « The General Dealer »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur risdmuseum.org (consulté le ).
  139. (en) « Crepuscule in Opal, Trouville », sur toledomuseum.org (consulté le ).
  140. (en) « Battersea Reach », sur corcoran.org (consulté le ).
  141. (en) The Smithsonian Institution, « Sam Weller's Landlord in the Fleet » (consulté le ).
  142. (en) The Smithsonian Institution, « Portrait of Whistler with a Hat » (consulté le ).
  143. (en) The Smithsonian Institution, « Portrait of Major Whistler » (consulté le ).
  144. (en) The Smithsonian Institution, « The Thames in Ice » (consulté le ).
  145. (en) The Smithsonian Institution, « The Princess from the Land of Porcelain » (consulté le ).
  146. (en) The Smithsonian Institution, « Variations in Flesh Colour and Green - The Balcony » (consulté le ).
  147. (en) The Smithsonian Institution, « Blue and Silver: Trouville » (consulté le ).
  148. (en) The Smithsonian Institution, « Symphony in Green and Violet » (consulté le ).
  149. (en) The Smithsonian Institution, « Symphony in Blue and Pink » (consulté le ).
  150. (en) The Smithsonian Institution, « Symphony in White and Red » (consulté le ).
  151. (en) The Smithsonian Institution, « Variations in Blue and Green » (consulté le ).
  152. (en) The Smithsonian Institution, « The White Symphony: Three Girls » (consulté le ).
  153. (en) The Smithsonian Institution, « Nocturne: Blue and Silver--Battersea Reach » (consulté le ).
  154. (en) The Smithsonian Institution, « Variations in Pink and Grey: Chelsea » (consulté le ).
  155. (en) The Smithsonian Institution, « Nocturne: Cremorne Gardens, No. 3 » (consulté le ).
  156. (en) The Smithsonian Institution, « Nocturne in Black and Gold: Entrance to Southampton Water » (consulté le ).
  157. (en) The Smithsonian Institution, « Nocturne: Grey and Silver--Chelsea Embankment, Winter » (consulté le ).
  158. (en) The Smithsonian Institution, « Venus » (consulté le ).
  159. (en) The Smithsonian Institution, « Chelsea Shops » (consulté le ).
  160. (en) The Smithsonian Institution, « London Bridge » (consulté le ).
  161. (en) The Smithsonian Institution, « The Angry Sea » (consulté le ).
  162. (en) The Smithsonian Institution, « Note in Blue and Opal—The Sun Cloud » (consulté le ).
  163. (en) The Smithsonian Institution, « Arrangement in Grey: Portrait of Master Stephen Manuel » (consulté le ).
  164. (en) The Smithsonian Institution, « The Purple Cap » (consulté le ).
  165. (en) The Smithsonian Institution, « Rose and Red: The Little Pink Cap » (consulté le ).
  166. (en) The Smithsonian Institution, « Blue and Gold–The Rose Azalea » (consulté le ).
  167. (en) The Smithsonian Institution, « The Little Red Glove » (consulté le ).
  168. (en) The Smithsonian Institution, « Rose and Gold: The Little Lady Sophie of Soho » (consulté le ).
  169. (en) The Smithsonian Institution, « Blue and Silver - Boat Entering Pourville » (consulté le ).
  170. (en) The Smithsonian Institution, « Portrait of Charles Lang Freer » (consulté le ).
  171. (en) The Smithsonian Institution, « Girl in Black (Pouting Tom) » (consulté le ).
  172. (en) National Gallery of Art, « Wapping » (consulté le ).
  173. (en) National Gallery of Art, « Symphony in White, No. 1: The White Girl » (consulté le ).
  174. (en) National Gallery of Art, « Battersea Reach » (consulté le ).
  175. (en) National Gallery of Art, « Grey and Silver: Chelsea Wharf » (consulté le ).
  176. (en) National Gallery of Art, « Mother of Pearl and Silver: The Andalusian » (consulté le ).
  177. (en) National Gallery of Art, « Alice Butt » (consulté le ).
  178. (en) National Gallery of Art, « Alexander Arnold Hannay » (consulté le ).
  179. (en) National Gallery of Art, « Gold and Brown: Self-Portrait » (consulté le ).
  180. (en) National Gallery of Art, « George W. Vanderbilt » (consulté le ).
  181. (en) National Gallery of Art, « Head of a Young Woman » (consulté le ).
  182. Établissement public du musée d'Orsay et du musée de l'Orangerie - Valéry Giscard d'Estaing, « L'Homme à la pipe » (consulté le ).
  183. Établissement public du musée d'Orsay et du musée de l'Orangerie - Valéry Giscard d'Estaing, « Arrangement en gris et noir n°1 » (consulté le ).
  184. Établissement public du musée d'Orsay et du musée de l'Orangerie - Valéry Giscard d'Estaing, « Variations en violet et vert » (consulté le ).
  185. (en) The National Museum of Western Art, Independent Administrative Institution National Museum of Art, « Portrait of a Woman » (consulté le ).
  186. (nl) rijksmuseum, « Arrangement in Yellow and Gray » (consulté le ).
  187. (en) « Symphony in White, No. III », sur artuk.org (consulté le ).
  188. (en) « Portrait Study of a Man », sur artuk.org (consulté le ).
  189. (en) National Museum Wales, « Nocturne: blue and gold, St. Mark's, Venice » (consulté le ).
  190. (en) « An Arrangement in Grey and Green: John James Cowan (1846–1936) », sur artuk.org (consulté le ).
  191. (en) « Nocturne: Grey and Gold, Westminster Bridge », sur artuk.org (consulté le ).
  192. (en) « The Artist's Niece », sur artuk.org (consulté le ).
  193. (en) « Head of a Peasant Woman », sur artuk.org (consulté le ).
  194. (en) « Battersea Reach from Lindsey Houses », sur artuk.org (consulté le ).
  195. (en) « The Morning after the Revolution: Valparaiso », sur artuk.org (consulté le ).
  196. (en) « Harmony in Flesh Colour and Black: Mrs Louise Jopling », sur artuk.org (consulté le ).
  197. (en) « A Grey Note: Village Street », sur artuk.org (consulté le ).
  198. (en) « Harmony in Red: Lamplight », sur artuk.org (consulté le ).
  199. (en) « A Shop », sur artuk.org (consulté le ).
  200. (en) « The Sea Shore, Dieppe », sur artuk.org (consulté le ).
  201. (en) « Harmony in Blue and Violet: Miss Finch », sur artuk.org (consulté le ).
  202. (en) « The Sea, Brittany », sur artuk.org (consulté le ).
  203. (en) « The Canal, Amsterdam », sur artuk.org (consulté le ).
  204. (en) « Rose et argent: La jolie mutine », sur artuk.org (consulté le ).
  205. (en) « Harmony in Brown: The Felt Hat », sur artuk.org (consulté le ).
  206. (en) « Red and Black: The Fan », sur artuk.org (consulté le ).
  207. (en) « The Bathing Posts, Brittany », sur artuk.org (consulté le ).
  208. (en) « Rose et or: La tulipe », sur artuk.org (consulté le ).
  209. (en) « Harmony in Black: Miss Ethel Philip », sur artuk.org (consulté le ).
  210. (en) « The Little Forge, Lyme Regis », sur artuk.org (consulté le ).
  211. (en) « Brown and Gold », sur artuk.org (consulté le ).
  212. (en) « La toison rouge », sur artuk.org (consulté le ).
  213. (en) « Lillie: An Oval », sur artuk.org (consulté le ).
  214. (en) « The Jade Necklace », sur artuk.org (consulté le ).
  215. (en) « Grey and Silver: The Thames », sur artuk.org (consulté le ).
  216. (en) « Miss Rosalind Birnie Philip Standing », sur artuk.org (consulté le ).
  217. (en) « Violet and Rose: Carmen qui rit », sur artuk.org (consulté le ).
  218. (en) « Harmony in Rose and Green: Carmen », sur artuk.org (consulté le ).
  219. (en) « Green and Silver: The Great Sea », sur artuk.org (consulté le ).
  220. (en) « A Shop with a Balcony », sur artuk.org (consulté le ).
  221. (en) « Grenat et or: Le petit cardinal », sur artuk.org (consulté le ).
  222. (en) « A Distant Dome », sur artuk.org (consulté le ).
  223. (en) « Dorothy Seton (A Daughter of Eve) », sur artuk.org (consulté le ).
  224. (en) « Arrangement in Grey and Black, No. 2: Portrait of Thomas Carlyle », sur artuk.org (consulté le ).
  225. (en) « Harmony in White and Blue », sur artuk.org (consulté le ).
  226. (en) Tate, « Symphony in White, No. 2: The Little White Girl » (consulté le ).
  227. (en) Tate, « Crepuscule in Flesh Colour and Green: Valparaiso » (consulté le ).
  228. (en) Tate, « Three Figures: Pink and Grey » (consulté le ).
  229. (en) Tate, « Nocturne: Blue and Silver - Chelsea » (consulté le ).
  230. (en) Tate, « Nocturne: Blue and Silver - Cremorne Lights » (consulté le ).
  231. (en) Tate, « Harmony in Grey and Green: Miss Cicely Alexander » (consulté le ).
  232. (en) Tate, « Nocturne: Blue and Gold - Old Battersea Bridge » (consulté le ).
  233. (en) Tate, « Miss Agnes Mary Alexander » (consulté le ).
  234. (en) Tate, « Nocturne: Black and Gold - The Fire Wheel » (consulté le ).
  235. (en) « The Shore, Pourville », sur artuk.org (consulté le ).
  236. Collection Chtchoukine, « Marine, arrangement en bleu et noir », sur collectionchtchoukine.com (consulté le ).
  237. Collection Chtchoukine, « Marine, arrangement en gris et noir » (consulté le ).
  238. (en) Collection Chtchoukine, « La marchande d’oranges » (consulté le ).

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Papillons pour l'illustration du Gentle Art of Making Enemies (c. 1890).

Du vivant de Whistler[modifier | modifier le code]

  • Whistler a publié deux livres qui ont détaillé ses pensées sur la vie et l'art : Ten O'Clock Lecture (1885), et The Gentle Art of Making Enemies (1890).
  • Il a été, à son tour, le sujet d'une biographie contemporaine écrite par un ami Joseph Pennell en collaboration avec sa femme Elizabeth Robins Pennell: La Vie de James McNeill Whistler, publiée en 1908.

Études postérieures[modifier | modifier le code]

  • Jacques-Émile Blanche, « Whistler », dans Essais et portraits, 1912, repris dans Le Cahier Rouge des Impressionnistes, textes choisis et présentés par Jules Colmart, Grasset, 2019, p. 167-200.
  • Catalogue de l'exposition James McNeill Whistler, textes de Richard Dorment, Margaret MacDonald, Nicolai Cikovsky Jr, Geneviève Lacambre (Musée d'Orsay, Paris, R.M.N., 1995).
  • Hors-série Beaux-Arts Magazine, Whistler (expos. musée d'Orsay du 13/10/1994 - 8/01/1995).
  • Isabelle Enaud-Lechien, James Whistler, le peintre et le polémiste, 1834-1903, Pchecouleur, ACR éditions, Courbevoie, 1995.
  • Idem, Whistler et la France, le Musée miniature, Herscher, Paris, 1995.
  • Edgar Munhall, Whistler et Robert de Montesquiou, Flammarion, Paris, 1995.
    Munhall est le curateur de la Frick Collection de New-York, qui détient, entre autres œuvres du peintre, le portrait de Robert de Montesquiou cité plus haut.
  • Jocelyne Rotily, « Napoléon et moi ! » James McNeill Whistler en Corse, 1901, Marseille, ACFA Éditions, 2008.
  • (en) Robin Spencer, Whistler. A retrospective, Wings Books, New York, 1989.
  • (en) Hilary Taylor, James McNeill Whistler, New Orchard Éditions, Londres, 1978.
  • (en) A. McLaren Young, M. Mac Donald, R. Spencer, H. Miles, The paintings of James McNeill Whistler, Londres, New Haven, 1980.
  • (en) Gabriel P. Weisberg, « Whistler », Print Quarterly, vol. 2, no 1, 1985.
  • (en) Nigel Thorp, « Whistler Etchings », Print Quarterly, vol. 2, no 2, 1985.
  • (en) Edward Twohig, Print REbels : Haden : Palmer : Whistler and the origins of the RE (Royal Society of Painter-Printmakers), Londres, Royal Society of Painter-Printmakers, , 346 p. (ISBN 978-1-5272-1775-1).

Filmographie[modifier | modifier le code]

  • 1995 : Edwige Kertes, Whistler, 26 min, RMN
  • 1997 : Bean, film où le réalisateur Mel Smith prend pour sujet principal le transfert du célèbre tableau Arrangement en Noir et Gris (ou La Mère de Whistler).

Radio[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Tableaux[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]