Après des études de philologie classique à l'université de Liège (1964-1968), il présente une thèse de doctorat en philosophie et lettres à l'université de Liège (Le problème des métaux dans la science antique, 1972)[1], puis poursuit des études de philologie et d'histoire des sciences à l'École pratique des hautes études à Paris (1973-1976, thèse consacrée à Johannes Kepler. L’étrenne ou la neige sexagénaire), et est agrégé de l’enseignement supérieur en 1978 (thèse consacrée à La métallurgie des métaux non ferreux dans l'Antiquité gréco-romaine[2]).
Robert Halleux, Le problème des métaux dans la science antique, Les Belles Lettres, 1974, 236 p.
Robert Halleux, Les textes alchimiques, Brepols, 1979, 153 p.
Robert Halleux, Les alchimistes grecs, t. I : Papyrus de Leyde, Papyrus de Stockholm. Fragments et Recettes, Les Belles Lettres, 1981, 235 p.
Robert Halleux, Jacques Schamp, Les lapidaires grecs : lapidaire orphique, kérygmes lapidaires d'Orphée, Socrate et Denys, lapidaire nautique, Damigéron-Evax (traduction latine), Les Belles Lettres, 1985, 355 p.
Robert Halleux, A.-C. Bernes, L. Étienne, "L’évolution des sciences et des techniques en Wallonie", dans Wallonie. Atouts et références d’une Région, sous la direction de Freddy Joris, Gouvernement wallon, Namur, 1995.
Robert Halleux, M. Blay (éditeurs), Dictionnaire critique de la Science Classique, Éditions Flammarion, 1998.
Robert Halleux, Carmelia Opsomer, J. Vandersmissen. (éditeurs), Histoire des sciences en Belgique, des origines à 1815, Bruxelles, Crédit Communal, 1998.
Robert Halleux, J. Vandersmissen, A. Despy-Meyer, G. Vanpaemel (éditeurs) , Histoire des sciences en Belgique, 1815-2000, 2 vol., Bruxelles, Crédit Communal, 2002.
Robert Halleux, Cockerill. Deux siècles de technologie, Éditions du Perron, 2002.
Robert Halleux, Geneviève Xhayet, Études sur les fonts baptismaux de Saint-Barthélemy à Liège, Éditions du Céfal, 2006.
Robert Halleux, Geneviève Xhayet, La liberté de chercher. Histoire du Fonds National belge de la Recherche Scientifique, Éditions de l’Université de Liège, 2007.
Robert Halleux, Le savoir de la main. Savants et artisans dans l'Europe pré-industrielle, Paris, Armand Colin, 2009.
Penne d'étudiant en Philologie de l'université de Liège (portée par le professeur Robert Halleux dès 1964)Robert Halleux, Geneviève Xhayet, P. Demoitié, Pour la science et pour le pays, 50 ans de politique scientifique fédérale, Éditions de l'Université de Liège, 2009.
Penne d'étudiant en Philologie de l'université de Liège (portée par le professeur Robert Halleux dès 1964)2010 : membre de l'Académie royale de Belgique, classe Technologie et Société (Bruxelles).
Penne d'étudiant en Philologie de l'université de Liège (portée par le professeur Robert Halleux dès 1964)
↑Guy Beaujouan, « Histoire des sciences au Moyen Âge », École pratique des hautes études. 4e section, Sciences historiques et philologiques « Annuaire 1977-1978 », , p. 627 (ISSN0245-9000, lire en ligne)