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Fisker Surf

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Fisker Surf
Image illustrative de l’article Fisker Surf
La Fisker Surf.

Marque Fisker Automotive
Années de production 2011
Production 1 exemplaire(s)
Classe Concept car Break de chasse
Usine(s) d’assemblage Drapeau de la Finlande Usine Valmet Automotive, Uusikaupunki, Finlande
Moteur et transmission
Énergie Essence + électrique (Véhicule hybride rechargeable)
Moteur(s) 4-cylindres en ligne + 2 moteurs électriques
Position du moteur Transversale avant (essence), transversale arrière (électrique)
Cylindrée 1 998 cm3
Puissance maximale 2 x 150 kW soit 408 ch
Couple maximal 1 333 N m
Transmission Propulsion
Masse et performances
Vitesse maximale 202 km/h
Accélération 0 à 100 km/h en 5,8 s
Autonomie 480 km
Châssis - Carrosserie
Carrosserie(s) Break 5 portes
Coefficient de traînée 0,31
Suspensions 4 roues indépendantes
Direction à crémaillère assistée
Freins (AV) : disques Brembo, 370 mm, étriers 6 pistons

(AR) : disques Brembo, 365 mm, étriers 4 pistons

Dimensions
Longueur 5 000 mm
Largeur 1 998 mm
Hauteur 1 330 mm
Empattement 3 160 mm

La Fisker Surf est un break de chasse et de luxe hybride rechargeable à prolongateur d'autonomie du constructeur automobile américain Fisker Automotive[1].

Présentation[modifier | modifier le code]

La Fisker Surf est présentée sous forme de concept car au salon de l'automobile de Francfort 2011[2]. Elle est une version break de chasse de la Fisker Karma.

La version de série de la Surf devait être présentée au Mondial de l'automobile de Paris 2012[3] et produite en 2013 par l'usine finlandaise Valmet Automotive, mais le constructeur rencontre alors des problèmes financiers[4]. En 2013, Fisker Automotive est placé sous la protection de la loi américaine sur les faillites et la Fisker Surf ne sera jamais produite en série.

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Motorisation[modifier | modifier le code]

La Surf reçoit une motorisation hybride essence rechargeable constituée d'un moteur thermique d'origine Opel quatre-cylindres 2.0 de 260 ch servant de générateur et alimente une batterie lithium-fer-phosphate d'une capacité de 20 kWh, qui elle-même fournit l'électricité aux deux moteurs électriques de 201,5 ch chacun[5].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Camille Pinet, « Fisker Surf : le break le plus sculptural du Salon de Francfort ! », Challenges,
  2. « Fisker Surf : la Karma façon break de chasse à Francfort », sur www.automobile-propre.com, (consulté le )
  3. Loïc Bailliard, « Fisker lancera le break Karma Surf au Mondial de Paris 2012 », Caradisiac,
  4. François Tessier, « Paris 2012 : la version de série du concept Fisker Surf au menu ? », sur www.leblogauto.com, (consulté le )
  5. Julien Bertaux, « La Fisker Surf : le break selon Fisker », L'Argus,

Articles connexes[modifier | modifier le code]