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Discussion:Louis Gillet

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À quoi cela tend-il ?[modifier le code]

Dans l'article, on lit : « Louis Gillet a écrit dans un article dédié "au nouveau plan directeur de la ville" publié dans la revue "Marseille", en été 1942 :

"Sur la colline des Accoules, entre l'Hôtel de ville et la Major, gît une Subure obscène, un des cloaques les plus impurs où s'amasse l'écume de la Méditerranée, triste gloire de Marseille, dans une décrépitude et un degré de pourriture dont à peine, sans l'avoir vue, on pourrait se faire une idée; il semble que la corruption gangrène jusqu'aux pierres. Cet enfer vermoulu, cette espèce de charnier en décomposition, est l'un des lieux du monde où la tuberculose fait le plus de ravages. C'est l'empire du péché et de la mort. Ces quartiers, jadis patriciens, abandonnés à la canaille, à la misère et à la honte, quel moyen de les vider et de les régénérer?" »

(J'ai corrigé l'orthographe; outre des fautes évidentes, j'ai supposé que "gîte" devait être lu "gît", ce qui est peut-être moins sûr.)

Et l'article ajoute : « Cela méritait d'être précisé... »
Pourquoi ? Un tel commentaire, suivi de points de suspension, ne me semble d'ailleurs pas convenir à un article d'encyclopédie.
Marvoir (d) 31 mai 2008 à 18:24 (CEST)[répondre]

Selon Gérard Guicheteau, Marseille 1943 – La fin du Vieux Port (1973), et Le Patriote Résistant de mai 2010, l'article de Louis Gillet fut publié dans la revue municipale de Marseille en octobre 1942. La citation est reprise par Alessi dell'Umbria dans Histoire universelle de Marseille, Agone, 2006. --Cherche-bruit (d) 19 juillet 2010 à 11:59 (CEST)[répondre]