Utilisateur:Achalib/Bac à sable Libéralisme

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Ayn Rand[modifier | modifier le code]

Genre, sexe et race[modifier | modifier le code]

Le genre[modifier | modifier le code]

Plusieurs des ouvrages de Rand présentent les femmes et les hommes comme égaux sur le plan intellectuel. Elle a toutefois à plusieurs reprises affirmé que les différences physiologiques entre les deux sexes conduisaient à des différences psychologiques fondamentales, sources d'une différenciation naturellement sexuée des rôles sociaux.

Rand pensait ainsi que l'« essence de la féminité est la vénération- le désir d'admiration de l'homme », qu'une « femme idéale doit vénérer les hommes, et qu'un homme idéal est le plus haut symbole de l'humanité »[1]. Dans un article de l'Objectivist, le psychothérapiste Nathaniel Branden, ancien amant de Rand, explique que pour elle « l'homme expérimente l'essence de sa masculinité dans l'acte de domination romantique ; la femme expérimente l'essence de sa féminité dans l'acte de soumission romantique »[2].

Rand affirma qu'alors que les femmes sont compétentes pour occuper la fonction de Présidente, aucune femme rationnelle ne devrait chercher à atteindre cette position ; elle expliqua plus tard qu'une telle fonction serait psychologiquement perturbante pour une femme[3].

L'homosexualité[modifier | modifier le code]

Une autre source de controverse concerne sa représentation de l'homosexualité. Dans l'article « The Age of envy », elle déclare que « proclamer une fraternité spirituelle (spiritual sisterhood) avec des lesbiennes [...] implique un ensemble de postulats tellement répulsifs, une direction de vie tellement répugnante qu'un commentaire adéquat requérerait le genre de langage que je n'aime pas voir imprimer. »[4].

En 1971, Rand a précisé sa position lors du Ford Hall Forum à l'Université Northeastern de Boston, expliquant qu'« il y a une immoralité psychologique à la base de l'homosexualité ». Elle conclut en déclarant que l'homosexualité est « immorale, et plus que ça ; si vous voulez mon opinion la plus sincère, elle est dégoûtante »[5].

Elle déclara à cette occasion : « je ne pense pas que le gouvernement ait le droit d'interdire l'homosexualité. Il s'agit du privilège de n'importe quel individu de mener sa vie sexuelle de la façon qu'il désire »[6]. Elle était toutefois opposée à toute forme de législation spécifique sur le sujet. En 1971, elle réunit dans The New Left plusieurs articles attaquant directement les positions d'une partie du mouvement féministe et du mouvement pour les droits des homosexuels. Elle qualifie d'« hideux » leur revendication auprès des autorités politiques de ce qu'elle considère comme des « privilèges spéciaux ».

Rand défendit par ailleurs le droit des entreprises de discriminer sur la base de l'orientation sexuelle, de la race ou de n'importe quel autre critère. Elle estimait qu'aucun droit n'est violé par le refus d'une personne ou d'une organisation de traiter avec un autre parti, même si la raison avancée est irrationnelle, raciste ou homophobe.

La question raciale[modifier | modifier le code]

Dans ses articles « Racism » et « Balkanisation globale », Rand estime que le « racisme est la forme la plus basse, la plus crûment primitive de collectivisme ». Que cette notion implique qu'un homme soit jugé non sur ses propres actions mais sur celles d'un collectif d'ancêtres apparaissait intolérable dans son système de pensée[7]. Elle était toutefois opposée à toute intervention gouvernementale à ce sujet, estimant que « le racisme n'est pas un problème légal mais un problème moral et ne peut être combattu que par des moyens privés, tels que le boycott économique ou l'ostracisme social. »[8].

Steven, Salaita, Anti-Arab Racism in the USA. Where it Comes From and What it Means for Politics Today, Pluto press, 2006.

The notion of “collective rights”

  1. « About a woman President », in The voice of reason : essai in objectivist tought, New York : New american library, 1969.
  2. « Self-Esteem and Romantic Love, Part II », The objectivist, 1968.
  3. « An answer to readers (about a woman president) », The objectivist, 1968, vol.7.
  4. Publié initialement dans The objectivist, 1971.
  5. Ford Hall forum, cité in « Ayn Rand Biographical FAQ: Ayn Rand and Homosexuality ».
  6. Ibid.
  7. « Racism », in Return of the Primitive : The Anti-Industrial Revolution, p. 179.
  8. Ibid, p. 182.

Créer son école[modifier | modifier le code]

Elles sont catholiques pour moitié environ. L’autre moitié est constituée d’écoles protestantes (le plus souvent évangélistes), à pédagogie particulières (Montessori, Steiner, pédagogie entièrement individualisée ou fondée sur support informatique);

[1]

Signé un manifeste en faveur de la messe tridentine.[2] Conférence à la société de vie apostolique traditionaliste Institut du Bon Pasteur

je suis catholique,


Liens avec Halliburton[modifier | modifier le code]

Ses liens avec l'industrie pétrolière lui sont reprochés et il est accusé d'être intervenu pour que Halliburton, obtienne de gros contrats de fournitures aux armées et de reconstruction.

Dick Cheney a démissionné du poste qu'il occupait au sein de la compagnie Halliburton en mai 2001.

« "Et depuis que j’ai quitté Halliburton pour devenir le vice-président de George Bush, j’ai coupé tous mes liens avec la société et je me suis séparé de tous mes intérêts financiers. Je n’ai plus aucun intérêt financier de quelque sorte que ce soit dans Halliburton depuis trois ans". Meet the Press, le 14 septembre 2003

Selon le rapport du sénateur Frank Lautenberg, Cheney a perçu d’Halliburton à titre de salaire différé : 205 298 dollars en 2001 et 162 392 dollars en 2002. En stock options, il a reçu : 100 000 parts à 54,50 dollars (acquis), expiration le 12/03/07 ; 33 333 parts à 28,12 dollars (acquis), expiration le 12/02/08 ; 300 000 parts à 39,50 dollars (acquis), expiration le 12/02/09.

[3]

241.498$ il y a 2 années, maintenant, elles valent plus de 8 millions de dollars ((augmentation de la valeur de 3.281% ) [4]


Cette accusation est sans doute la plus faible dans son dossier à charge car en dépit des vérifications les plus sévères, un seul document existe dans ce sens. C'est en l'occurrence un e-mail du Pentagone indiquant que « l'attribution d'un contrat de 7 milliards de dollars à une filiale d'Halliburton, sans appel d'offres, en mars 2003, a été approuvée à tous les niveaux, y compris le cabinet de M. Cheney ».

Le Pentagone exonère M. Cheney car ce « feu vert » demandé visait à s'assurer que Dick Cheney, susceptible d'être considéré comme responsable d'un traitement de faveur pour son ancienne entreprise, ne voyait pas d'inconvénient à ce que ce marché soit attribué sans mise en concurrence".

Dick Cheney a reçu près de 1 350 000 stock-options de la part de Halliburton[1], d'une valeur totale supérieure à 43 millions de dollars.

Alesina[modifier | modifier le code]

Ces thèses destructrices sont au cœur de la décomposition de la Belgique. Elles le sont à travers « The Size of Nations », un livre provocateur publié en 2003 au MIT par deux économistes italiens de grand renom travaillant aux Etats-Unis : Alberto Alesina, chef de la section économie à Harvard et Enrico Spolaore de l’Université Tufts. Tous deux ont travaillé pour le FMI et la Commission Européenne et ont des responsabilités au National Bureau for Economic Research (NBER) une institution privée financée exclusivement par les quatre fondations patriciennes directement mécènes de la secte néo-conservatrice américaine (Bradley, Scaife, Olin et Smith Richardson). Notez ici qu’en juin 2005, Alesina s’est rendu avec Mundell en Chine où ce dernier travaille comme conseiller auprès du gouvernement.

Faisant la synthèse entre Kohr et Mundell, les deux auteurs affirment que les frontières d’une nation ne résultent surtout pas d’un « vouloir vivre en commun », essence de toute république, mais d’un simple marchandage pragmatique sur « les avantages de la taille et le coût » de la gestion d’un territoire hétérogène. En bref, on applique l’analyse coût/bénéfice utilisé (souvent stupidement) en entreprise à la gestion de ce qu’ils pensent être la bête humaine.

Après avoir examiné les avantages qu’offre un grand pays (faible coût des services publics par tête, meilleure répartition de la pression fiscale, meilleure défense, etc.) les auteurs s’interrogent sur la richesse. Si un grand pays devrait en théorie être plus riche, ils affirment qu’en réalité « le volume des dépenses dans un pays dépend essentiellement de l’ouverture de ce pays au commerce ». De là, évidemment, par pure logique aristotélicienne, découle l’argument qu’un pays « intégré dans le marché mondial possède le monde comme marché » et que, par conséquent écrivent-ils, « l’intégration économique conduit à la désintégration politique ». La chose est dite : la mondialisation (l’intégration économique et financière), conduit, par sa propre nature, à la décomposition des nations. On saisit mieux pourquoi The Size of Nations est devenu en Belgique le livre de chevet des indépendantistes flamands.

http://www.lepan.be/?p=2061

National bureau of economic research ont financé deux de ses livres publiés en 1944, Omnipotent Government : the Rise of the Total State and Total War et Bureaucraty

DC North, un des précurseurs de la Nouvelle Histoire économique en fut l'un des directeurs en 1967. http://w3.univ-tlse1.fr/LEREPS/format/supportsped/ecoindustrielle/dico/auteurs/north.html

Kessler[modifier | modifier le code]

En tant de directeur de la FFSA, il s'est prononcé contre la mise en place de la Couverture maladie universelle (CMU), au motif que la Caisse nationale d'assurance maladie, en gérant à la fois les parties obligatoire et complémentaire de l'assurance maladie, élargissait son domaine d’intervention traditionnel et exerçait une concurrence déloyale envers les assureurs privés.

Sous sa direction, l'AFAS a saisi à plusieurs plusieurs reprises la Cour de justice des communautés européennes (CJCE) pour demander qu’il soit mis fin au « monopole » de la Caisse nationale d'assurance maladie. Mais, jusqu’à présent, la jurisprudence de la CJCE est restée stable pour estimer que ce « monopole » se justifiait par la mission de service public confiée aux caisses d’assurance et par le caractère obligatoire des cotisations. demander à ce que les acteurs du régime complémentaire puissent gérer le risque maladie au premier franc.

En 2002, il a réclamé, suite à la parution du rapport Babusiaux[2] l'accès des assureurs aux données privées transmises dans les feuilles de soins électroniques, jugeant « l’anonymisation compliquée, coûteuse ». Il envisage un système dans lequel le patient signerait un contrat précisant les circonstances de communication des données. Le refus de communication pourrait entraîner une diminution du remboursement[3].

Cette « architecture » est à l’évidence complètement dépassée, inefficace, datée

créer un éphémère Comité des usagers du crédit, qui prétendit exprimer l’opinion des clients en faveur des " chèques payants ",

en:Jubilee 2000[modifier | modifier le code]

Fichier:J2000.gif
Logo of Jubilee 2000

Jubilé 2000 était une coalition internationale d'organisations originaires de plus de quarante pays appelant à l'annulation de la dette du tiers monde pour l'année 2000. Ce mouvement coïncidait avec le Grand Jubilé, la célébration de l'an 2000 du calendrier grégorien par l'Église catholique. Depuis le début de l'année 2001, Jubilé 2000 s'est séparé en plusieurs organisations à travers le monde. La campagne pour la dette constitue l'un d'eux.

Concept[modifier | modifier le code]

Le concept général de la campagne s'inspire des fondements bibliques de l'année du Jubilé. Le Lévitique proclame que l'année du Jubilé, ceux qui sont réduits à l'esclavage à cause des dettes sont libérés, les terres perdues à cause de la dette sont retrouvées, et la communauté déchirée par les inégalités est restaurée. L'idée d'une campagne menée sur cette base fut pour la première fois lancée en 1990 par le Conseil des Eglises d'Afrique.

La campagne visait à réduire la dette détenue par les pays les plus pauvres de 90 milliards de dollars pour amener son niveau à 37 milliards[4].

Actions[modifier | modifier le code]

La campagne fut principalement menée via un réseau constitué de plusieurs organisations chrétiennes. La coordination était assurée par un secrétariat situé au Royaume-Uni, attribuant un label aux organisations qui souhaitaient mener campagne dans l'esprit de Jubilee 2000. Elle a ainsi été soutenue par des organisations syndicales (Confédération Internationale des Syndicats Libres).

Parmi les soutiens médiatiques du mouvement figurèrent notamment Thom Yorke, le boxeur Muhammad Ali, Youssou N'dour, Bob Geldof ou Bono, le chanteur du groupe U2. Le pape Jean-Paul II ou les Premiers Ministres britanniques Tony Blair et Gordon Brown prirent position en faveur de l'annulation de la dette[5].

Lors du sommet du G8 de 1998, 70000 personnes défilèrent pacifiquement dans la ville de Birmingham. Les sommets suivants du G8 à Cologne, Okinawa et Genoa placèrent tous la question de la dette à leur ordre du jour.

Une horloge Jubilé 2000 avait symboliquement été installée à Piccadilly Circus (Londres). Sociology of the Biblical Jubilee by Robert North Author(s) of Review: H. Cazelles Vetus Testamentum, Vol. 5, Fasc. 3 (Jul., 1955), pp. 321-324

Après 2000[modifier | modifier le code]

Depuis le début de l'année 2001, Jubilé 2000 s'est scindée en plusieurs organisations réparties autour du globe. Jubilé Sud regroupe plusieurs anciennes organisations affiliées en Afrique, en Asie et en Amérique Latine. Jubilé Ecosse, Jubilee Debt Campaign pour l'Angleterre, Jubilé États-Unis, Jubilé 2000/CAD Mali , Erlassjahr.de pour l'Allemagne sont quelques-unes des branches qui sont apparues à compter de cette date. L'unité Jubilee Research, devenue Jubilee Plus, est hébergée par la New economics foundation (NEF). Sa coordinatrice est Ann Pettifor

Les membres britanniques de Jubilé 2000 ont lancé une campagne intitulée « Drop the debt » pour le sommet du G8 de Gênes, en continuant de s'appuyer sur une combinaison de lobbying et d'activisme populaire. En 2005, les mêmes associations ont participé à la campagne Make Poverty History.


Argumentaire[modifier | modifier le code]

Passage d'une domination du capital industriel au capital financier.


Rôle du FMI : La dette est un levier qui permet au FMI d'imposer aux pays débiteurs des politiques déflationnistes dont l'objectif est de défendre la valeur des avoirs des créditeurs et prêteurs internationaux.

Les devises sont stabilisées pour garantir le service de dette aux obligataires étrangers et autres créditeurs (dollarisation, crise Argentine de 2000)

l’initiative Pays Pauvres Très Endettés (PPTE) du FMI et de la Banque Mondiale.

  1. Reuters in CNN.COM : Cheney sold $35 million in Halliburton stock in August
  2. Rapport Babusiaux, « L’accès des assureurs complémentaires aux données de santé des feuilles de soins électroniques », février 2003.
  3. Transfert, 20 juin 2003.
  4. Voir « L'appel au Jubilé pour l'annulation des dettes et la justice économique ».
  5. Voir la liste des citations au sujet de Jubilé 2000 [5]