Jean Alavoine affiche une forme étincelante et franchit en tête la plupart des cols gravis[Lesquels ?] lors de cette étape. Il s'impose à l'arrivée, réglant au sprint ses quatre compagnons d'échappée, dont Philippe Thys et Henri Pélissier, les deux premiers coureurs du classement général, qui se neutralisent[1].
Jean-Paul Bourgier, Le Tour de France 1914 : De la fleur au guidon à la baïonnette au canon, Toulouse, Le Pas d'oiseau, , 159 p. (ISBN978-2-917971-14-7)..