La pluie accompagne les coureurs dans la troisième étape entre Cherbourg et Brest, ce qui explique le peu d'animation au sein du peloton, au grand regret du directeur de la course, Henri Desgrange. C'est finalement Émile Engel qui s'impose au sprint, apportant la première victoire française sur ce Tour et déjà le deuxième succès pour Peugeot. De nombreux abandons sont enregistrés, tandis que certains favoris perdent toutes chances de briller dans l'épreuve, à l'image de François Faber qui perd de nouveau près d'une demi-heure[1].
Jean-Paul Bourgier, Le Tour de France 1914 : De la fleur au guidon à la baïonnette au canon, Toulouse, Le Pas d'oiseau, , 159 p. (ISBN978-2-917971-14-7)..