2024 par pays en Amérique
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Chronologies
2021 2022 2023 2024 2025 2026 2027 Décennies : 1990 2000 2010 2020 2030 2040 2050 Siècles : XIXe XXe XXIe XXIIe XXIIIe Millénaires : Ier IIe IIIe |
Continent américain[modifier | modifier le code]
- 20 juin au 16 juillet : Copa América 2024 aux États-Unis.
Petites Antilles[modifier | modifier le code]
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Argentine[modifier | modifier le code]
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Bahamas[modifier | modifier le code]
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Belize[modifier | modifier le code]
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Bermudes[modifier | modifier le code]
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Bolivie[modifier | modifier le code]
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Brésil[modifier | modifier le code]
Canada[modifier | modifier le code]
Chili[modifier | modifier le code]
- Février : des incendies de forêt font au moins 131 morts, principalement dans la région de Valparaíso.
Colombie[modifier | modifier le code]
Costa Rica[modifier | modifier le code]
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Cuba[modifier | modifier le code]
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République dominicaine[modifier | modifier le code]
- 19 mai : élections parlementaires et élection présidentielle, Luis Abinader est réélu.
Équateur[modifier | modifier le code]
- 8 janvier : le gouvernement proclame l'état d'urgence dans le pays après l'évasion d'Adolfo Macías Villamar[1] et les violences armées qui ont ensuivi.
- 5 avril : à la suite de l'intrusion policière dans l'ambassade du Mexique à Quito, pour arrêter un ancien vice-président équatorien, Jorge Glas, condamné à six ans de prison pour corruption, qui y avait trouvé refuge (es), le Mexique et le Nicaragua rompent toutes relations avec l'Équateur[2],[3],[4],[5].
- 21 avril : référendum constitutionnel et législatif.
États-Unis[modifier | modifier le code]
Groenland[modifier | modifier le code]
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Guatemala[modifier | modifier le code]
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Guyana[modifier | modifier le code]
Haïti[modifier | modifier le code]
- 5 mars : le gouvernement déclare l'état d'urgence après que des gangs ont pris d'assaut deux prisons et exigé la démission d'Ariel Henry[6].
- 10 mars : l'armée américaine transporte par avion le personnel non essentiel de l'ambassade américaine à Port-au-Prince, dans un contexte d'escalade de la violence dans le pays[7].
- 11 mars : démission du Premier ministre Ariel Henry.
Honduras[modifier | modifier le code]
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Jamaïque[modifier | modifier le code]
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Mexique[modifier | modifier le code]
Nicaragua[modifier | modifier le code]
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Panama[modifier | modifier le code]
- 5 mai : élections législatives et présidentielle, le conservateur José Raúl Mulino est élu.
Paraguay[modifier | modifier le code]
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Pérou[modifier | modifier le code]
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Porto Rico[modifier | modifier le code]
Saint-Pierre-et-Miquelon[modifier | modifier le code]
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Salvador[modifier | modifier le code]
- 4 février : élection présidentielle, Nayib Bukele est réélu.
Suriname[modifier | modifier le code]
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Trinité-et-Tobago[modifier | modifier le code]
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Uruguay[modifier | modifier le code]
Venezuela[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Radio France Internationale, « À la Une: l’état d’exception déclaré en Équateur » , sur RFI, (consulté le )
- Mexique et Nicaragua rompent avec l'Équateur après une irruption policière dans l'ambassade du Mexique sur lefigaro.fr
- Le Nicaragua rompt ses relations diplomatiques avec l’Équateur sur ouest-france.fr
- Le Nicaragua rompt ses relations diplomatiques avec l’Equateur sur lesoir.be
- Après le Mexique, le Nicaragua rompt ses relations diplomatiques avec l'Équateur sur journaldemontreal.com
- « Haïti : un chef de gang menace le pays de « guerre civile » en cas de maintien au pouvoir du premier ministre », sur Le Monde, (consulté le )
- (en) « US military airlifts embassy personnel from Haiti, bolsters security », Reuters, (lire en ligne, consulté le )
- (en) « Puerto Rico Declares Public Health Emergency as Dengue Cases Rise », Time, (lire en ligne, consulté le )