Tracy-le-Mont
Tracy-le-Mont | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Compiègne | ||||
Intercommunalité | CC des Lisières de l'Oise | ||||
Maire Mandat |
Jean-Gourdon 2023-2026 |
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Code postal | 60170 | ||||
Code commune | 60641 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Traçotins, Traçotines | ||||
Population municipale |
1 707 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 92 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 28′ 17″ nord, 3° 00′ 34″ est | ||||
Altitude | Min. 39 m Max. 149 m |
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Superficie | 18,57 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Tracy-le-Mont (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Compiègne (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Compiègne-1 | ||||
Législatives | 5e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
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Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Tracy-le-Mont est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
Le bourg est situé à 15 km au nord-est de Compiègne et à 26 km au nord-ouest de Soissons. Il est aisément accessible depuis la RN 31.
La forêt de Laigue occupe une part importante du territoire communal.
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
Les communes limitrophes sont Attichy, Bailly, Moulin-sous-Touvent, Saint-Crépin-aux-Bois, Saint-Léger-aux-Bois et Tracy-le-Val.
Hydrographie[modifier | modifier le code]
La commune est drainée par le ru Dange et le rue du Daniel, qui se jettent dans l'Oise, affluent de la Seine.
Climat[modifier | modifier le code]
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 741 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Margny-lès-Compiègne à 14 km à vol d'oiseau[3], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Tracy-le-Mont est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Tracy-le-Mont, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[10] et 2 830 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[11],[12].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols[modifier | modifier le code]
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (55,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,6 %), terres arables (34,4 %), zones urbanisées (6,3 %), prairies (3,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement[modifier | modifier le code]
En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 793, alors qu'il était de 771 en 2015 et de 728 en 2010[I 1].
Parmi ces logements, 88,5 % étaient des résidences principales, 2,8 % des résidences secondaires et 8,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,4 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Tracy-le-Mont en 2020 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,8 %) supérieure à celle du département (2,4 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 86 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (85,6 % en 2015), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Typologie | Tracy-le-Mont[I 1] | Oise[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 88,5 | 90,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 2,8 | 2,4 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 8,7 | 7,1 | 8,2 |
Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
La commune est desservie, en 2023, par les lignes 665, 6302, 6321, 6332 et 6334 du réseau interurbain de l'Oise[16].
Toponymie[modifier | modifier le code]
Le nom de la localité est attesté sous les formes Trachi (1133) ; Trachiacum (1166) ; Trapiacus (1171) ; Radulphi Traci (1171) ; Traci (XIIe) ; juxta Traciacum (1216) ; « et villam de Trachi in Esga silva » (1217) ; Fabro de Traceyo (1235) ; Traciacum superius (1247) ; Trochi (1253) ; in monte de Trachi (1304) ; trassy prope compendium (1308) ; Asout de Trachi (1317) ; Trachi in monte (1362) ; Tracy le haut (1527) ; Tracy le comte (1595) ; Trapiacus in monte (1644) ; Tracy-le-Mont (1840)[17].
Bimont est un hameau de Tracy, attesté sous la forme Bimont en 1840[18]. Bimont, de l'adjectif « beau, bel », bas latin bellus, « beau », et du latin mons qui signifie montagne. Le qualificatif beau se rapporte le plus souvent à une construction (château, église) plutôt qu´à une montagne. Ce toponyme est apparu au début du deuxième millénaire et a souvent désigné des sites occupés par des châteaux.
Histoire[modifier | modifier le code]
Moyen Âge[modifier | modifier le code]
La terre de Tracy était une dépendance de la seigneurie de Tracy-le-Val, et qui relevait de la commanderie d'Éterpigny, près de Péronne. L'autel avait été donné aux Hospitaliers, par Simon, évêque de Noyon[19].
L'abbaye Notre-Dame d'Ourscamp possédait des biens à Tracy, l'église de Saint-Médard de Soissons en avait aussi ; en 1304 le moulin dit de Hubelet, près de Tracy, appartenait aux moines d'Ourscamp[19].
Temps modernes[modifier | modifier le code]
On fabriquait autrefois à Tracy des toiles de chanvre, de lin et de coton[19].
Époque contemporaine[modifier | modifier le code]
Vers 1825, Augustin-Louis-Victor des Acres de L'Aigle crée une école libre de filles à Tracy-le-Mont dans une propriété lui appartenant[réf. nécessaire].
À la fin du XIXe siècle, la fabrication des brosses était la principale industrie des habitants de Tracy. Trois fabricants occupaient six cents ouvriers. À cette époque, on pouvait voir dans une ferme les restes d'une construction gothique du XVe siècle, que l'on estimait être une ancienne propriété des chevaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem[19]. L'usine de brosserie Commelin Brénier citée en 1892 et spécialisée dans la préparation de soies de brosserie et fabrication d'articles en celluloïd est détruite par un incendie et reconstruite en 1914, avant le déclenchement de la guerre[20].
Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]
La commune est marquée par les combats de la Première Guerre mondiale.
Il existe un circuit de visite historique passant par le vieux village, la Pansée (au hameau de Bernanval), la nécropole nationale, la Butte des Zouaves et la carrière de la Maison du Garde.
Bernanval[modifier | modifier le code]
Au hameau de Bernanval, on trouve une maison reconvertie durant le conflit en poste de secours ; elle porte sur sa façade un quatrain intitulé « A la Pansée ».
Quennevières[modifier | modifier le code]
En forêt d'Offémont, les monuments de la ferme Bimont honorent les régiments qui se sont distingués à la bataille de Quennevières du 6 au (sur la commune de Moulin-sous-Touvent)[21].
La butte des Zouaves est située à 1,5 km, à vol d'oiseau, au nord de la ferme de Quennevières, en empruntant un chemin praticable au carrefour des départementales 85 et 335. Cette butte rend hommage à des soldats enterrés vivants au cours d'un bombardement. Elle se compose d'un tertre, sous lequel reposent les zouaves, ces soldats venant des colonies et qui ont participé activement aux combats de la ferme de Quennevières, surmonté d'une croix. Certes moins imposant, ce monument s'apparente à la tranchée des baïonnettes près de Verdun, qui rend hommage à tous ces hommes qui ont péri ensevelis dans leur tranchée par suite des bombardements ou des explosions de mines comme celle qui a vu disparaître deux compagnies françaises à la cote 108, près de Berry-au-Bac, le 31 mai 1917.
Carrière de la Maison du Garde[modifier | modifier le code]
La carrière de la Maison du Garde, aménagée par l'armée française pour le cantonnement de ses troupes, porte les emblèmes sculptés de la Musique du 2e Zouaves et du 1er régiment de Génie [22]. Ce dernier participa aux essais d'empoisonnement des lignes ennemies par gaz de combat.
La Reconstruction et l'Après-Guerre[modifier | modifier le code]
À la fin de la guerre, le village a subi d'importantes dégradations[23] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [24].
L'usine de brosserie est reconstruite après la Première Guerre mondiale par les établissements Reygaert de Saint-Quentin, et convertis dans la fabrication de meubles (chaises et tables). L'usine est agrandie au milieu du XXe siècle (partie centrale, sheds en brique au sud-est) soit par Reygaert, soit par Perrier, qui y installe vers 1962 une usine de construction mécanique. Le site est repris en 1972 par la société Poclain Hydraulics qui devient Case Poclain à partir de 1987. En 1989, elle emploie 233 salariés[25]. Les ateliers de fabrications en shed de la brosserie Commelin Brénier sont, eux, reconstruits en 1923, et l'entreprise poursuit son activité jusqu'en 1953, date à laquelle elle est convertie en usine de meubles Frédéric Duterne et de fabrication de postes radio et téléviseurs. En 1962, ces locaux occupaient plus de 20 salariés pour chacune des deux entreprises, puis, en 1983, 20 salariés pour Duterne et 30 salariés pour Impérator[20].
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]
La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la cinquième circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton d'Attichy[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune a intégré le canton de Compiègne-1.
Intercommunalité[modifier | modifier le code]
La commune est membre de la communauté de communes des lisières de l'Oise, créée en 2000 sous le nom de communauté de communes du canton d'Attichy, et qui a pris son nom actuel en 2015.
Cette intercommunalité résulte de la transformation du district du canton d'Attichy créée le , qui avait succédé au SIVOM créé le et qui regroupait déjà les communes de l'ancien canton d'Attichy.
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
Évolution démographique[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].
En 2021, la commune comptait 1 707 habitants[Note 3], en diminution de 1,84 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges[modifier | modifier le code]
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,4 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 882 hommes pour 848 femmes, soit un taux de 50,98 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- L'église Saint-Brice, un édifice de plan très allongé résultant, pour l’essentiel, d’une reconstruction effectuée au XVIe siècle restauré après les destructions de la |Première Guerre mondiale]. L'ouest de l'édifice et le bas-côté sud sont de style gothique flamboyant , et les quatre premières travées du bas-côténord ainsi que le clocher sont de style renaissance tardif
Elle contient des éléments de mobilier liturgique du XIIIe au XVIIIe siècle[39].
- Anciennes usines de brosserie; 28 rue de Bailly[25] et 2 rue de Nervaise[20], avec un séchoir en cours de sauvetage[Quand ?].
- Jardins d'agrément du château d'Ollencourt (ou château Nervaise) et de la maison de santé d'Ollencourt.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Victor de l'Aigle (1766 - 1867) : décédé à Tracy-le-Val le , à 101 ans, ce personnage éminent de l'Oise, vers 1825, crée une école libre de filles à Tracy-le-Mont dans une propriété lui appartenant. Par acte du , il fait donation de cette propriété à la commune sous condition : « d'employer l'immeuble donné à l'usage d'école communale de filles, la volonté formelle du donateur étant qu'on ne puisse lui donner une autre destination ».
En 1981, cette maison sise au 16 rue des Cornouillers a cessé d'être utilisée comme école. En 1989, à la demande de la municipalité, les descendants de la famille ont autorisé la commune à vendre cette propriété pour financer la construction de la nouvelle salle municipale et ont émis le vœu qu'y soit donné le nom de leur ancêtre. Le Centre socio-culturel Victor-de-l'Aigle a été inauguré le samedi en présence des descendants. Par ailleurs, la ville de Compiègne porte une rue au nom des Acres. - Raoul Frary (1842 - 1892) : journaliste et essayiste est né à Tracy-le-Mont.
- Charles Loonen, industriel et voyageur français., y est mort.
- Édith Arnoult-Brill (1949-2020), professeure de sciences sociales, membre et vice-présidente du Conseil économique, social et environnemental, y est née.
Tracy-le-Mont dans les arts et la culture[modifier | modifier le code]
La commune est citée dans le poème de René Guy Cadou, La Saison de Sainte-Reine.
Héraldique[modifier | modifier le code]
Blason | Écartelé : aux 1) et 4) d'or à trois pals alésés de sinople, de tailles croissantes de dextre à senestre dans le 1er et décroissantes dans le 4e, aux 2e et 3e d'or au cœur de sinople[40]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Site des associations de la commune de Tracy le Mont
- « Dossier complet : Commune de Tracy-le-Mont (60641) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, 14/11//2023 (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 33 NO, Soissons [Nord-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes[modifier | modifier le code]
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références[modifier | modifier le code]
Site de l'Insee[modifier | modifier le code]
- « Chiffres clés - Logement en 2020 à Tracy-le-Mont » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Tracy-le-Mont - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Tracy-le-Mont - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources[modifier | modifier le code]
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Tracy-le-Mont et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Tracy-le-Mont », sur insee.fr (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Transports en commun à Tracy-le-Mont », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
- Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 564.
- Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 60.
- Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, Imprimerie A. Mennecier, , 432 p. (lire en ligne), p. 33-34, lire en ligne sur Gallica.
- « Brosserie Commelin Brénier ; puis usine de meubles Duterne ; puis usine de matériel radioélectrique Imperator Radiotélé, puis Constructions Electroniques de l'Oise, puis Radiotélévision de l'Oise », notice no IA60001044, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Illustrations photographiques des monuments de 14-18 », sur ce.qui.demeure.pagesperso-orange.fr (consulté le ).
- « Historique de la compagnie 4/1 du 1er régiment du Génie », sur jburavand.free.fr (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 12 août 1920, p. 11718.
- « Brosserie ; puis usine de meubles Reygaert ; puis usine de construction mécanique Perrier, puis Poclain Hydraulics, puis Case Poclain », notice no IA60001043, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Les maires de Tracy-le-Mont », sur francegenweb.org (consulté le ).
- « Henri, Louis, Espérance des Acres de l'Aigle (1803 - 1875) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
- « Le maire va démissionner », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « S'il devrait rester conseiller municipal, Jacques-André Boquet sera très certainement remplacé par sa première ajointe à la mairie de Tracy-le-Mont, Sylvie Valente. Cette dernière reprendra aussi le poste de vice-présidente de la communauté de communes ».
- Sylvie Valente-Le Hir, « Éditorial », Chronique de Tracy-le-Mont, , p. 3 (lire en ligne [PDF], consulté le ) « En novembre M. Boquet a cessé ses fonctions de maire, il a été remplacé par Mme Valente-Le Hir. Ce changement n’affecte, ni ne démotive le conseil municipal. C’estla même équipe qui continue la même politique, avec la même volonté de garder Tracy-le-Mont vivant, de vivre ensemble, et d’embellir et aménager notre commune. ».
- Réélue pour le mandat 2020-2026 : A.C., « Lisières de l'Oise : les nouveaux maires et ceux attendus », Oise Hebdo, no 1369, , p. 18 (ISSN 1774-6418).
- « Élections sénatoriales dans l’Oise : triomphe pour Olivier Paccaud : Le sénateur (DVD) de 54 ans obtient 41,67 % des voix, permettant à sa colistière Sylvie Valente-Le Hir d’obtenir également un siège au sénat. Si Édouard Courtial (DVD) a été réélu et qu’Alexandre Ouizille (PS) succède à Laurence Rossignol, Jérôme Basher (LR) est le grand perdant de cette élection », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Tracy-le-Mont (60641) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- Dominique Vermand, « Tracy-le-Mont, église Saint-Brice : Diocèse : Noyon », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
- « Blason… », sur armorialdefrance.fr.