n°20 : Palais Marie-Christine : sur la façade, deux macarons avec chacun les lettres M et C entrelacées et surmontées d'une couronne. C'est cette couronne qui fait penser que ce palais porte le nom de la reine Marie-Christine qui visita la ville de Nice avec son époux le roi Charles-Félix de Sardaigne.
Palais Marie-Christine. 20 Rue de France. Direction NE.
n°21 (au coin de la rue du Congrès) : Palais du Congrès
n°22 : emplacement galerie d’art « Romanin » (du nom d’un château dans les Alpilles[1]) ouverte par Jean Moulin durant l’Occupation. Début 2012 l’appartement (un simple studio en fait) en étage habité par Jean Moulin a été mis en vente et certains demandent qu’il soit transformé en musée [2].
n°24 : Palais de la Buffa : la rue de la Buffa est parallèle à la rue de France.
Vue générale.
Détail de décoration nominatif.
n°27 : La Croix de Marbre, mais la plaque a été reprise et le début xxLAxx a pu remplacer le mot PALAIS
n°65 : Palais Massena : en fait il s'agit de la Villa Massena (comme indiqué de part et d'autre du portail) léguée par la famille du Maréchal Massena pour accueillir le Musée Massena mais l'appellation n'a pas manqué de se transformer en Palais Massena dans l'usage comme l'atteste le Parking Palais Massena voisin. Due à l'architecte Aaron Messiah, la villa a été achevée en 1905 (?). La parcelle donne sur la rue de France, la rue de Rivoli et la promenade des Anglais. Le Musée Masséna est réaménagé et ouvert.
n°109 : Palais de France : le nom du palais est celui de la rue.
Vue générale.
Entrée de l'immeuble (avec plaque nominative).
n°111 : Palais Acquaviva.
Vue générale.
Détail en partie haute.
Porte d'entrée.
n°113 : Palais Nicole : R. Guillaume architecte 1923.
Porte d'entrée.
n°121 rue de France (et 61, promenade des Anglais) : villa Furtado-Heine. Actuellement propriété des Armées pour résidences ; encore appelée « Villa des Officiers ».
n°125 rue de France : Gloria Mansions, 1934. Ce bâtiment est classé aux Monuments historiques nationaux.
↑ Philippe Fiammetti, « L’appartement niçois de Jean Moulin est à vendre : Situé au 22, rue de France, il a servi de cache pour la Résistance », page 9 in Nice-Matin (supporte papier) du samedi 7 janvier 2012.
↑Francis Lumineau, « Maison de Jean Moulin : pétition pour un musée. Le 9 janvier 2013, une plaque fut dressée à son honneur à cette adresse», page 12 in Nice-Matin (support papier) du mercredi 18 janvier 2012.