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Rue Rabelais (Paris)

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8e arrt
Rue Rabelais
Voir la photo.
La rue Rabelais en 2021.
Voir la plaque.
Situation
Arrondissement 8e
Quartier Faubourg-du-Roule
Madeleine
Début Avenue Matignon
Fin Rue Jean-Mermoz
Morphologie
Longueur 118 m
Largeur 10 m
Historique
Création 1769
Dénomination 1850
Ancien nom Ruelle Rousselet
Rue Rousselet-Champs-Élysées
Géocodification
Ville de Paris 8001
DGI 7980
Géolocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Rue Rabelais
Géolocalisation sur la carte : 8e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 8e arrondissement de Paris)
Rue Rabelais

La rue Rabelais est une voie du 8e arrondissement de Paris.

Situation et accès[modifier | modifier le code]

Longue de 118 mètres, elle commence avenue Matignon et se termine rue Jean-Mermoz.

Le quartier est desservi par les lignes 1 et 9 à la station Franklin D. Roosevelt et par la ligne 9 la station Saint-Philippe du Roule.

Origine du nom[modifier | modifier le code]

Portrait anonyme de François Rabelais.

Elle porte le nom de l'écrivain français François Rabelais (1483-1553).

Historique[modifier | modifier le code]

Dès 1769, cette voie était indiquée sous le nom de « ruelle Rousselet ». Elle s'étendait alors jusqu'au chemin devenu aujourd'hui la rue du Cirque.

Suivant un traité conclu le entre la ville de Paris et le maréchal-duc de Coigny, propriétaire d'un hôtel particulier situé à proximité, rue du Faubourg-Saint-Honoré, elle resta fermée pendant vingt ans avant d'être ouverte en 1846 jusqu'à la rue Montaigne (actuelle rue Jean-Mermoz).

Elle reçut sa dénomination actuelle en vertu d'une délibération de la commission municipale de Paris du approuvée par un décret du .

Une ordonnance royale du a fixé la largeur de la rue à 10 mètres.

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]

Bâtiments détruits[modifier | modifier le code]

  • No 1 : hôtel de l'ingénieur Gustave Eiffel (1832-1923)[1], qui en fit l'acquisition en 1890[2] et y vécut jusqu'à sa mort, construit par l'architecte Henri Parent. L'architecte André Granet (1881-1974), marié à une petite-fille de Gustave Eiffel, y a également vécu. Détruit et remplacé par un immeuble moderne.

Sources[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Rochegude, op. cit., p. 32.
  2. François Vey, La tour Eiffel, vérités et légendes, Perrin, 2018 (ISBN 978-2262072322).

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]