Pierre Beaumirault
| Pierre Beaumirault | ||||
 Le menhir, vu de côté | ||||
| Présentation | ||||
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| Nom local | Pierre Beau-Mirault, Pierre du Beau Miroir, Beau Mirou, Pierre Mirou[1] | |||
| Type | Menhir | |||
| Période | Néolithique | |||
| Faciès culturel | Mégalithisme | |||
| Protection |  Inscrit MH (1978)
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| Visite | accès libre | |||
| Caractéristiques | ||||
| Matériaux | Grès | |||
| Géographie | ||||
| Coordonnées | 48° 34′ 39″ nord, 2° 13′ 33″ est | |||
| Pays |  France |
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| Région | Île-de-France | |||
| Département | Essonne | |||
| Commune | Bruyères-le-Châtel | |||
| Géolocalisation sur la carte : Essonne
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Géolocalisation sur la carte : France
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La pierre Beaumirault est un menhir situé à Bruyères-le-Châtel, dans le département de l'Essonne, dans le sud de la région parisienne, en France. Il est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1978.
Caractéristiques[modifier | modifier le code]
La pierre Beaumirault est un menhir, érigé sur l'actuelle commune de Bruyères-le-Châtel dans l'Essonne, au sud du village, près de la limite avec Breuillet et Égly. Il s'élève dans une zone boisée sur une petite presqu’île artificielle créée sur la rive sud-ouest de l'Orge par le creusement d’un bassin de retenue dit bassin de Trévoix.
Il est constitué d'un bloc de grès de Fontainebleau[1], grossièrement triangulaire, d'environ 1,90 m de hauteur, large de 2 m à la base et épais de 0,25 m à 0,70 m[1]. Il est fortement incliné « depuis une date inconnue mais ancienne »[1]. Il s'enfoncerait dans le sol sur au moins 1,5 m de profondeur[2]
Historique[modifier | modifier le code]
Le menhir date du Néolithique. À l'époque moderne, il est mentionné sur les cartes dès 1619, sous le nom de pierre du Beau Miroir, déformé ensuite en Beaumirault ou Mirou. Il est inscrit au titre des monuments historiques le [3]. Le site est propriété de la commune.
Folklore[modifier | modifier le code]
Selon G. Courty, le menhir est associé à la légende de Gargantua. Selon une version, le menhir était un caillou glissé dans sa chaussure dont il se serait débarrassé à cet endroit. Dans une autre version, la pierre serait un étron pétrifié du géant[1].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Bénard 2012
- Peek 1975, p. 245
- « Menhir », notice no PA00087843, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
Annexes[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- John Peek, Inventaire des mégalithes de France, vol. 4 : Région parisienne, Paris, CNRS, , 408 p. (ISBN 2-222-01772-6), p. 245.
- Alain Bénard, Les mégalithes de l'Essonne, t. XXI, Paris, Société historique et archéologique de l'Essonne et du Hurepoix, , 120 p. (ISSN 1157-0261), p. 25
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Lien externe[modifier | modifier le code]
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