Maria Rosaria Omaggio

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Maria Rosaria Omaggio
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Maria Rosaria Omaggio en 2012.
Naissance (70 ans)
Rome, Italie
Nationalité Drapeau de l'Italie Italienne
Profession Écrivain, Actrice de cinéma, de télévision, de théâtre

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Maria Rosaria Omaggio (née le à Rome) est une écrivain et actrice italienne.

Biographie[modifier | modifier le code]

D'origine napolitaine, elle commence sa carrière très jeune et devient populaire grâce à sa participation à Canzonissima en 1973-74, animée par Pippo Baudo[1], avant de se tourner vers le cinéma et le théâtre. Elle est également ambassadrice de bonne volonté de l'UNICEF Italie[2]. Elle est également une instructrice de tai-chi-chuan agréée par le C.S.I-Centro Sportivo Italiano, formée par le maître Li Rong Mei (it).

Elle a fait la couverture de l'édition italienne de Playboy en , et , tandis qu'en , elle a fait la couverture de Playmen.

Activités cinématographiques[modifier | modifier le code]

En 1976, elle fait ses débuts au cinéma avec les poliziotteschi Brigade spéciale et Flics en jeans, aux côtés de Maurizio Merli et Tomás Milián. Parmi les films dans lesquels il a joué, citons La lozana andaluza (es) (1976) de Vicente Escrivá ; Culo e camicia (1981) de Pasquale Festa Campanile ; Giocare d'azzardo (it) (1982) de Cinzia TH Torrini ; Les Aventures d'Hercule (1985) de Luigi Cozzi ; François Villon de Serge Nicolaescu ; Occhio nero occhio biondo occhio felino... (it) (1984) d'Emma Muzzi Loffredo ; Era una notte buia e tempestosa... (it) (1985) d'Alessandro Benvenuti ; Un'altra lei, un court métrage de Rocco Mortelliti pour Intolerance ; Un paradiso di bugie de Stefania Casini ; Guido che sfidò le Brigate Rosse de Giuseppe Ferrara ; Guardando le stelle de Stefano Calvagna ; L'ave maria de Ninì Grassia et To Rome with Love de Woody Allen. Dans le film L'Homme du peuple d'Andrzej Wajda, présenté à la Mostra de Venise 2013, elle joue le rôle d'Oriana Fallaci, qui a interviewé le leader de Solidarnosc en 1981.

Pour son interprétation, elle remporte le prix Pasinetti à la Mostra de Venise ; l'Arechi d'oro au Festival international du film de Salerne[3] et le prix Oriana Fallaci 2014[4]. Elle écrit, réalise et joue dans le court métrage Hey you!, sur une musique de Premiata Forneria Marconi, présenté au Festival du film de Giffoni 2015[5].

Activités littéraires[modifier | modifier le code]

En tant qu'autrice, elle a collaboré avec de nombreuses revues et a publié Viaggio nell'incredibile (Prix Fregene[6]) pour Edizioni Mediterranee[7] ; L'energia trasparente: curare con cristalli, pietre preziose e metalli[8], traduit en six langues. Elle a écrit chez les éditions Corbaccio-Longanesi C'era una volta, c'è sempre e ci sarà ancora (Prix Chiantino 1998)[9] et Il linguaggio dei Gioielli - il significato nascosto e ritrovato dell'eterna arte dell'ornamento dalla A alla Z, chez les éditions Baldini & Castaldi Dalai[10].

Filmographie sélective[modifier | modifier le code]

Omaggio en 1975.

Au cinéma[modifier | modifier le code]

À la télévision[modifier | modifier le code]

  • "Canzonissima" (Rai) - Saison: 1973-74
  • Racconti fantastici
  • Sarto per signora
  • Il Generale
  • Edera
  • Passioni
  • Micaela
  • Caro maestro 2
  • Donne di Mafia
  • La squadra (série Tv Rai)
  • Don Matteo (série Tv Rai) : saison 5
  • A fari spenti nella notte.

Théâtre[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ (it) « Canzonissima... un tempo », sur rai.it
  2. ↑ (it) « I Goodwill ambassador di UNICEF Italia », sur unicef.it
  3. ↑ (it) « 8 marzo: Maria Rosaria Omaggio, per le donne l'amore è la vita, come dice Marquez », sur adnkronos.com
  4. ↑ (it) « Premio Oriana Fallaci 2014 a Maria Rosaria Omaggio », sur thankyouoriana.it
  5. ↑ (it) « Hey you! », sur giffonifilmfestival.it (version du sur Internet Archive)
  6. ↑ (it) « Premiati », sur premiofregene.it
  7. ↑ (it) « Viaggio nell'Incredibile », sur edizionimediterranee.net (version du sur Internet Archive)
  8. ↑ (it) « L'energia trasparente », sur mariarosariaomaggio.it
  9. ↑ (it) « A Rondolino il premio Chiantino », sur repubblica.it
  10. ↑ (it) « Il linguaggio dei gioielli. Il significato nascosto e ritrovato dell'eterna arte dell'ornamento dalla A alla Z », sur libreriauniversitaria.it

Liens externes[modifier | modifier le code]

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