Liste des familles de la noblesse roumaine

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Les familles de la noblesse roumaine (en roumain: nobilimea română) sont celles jadis détentrices de la terre et de franchises spécifiques appelées jus valachicum, essentiellement issues des trois principautés où vivaient les populations roumanophones : la Principauté de Transylvanie (1111-1867), la Principauté de Valachie (1330-1859) et la Principauté de Moldavie (1359-1859). La noblesse roumaine ne ressemble pas aux aristocraties occidentales : il ne s'agissait initialement pas d'une noblesse titrée (exception faites pour les familles qui ont reçu, au fil de l’histoire, des titres de l’empereur du Saint-Empire, le roi de Pologne, le tsar de Russie). Les nobles roumains (en roumain nobilii români) étaient globalement désignés comme « boyards » (en roumain : boieri) et les plus anciens étaient, pour certains, issus des boilas bulgares, ou bien d'origine coumane comme la dynastie des Basarab ; à partir du XVIIe siècle s'y adjoignirent de nombreuses familles d'origine grecque, albanaise ou autre, indistinctement qualifiées de « phanariotes » parce que la plupart venaient du Phanar, quartier chrétien de Constantinople ; inversement, en Transylvanie la noblesse roumaine est progressivement devenue hongroise à l'exemple des Corvinides ou de la famille Nopcea, et en Moldavie elle est devenue russe comme une partie de la famille Movilă[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Bien qu'il n'y ait pas eu de titres à proprement parler, la noblesse était très puissante les trois principautés : elle élisait les souverains, le plus souvent en son sein (voir liste des souverains de Moldavie, liste des souverains de Transylvanie et liste des souverains de Valachie). Les nobles possédaient d'énormes domaines et jouaient un rôle majeur dans le choix des alliances formées par les principautés. Les familles moins aisées et moins prestigieuses servaient dans les armées ou à la cour ; ils avaient de plus petites domaines. Au cours des siècles, plusieurs rangs de boyards se sont progressivement différenciés : seules les familles ayant obtenu des fonctions à la cour étaient considérées comme des « grands boyards » (roumain : boieri mari). Les autres étaient des petits boyards (boieri mici) voire des boyards pauvres (boieri legați cu tei, littéralement « boyards aux ceintures en écorce de tilleul »). Cette différenciation avait des causes généalogiques (accumulation ou au contraire morcellement des domaines au fil des générations), politiques (les perdants de tel ou tel groupe ou complot se voyaient confisquer leurs biens) ou religieuses (des boyards sans descendance léguaient leurs terres aux monastères, qui finirent au début du XIXe siècle par détenir autant de surface que la noblesse)[2].



Familles existantes[modifier | modifier le code]

Prince[modifier | modifier le code]

Nom Note Ancienneté Blason
D'origine Magyar, la famille Apafi descend de Bethlen, fils de Lőrinc et vivant au XIIe siècle, il eut deux fils : Péter, qui prit le nom de son père et fonda la famille Bethlen, et Olivér, dont les descendants (fils et petit-fils) donneront la famille Apafi[B 1]. XIIe siècle
D'origine Phanariote, la famille Argyropoulos, d'origine phanariote installée en Roumanie, apparaît sous le nom «Argyre» dès le VIIIe siècle. Elle est originaire de l'empire byzantin et plus particulièrement de la zone autour de la forteresse de Charsianon en Cappadoce[C 1]. VIIIe siècle
D'origine Magyar, la famille Batthyány fait remonter sa généalogie à Coers, compagnon d'Árpád en 884. Elle est élevée à la dignité de baron de l'Empire en 1585, à celle de comte en 1630 (branche cadette) et de prince (branche aînée) en 1764[B 2].
D'origine Valaque, la famille Bibescu est une famille de boyards valaque, distinguée dans l'histoire de l'empire ottoman, de la principauté de Valachie et du royaume de Roumanie. Fondée au début du XVIe siècle, la famille acquit un grand prestige avec Georges III Bibescu[A 1].
D'origine Valaque, la famille Brâncoveanu était une famille de boyards de Valachie, descendant de Basarabești. Au XVIIe siècle, le représentant le plus important de la famille était Preda Brâncoveanu, un personnage proche et lié au voïvode Matei Basarab[A 2].
D'origine Phanariote, la famille Callimachi est d'origine moldave, les Chroniques de la Moldavie l'appellent «Calmâsul». Au XVIIe siècle, le prince Philippe Callimachi était secrétaire de l'empereur Léopold Ier du Saint-Empire; après sa mort, il se serait établi en Moldavie[C 2].
D'origine Phanariote, la famille Cantacuzène était déjà une des plus illustres et des plus puissantes parmi les phanariotes au XVIIe siècle, régnant alternativement sur les deux principautés roumaines[C 3].
D'origine Phanariote, la famille Caradja a émigré à Constantinople déjà vers la fin du XVe siècle, nous y trouvons Jean Caradja, dont le fils, Constantin Caradja était Commissaire des Vivres de l'armée ottomane en 1560. Elle aurait été officier chez les Khan de Crimée[C 4].
D'origine Valaque, la famille Cuza appartient à la classe noble traditionnelle des boyards, majoritaire dans les gouvernements locaux de Valachie et de Moldavie, gardant le contrôle de la terre. De mouvance libérale, fondée par Alexandre Cuza, et francophile[A 3].
La famille Dabija est parmi les plus importantes de Moldavie, cette famille est bien connue depuis le début du XVIIe siècle. La famille devient princière en 1661 lors du règne de Eustatie Dabija, il a régné trois ans sur la Moldavie[A 4].
D'origine Phanariote, la famille Ghica, d'origine arvanite, émigra à Constantinople au XVIIe siècle. Elle fournit de nombreux princes de Moldavie et de Valachie, en 1673 l'empereur Léopold Ier du Saint-Empire lui décerna le titre de prince du Saint-Empire[C 5].
D'origine Phanariote, la famille Mavrocordato, originairement de Constantinople, avait émigré déjà avant la prise de cette ville par les Turcs. Beaucoup furent élu prince de Valachie et aussi de Moldavie. Catherine II de Russie lui conféra le titre de prince de l'empire[C 6].
D'origine Phanariote, la famille Manos est originaire de Kastoria, en Macédoine, s’installe à Constantinople avec Manolaki (né vers 1655), fils de Georges et petit-fils d'Emmanuel Philippou (1610-1699). Il est nommé Grand Logothète du patriarche de Constantinople[C 7].
D'origine Phanariote, la famille Mourousis appartient à une ancienne famille byzantine. Ils habitèrent l'empire de Trébizonde et s'allièrent à la famille impériale par le mariage d'un des leurs avec la fille du dernier empereur David Comnène[C 8].
D'origine Valaque, la famille Racoviță est une famille de boyards qui, bien que d'origine purement moldave, est considérée comme phanariote. Cette famille joua un rôle important dans les Principautés danubiennes de Moldavie et de Valachie au XVIIIe siècle[A 5]. XVe siècle
XVIe siècle
D'origine Phanariote, la famille Rosetti est d'origine grecque : le premier membre épouse une sœur d'Andronic Cantacuzène. C'est ce qui permet à Antonie Ruset, de régner sur la Moldavie. Sa famille s'intègre aux Phanariotes au cours des XVIIe siècle et XVIIIe siècle[C 9]. XVIIe siècle
D'origine Phanariote, la famille Soutzoest originaire d'Epire, le nom primitif de la famille parait avoir été celui de «Draco», et c'est par ce nom que les princes Soutzo ont toujours été désignés dans les Décrets Impériaux turcs. Ils régnèrent sur la Valachie[C 10]. XVIe siècle
D'origine Valaque, la famille Știrbei remonte au XVIe siècle, il existe certaines traces de l'existence de cette famille, déjà florissante à cette époque, et qui était étroitement liée à Buzeştii. Certains princes de cette famille ont régné sur la Valachie[A 6]. XVIe siècle
La famille Sturdza est une vieille famille valaque, descendant de Jon Vlad Tourzo, Hospodar de Transylvanie en 1432, duc d'Almassu et de Fagarassu. La famille est rentrée également au service de la famille impériale de Russie[C 11]. XVe siècle
XVIIe siècle
D'origine Phanariote, la famille Ypsilántis appartient à une ancienne famille byzantine, qui avait déjà donné un Patriarche à Constantinople, qui suivit Alexis Ier Comnène, lorsqu'il alla fonder l'empire de Trébizonde en 1204. Elle occupa toujours une haute position[C 12]. XIIIe siècle

Boyard[modifier | modifier le code]

Nom Note Ancienneté Blason
Famille installée en Moldavie, depuis l'époque de Basile le Loup au XVIIe siècle. En effet, comme la famille Cerchez, elle était originaire du Caucase, dont une partie est une région habitée par le peuple "Abazine". En 1700, Vornicul Ilie Abază accompagna Dimitrie Cantemir en Russie, il entra dans l'armée de Pierre le Grand, comme beaucoup de Roumains à cette époque et accéda au grade de colonel. En 1710, Ion Abază, l'abbé de Tchernivtsi, accompagnait deux agents turcs qui enquêtaient sur le cas d'une violation du territoire moldave par les Russes, près du fleuve Prut; ce boyard est probablement un frère du précédent. La famille Abază étaient apparentés aux familles Sturdza, Moţoc et autres. On ne sait pas si Abază Siyavuş Pacha Ier, n'était pas de cette famille[A 7]. XVIIe siècle
Ancienne famille datant du XIVe siècle, Luca Arbore, gouverneur du Neamtzu, est le fondateur de la famille. Son fils, Hatman Luca Arbore, le célèbre gardien de Suceava, célèbre boyard à la fin du XVe siècle et au début du XVIe siècle. Conseiller de confiance d'Étienne le Grand, il reste sous Bogdan et, à sa mort, il reste chef du pays pendant la minorité de Stefanita. Sous Petru Vodă Rareş on rencontre aussi, comme Hatman, Mihu Arbore, qui quitte ce prince en 1538, pour passer à son adversaire Ştefan V. Lăcustă, qu'il quitte également. En 1545, les boyards Gliga et Ion Arbore ont fui la Moldavie vers la Pologne avec deux religieuses. Ce boyard Gliga était le fils de Mihu Hatman. En 1628, il était mentionné comme tradition les anciennes fortunes de cette famille, qui s'étaient transmises de génération en génération[A 8]. XIVe siècle
Vieille famille dont les origines remontent à Ivan Asen Ier, Tsar des Valaques-Bulgares dans les Balkans, vers 1190. Cet Asan qui avec son frère Petre a rejeté la domination byzantine, était roumain même dans les montagnes des Carpates. Son fils Ion s'appelait Asan, du nom de son père et donc de toute la postérité régnant sur l'empire valaque-bulgare. connue sous le nom de dynastie Asan. Asan est tué en 1196, Pierre en 1197. Vient ensuite Ioniţă Asan (1197 - 1207) le célèbre conquérant de Baudoin de Flandre, et celui qui reçut le titre d'empereur, 1204. Viennent ensuite tour à tour : Ion Asan, Caliman et Mihail Asan ( - 1257), après quoi on n'entend plus parler de leurs descendants. Ils étaient alliés à la famille impériale des Comnènes. Les derniers descendants de la famille moldave Asan, qui ont ensuite déménagé en Valachie[A 10]. XIIe siècle
Famille originaire du village de Băbeni à Velcea, où elle apparaît à partir du XVIIe siècle. À travers des documents, on retrouve en 1635 l'un d'entre eux, à savoir Cernat de Băbeni ; et un peu plus tard en 1642 Iane, Seigneur de Băbeni. Un Velcul de Babeni vivait vers 1694, date à laquelle il est cité par une note. Au début du siècle dernier (1700) nous trouvons Tom vivant à Băbean; et en 1742 (id. Arh.) sur « Mihai logofetul, feciorul Tomei Băbean ». Cette année, que Michael a écrit les actes princiers de Michael Vv. Racoviţă. En même temps que lui se trouvait Stroe Băbeanul (1732), cité dans le testament du vornique Ilie Otetelişanu de 1732. On ne peut rien savoir de la parenté entre eux, comme de leur personne, aucun d'entre eux ne jouant un quelconque rôle, mais étant plutôt un country boer, ou un logo sur le canapé[A 11]. XVIIe siècle
Originaire de Marmatie
D'origine phanariote
D'origine phanariote
  • Crăsnaru
D'origine transylvaine
D'origine phanariote
  • Jora
D'origine polonaise de l'Empire russe
D'origine transylvaine
  • Racotă
La famille Vĕrzaru est une famille de boyards originaire de la région de Teleorman, dont faisait partie Constantin Verzaru, grand échanson du prince souverain de Valachie qui a péri dans la lutte entre les Turcs et les Germains[A 97].
La famille Vlădescu (ro) originaire de Târgoviște, son ancienneté prouvée remonte à la seconde moitié du XVIe siècle. Ils possédèrent les domaines Ylădeniisi d'Argeş, dirigés par d'anciens seigneurs. La famille se divisa en deux branches au XVIIe siècle[A 98].
La famille Vlădoianu (ro) est une ancienne famille d'Olténie, où ils sont parmi les boyards du XVIIe siècle. Constantin Vlădoianu est inscrit en 1718 et 1720, dans la liste des principaux boyard de Dolj, avec des contributions à l'administration autrichienne[A 99].
La famille Zătreanu est une famille de boyards originaire d'Olténie, des documents prouvent leur existence depuis le début du XVIIe siècle. Le nom de famille est un dérivé du domaine longtemps détenu par ses ancêtres: Zătreniî de Dolj[A 100].

Noble[modifier | modifier le code]

Nom Titre Note Blason
Baron La famille Apor revendique la descendance du chef hongrois Apor (en), connu pour avoir assiégé Constantinople, il était notamment un fils légitime du Grand-Prince Árpád. La famille Apor habitait une forteresse Bálványos (en) qui se trouve à Turia[4].
Baron La famille Bánffy est l'une des plus importantes familles nobles de Transylvanie. Ses membres ont joué d'importants rôles politiques et culturels. Ils dominèrent la région de Cluj-Napoca pendant plusieurs siècles. La branche comtale s'éteint en 1950[4].
Baron La famille Bornemisza est une famille sicule de Transylvanie où ils eurent un rôle important. D'origine obscure, elle portait autrefois le nom de «Csutak de Kászon-impérfalva». Elle reçoit un blason du prince Georges Ier Rákóczi en 1633[4].
Baron La famille Brukenthal portait, à l’origine, le nom de Brekner. En 1724, le père de Brukenthal, Michael, d’origine modeste, fut en 1712 anobli par l’empereur Charles VI, en récompense de sa conduite loyale durant la guerre dite des Kuruc[5].
Comte La famille Csáky est issue du clan «Csák», elle fit construire le château de Csák. En près de mille ans, la famille a donné deux Princes de Transylvanie et un comte des Sicules. De nombreux évêques, prévôts, chanoines, abbés, moines et nonnes.
Comte Famille de magnats hongrois.
Seigneur Famille de magnats hongrois.
Comte
Baron
Baron
Chevalier
La famille Flondor (ro) est originaire de Bucovine, et se nommait initialement Albotă : Toader, aprod (page) sous Basile le Loup portait une cuirasse en raison de laquelle il fut surnommé Fliondor, qui devînt son patronyme[6]. On a supposé que cette cuirasse pouvait avoir été fabriquée par un armurier francophone surnommé « Front d'or ».
Chevalier La famille Goian (ro) est une ancienne famille moldave du duché de Bucovine, qui est connue déjà à l'époque de Étienne III de Moldavie. Moldoveni, ancien village de Bucovine, appartenait à cette famille[7].
Comte
Baron La famille Hurmuzachi est bucovinienne d'origine grecque (Hormouzakis). Au cours des XVIIe siècle et XIXe siècle, ils ont été associés au domaine de Ciornica en Bucovine. Ils étaient connus comme d'éminents avocats et historiens[9].
Comte
Baron
Comte D'origine Magyar, la famille Pálffy a reçu le statut de baron hongrois en 1581. Nicolas (Miklós) II Pálffy d'Erdőd (1552-1600), originaire du château de Csábrág (Čabraď) et ispán du comitat de Pozsony (Bratislava), était un chef militaire. Ils ont été anobli comte et prince[B 9].
Seigneur La famille Rațiu (ro) est l'une des plus anciennes familles nobles roumaines du territoire de la Transylvanie. L'existence de la famille est attestée depuis l'époque de Sigismond de Luxembourg au XIVe siècle. La famille est originaire de Noșlac.
Boyard La famille Sbĭera, boyards de Bucovine, est citée par Popa Iuga dès l'époque d'Alexandre Ier de Moldavie, qui favorisa ses descendants Ilie et Ștefan (1401-47)[10].
Baron La famille Stârcea est une famille moldave, qui reçut en Bucovine le titre de «baron», accordé par l'empereur d'Autriche. La famille est restée en Bucovine, après sa séparation de la Moldavie, ainsi que d'autres vieilles familles de boyards[12].
Comte La famille Teleki est une famille aristocratique magyar de Transylvanie, originaire de Teleac dans le Județ de Mureș en Roumanie. Elle est anoblie avec le titre de Comte du Saint-Empire en 1697 par l'empereur Léopold Ier du Saint-Empire[13].
Comte La famille Vasilco-Serețchi (ro), d'origine ukrainienne (Vasilko) mais fortement engagée dans la renaissance culturelle roumaine en Bucovine, a donné les seuls comtes d'origine roumaine dans tout l'empire d'Autriche.
Comte La famille Wass est l'une plus anciennes familles transylvaines. Ses archives remontent à l'an 1230, date à laquelle Béla IV de Hongrie confirme un don de terres aux frères Lób et Tamás: neuf villages dans le comté de Doboka.

Familles éteintes[modifier | modifier le code]

  • Balică
  • Basarab
  • Bașotă
  • Báthory
  • Buhuș
  • Buicescu
  • Buzescu
  • Cândescu
  • Cantemir
  • Cârjă
  • Cărpenișanu
  • Ceaur
  • Cerchez
  • Conachi
  • Corbeanu
  • Dedulescu
  • Hăbășescu
  • Mǎnescu
  • Merișanu
  • Movilești
  • Mușatini
  • Pârșcoveanu
  • Popescu
  • Proroceanu
  • Spineanu

Valachie[modifier | modifier le code]

Nom Titres Remarques Origine Blason
  • Hrisoscoleŭ, en grec Chrysoskoleos[15]
Boyard Constantinople
Boyard Valachie
Boyard Olténie
  • Magheru
Boyard Valachie
Boyard Olténie
  • Moret de Blaremberg[19]
Marquis Belgique
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard D'origine moldave Valachie
Boyard Valachie

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Steven Tötösy, List of Historical Surnames of the Hungarian Nobility, West Lafayette, Purdue University Press, (ISBN 978-0-521-78156-5)
  • Octav-George Lecca, Familiile Boierești Române: istoric și genealogie, București, Institutul de Arte Grafice și Editura „Minerva, (ISBN 978-9-739-99144-5) - (online)
  • Béla Kempelen, Magyar Nemesi Almanach, Budapest, Pátria Irodalmi Vállalat És Nyomdai Részvénytársaság Nyomása, (ISBN 978-6-156-18916-5)
  • Eugène Rizo, Livre d'or de la noblesse phanariote en Grèce, en Roumanie, en Russie et en Turquie, Athènes, S. G. Vlastos, (ISBN 978-2-012-89991-9) - (online)
  • Lisa Fischer, Eden hinter den Wäldern. Samuel von Brukenthal: Politiker, Sammler, Freimaurer in Hermannstadt/Sibiu, Wien, Böhlau Verlag, (ISBN 978-3-205-77634-5)

Notes et références[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  • Octav Lecca, Familiile Boierești Române: istoric și genealogie, București:
  1. a et b Lecca 1899, p. 73.
  2. a et b Lecca 1899, p. 90.
  3. a et b Lecca 1899, p. 192.
  4. a et b Lecca 1899, p. 198.
  5. a et b Lecca 1899, p. 407-413.
  6. a et b Lecca 1899, p. 450-455.
  7. a et b Lecca 1899, p. 1-2.
  8. a et b Lecca 1899, p. 3-5.
  9. Lecca 1899, p. 6.
  10. a et b Lecca 1899, p. 9-10.
  11. a et b Lecca 1899, p. 11.
  12. Lecca 1899, p. 12.
  13. Lecca 1899, p. 15.
  14. Lecca 1899, p. 21.
  15. Lecca 1899, p. 30.
  16. Lecca 1899, p. 33.
  17. Lecca 1899, p. 41.
  18. Lecca 1899, p. 45.
  19. Lecca 1899, p. 63.
  20. Lecca 1899, p. 531.
  21. Lecca 1899, p. 67.
  22. Lecca 1899, p. 71.
  23. Lecca 1899, p. 77.
  24. Lecca 1899, p. 82.
  25. Lecca 1899, p. 84.
  26. Lecca 1899, p. 96.
  27. Lecca 1899, p. 99.
  28. Lecca 1899, p. 101.
  29. Lecca 1899, p. 105.
  30. Lecca 1899, p. 117.
  31. Lecca 1899, p. 123.
  32. Lecca 1899, p. 152.
  33. Lecca 1899, p. 155.
  34. Lecca 1899, p. 285.
  35. Lecca 1899, p. 166.
  36. Lecca 1899, p. 168.
  37. Lecca 1899, p. 173.
  38. Lecca 1899, p. 177.
  39. Lecca 1899, p. 292.
  40. Lecca 1899, p. 179.
  41. a et b Lecca 1899, p. 1899.
  42. Lecca 1899, p. 186.
  43. Lecca 1899, p. 188.
  44. Lecca 1899, p. 190.
  45. Lecca 1899, p. 300.
  46. Lecca 1899, p. 204.
  47. Lecca 1899, p. 207.
  48. Lecca 1899, p. 212.
  49. Lecca 1899, p. 215.
  50. Lecca 1899, p. 220.
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  52. Lecca 1899, p. 536.
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  54. Lecca 1899, p. 236.
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  98. a et b Lecca 1899, p. 495.
  99. a et b Lecca 1899, p. 498.
  100. a et b Lecca 1899, p. 500.
  • Steven Tötösy de Zepetnek, List of Historical Surnames of the Hungarian Nobility, West Lafayette:
  1. a et b Tötösy 2010, p. 9.
  2. a et b Tötösy 2010, p. 14.
  3. Tötösy 2010, p. 24.
  4. Tötösy 2010, p. 50.
  5. Tötösy 2010, p. 29.
  6. Tötösy 2010, p. 37.
  7. Tötösy 2010, p. 45.
  8. Tötösy 2010, p. 38.
  9. a et b Tötösy 2010, p. 84.
  10. Tötösy 2010, p. 91.
  11. Tötösy 2010, p. 119.
  • Eugène Rizo, Livre d'or de la noblesse phanariote en Grèce, en Roumanie, en Russie et en Turquie, S. G. Vlastos:
  1. a et b Rizo 1892, p. 1-5.
  2. a et b Rizo 1892, p. 11-14.
  3. a et b Rizo 1892, p. 15-31.
  4. a et b Rizo 1892, p. 37-42.
  5. a et b Rizo 1892, p. 45-51.
  6. a et b Rizo 1892, p. 71-77.
  7. a et b Rizo 1892, p. 61.
  8. a et b Rizo 1892, p. 87-91.
  9. a et b Rizo 1892, p. 111-118.
  10. a et b Rizo 1892, p. 129-135.
  11. a et b Rizo 1892, p. 141-148.
  12. a et b Rizo 1892, p. 153-157.

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Variante: Bibesco
  2. Variante: Brancovan
  3. Variantes: Kallimachis, Callimaki.
  4. Variante:Cantacuzino.
  5. Variantes: Karatzas, Caragea.
  6. Variantes: Ghika, Ghyka.
  7. Variantes: Maurocordato, Mavrocordat, Mavrokordatos.
  8. Variantes: Mano, Manu.
  9. Variantes: Moruzi, Muruzi.
  10. Variante: Ipsilanti


Articles connexes[modifier | modifier le code]


  1. Matei Cazacu, Familles de la noblesse roumaine au service de la Russie, XVe – XIXe siècles, in : Cahiers du Monde Russe, Année 1993, n° thématique Noblesse, État et société en Russie XVIe - début du XIXe siècle 34-1-2, p. 211-226 sur [1]
  2. V. Costăchel, P. P. Panaitescu, A. Cazacu, (ro) Viața feudală în Țara Românească și Moldova (secolele XIV–XVI) (« La vie féodale en Valachie et Moldavie (XIVe / XVIe siècles »), Editura Științifică, Bucarest 1957.
  3. Variante: Lahovari
  4. a b c d e et f Kempelen 1910, p. 14
  5. a et b Fischer 2007, p. 46
  6. a et b Lecca 1899, p. 226
  7. a et b Lecca 1899, p. 251
  8. Variante: Goyan
  9. a et b Lecca 1899, p. 275
  10. a et b Lecca 1899, p. 433
  11. Variante: Zbiera
  12. a b et c Lecca 1899, p. 449
  13. a et b Lecca 1899, p. 584
  14. Variante: Vasilcău din Siret
  15. Lecca 1899, p. 539
  16. Lecca 1899, p. 279
  17. Lecca 1899, p. 283
  18. Lecca 1899, p. 331
  19. a et b Lecca 1899, p. 353
  20. Lecca 1899, p. 364
  21. Lecca 1899, p. 366
  22. Lecca 1899, p. 370
  23. Lecca 1899, p. 378