Eueides tales

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Eueides tales est un lépidoptère appartenant à la famille des Nymphalidae, à la sous-famille des Heliconiinae et au genre Eueides.

Taxonomie[modifier | modifier le code]

Eueides tales a été décrit par Pieter Cramer en 1775 sous le nom de Papilio tales[1].

Sous-espèces[modifier | modifier le code]

  • Eueides tales tales au Surinam.
  • Eueides tales barcellinus Zikán, 1937 ; au Brésil.
  • Eueides tales calathus Stichel, 1909 ; en Équateur.
  • Eueides tales cognata Weymer, 1890 ; en Colombie.
  • Eueides tales franciscus Brown & Holzinger, 1973 ; au Venezuela.
  • Eueides tales guyanensis Lacomme, 2011
  • Eueides tales michaeli Zikán, 1937  ; au Pérou.
  • Eueides tales pseudeanes Boullet & Le Cerf, 1910 ; au Venezuela.
  • Eueides tales pythagoras Kirby, [1900] ; en Colombie.
  • Eueides tales surdus Stichel, 1903 ; en Guyana et au Brésil.
  • Eueides tales tabernula Lamas, 1985 ; au Pérou.
  • Eueides tales xenophanes C. et R. Felder, 1865 ; en Colombie.
  • Eueides tales ssp en Guyane et au Brésil[1].

Noms vernaculaires[modifier | modifier le code]

Eueides tales se nomme en anglais.

Description[modifier | modifier le code]

C'est un grand papillon orange et marron d'une envergure d'environ 65 mm. Sur le dessus la partie basale des ailes est orange aux antérieures avec un groupe de taches jaunes dans la partie marron et les postérieures sont marron avec des veines orange partant de la partie basale plus ou moins marquées suivant les sous-espèces[2].

Le revers est semblable en plus terne

Chenille[modifier | modifier le code]

Son corps est blanc avec des points noirs et sa tête est orange[3].

Biologie[modifier | modifier le code]

Plantes hôtes[modifier | modifier le code]

Les plantes hôtes de sa chenille sont des Passifloraceae.

Écologie et distribution[modifier | modifier le code]

Il réside dans le nord de l'Amérique du Sud, en Guyane, en Guyana, au Surinam, en Colombie, au Venezuela, en Équateur, au Pérou et au Brésil[1].

Biotope[modifier | modifier le code]

Son habitat est la forêt jusqu'à 1200 mètres d'altitude[3].

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Répertoire des Euides de Guyane, Yves Lever et Daniel Lacomme, Lépidoptères de Guyane, Lépidoptéristes de France, tome IV, (ISBN 2-9525440-4-2)