Droit igbo

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Le droit igbo est la manière des Igbos d'orchestrer la vie en société à partir des principes de leur vision du monde.

La jurisprudence igbo sur la succession a été sanctionnée par la cour suprême du Nigeria car elle considère que ces successions ne permettent pas l'égalité des sexes[1]. Une certaine méfiance existe dans la population vis-à-vis des pratiquants de la justice igbo[2]. Ils sont notamment caractérisés à la fois comme des vestiges du droit colonial britannique et comme des défenseurs de peines barbares[3].

Références[modifier | modifier le code]

  1. Gabriel Uchechi Emeasoba, « An Evaluation of the Nigerian Judicial Attitude to the IGBO Customary Law of Succession », African Customary and Religious Law Review, vol. 1,‎ , p. 11 (lire en ligne, consulté le )
  2. Ifeyinwa Cordelia Isidienu et Nkechinyere Anthonia Nwokoye, « Igbo Legal And Justice System: The Case of Nteje », AFRICAN JOURNAL OF LANGUAGE RESEARCH (AJLR), vol. 3, no 3 & 4,‎ (ISSN 1596-5627, lire en ligne, consulté le )
  3. (en) I. K. E. Oraegbunam, « Crime and Punishment in Igbo Customary Law: The Challenge of Nigerian Criminal Jurisprudence », OGIRISI: a New Journal of African Studies, vol. 7,‎ , p. 1–31 (ISSN 1597-474X, DOI 10.4314/og.v7i1.57917, lire en ligne, consulté le )

Bibliographie[modifier | modifier le code]