Discussion:Qu'est-ce que la propriété ?
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Question d'intelligibilité[modifier le code]
Le paragraphe 2 se termine par la phrase :
« Tandis que la nue propriété a des traits contraires et dans la pratique la majorité n'en jouit pas, ce que selon Proudhon « répugne à l'idée d'un droit naturel » »
où j'ai mis en gras ce qui pose le plus gros problème.
Quelle est l'idée que veut exprimer le rédacteur ? Est-ce l'idée que la notion de droit naturel ne peut s'accommoder de quelque chose dont la majorité ne jouit pas en pratique ? mais alors, il eût fallu au moins écrire « ce qui » ou encore « ce à quoi ».
- Pour ne pas prêter le flanc à de nouvelles erreurs d'interprétation, je précise les deux tournures envisageables : « ce qui selon Proudhon « répugne à l'idée d'un droit naturel » » ou encore « ce à quoi selon Proudhon « répugne l'idée d'un droit naturel » » : selon le cas, la proposition subordonnée n'a pas le même sujet ; mais au moins, elle en a un ! De toute façon, globalement, la phrase demeure incorrecte… Lord O'Graph (d) 5 juillet 2013 à 09:41 (CEST)
Peut-être que je me fourvoie complètement sur ce que signifie ce passage. Mais, grammaticalement, une chose est certaine : en l'état actuel, la phrase est incorrecte. D'une part, il n'y a pas de proposition principale ; mais on pourrait à la limite admettre que cette phrase poursuit la phrase précédente, et seule la ponctuation serait alors à incriminer. En revanche, bien plus sérieux, la dernière proposition subordonnée n'a pas de sujet et la construction est fautive (le verbe « répugner » n'est pas un verbe transitif), rendant la signification obscure. J'ai envisagé deux solutions possibles, mais il y en a peut-être d'autres ! Merci de nous éclairer.