Discussion:Lac Nyos
Lac Nyos et Lac Lwi étant synonymes, il ne devrait y avoir qu'un seul article avec une redirection d'un nom vers l'autre.--François SUEUR (d) 10 décembre 2008 à 17:00 (CET)
Fusion Lac Nyos et Lac Lwi[modifier le code]
Deux appellations différentes pour le même lac (voir à ce sujet l'intro de l'article lac Nyos). Merci d'avance VonTasha (d) 28 avril 2009 à 21:56 (CEST)
- Jerome66 18 mai 2009 à 07:03 (CEST)
Un problème d'intelligibilité concernant volume et/ou date[modifier le code]
Deux phrases au début du paragraphe posent, par leur rapprochement, un problème d'intelligibilité : l'article commence ainsi
alors que trois phrases plus loin, on lit
- Marthe BASSOMO BIKOE, « Nyos: 21 ans après… on s’en souvient », sur cameroon-info.net, (consulté le )
Il est évident que cette seconde quantité de 300 millions de m³ ne saurait être la quantité contenue dans le lac au moment de la catastrophe : le lac ne pouvait libérer plus de gaz qu'il n'en contenait (1km³ = 1 milliard de m³, donc plus que trois fois plus que la quantité contenue estimée) ! Il conviendrait donc de préciser à quelle date a été proposée cette estimation de 300 millions de m³. L'article cité en référence n'est guère plus explicite, puisqu'il dit seulement que 300 millions de m³ était l'évaluation « au départ ». De quel départ s'agit-il ? on pourrait s'imaginer qu'avant la catastrophe le lac contenait 1,3 milliard de m³ et qu'il en a lâché 1 milliard le 21 août 1986 : cela ne serait pas absurde physiquement, mais il est douteux que la première chose qui ait été faite après la catastrophe ait consisté à réaliser une estimation de la quantité restante… Donc : à quelle date y avait-il 300 millions de m³ de gaz carbonique dans le lac ?
L'article en référence nous dit seulement qu'en 2007, et grâce à une opération de dégazage, la quantité estimée contenue dans le lac est de 230 millions de m³. Si on comprend bien, il y a désormais un système d'alerte pour avertir si un certain seuil est dépassé. Cela signifie donc (on s'en doutait, bien sûr) que le lac se recharge en gaz carbonique. Cela rend plus cruciale la question précédente : les 300 millions de m³ évoqués étaient-ils la quantité résiduelle juste après la catastrophe, ou est-ce qu'ils résultaient (au moins partiellement) de la recharge du lac en gaz carbonique durant les années qui ont suivi la catastrophe ? Et combien d'années ? La réponse est évidemment cruciale pour la surveillance et la sécurité de la région.
Bref : en l'état actuel, la connexion entre les deux nombres (1km³ et 300 millions de m³) n'est pas très claire, et il manque un élément de chronologie (vitesse de recharge du lac)…