Évecquemont

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Évecquemont
Évecquemont
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Mantes-la-Jolie
Intercommunalité Grand Paris Seine et Oise
Maire
Mandat
Christophe Nicolas
2020-2026
Code postal 78740
Code commune 78227
Démographie
Gentilé Épiscomontois
Population
municipale
771 hab. (2021 en diminution de 2,03 % par rapport à 2015)
Densité 308 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 00′ 53″ nord, 1° 56′ 43″ est
Altitude Min. 57 m
Max. 172 m
Superficie 2,50 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Mureaux
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Évecquemont
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Évecquemont
Liens
Site web evecquemont.fr

Évecquemont est une commune française du département des Yvelines, dans la région Île-de-France, à 15 km à l'est de Mantes-la-Jolie.

Ses habitants sont appelés les Épiscomontois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation d'Évecquemont dans les Yvelines.

Situation[modifier | modifier le code]

La commune d'Évecquemont est située dans le nord du département des Yvelines, en limite du Val-d'Oise, à 19 km environ à l'est de Mantes-la-Jolie, sous-préfecture, et à 32 km environ au nord-ouest de Versailles, préfecture du département. Elle se trouve dans le massif de l'Hautil. La ville la plus proche est Meulan-en-Yvelines à 3,5 km à l'ouest d'Évecquemont.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

La commune est limitrophe de Menucourt au nord-est, Vaux-sur-Seine à l'est et au sud, Meulan-en-Yvelines au sud-ouest, Tessancourt-sur-Aubette au nord-ouest et Condécourt au nord (les communes de Menucourt et de Condécourt font partie du département du Val-d'Oise).

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Il n'existe pas de cours d'eau permanent dans la commune. La limite sud de la commune se trouve à environ 350 m de la Seine dont elle est séparée par une bande de terrain partagée entre les communes de Vaux et de Meulan.

Territoire[modifier | modifier le code]

Plus de la moitié du territoire communal est occupé par la forêt de l'Hautil, essentiellement dans sa partie nord et nord-est. Quelques étendues agricoles se trouvent dans l'ouest de la commune.

Évecquemont est entrée dans le parc naturel régional du Vexin français le [1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la route départementale D 922 d'axe est-ouest qui mène à Meulan vers l'ouest et vers l'agglomération de Cergy-Pontoise vers l'est.

La commune n'a pas de gare de chemin de fer, la plus proche étant celle de Vaux-sur-Seine à moins de deux kilomètres du centre du village.

Le sentier de grande randonnée GR1 traverse la commune. Il relie Tessancourt-sur-Aubette au nord ouest à Vaux-sur-Seine à l'est.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 679 mm, avec 10,1 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boissy-l'Aillerie à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Évecquemont est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[11] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

Occupation des sols simplifiée[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 77,71 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 9,28 % d'espaces ouverts artificialisés et 13,02  % d'espaces construits artificialisés[16].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Episcopi mons[17], Vesquemontem en 1164, Episcopus mons au XIIe siècle, Aviscomonte en 1210, Episcopimonte en 1337.

« Le mont épiscopal » est donné à cet endroit, presque au sommet du massif de l'Hautil[18], où était implanté un prieuré de moines bénédictins, relevant de l'abbaye de Fécamp[19],[20]. Probablement le mont de l'évêque Avesgaud, de la famille de Bellême, évêque du Mans en 997.

Histoire[modifier | modifier le code]

Bâtie au sommet d'une colline, sur la rive droite de la Seine, la commune pourrait avoir porté, au Moyen Âge, le nom latin Aviscus mons, le mont aux oiseaux, en raison de rassemblements d'oiseaux migrateurs sur la colline où se situe la commune.

La fondation du prieuré d'Évecquemont au XIIe siècle coïncide avec le développement de la culture de la vigne, de sorte que le village sera principalement peuplé de vignerons jusqu'à la fin du XIXe siècle.

Une bulle du pape Célestin III de 1196, confirme à l'abbaye de Fécamp la propriété de l'ecclesiam de Aviscomonte (l'église d'Évecquemont)[21]. A cette époque la paroisse était rattachée au diocèse de Rouen, archidiaconé du Vexin français, doyenné de Meulan.

Les anciens seigneurs avaient droit de haute, moyenne et basse justice. Louise de Villiers de L'Isle-Adam qui épousa Jacques d'O eurent 2 enfants[21] :

  • Charles d'O, qui eut la terre de Chapet
  • Jacqueline d'O qui eut Évecquemont. Elle se maria à Jacques de Charon, seigneur de Monceaux qui céda, en 1601, Évecquemont à Nicolas Le Clerc de Lesserville[Note 3].

Durant la Fronde un arrêt du Conseil du 15 février 1649 établit une taxe sur les maisons destinée à l'entretien des troupes du Roi. Ainsi Évecquemont, appartenant aux seigneurs de Lesserville est taxé de 3 000 livres[21].

En 1752, la seigneurie d'Évecquemont est acquise par Jacques Brissard, seigneur de Trielet-de-Thun. En 1782, elle est acquise par Jena Balthazar d'Adhémar et sous la Révolution le domaine est morcelé[21].

L'exploitation de carrières de pierre à plâtre constituera une autre activité essentielle pour l'économie du village jusqu'au milieu du XXe siècle.

L'église date du XIIe siècle, le chœur, l'abside et le clocher de l'église Notre-Dame-de-l'Assomption datent du XIIIe siècle. Le porche d'entrée de l'église date, quant à lui, du XVIe siècle.

La devise de la commune est Originum feroces, traditionum fidissimi (Intrépides par nature, très fidèles par tradition).

Les deux principales rues du village sont la rue d'Adhémar et la rue de Chollet.
Le comte Jean-Balthazar d'Adhémar, qui avait acquis les seigneuries de Thun et d'Évecquemont en 1782, donna à bail le château d'Évecquemont à son épouse en .
La rue d'Adhémar doit son nom à la comtesse d'Adhémar, née Gabrielle Pauline Bouthillier de Chavigny, qui vécut les années révolutionnaires au château d'Évecquemont, et fit don des pâturages du plateau de l'Hautil à la commune, donation confirmée en 1830 par sa nièce, Madame de Chollet.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

En 2008, le conseil municipal comprend des conseillers issus de deux listes distinctes. Le maire, Ghislaine Senée, a rejoint le mouvement Europe Écologie Les Verts deux ans après son élection comme maire. Elle est à présent conseillère régionale pour le mandat 2021-2028. Mme Senée a par ailleurs été candidate aux élections sénatoriales de sur la liste d'union de la gauche menée par Catherine Tasca, sénatrice, 1re vice-présidente du Sénat.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs depuis 1965[22]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1965 1971 Jean Roux Delimal    
1971 1977 André Hermet    
1977 1983 Pierre-Jean Ledanois    
1983 1989 Jean Burgevin    
1989 1995 Paul Quentric    
1995 2001 Jean Burgevin    
mars 2001 2008 Pierre-Jean Ledanois[23]    
mars 2008 2020 Ghislaine Senée[24] EELV  
2020 En cours Christophe Nicolas    

Les données antérieures à 1965 ne sont pas encore connues.

  • En 1790, Hilaire Legrand, vigneron, est cité comme maire.
  • Le vicomte de Chollet est cité comme maire en 1824 et 1830.
  • En 1838, le maire se nomme Cauchois, de même qu'en 1858.

Instances administratives et judiciaires[modifier | modifier le code]

La commune d'Évecquemont appartient au canton des Mureaux et est rattachée à la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise.

Sur le plan électoral, la commune est rattachée à la septième circonscription des Yvelines, circonscription mi-rurale mi-urbaine du nord-est des Yvelines.

Sur le plan judiciaire, Évecquemont fait partie de la juridiction d’instance de Mantes-la-Jolie et, comme toutes les communes des Yvelines, dépend du tribunal de grande instance ainsi que du tribunal de commerce sis à Versailles[25],[26].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

En 2021, la commune comptait 771 habitants[Note 4], en diminution de 2,03 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
387367403328377344354353318
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
288316315306333313314307322
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
271284290275323309327320425
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
452507521541694672766788784
2021 - - - - - - - -
771--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,1 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 391 hommes pour 397 femmes, soit un taux de 50,38 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
0,3 
5,4 
75-89 ans
6,4 
20,7 
60-74 ans
17,1 
22,9 
45-59 ans
23,1 
18,5 
30-44 ans
19,7 
13,6 
15-29 ans
17,4 
18,6 
0-14 ans
16,1 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Entreprises du Village[modifier | modifier le code]

La clinique cardiologique.

La clinique cardiologique d'Évecquemont[modifier | modifier le code]

Évecquemont est connue par sa clinique cardiologique réputée, qui a accueilli nombre de personnes célèbres ou anonymes en cure post-opératoire.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.

Monument historique[modifier | modifier le code]

Évecquemont ne compte qu’un seul monument historique sur son territoire.

C'est un édifice de dimensions généreuses, mais d'une architecture peu soignée, exceptés le porche Renaissance bâti vers 1565 sous l'architecte Nicolas Le Mercier ; le bas-côté nord Renaissance de la même époque, mais défiguré par une campagne de réparation en 1738 ; et le chœur de style gothique rayonnant de la seconde moitié du XIIIe siècle. Il se compose d'une travée droite flanquée de deux chapelles, et d'une abside à cinq pans. Cette partie de l'église est la mieux conservée, et d'une valeur artistique certaine[34].

Autres éléments du patrimoine[modifier | modifier le code]

  • L'entrée du village, en haut de la rue de Chollet, est agrémentée par un pigeonnier en forme de grosse tour avec un toit en poivrière, qui constitue l'un des éléments de l'ancienne ferme, édifiée au XVIIe siècle. Le pigeonnier a donné son nom à la rue voisine, dite du « Vieux-Colombier ».
  • La mairie d'Évecquemont est l'une des très rares communes de France à avoir sur son frontispice un baromètre de taille importante. Cependant, ce baromètre est en panne et l'aiguille bloquée sur « beau temps » (voir, sur la photo de la mairie, l'aiguille à 2 heures). Ce qui fait dire que la commune bénéficie d'un microclimat exceptionnellement favorable !
  • Le cimetière d'Évecquemont est situé sur un terrain dont une partie est à flanc de coteau : après une première partie, relativement plane, on trouve le monument aux morts et à partir de celui-ci, le terrain se trouve être incliné en montant pratiquement à 40°. Les sépultures sont donc placées en escaliers, parallèlement, et ainsi étagées sur environ 60 m. Un escalier central permet de monter entre les pieds des tombes. Est aussi présente dans ce cimetière la tombe d'un soldat musulman inconnu.
  • Au bas de la rue des Carrières, la champignonnière d'Évecquemont, toujours en activité, permet d'illustrer la culture du champignon de Paris. Tous les vendredis après-midi les champignons sont en vente sur place.

Galerie[modifier | modifier le code]

La tradition du pain de l'andouille[modifier | modifier le code]

Le , deux Épiscomontois, entendant parler des troubles parisiens, veulent participer à la prise de la Bastille. Le trajet d'Évecquemont à Paris à pied prenant un certain temps, les deux compères arrivèrent après les évènements. La légende raconte qu’on les retrouva ivres mort et épuisés dans un fossé de bord de route à Vaux-sur-Seine. Le bourgmestre de l’époque apprenant la nouvelle se serait écrié devant la foule rassemblée sur la place du village : « Qu’on attelle la jument, qu’on récupère nos héros, je mets le vin en perce, qu’on sonne les cloches à la volée, j’offre le pain, le vin et l’andouille ! » Depuis, tous les ans le , les Épiscomontois se réunissent et dégustent ensemble des pains garnis d'andouille[35].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Arthur Millon (1852-1913), mort sur la commune, élu maire en , chef d'entreprises à Paris dans l'hôtellerie-restauration.
  • Marius-François Gaillard (1900-1973), pianiste, compositeur et chef d'orchestre, y a vécu et y est mort.
  • Marie-Noëlle Lecomte, dite Nadine Farel (1902-1983), comédienne, administratrice de différents théâtres (dont celui de la Madeleine à Paris) est décédée à Évecquemont.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Évecquemont », p. 496–498

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Nicolas Le Clerc de Lesserville seigneur de Thun, d'Incourt, d'Évecquemont et Maillebois appartenait à une famille originaire de Meulan. Il fut secrétaire du Roi le 12 novembre 1590, maitre des comptes en 1602, conseiller d'Etat en 1646 et mourut doyen à la chambre des comptes à l'age de 82 ans en 1657.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Site officiel de la mairie d'Evecquemont 78 - Evecquemont, village du Vexin Français », sur www.evecquemont.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Évecquemont et Boissy-l'Aillerie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Pontoise - Aero » (commune de Boissy-l'Aillerie) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Pontoise - Aero » (commune de Boissy-l'Aillerie) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
  17. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  18. Jean Blottière, Toponymie du canton de Meulan et des communes de Gargenville, Juziers, Oinville-sur-Montcient et Séraincourt (S.-et-O.), t. 4, Revue Internationale d'Onomastique, (lire en ligne), p. 262.
  19. Chronique des abbés de Fécamp, ou « Histoire de l’abbaye de Fécamp », Leroux de Lincy, Antoine (éd.), 1840, page 293 .
  20. F. Paquet - Revue Tabularia (Actes épiscopaux et abbatiaux en Normandie et dans le grand Ouest européen) - 2011.
  21. a b c et d Monographie communale sur les archives départementales des Yvelines
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  25. « Tribunal d'instance de Mantes la Jolie - Liste des communes et cantons », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
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  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Évecquemont (78227) », (consulté le ).
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  33. « Église Notre-Dame-de-l'Assomption », notice no PA00087431, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Hardricourt, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 123-124.
  35. « Évecquemont : une tradition depuis 1789 », Le Courrier de Mantes,‎ .