Équipe du Pérou de football

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Équipe du Pérou
Écusson de l' Équipe du Pérou
Généralités
Confédération CONMEBOL
Couleurs Blanc et rouge
Surnom La Bicolor
La Blanquirroja
La Rojiblanca
Los Incas
Stade principal Estadio Nacional
Classement FIFA en diminution 35e (30 novembre 2023)[1]
Personnalités
Sélectionneur Jorge Fossati[2]
Capitaine Paolo Guerrero
Plus sélectionné Roberto Palacios (128)
Meilleur buteur Paolo Guerrero (38)
Rencontres officielles historiques
Premier match 0-4, Uruguay ( (96 ans))
Plus large victoire 9-1, Équateur ()
Plus large défaite 7-0, Brésil ()
Palmarès
Coupe du monde Phases finales : 5
Quarts de finale en 1970 et 1978 (gr. 2nd tour)
Copa América Phases finales : 33
Médaille d'or, Amérique du SudMédaille d'or, Amérique du Sud Vainqueur en 1939 et 1975
Jeux olympiques Participations : 2
Quarts de finale en 1936

Maillots

Domicile

Extérieur

Actualités

Pour la compétition en cours, voir :
Éliminatoires de la Coupe du monde de football 2022 : zone Amérique du Sud

L'équipe du Pérou de football (Selección de fútbol de Perú en espagnol) est constituée par une sélection des meilleurs joueurs péruviens, sous l'égide de la Fédération péruvienne de football.

La Blanquirroja, l'un de ses surnoms, participe à cinq phases finales de Coupe du monde et parvient à se hisser dans le top 8 à deux reprises (quarts de finale en 1970 et 2e tour en 1978). En Copa América, elle remporte le tournoi deux fois (1939 et 1975) et atteint la finale en 2019.

Historiquement, le Pérou joue ses rencontres à domicile à l'Estadio Nacional de Lima, mais évolue parfois à l'Estadio Monumental. Les Incas ont atteint leur meilleure position au classement FIFA en en se hissant dans le top 10 mondial.

Histoire[modifier | modifier le code]

Les débuts du Pérou[modifier | modifier le code]

Premier match (1927)[modifier | modifier le code]

La Fédération péruvienne de football est fondée en 1922. Affiliée à la FIFA depuis 1924, elle intègre la CONMEBOL l'année suivante. Le premier match officiel de l'équipe du Pérou a lieu à Lima le en Championnat sud-américain des nations, contre l’Uruguay, et se solde par une défaite (0-4).

Coupe du monde de 1930[modifier | modifier le code]

Le Pérou prend part à la première Coupe du monde de football en 1930 en Uruguay sous les ordres de l'Espagnol Francisco Bru. Placé dans le groupe C, composé de la Roumanie et de l’Uruguay, le Pérou entame la compétition par une défaite (1-3) face aux Roumains, le , match au cours duquel le Péruvien Plácido Galindo est renvoyé aux vestiaires à la 70e min. : il rentre dans les annales en devenant le premier joueur expulsé de l'histoire de la Coupe du monde[3]. La Blanquirroja ne peut éviter une deuxième défaite face au pays hôte (0-1) et quitte le tournoi dès le 1er tour avec un seul but marqué, œuvre de Luis de Souza Ferreira.

Le premier âge d'or du football péruvien (1936-1939)[modifier | modifier le code]

Jeux olympiques de 1936[modifier | modifier le code]

Lors des Jeux olympiques de 1936 à Berlin, le Pérou atteint les demi-finales après avoir vaincu la Finlande (7-3) et l’Autriche (4-2). Au cours de ce dernier match, les Péruviens menés 0-2 parviennent à égaliser 2-2 et s’imposent en prolongations dans une ambiance très confuse, où des spectateurs péruviens auraient envahi la pelouse, situation ayant permis que les joueurs marquent les deux buts de la victoire[4]. L'Autriche décide de porter plainte auprès de la FIFA qui ordonne de rejouer le match à huis clos. Le gouvernement péruvien proteste et toute la délégation péruvienne abandonne les Jeux olympiques, laissant à l’Autriche la voie libre pour disputer les demi-finales.

Malgré la controverse, le Pérou fait connaître aux yeux du monde entier une génération exceptionnelle de joueurs tels que Alejandro Villanueva et Teodoro Fernández, qui avaient déjà fait une tournée en Europe entre 1933 et 1934 au sein de l'équipe du Chili-Pérou.

Copa América 1939[modifier | modifier le code]

Sous la houlette du célèbre entraîneur anglais Jack Greenwell, le Pérou remporte les Jeux bolivariens en 1938 et s'apprête à accueillir la quinzième édition de la Copa América se tenant à Lima, du 15 janvier au avec pour pays participants – outre le Pérou – le Chili, l'Équateur, le Paraguay et l'Uruguay.

Les Incas confirment leurs bonnes prestations tant aux JO de Berlin qu'aux Jeux bolivariens et remportent leur premier titre continental en battant leurs quatre adversaires. Le meilleur buteur de cette compétition est Lolo Fernández, avec 7 buts, suivi de Jorge Alcalde (5 buts).

De 1940 à 1970 : trente ans sans résultats majeurs[modifier | modifier le code]

De 1940 à 1970, l’équipe du Pérou cherche à revenir sur la scène internationale, sans grand succès puisqu'elle ne participe à aucune Coupe du monde, malgré des joueurs de talent comme Valeriano López, Alberto Terry, Miguel Loayza, Juan Joya, Óscar Gómez Sánchez, Félix Castillo, Víctor Benítez ou Juan Seminario.

Animatrice des éditions de la Copa América, elle monte sur le podium à deux reprises (3e place en 1949 et 1955), mais la meilleure performance du Pérou au cours de cette période reste la participation de l'équipe olympique aux JO de 1960 à Rome où elle est éliminée au 1er tour.

Le deuxième âge d'or du football péruvien (1970-1982)[modifier | modifier le code]

C'est dans les années 1970 que le Pérou va faire parler de lui au niveau mondial. Entre 1970 et 1982, une génération dorée de footballeurs va permettre au Pérou de se qualifier à trois reprises (sur quatre possibles) pour la phase finale de la Coupe du monde (en 1970, 1978 et 1982) et de gagner la Copa América en 1975. Cela faisait 40 ans que le Pérou ne s’était plus qualifié à une Coupe du monde.

En 1970 l’équipe du Pérou termine deuxième du groupe 4, composé du Maroc, de la RFA et de la Bulgarie, avec deux victoires (3-0 contre le Maroc, 3-2 contre la Bulgarie) et une défaite (1-3 contre la RFA) et se qualifie pour les quarts de finale où elle tombe contre le futur vainqueur, le Brésil, dans un match disputé (2-4). Le Pérou sort par la grande porte en révélant au monde un joueur d'une qualité rare, Teófilo Cubillas. Le Pérou échoue face au Chili en qualifications à la Coupe du monde de football 1974, mais participe à celle de 1978, fort d’une Copa América gagnée trois ans plus tôt : victoire en finale contre la Colombie et second trophée sud-américain remporté, 36 ans après le premier.

Au Mundial 1978, le Pérou termine premier de son groupe au premier tour avec deux victoires (3-1 contre l’Écosse et 4-1 contre l’Iran) et un match nul contre la tête de série, les Pays-Bas (0-0). Au second tour par contre, le Pérou perd ses trois matchs de poule contre le Brésil (0-3), la Pologne (0-1), et surtout l’Argentine, qui lui inflige une véritable correction lors de l'ultime rencontre (0-6), décisive pour les Argentins tandis que les Péruviens sont déjà éliminés au coup d'envoi et condamnés à terminer à l'une des deux dernières places du groupe. Ce dernier match ne manque pas de susciter la polémique. On se souvient surtout de Ramón Quiroga, gardien argentin naturalisé péruvien, encaissant six buts contre l'Argentine. Une équipe argentine qui avait justement besoin d'une victoire par quatre buts d'écart pour arracher la première place qualificative pour la finale au Brésil à la différence de buts. Dès lors, de nombreux soupçons planent sur ce match. Les origines argentines de Quiroga sont notamment mises en avant. Aucune trace d'un éventuel arrangement ne peut cependant être mise en évidence, d'autant que, avant de s'effondrer en seconde période face à des Argentins euphoriques, l'équipe péruvienne est entreprenante et se crée deux occasions très nettes d'ouvrir le score en première mi-temps... La controverse autour de ce match étrange n'a jamais tout à fait cessé[5].

À la Coupe du monde 1982, le Pérou ne confirme pas les performances passées. Dans le groupe 1, après un 0-0 contre le Cameroun et un 1-1 contre l'Italie (future championne du tournoi), il s’incline lourdement contre la Pologne (5 buts à 1) lors du dernier match décisif, et termine à la dernière place de sa poule. 1982 est la dernière apparition du Pérou à la Coupe du monde avant 2018.

Teófilo Cubillas, meilleur joueur sud-américain en 1972, était le symbole de cette génération marquant l’apogée du football péruvien mais on peut également citer César Cueto, Hugo Sotil, Héctor Chumpitaz, Julio César Uribe ou Juan Carlos Oblitas. Avec 10 buts inscrits, Cubillas reste le meilleur buteur péruvien en phase finale de Coupe du monde, très loin devant Alberto Gallardo (2 buts).

Le Pérou absent des Coupes du monde (1983-2014)[modifier | modifier le code]

Années 1980 et 1990[modifier | modifier le code]

Durant cette période, le Pérou ne parvient pas à retrouver la phase finale de la Coupe du monde mais réalise toutefois une bonne campagne qualificative à l'occasion des éliminatoires de la Coupe du monde 1998 où l'équipe entraînée par l'ancien international Juan Carlos Oblitas n'est éliminée qu'à la différence de buts derrière le Chili[6].

En Copa América, l’équipe du Pérou est fantasque oscillant entre le 1er tour et les demi-finales. Ainsi elle atteint sa meilleure performance en 1983 en se hissant à la troisième place, mais est éliminée dès le premier tour en 1987, 1989, 1991 et 1995. En 1993 elle s’arrête en quarts de finale, battue par le Mexique (2-4). Mais à la Copa América 1997, elle termine deuxième de son groupe, juste derrière la Bolivie. En quarts de finale, elle élimine l’Argentine 2 buts à 1. La demi-finale reste historique puisque le Brésil atomise le Pérou, le , 7 buts à 0[7], ce qui constitue la plus large défaite péruvienne de tous les temps. L’équipe termine quatrième de la compétition en s’inclinant contre le Mexique (0-1). Enfin en 1999, les Péruviens sont éliminés en quarts de finale toujours par le Mexique qui s'impose aux tirs au but (3-3, 3 tab 2).

Années 2000[modifier | modifier le code]

La Blanquirroja à la Copa América 2007.

L’équipe du Pérou ne réussit pas à s'imposer sur le plan international malgré l'éclosion de quelques joueurs de talent comme Claudio Pizarro (Werder Brême), Paolo Guerrero (Hambourg SV), Nolberto Solano (West Ham), Juan Manuel Vargas (Fiorentina), Jefferson Farfán (Schalke 04) ou encore Roberto Palacios (Sporting Cristal).

En effet, le Pérou ne participe toujours pas à la Coupe du monde (éliminations en phase qualificative en 2002, 2006 et 2010) alors qu'en Copa América, il est éliminé trois fois d'affilée au stade des quarts de finale en 2001, 2004 (édition qu'il organisait) et 2007.

L'ère Markarián (2010-2013)[modifier | modifier le code]

Une nouvelle ère s'ouvrit en septembre 2010 avec l'arrivée du prestigieux coach uruguayen Sergio Markarián à la tête de la sélection. Pour son premier tournoi international, la Copa América 2011, le Pérou atteignit les demi-finales et s'octroya même la 3e place, performance qui n'avait plus été réalisée depuis 1983.

Néanmoins, à deux journées de la fin des éliminatoires, le Pérou fut éliminé de la course à la Coupe du monde 2014, compétition à laquelle il n'a plus participé depuis 1982[8]. Sergio Markarián annonça son départ de la sélection péruvienne à la fin des qualifications[9] dont le dernier match contre la Bolivie, à Lima, le , s'est disputé à huis clos en raison d'une sanction disciplinaire de la FIFA[10].

L'ère Gareca et le retour au premier plan (2015-2022)[modifier | modifier le code]

Copas América 2015 et 2016[modifier | modifier le code]

Le , l'ancien assistant de Sergio Markarián, Pablo Bengoechea, est nommé sélectionneur pour un bail de 9 mois jusqu'en [11]. Il est relevé de ses fonctions à la fin de son bail par le nouveau président de la Fédération péruvienne de football, Edwin Oviedo, qui finit par introniser l'Argentin Ricardo Gareca à la tête de la sélection le [12]. Ce dernier s'illustre à l'occasion de la Copa América 2015, disputée au Chili, en emmenant l'équipe péruvienne sur le podium, rééditant la performance de son prédécesseur Markarián, quatre ans plus tôt[13].

Un an plus tard, lors de la Copa América Centenario, le Pérou obtient une qualification houleuse pour les quarts de finale en éliminant le Brésil (1-0) avec un but de la main de Raúl Ruidíaz à un quart d'heure de la fin du match[14]. Opposés à la Colombie, les Péruviens font preuve de rigueur défensive et tiennent en échec les Cafeteros 0-0. La séance de tirs au but leur est cependant défavorable et ils s'inclinent 4 tab 2 en ratant de peu une troisième qualification consécutive en demi-finales de la Copa América.

Coupe du monde 2018[modifier | modifier le code]

Le Pérou confirme les bons résultats entrevus lors de la Copa América à l'occasion des éliminatoires de la Coupe du monde 2018 où il enchaîne quelques résultats probants: victoires contre l'Équateur et l'Uruguay à Lima (2-1 à chaque fois), succès en Bolivie 0-3 (sur tapis vert)[15] et surtout victoires historiques à l'extérieur, 1-4 à Asuncion contre le Paraguay puis 1-2 contre l'Équateur à Quito[16]. Après deux matchs nuls consécutifs, 0-0 contre l'Argentine à Buenos Aires puis 1-1 devant la Colombie à domicile, la Blanquirroja accroche la 5e place lui permettant de disputer un barrage intercontinental face à la Nouvelle-Zélande, vainqueur de la zone Océanie[17]. Cette bonne campagne de qualification au Mondial a une incidence au niveau du classement FIFA puisque le Pérou se hisse dans le top 10 du classement d' et atteint ainsi son meilleur rang historique[18].

En battant la Nouvelle-Zélande 2-0 au Stade National de Lima, le , le Pérou décroche le 32e et dernier sésame pour la Coupe du monde 2018 (0-0 à l'aller) et revient dans l'élite du football mondial après 36 ans d'absence à ce niveau[19]. Placés dans le groupe C de la phase finale du tournoi planétaire, les Péruviens sont opposés à la France, l'Australie et le Danemark[20]. Auteurs de bonnes prestations face aux Danois et aux Français, et malgré l'écrasante présence de leurs supporters en tribunes[21], les Incas s'inclinent deux fois par la plus petite des marges devant leurs homologues européens et sont éliminés prématurément du Mondial. Néanmoins, une dernière victoire 2-0 face à l'Australie (buts d'André Carrillo et Paolo Guerrero) leur permet de sortir la tête haute du tournoi.

Copas América 2019 et 2021[modifier | modifier le code]

L'année post-mondial s'avère compliquée pour la Blanquirroja, qui subit six défaites en dix matchs amicaux avec 15 buts encaissés. Placée dans le groupe A de la Copa América 2019, elle est accrochée par le Venezuela qui obtient le nul (0-0) en infériorité numérique. Ce match est marqué par l'intervention du VAR qui annule logiquement deux buts aux Péruviens[22]. Après une victoire 3-1 face à la Bolivie, ils s'inclinent lourdement devant les hôtes brésiliens sur un score de cinq buts à zéro: il s'agit de la pire défaite subie par le Pérou lors de l'ère Gareca[23]. Néanmoins, cette défaite n'entrave pas la qualification pour les quarts de finale où les Incas accrochent la Celeste (0-0) et finissent par s'imposer aux tirs au but (5 tab 4)[24].

Lors de la demi-finale, le Pérou retrouve son vieux rival chilien pour une nouvelle édition du Clásico del Pacífico où les Péruviens s'imposent logiquement en endossant trois buts (Edison Flores, Yoshimar Yotún et Paolo Guerrero) au double tenant du titre. Cette victoire propulse le Pérou en finale du tournoi continental, 44 ans après le sacre de 1975[25]. Cependant, les Incas ne peuvent empêcher le Brésil de s'imposer 3-1 au Stade Maracanã[26].

Le Pérou retrouve le Brésil – à nouveau hôte de la compétition – lors de la phase de groupes de la Copa América 2021. La Canarinha inflige une sévère défaite aux Péruviens (4-0). Ces derniers se ressaisissent en battant la Colombie et le Venezuela 2-1 et 1-0 respectivement, et en tenant en échec 2-2 l'Équateur (qui menait 2-0 à la fin des 45 premières minutes). La Blanquirroja se qualifie pour les quarts de finale comme deuxième du groupe B, derrière le Brésil. Le Pérou maintient ainsi une spectaculaire série de qualifications consécutives en quarts de finale du tournoi continental (dix au total depuis 1997)[27]. Mieux encore, en éliminant le Paraguay aux tirs au but (3-3, 4-3tab) lors de cette dernière instance, les Péruviens retrouvent le dernier carré du tournoi sud-américain pour la quatrième fois sur les cinq dernières éditions.

Battu une fois de plus par le Brésil (0-1) – il s'agit de la quatrième défaite de rang face aux Cariocas en Copa América – le Pérou voit son parcours s'arrêter en demi-finale. Néanmoins, cette édition 2021 de la Copa América voit l'avènement de Gianluca Lapadula, footballeur italo-péruvien qui s'érige comme l'une des révélations du tournoi[28].

Éliminatoires de la Coupe du monde 2022[modifier | modifier le code]

Malgré un très mauvais départ lors de la campagne qualificative pour la Coupe du monde 2022 (un nul et quatre défaites lors des cinq premiers matchs)[29], le Pérou redresse la barre avec notamment trois victoires à l'extérieur (1-2 à Quito face à l'Équateur, 1-2 à Caracas face au Venezuela et 0-1 à Barranquilla devant la Colombie) qui lui permettent de terminer à la 5e place au classement général, synonyme de barrage face au représentant de l'AFC, l'Australie. Néanmoins, le , les Péruviens s'inclinent aux tirs au but devant les Socceroos (0-0, 4-5tab), ratant l'occasion d'enchaîner une deuxième participation d'affilée à la Coupe du monde[30].

Résultats[modifier | modifier le code]

Parcours en compétition internationale[modifier | modifier le code]

Parcours en Coupe du monde[modifier | modifier le code]

Parcours de l'équipe du Pérou en Coupe du monde
Année Position Année Position Année Position
Drapeau de l'Uruguay 1930 1er tour Drapeau de l'Allemagne 1974 Non qualifiée Drapeau d'Afrique du Sud 2010 Non qualifiée
Drapeau de l'Italie 1934 Non inscrite Drapeau de l'Argentine 1978 2e tour Drapeau du Brésil 2014 Non qualifiée
Drapeau de la France 1938 Non inscrite Drapeau de l'Espagne 1982 1er tour Drapeau de la Russie 2018 1er tour
Drapeau du Brésil 1950 Forfait Drapeau du Mexique 1986 Non qualifiée Drapeau du Qatar 2022 Non qualifiée
Drapeau de la Suisse 1954 Forfait Drapeau de l'Italie 1990 Non qualifiée Drapeau du Canada Drapeau des États-Unis Drapeau du Mexique 2026 Qualifications en cours
Drapeau de la Suède 1958 Non qualifiée Drapeau des États-Unis 1994 Non qualifiée
2030
À venir
Drapeau du Chili 1962 Non qualifiée Drapeau de la France 1998 Non qualifiée 2034 À venir
Drapeau de l'Angleterre 1966 Non qualifiée Drapeau de la Corée du Sud Drapeau du Japon 2002 Non qualifiée
Drapeau du Mexique 1970 Quart de finale Drapeau de l'Allemagne 2006 Non qualifiée

Parcours en Copa América[modifier | modifier le code]

Parcours de l'équipe du Pérou en Copa América
Année Position Année Position Année Position
Drapeau de l'Argentine 1916 Non inscrite Drapeau de l'Uruguay 1942 Cinquième Drapeau de l'Argentine 1987 1er tour
Drapeau de l'Uruguay 1917 Non inscrite Drapeau du Chili 1945 Non inscrite Drapeau du Brésil 1989 1er tour
Drapeau du Brésil 1919 Non inscrite Drapeau de l'Argentine 1946 Non inscrite Drapeau du Chili 1991 1er tour
Drapeau du Chili 1920 Non inscrite Drapeau de l'Équateur 1947 Cinquième Drapeau de l'Équateur 1993 Quart de finale
Drapeau de l'Argentine 1921 Non inscrite Drapeau du Brésil 1949 Médaille de bronze, Amérique du Sud Troisième Drapeau de l'Uruguay 1995 1er tour
Drapeau du Brésil 1922 Non inscrite Drapeau du Pérou 1953 Cinquième Drapeau de la Bolivie 1997 Demi-finale (4e)
Drapeau de l'Uruguay 1923 Non inscrite Drapeau du Chili 1955 Médaille de bronze, Amérique du Sud Troisième Drapeau du Paraguay 1999 Quart de finale
Drapeau de l'Uruguay 1924 Non inscrite Drapeau de l'Uruguay 1956 Sixième Drapeau de la Colombie 2001 Quart de finale
Drapeau de l'Argentine 1925 Non inscrite Drapeau du Pérou 1957 Quatrième Drapeau du Pérou 2004 Quart de finale
Drapeau du Chili 1926 Non inscrite Drapeau de l'Argentine 1959 Quatrième Drapeau du Venezuela 2007 Quart de finale
Drapeau du Pérou 1927 Médaille de bronze, Amérique du Sud Troisième Drapeau de l'Équateur 1959 Non inscrite Drapeau de l'Argentine 2011 Médaille de bronze, Amérique du Sud Demi-finale (3e)
Drapeau de l'Argentine 1929 Quatrième Drapeau de la Bolivie 1963 Cinquième Drapeau du Chili 2015 Médaille de bronze, Amérique du Sud Demi-finale (3e)
Drapeau du Pérou 1935 Médaille de bronze, Amérique du Sud Troisième Drapeau de l'Uruguay 1967 Non inscrite Drapeau des États-Unis 2016 Quart de finale
Drapeau de l'Argentine 1937 Sixième 1975 Médaille d'or, Amérique du Sud Vainqueur Drapeau du Brésil 2019 Médaille d'argent, Amérique du Sud Finaliste
Drapeau du Pérou 1939 Médaille d'or, Amérique du Sud Vainqueur 1979 Médaille de bronze, Amérique du Sud Demi-finale Drapeau du Brésil 2021 Demi-finale (4e)
Drapeau du Chili 1941 Quatrième 1983 Médaille de bronze, Amérique du Sud Demi-finale Drapeau des États-Unis 2024 À venir

Parcours en Championnat panaméricain[modifier | modifier le code]

Parcours en Gold Cup[modifier | modifier le code]

Palmarès[modifier | modifier le code]

Compétitions officielles[modifier | modifier le code]

Trophées divers[modifier | modifier le code]

  • Copa Mariscal Sucre (1) :
    • Vainqueur : 1973[31].
  • Copa 75 Aniversario de la FPF (1) :
    • Vainqueur : 1997.

Statistiques[modifier | modifier le code]

Nations rencontrées[modifier | modifier le code]

Bilan du Pérou face aux sélections affrontées plus de 20 fois[note 6]
Adversaire Total Victoires Matchs nuls Défaites
Chili 84 24 14 46
Uruguay 69 15 16 38
Colombie 60 17 22 21
Paraguay 57 18 16 23
Argentine 54 5 14 35
Équateur 52 21 15 16
Bolivie 51 25 12 14
Brésil 51 5 9 37
Venezuela 37 23 6 8
Mexique 29 9 8 12

Les dix équipes nationales rencontrées plus de vingt fois font exclusivement partie du continent américain, le Mexique étant la seule équipe ne faisant pas partie de la CONMEBOL.

Rivalités[modifier | modifier le code]

Le rival historique du Pérou reste sans conteste le Chili dont les confrontations portent le nom de Clásico del Pacífico. C'est aussi l'adversaire le plus souvent rencontré (à 84 reprises). Une autre rivalité de moindre intensité est celle qui l'oppose à l'Équateur.

Records[modifier | modifier le code]

En termes de résultats records, la plus large victoire du Pérou a eu lieu le contre l'Équateur, lors des Jeux bolivariens de 1938, sur le score de 9-1.

Sa plus large défaite est enregistrée le en demi-finales de la Copa América 1997, aux mains du Brésil, qui l'écrase 7-0.

Classement FIFA[modifier | modifier le code]

Le Pérou a connu son meilleur classement FIFA en en se hissant à la 10e place alors que son plus mauvais classement est une 91e place atteinte en . Sa meilleure progression a lieu en avec un gain de 25 places au classement mondial alors qu'en , il a enregistré son plus fort recul en perdant 33 places. Depuis sa création, le classement moyen du Pérou se situe autour du 52e rang[32].

Classement FIFA de l'équipe du Pérou (1993-2007)
Année 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007
Classement mondial 73 72 69 54 38 72 42 45 43 82 74 66 66 70 63
Classement sud-américain 9 8 9 9 8 8 6 7 8 8 8 8 8 8 9
Classement FIFA de l'équipe du Pérou (2008-2022)
Année 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021 2022
Classement mondial 75 68 68 35 46 39 53 47 19 11 20 21 25 22 21
Classement sud-américain 10 10 9 6 9 8 7 8 6 4 6 6 6 5 5

Légende du classement mondial :

  • de 1 à 25
  • de 26 à 50
  • de 51 à 211

Légende du classement sud-américain :

  • de 1 à 3
  • de 4 à 7
  • de 8 à 10

Effectif actuel[modifier | modifier le code]

Effectif et encadrement de l'équipe du Pérou pour les éliminatoires de la Coupe du monde 2026 contre la Bolivie et le Venezuela, respectivement les 16 et 21 novembre 2023.
Joueurs     Encadrement technique
P. Nom Date de naissance Sél. But(s) Club Depuis
1 G Gallese, PedroPedro Gallese  (34 ans) 103 0 Orlando City 2014
12 G Cáceda, CarlosCarlos Cáceda  (32 ans) 7 0 FBC Melgar 2016
21 G Duarte, AlejandroAlejandro Duarte  (30 ans) 0 0 Sporting Cristal
2 D Sonne, OliverOliver Sonne  (23 ans) 0 0 Silkeborg IF
3 D Corzo, AldoAldo Corzo  (34 ans) 50 0 Universitario 2009
4 D López, MarcosMarcos López  (24 ans) 32 0 Feyenoord Rotterdam 2018
5 D Zambrano, CarlosCarlos Zambrano  (34 ans) 69 4 Alianza Lima 2008
6 D Trauco, MiguelMiguel Trauco  (31 ans) 73 0 San José Earthquakes 2014
15 D Araujo, MiguelMiguel Araujo  (29 ans) 31 0 Portland Timbers 2014
17 D Advíncula, LuisLuis Advíncula  (34 ans) 115 2 Boca Juniors 2010
22 D Callens, AlexanderAlexander Callens  (31 ans) 40 2 AEK Athènes 2013
8 M Quispe, PieroPiero Quispe  (22 ans) 3 0 Universitario 2022
10 M Peña, SergioSergio Peña  (28 ans) 35 3 Malmö FF 2017
13 M Tapia, RenatoRenato Tapia  (28 ans) 84 5 Celta Vigo 2015
16 M Cartagena, WilderWilder Cartagena  (29 ans) 29 0 Orlando City 2017
18 M Carrillo, AndréAndré Carrillo  (32 ans) 98 11 Al-Qadsiah FC 2011
19 M Yotún, YoshimarYoshimar Yotún  (34 ans) 128 8 Sporting Cristal 2011
23 M Aquino, PedroPedro Aquino  (29 ans) 45 3 Santos Laguna 2016
7 A Grimaldo, JoaoJoao Grimaldo  (21 ans) 4 0 Sporting Cristal 2023
9 A Guerrero, PaoloPaolo Guerrero  (40 ans) 116 39 LDU Quito 2004
11 A Reyna, BryanBryan Reyna  (25 ans) 9 2 Alianza Lima 2022
14 A Lapadula, GianlucaGianluca Lapadula  (34 ans) 29 9 Cagliari Calcio 2020
20 A Flores, EdisonEdison Flores  (29 ans) 70 15 Universitario 2013
- A Zanelatto, FrancoFranco Zanelatto  (23 ans) 3 0 Alianza Lima 2023


Sélectionneur
Sélectionneur(s) adjoint(s)
  • Jaime Serna
Préparateur(s) physique(s)
  • Néstor Bonillo
Entraîneur(s) des gardiens
  • Óscar Gambetta
Médecin(s)
  • Julio Segura



Légende


Personnalités historiques[modifier | modifier le code]

Principaux joueurs (tous les temps)[modifier | modifier le code]

En gras = joueur encore en activité

Records[modifier | modifier le code]

Mis à jour le [33].
En gras = joueur encore en activité

Top 10 des joueurs les plus capés
Sélections Joueur Période Buts
128 Roberto Palacios 1992-2012 19
126 Yoshimar Yotún 2011- 7
113 Paolo Guerrero 2004- 38
113 Luis Advíncula 2010- 2
105 Héctor Chumpitaz 1965-1981 3
102 Jefferson Farfán 2003-2021 27
101 Jorge Soto 1992-2005 9
101 Pedro Gallese 2014- 0
98 Christian Cueva 2011- 16
97 Juan José Jayo 1994-2008 1
Top 10 des meilleurs buteurs
Buts Joueur Période Matches
38 Paolo Guerrero 2004- 113
27 Jefferson Farfán 2003-2021 102
26 Teófilo Cubillas 1968-1982 81
24 Teodoro Fernández 1935-1947 32
20 Claudio Pizarro 1999-2016 85
20 Nolberto Solano 1994-2009 95
19 Roberto Palacios 1992-2012 128
18 Hugo Sotil 1970-1979 62
17 Oswaldo Ramírez 1969-1982 57
16 Franco Navarro 1980-1989 56
16 Christian Cueva 2011- 98

Sélectionneurs[modifier | modifier le code]

Mis à jour le .

Nom Période J G N D % Victoires Nº Titres
Drapeau de l'Uruguay Pedro Olivieri 1927 3 1 0 2 33.33
Drapeau de l'Uruguay Julio Borelli 1929 3 0 0 3 0.00
Drapeau de l'Espagne Francisco Bru 1930 2 0 0 2 0.00
Drapeau du Pérou Telmo Carbajo 1935 3 1 0 2 33.33
Drapeau du Pérou Alberto Denegri 1936-1937 7 3 1 3 42.86
Drapeau de l'Angleterre Jack Greenwell 1938-1939 8 8 0 0 100.00 2
Drapeau de l'Espagne Domingo Arrillaga 1941 7 1 2 4 14.29
Drapeau de l'Argentine Ángel Fernández 1942 6 1 2 3 16.67
Drapeau du Pérou José Arana 1947 7 2 2 3 28.57
Drapeau du Pérou Arturo Fernández 1949 7 5 0 2 71.43
Drapeau du Pérou Alfonso Huapaya 1952 5 2 1 2 40.00
William Cook 1953 4 1 2 1 25.00
Drapeau de l'Argentine Ángel Fernández 1953 4 2 0 2 50.00
Drapeau du Pérou Juan Valdivieso 1954-1955 7 3 2 2 42.86
Drapeau du Pérou Arturo Fernández 1956 10 1 3 6 10.00
Drapeau de la Hongrie György Orth 1957-1961 18 6 4 8 33.33
Drapeau du Pérou Marcos Calderón 1961 2 0 1 1 0.00
Drapeau du Brésil Jaime de Almeyda 1962 1 0 0 1 0.00
Drapeau du Pérou Juan Valdivieso 1963 6 2 1 3 33.33
Drapeau du Pérou Marcos Calderón 1965 7 2 0 5 28.57
Drapeau du Brésil José Gomes Nogueira 1966 2 0 0 2 0.00
Drapeau du Pérou Marcos Calderón 1967 4 1 1 2 25.00
Drapeau du Brésil Didi 1968-1970 38 14 9 15 36.84
Drapeau du Pérou Alejandro Heredia 1971 4 1 1 2 25.00
Drapeau de la Hongrie Lajos Baróti 1972 6 0 2 4 0.00
Drapeau de l'Uruguay Roberto Scarone 1972-1973 18 9 2 7 50.00
Drapeau du Pérou Marcos Calderón 1975 13 8 1 4 61.53 1
Drapeau du Pérou Alejandro Heredia 1976 4 0 2 2 0.00
Drapeau du Pérou Marcos Calderón 1977-1978 24 9 6 9 37.50
Drapeau du Pérou José Chiarella 1979 10 3 2 5 30.00
Drapeau du Pérou Juan José Tan 1980 1 0 1 0 0.00
Drapeau du Pérou Marcos Calderón[note 7] 1980 1 0 1 0 0.00
Drapeau du Pérou Alejandro Heredia 1981 3 0 0 3 0.00
Drapeau du Brésil Tim 1981-1982 14 6 5 3 42.85
Drapeau du Pérou Juan José Tan 1983 12 2 5 5 16.67
Drapeau du Pérou Moisés Barack 1984-1985 16 6 6 4 37.50
Drapeau du Pérou Roberto Chale 1985 8 2 2 4 25.00
Drapeau du Pérou Luis Cruzado[note 8] 1986 2 1 0 1 50.00
Drapeau du Pérou Manuel Mayorga 1986 1 0 0 1 0.00
Drapeau du Pérou Fernando Cuéllar 1987 5 1 2 2 20.00
Drapeau du Pérou José Fernández 1988-1989 6 0 2 4 0.00
Drapeau du Brésil Pepe 1989 16 2 5 9 12.50
Drapeau du Pérou Percy Rojas 1989 1 0 0 1 0.00
Drapeau du Pérou Miguel Company 1991 8 2 2 4 25.00
/ Vladimir Popović 1992-1993 21 3 8 10 14.29
Drapeau du Pérou Miguel Company 1994-1995 15 4 3 8 26.67
Drapeau du Pérou Juan Carlos Oblitas 1996-1999 39 16 9 14 42.10
Drapeau du Pérou Freddy Ternero[note 9] Copa América 1997 6 3 0 3 50.00
Drapeau de la Colombie Francisco Maturana 1999-2000 14 4 4 6 28.57
Drapeau du Pérou Julio César Uribe 2000-2001 15 3 4 8 20.00
Drapeau du Brésil Paulo Autuori 2003-2005 31 9 10 12 29.03
Drapeau du Pérou Freddy Ternero 2005 8 3 2 3 37.50
Drapeau du Pérou Franco Navarro 2006 7 1 3 3 14.28
Drapeau du Pérou Julio César Uribe 2007 7 2 1 4 28.57
Drapeau du Pérou José del Solar 2007-2009 28 6 6 16 21.00
Drapeau de l'Uruguay Sergio Markarián 2010-2013 44 16 14 14 36.36
Drapeau du Pérou Roberto Mosquera[note 10] 2013 1 0 0 1 0.00
Drapeau de l'Uruguay Pablo Bengoechea 2014 9 5 0 4 55.55
Drapeau de l'Argentine Ricardo Gareca 2015-2022 96 39 23 34 40.63
Drapeau du Pérou Juan Reynoso 2022-2023 12 4 2 6 33.33
Jorge Fossati 2023- 0 0 0 0 0
Totaux 686 226 167 293 32.94 3

J = Joués, G = Gagnés, N = Nuls, D = Défaites

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Le Pérou a remporté cinq autres éditions des Jeux bolivariens: 1947-1948, 1961, 1973 et 1981, avec des équipes amateurs, et l'édition 2001 avec l'équipe des moins de 17 ans.
  2. ex aequo avec la Belgique.
  3. ex aequo avec les Émirats arabes unis.
  4. ex aequo avec le Japon et la République tchèque.
  5. ex aequo avec le Chili.
  6. Bilan mis à jour après le match contre l'Argentine du .
  7. Marcos Calderón est mort dans la catastrophe aérienne de l'Alianza Lima en décembre 1987.
  8. Luis Cruzado dirige une équipe bis durant la Coupe Nehru 1986 qui affronte la RDA olympique, des équipes amateurs d'URSS et de Corée du Sud, la Chine et l'Inde. Seuls les deux derniers matchs sont considérés officiels.
  9. Freddy Ternero a dirigé l'équipe comme sélectionneur lors de la Copa América 1997, mais le reste de la saison a été assistant de Juan Carlos Oblitas.
  10. Roberto Mosquera a dirigé l'équipe nationale durant un match amical non officiel contre l'équipe du Pays basque (défaite 6-0).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. « Foot : l'Uruguayen Jorge Fossati nouveau sélectionneur du Pérou », sur Le Figaro, (consulté le ).
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  5. Thomas Goubin et Marcelo Assaf, « Une victoire trop belle pour être vraie », sur www.sofoot.com, (consulté le ).
  6. (es) El Chull, « El futbolero nostálgico: Hoy - Perú rumbo a Francia 1998 », sur www.pasedeldesprecio.blogspot.pe, (consulté le ).
  7. « Copa America 1997: Brésil - Pérou 7:0 », sur www.mondefootball.fr, (consulté le ).
  8. Sylvain Godoc, « Pérou : l'équipe de football manque (encore) la Coupe du monde », sur www.lejournalinternational.fr, (consulté le ).
  9. « Markarian démissionne », sur www.lequipe.fr, (consulté le ).
  10. « Le Pérou à huis clos », sur www.lefigaro.fr, (consulté le ).
  11. « Bengoechea nommé sélectionneur », sur www.lequipe.fr, (consulté le ).
  12. « Ricardo Gareca nouveau sélectionneur du Pérou », sur www.rtbf.be, (consulté le ).
  13. « Le Pérou encore sur podium », sur www.lequipe.fr, (consulté le ).
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  16. (es) « Ecuador 1-2 Perú: la Blanquirroja, más cerca del Mundial 2018 », sur www.as.com, (consulté le ).
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  18. (es) « Perú alcanzó histórico 'top ten' del ranking FIFA », sur www.elcomercio.pe, (consulté le ).
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  20. Frédéric Gouaillard et Yves Leroy, « Coupe du monde 2018 : Australie, Pérou et Danemark, un tirage à la portée des Bleus », sur www.leparisien.fr, (consulté le ).
  21. Lionel Dangoumau, « France-Pérou : Ieka, c'était Lima », sur www.lequipe.fr, (consulté le ).
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Liens externes[modifier | modifier le code]

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