Dentifrice

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Dentifrice appliqué sur une brosse à dents.

Le dentifrice, ou pâte dentifrice, aussi appelée pâte à dents au Canada francophone, est une pâte appliquée sur une brosse à dents pour le nettoyage des dents, il est un complément au brossage qui peut se faire sans dentifrice, celui-ci est secondaire comparé à l'action mécanique du brossage sur la santé bucco-dentaire.

Le dentifrice contribue à l'hygiène bucco-dentaire de plusieurs manières : il permet d'enlever plus facilement la plaque dentaire, évite la mauvaise haleine, et peut contenir des substances qui préviennent les maladies liées aux dents et aux gencives (comme la gingivite). Les deux ingrédients les plus importants sont le fluor qui renforce l'émail et le reminéralise[1] et le bicarbonate de soude qui aide à retirer la plaque dentaire, a une activité bactéricide, des propriétés de blanchiment des dents et une capacité à neutraliser l'acidité[2],[3]. Les effets du brossage dentaire dépendent de la manière dont celui-ci est effectué, et non du dentifrice. [réf. nécessaire]

Histoire[modifier | modifier le code]

On parlait autrefois de « poudre dentifrique »[4], poudre officinale[5] qui visait à raffermir la gencive et blanchir les dents. Une recette de poudre blanchissante donnée par Louis Joseph Marie Robert (1805) est : Girofle en poudre (dose : un gros), à quoi l'on ajoute de la crème de tartre (dose : un demi-gros), de l'alun calciné (dose : un demi-gros), de la cochenille en poudre (dose : un demi-gros), du sucre (une once), le tout étant à réduire en poudre par porphyrisation[6]. Mais d'autres recettes ajoutaient à la crème de tartre de la pierre ponce, du « corail préparé », de l'« os desséché », à l'époque appliqué non pas à la brosse à dents, qui n'existait pas, mais « au doigt mouillé de vin ». On l'appelait ainsi car il fallait tremper son doigt dans le vin puis dans le dentifrice en poudre.

Le terme dentifrice vient du latin dentifricum, de dens, dentis : « la dent » et fricare : « frotter »[7].

La première référence à une forme de dentifrice se trouve dans un manuscrit égyptien datant du IVe siècle av. J.-C., qui mentionne une mixture à base de sel, de poivre, de feuilles de menthe et de fleurs d'iris[8][source insuffisante]. Les Égyptiens de l'Antiquité, eux, employaient un mélange de cendres et d'argile. Les ingrédients exacts du dentifrice restent inconnus[9], mais il a été rapporté que son goût est « fonctionnel et plaisant à goûter[10]. » Déjà dans l'Antiquité on commence à pratiquer l'hygiène bucco-dentaire en utilisant des bâtonnets fibreux à mâcher, comme le siwak, servant de brosse à dents. Les Grecs et Romains de l'Antiquité étoffent certaines de ces recettes en y ajoutant des ingrédients plus abrasifs tels que de la poudre de pierre ponce, de la poussière de marbre, des coquilles d'huîtres broyées, de la poudre d'os pilé ou calciné[11].

Au Moyen Âge, le dentifrice reste le plus souvent sous la forme d'une poudre avec différents abrasifs, et est appliqué avec un linge. Jusqu'au XVIIe siècle, l'urine humaine ou animale fermentée[12] reste très prisée : elle passe pour avoir un bon effet détergent, désinfectant et de blanchissement des dents[13].

Au XVIIIe siècle, le lexicographe Antoine Furetière évoque, en 1690, des dentifrices secs (poudres à base de minéraux comme des coraux, pierre ponce, sel et alun ; produits animaux comme des coquilles d’œufs, d’escargots et d’écrevisses, corne de cerf et os de sèche ; et produits végétaux comme des racines cuites avec alun et séchées au four) et humides (distillation d’herbes desséchantes et de médicaments astringents) en usage à l'époque[14].

Les premiers dentifrices en pâte commercialisés dans des pots en porcelaine apparurent au XIXe siècle (Colgate étant la première entreprise à les vendre en masse en 1873), mais ils ne parvinrent pas à vaincre la popularité des poudres avant la Première Guerre mondiale. Alors qu'il vendait à ses patients du dentifrice en pot, qu’il fabriquait lui-même, le dentiste Washington Sheffield (en) s'inspira des peintres qui utilisaient les tubes de peinture en métal pour créer en 1892 le premier dentifrice en tube souple en étain, plus pratique et hygiénique[15]. Samuel Colgate (en) reprit l'idée de Sheffield pour produire en masse et vendre en 1896, les tubes de dentifrice souple en étain et enroulables Colgate Ribbon Dental Creme[16].

Divers additifs furent progressivement ajoutés à la pâte. Le fluorure fut ajouté dans le dentifrice durant l'année 1890. Chaque pays détermine une limite maximale à la quantité de fluorure jugée acceptable pour la santé bien qu'un excès de fluor soit considéré comme étant nocif par plusieurs études et que les tablettes, gouttes de fluor et autres compléments alimentaires en contenant nécessitent une prescription en Belgique[17].

Au début du XXe siècle, il était conseillé d'utiliser une pâte à base d'eau oxygénée et de bicarbonate de soude. Ce mélange est encore préconisé actuellement pour prévenir les maladies parodontales. En France, le docteur Pierre Mussot fait réaliser en 1894 par Louis-Maurice Boutet de Monvel une affiche devenue célèbre, ainsi que de grandes publicités murales sur des immeubles hausmanniens dans les années 1920[18], comme celle de Jean Carlu pour la marque Gellé frères.

Ingrédients et aromates[modifier | modifier le code]

Dentifrice contenant des particules de microplastique.

Le fluor est le principal agent actif de la plupart des dentifrices, et contribue à la prévention des caries : il permet la formation d'une couche d'émail moins soluble (la fluorapatite, de formule Ca5[(PO4)3F), et donc moins sensible aux attaques acides qui induisent les caries[19]. Le composé le plus fréquent est le fluorure de sodium. Certaines marques emploient du monofluorophosphate de sodium, du fluorure d'étain ou du fluorure d'amine. Aux États-Unis comme en Europe, pratiquement tous les dentifrices vendus dans le commerce contiennent un de ces agents actifs, dans une proportion de 1 000 à 1 100 ppm. Le fait que ce taux soit relativement constant conduit à penser que les dentifrices bon marché sont tout aussi efficaces que les dentifrices plus onéreux. Dans une étude menée en 1998 sur 38 dentifrices, le magazine américain Consumer Reports jugea l'efficacité de 30 d'entre eux excellente[20].

Les dentifrices contiennent en général, mais pas toujours, du laurylsulfate de sodium ou un autre type de sulfate[21]. Le laurylsulfate de sodium est également présent dans d'autres cosmétiques tels que le shampooing, et agit principalement comme agent moussant[21]. À long terme, l'utilisation d'un dentifrice contenant du laurylsulfate de sodium peut provoquer chez certaines personnes l'apparition d'aphtes[21]. Des ingrédients tels que du bicarbonate de sodium, des enzymes, des vitamines, des extraits végétaux, du calcium, des produits de bain de bouche, ou encore de l'eau oxygénée sont souvent ajoutés au mélange de base et mis en valeur par les marques pour leurs effets bénéfiques. Il existe de nombreux goûts de dentifrice, la plupart dérivant de la menthe. Il existe cependant des goûts plus « exotiques » incluant anis, abricot, cannelle, fraise, chewing-gum (principalement destiné aux enfants), citron, fenouil, gingembre, orange, vanille, ou même « sans goût ».

Le formaldéhyde, utilisé pour réduire les sensibilités à la douleur en cas de température extrême, n'est plus utilisé aux États-Unis depuis le début des années 1980, mais demeure autorisé dans l'Union européenne.

Le dentifrice doit être recraché après utilisation, mais 5 à 7 % du dentifrice est avalé durant le brossage[2]. Certains types de dentifrice peuvent provoquer des nausées ou la diarrhée s'ils sont ingérés en trop grande quantité. Chez les très jeunes enfants, un empoisonnement aigu au fluorure peut survenir après ingestion d'aussi peu que 1 pour cent d'un tube de pâte dentifrice aromatisée pour enfants[22]. Pour les végétariens et les végétaliens, des dentifrices d'origine indienne dépourvus de dérivés animaux ont été introduits dans le commerce.

Aujourd'hui[Quand ?], un dentifrice, constitué essentiellement d'eau, est principalement composé d'excipients : agents polissants (abrasifs composés de silice, bicarbonates de sodium ou phosphates de calcium) influençant sa valeur RDA, agents humectants, agents moussants (à base de tensioactifs), agents épaississants, conservateurs, colorants, édulcorants, arômes ; et de principes actifs : anti-caries (à base de fluor), agents antibactériens (triclosan ou chlorhexidine), agents de blanchiment et anti-tartre.

Types[modifier | modifier le code]

Dentifrice à rayures[modifier | modifier le code]

Schéma descriptif montrant comment la pâte de dentifrice sort du tube.

Des rayures peuvent être produites à l'aide de deux tubes, un petit tube contenu dans un plus grand, chaque tube contenant une pâte de couleur différente. Lorsque le tube de dentifrice est pressé, les deux pâtes passent à travers un orifice spécialement conçu pour produire le motif à rayures. Ce type de dentifrice a donné lieu à une séquence culte du film Epidemic de Lars von Trier où ce dernier découpe un tube afin d'en découvrir le fonctionnement.

Afin de réduire les coûts de production, il est actuellement courant de remplir les tubes de pâte comportant déjà des rayures. Quand le tube est pressé, les rayures s'écoulent en parallèle et ne se mêlent pas. La pâte à rayures qui sort du tube est simplement une version plus étroite de ce que contient le tube. Le remplissage est effectué à l'aide d'une tête de remplissage multi-buse qui distribue une pâte de couleur différente dans chaque direction. Pour maintenir les rayures parallèles à l'axe du tube, la tête commence en bas et se rétracte au fur et à mesure du remplissage, restant toujours juste au-dessus du niveau de la pâte. Les tubes à deux compartiments sont généralement réservés aux dentifrices contenant deux préparations devant interagir et qui sont ainsi conservées séparées jusqu'au moment de l'utilisation.

Marques populaires[modifier | modifier le code]

Dentifrices de plusieurs marques.

De nombreuses marques sont devenues populaires depuis la commercialisation du dentifrice au XIXe siècle.

En Europe, on trouve les marques Buccotherm, Aquafresh, Dors & Déjà, Émail Diamant, Fluocaril, Sanogyl, Sensodyne, et Tonigencyl en Belgique et en France, les marques Elmex, Meridol, Aronal, Dentamed, Candida, M-Classic, Weleda, et Dentofit en Suisse, les marques Denivit, Parodontax, Vademecum, et Signal en Allemagne et aux Pays-Bas.

Au Canada ce sont les marques (Aquafresh, Arm and Hammer, Close-Up, Colgate-Palmolive, Crest, Sensodyne qui sont populaires (certains dentifrices ayant des effets qui ont été testés de manière indépendante portent le sceau de l'Association dentaire canadienne[23]).

Aux États-Unis les marquent populaires sont Aim toothpaste, Aquafresh, Arm and Hammer, Close-Up, CloSYSII, Colgate-Palmolive, Crest, Ipana, Macleans, Mentadent, Pepsodent, Sensodyne, Tom's of Maine, Jaan's Paste.

Écoulement[modifier | modifier le code]

Le dentifrice est un fluide de Bingham : il faut exercer une certaine contrainte de cisaillement pour qu'il commence à s'écouler, en dessous de cette limite, il ne s'écoule pas. De plus, à température ambiante, il est consistant.

Dentifrices et environnement[modifier | modifier le code]

De nombreux dentifrices, en raison de leur composition, peuvent négativement interagir avec l'environnement. Les problèmes qu'ils posent sont dus à leur :

  • teneur en fluor : les dentifrices enrichis en fluor (ou dérivés comme le fluorure stanneux[24]) sont une source de contamination des eaux d'égouts et des boues de station d'épuration par le fluor ;
  • teneur en conservateurs : la plupart des dentrifrices commercialisés contiennent aussi des produits biocides ou des agents conservateurs susceptibles d'interagir avec les microbes présents dans les égouts ou les stations d'épuration ;
  • tubes : ce contenant n'est pas biodégradable ; les tubes en aluminium sont de plus en plus rares, généralement remplacés par du plastique souple (potentiellement recyclable, mais a priori plutôt jeté avec les déchets non triés) ;
  • teneur en microplastiques. Ces derniers sont des microparticules ou microsphères (Microbeads pour les anglophones) souvent en polyéthylène utilisées comme agent abrasif doux supposés réduire la plaque dentaire et constituant donnant une apparence lisse à la pâte (ou à certains chewing-gum)[25], surtout utilisés depuis les années 1990 et pour des raisons de rentabilité économique[26]. Ils ne sont pas rapidement biodégradables et seront retrouvés dans les eaux grises puis les cours d'eau, estuaires et in fine dans l'environnement marin, car imparfaitement retenus par les filtres de station d'épuration, ou épandus avec les boues dans les champs ou forêts[27].
    Selon un document publié en 2014 par quatre ONG ayant pour objectif la protection des océans, et/ou la lutte contre la pollution par les microplastiques, de nombreux cosmétiques (les 3/4 des savons et autres produits de gommage contiennent des microplastiques, ainsi que divers shampooings, savons, dentifrices, eye-liners, sticks pour les lèvres, déodorants et un écran solaire peuvent aussi en contenir. Ces microplastiques sont faits de polyéthylène (PE), polypropylène (PP), polytéréphtalate d'éthylène (PET), polyméthacrylate de méthyle (PMMA) ou de nylon, les PE et PP étant les plus communs (en 2012). Des analyses faites pour le compte de la Fondation pour la Mer du Nord (North Sea Foundation) par IVM[28] sur plusieurs produits ont trouvé une teneur en microplastiques qui dans un cas atteignait 10,6 % du poids du produit (polyéthylène dans ce cas) soit 21 g pour une dose de 200 ml, qui finissent inéluctablement dans le réseau d'égout. Dans un autre produit examiné lors de cette étude, les chercheurs ont trouvé des particules de PET de très petite taille (50 µm de diamètre). Au vu de ces travaux, la dose moyenne de microplastique utilisée par jour via les dentifrices et cosmétiques serait de 2,4 mg de microplastique/personne et par jour. Ce laboratoire a également trouvé et quantifié des microplastiques dans les stations d'épuration, en aval dans les sédiments marins néerlandais et dans les invertébrés marins (crabes, huître, moule, escargot)[29]. Certains dentistes notent qu'ils trouvent de plus en plus de microplastiques dans les gencives et craignent des effets sanitaires. Ils recommandent des dentifrices sans plastiques[30] (des dentifrices présentés comme plus doux à l'égard de l'environnement (à base d'argile et d'huiles essentielles) existent).

Marques de couleur sur les tubes de dentifrice[modifier | modifier le code]

Une croyance populaire décrit la marque de couleurs placée sur l'arrière d'un tube de dentifrice comme étant une indication de leur composition, de la manière suivante[31],[32] :

  • Vert : « naturel »
  • Bleu : « Naturel + ingrédients médecinaux »
  • Rouge : « Naturel + produit chimique »
  • Noir : « uniquement produit chimique »

Cette information est un canular circulant depuis au moins 2013[32]. Ces bandes sont des points d'identification optique (eye mark[32]) utilisés lors de la fabrication du remplissage et/ou de la fermeture du tube ; ce type de système existant de manière identique sur d'autres emballages[32].

La notice ou la boîte du dentifrice indique la composition de celui-ci [33],[31],[34].

Le dentifrice au charbon[modifier | modifier le code]

Le dentifrice au charbon contient du charbon actif, un type de carbone poreux qui est traité pour augmenter sa surface. Le charbon actif est souvent utilisé pour purifier l'eau et l'air, car il peut absorber les impuretés et les toxines. Devenu tendance, le dentifrice au charbon est parfois présenté comme pouvant aider à blanchir les dents et éliminer les taches de surface, sans que cela soit appuyé par des données scientifiques. Il présente au contraire un risque abrasif pour l'émail et donc un danger accru de lésions carieuses[35],[36].

Dans la culture[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. (en) American Dental Association Description of Toothpaste, « Toothpaste », sur ada.org, .
  2. a et b (en) « Baking soda dentifrices and oral health », The Journal of the American Dental Association, vol. 148, no 11,‎ , S1–S3 (ISSN 0002-8177, DOI 10.1016/j.adaj.2017.09.009, lire en ligne, consulté le )
  3. (en) « Effect of baking soda in dentifrices on plaque removal », The Journal of the American Dental Association, vol. 148, no 11,‎ , S4–S9 (ISSN 0002-8177, DOI 10.1016/j.adaj.2017.09.004, lire en ligne, consulté le )
  4. Jacques Christophe Valmont de Bomare (1775), Dictionnaire raisonné universel d'histoire naturelle ; contenant l'histoire des animaux, des végétaux et des minéraux etc. Nouv. éd., rev. et augm. par l'auteur, Paris, Brunet, p. 600
  5. Simon Morelot Poignée (1803), Manuel du pharmacien-chimiste, Pharmaceutical chemistry, p. 228,916
  6. Louis Joseph Marie Robert (1805), Manuel de santé ou nouveaux éléments de médecine pratique, d'après l'état actuel de la science et la méthode analytique de Pinel et de Bichat, vol. 2, p. 863
  7. « Dentifrice : Étymologie de dentifrice », sur cnrtl.fr (consulté le ).
  8. « Les dentifrices industriels », sur sites.google.com (consulté le ).
  9. (en) Robert W. Lebling Jr., « Flight of the Blackbird », Saudi Aramco World,‎ , p. 24–33 (lire en ligne, consulté le )
  10. (en) Ivan Van Sertima, The Golden Age of the Moor, Transaction Publishers, , 462 p. (ISBN 1-56000-581-5), p. 267
  11. Augustin Cabanès, Mœurs intimes du passé : Usages et coutumes disparus, Ligaran, , p. 147.
  12. L'urine laissée quelques semaines dans un récipient fermé subit la fermentation ammoniacale : plusieurs micro-organismes (le principal étant Micrococcus ureae) hydrolysent son urée en carbonate d'ammoniaque, responsable du pH alcalin et de l'effet détergent. (en) George Miller Sternberg, A Text-book of Bacteriology, Wood, , p. 140.
  13. Clément David, Hygiène bucco-dentaire du XVIIe au XIXe siècle en France, L'Harmattan, , p. 43-44.
  14. Furetière, Dictionnaire universel contenant généralement tous les mots françois, tant vieux que modernes, et les termes de toutes les sciences et des arts
  15. (en) Valerie Wyatt, Inventions, Prentice Hall Books for Young Readers, , p. 46.
  16. (en) Gabriella Baki et Kenneth S. Alexander, Introduction to Cosmetic Formulation and Technology, John Wiley & Sons, p. 554.
  17. « Nutriments fluorés déclarés hors-la-loi », sur lalibre.be, (consulté le ).
  18. Article sur les publicités murales du docteur Mussot
  19. « Fundamentals of Dentifrice: Oral Health Benefits in a Tube », sur dentalcare.com.
  20. (en) Kych, « Best tooth paste ever!!! », sur viewpoints.com (consulté le ).
  21. a b et c « Le dentifrice un produit d'usage courant », sur penntybio.com (consulté le ).
  22. J. D. Shulman et L. M. Wells, « Acute fluoride toxicity from ingesting home-use dental products in children, birth to 6 years of age », Journal of Public Health Dentistry, vol. 57, no 3,‎ , p. 150–158 (ISSN 0022-4006, PMID 9383753, DOI 10.1111/j.1752-7325.1997.tb02966.x, lire en ligne, consulté le )
  23. « Produits reconnus par l'Association dentaire canadienne », sur cda-adc.ca.
  24. « The Role of Stannous Fluoride in Maintaining Oral Health », sur pharmacytimes.com (consulté le ).
  25. (Fendall et Sewell 2009), The ones usually found in toothpaste and face wash are even smaller (less than 1 mm).
  26. Cole, Lindeque, Halsband et Galloway, 2011.
  27. North Sea Foundation, Marine Conservation Society, Seas At Risk & Plastic Soup Foundation (2012), Micro plastics in personal care products, Position paper, aout 2012
  28. Institute for Environmental Studies, Instituut voor Milieuvraagstukken
  29. H.A. Leslie, M.J.M. van Velzen et A.D. Vethaak (2013), Microplastic survey of the Dutch environment Novel data set of microplastics in North Sea sediments, treated wastewater effluents and marine biota, VM Institute for Environmental Studies, rapport final : 2013-09-09
  30. Microbeads In Toothpaste & Face Wash, 15 juillet 2014 (consulté le 20 décembre 2014)
  31. a et b Que signifie le petit carré coloré sur les tubes de dentifrice ?
  32. a b c et d Couleur tubes de dentifrice - Hoaxbuster
  33. Que signifient les petites bandes sur les tubes de dentifrices ?
  34. Tube de dentifrice et carré coloré : arrêtons l’intox ! | 60 Millions de Consommateurs
  35. Linda H. Greenwall, Joseph Greenwall-Cohen, Nairn H. F. Wilson, « Charcoal-containing dentifrices », British Dental Journal,‎ , p. 697-700 (lire en ligne)
  36. « La mode inquiétante des dentifrices au charbon », Le Chirurgien-Dentiste de France,‎ , p. 31-32 (lire en ligne)

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]