Opérations de secours de la grotte de Tham Luang

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Opérations de secours de la grotte de Tham Luang
Sauveteurs et équipements dans la grotte de Tham Luang.
Sauveteurs et équipements dans la grotte de Tham Luang.

Pays Drapeau de la Thaïlande Thaïlande
Localisation Doi Nang Non, province de Chiang Rai
Coordonnées 20° 22′ 54″ nord, 99° 52′ 06″ est
Date
Bilan
Morts 2 sauveteurs (Saman Kunan et Beirut Pakbara)

Géolocalisation sur la carte : Thaïlande
(Voir situation sur carte : Thaïlande)
Opérations de secours de la grotte de Tham Luang

Les opérations de secours de la grotte de Tham Luang ont permis de sauver des enfants accompagnés de leur entraîneur de football, bloqués par les eaux dans une grotte de Thaïlande.

Le , douze enfants et leur entraîneur sont restés bloqués par la montée des eaux d'une rivière souterraine dans la grotte de Tham Luang Nang Non située dans la province de Chiang Rai en Thaïlande, à la frontière avec la Birmanie (Myanmar) et le Laos. Les eaux souterraines grossies par la mousson ont amené le groupe à pénétrer de plus en plus profondément dans la cavité, jusqu'à se trouver isolés à quatre kilomètres de l'entrée. Le même régime de pluie a conditionné le déroulement des opérations de secours qui ont permis de les retrouver. Au cours des opérations de secours Saman Kunan, un plongeur, est décédé.

Le , Beirut Pakbara, un Navy Seal thaïlandais décède des suites d'une infection sanguine contractée lors des opérations de secours[1],[2],[3].

Disparition du groupe[modifier | modifier le code]

Entrée principale de la grotte.
Plan de la grotte.

Dans la soirée du , une mère s'est aperçue que son fils n'était pas revenu d'un entraînement de football avec une dizaine d'autres camarades de 11 à 16 ans et leur entraîneur ; elle a alors donné l'alerte.

Les affaires des enfants, dont des vélos et des chaussures, ont été retrouvées quelques heures plus tard, par un garde forestier de la DNP (en)(thaï : กรมอุทยานแห่งชาติ สัตว์ป่า และพันธุ์พืช)[réf. nécessaire]. Elles étaient à l'entrée de la grotte de Tham Luang Nang Non, vaste système karstique souterrain creusé dans le massif du Doi Nang Non, situé dans la province de Chiang Rai en Thaïlande, à la frontière avec la Birmanie (Myanmar) et le Laos.

Membres de l’équipe de football Moo Pa (« Sangliers sauvages »)[en 1],[LP 1]
Nom et prénom Surnom Âge Fonction dans l'équipe de football (observations) Réf.
Pipat Bodhi Nick 15 ans non membre de l'équipe ; ami d'Ekkarat Wongsookchan (sorti le [LP 1])
Monhkhol Boonpiam Mark 13 ans stagiaire (premier sorti, le à 17 h 40[4],[Note 1])
Ekaphol Chantawong Coach Ake[Note 2] 25 ans entraîneur
Sompong Jaiwong Pong 13 ans milieu de terrain
Pornchai Kamluang Tee 16 ans défenseur
Duangpetch Promthep Dom 13 ans capitaine, attaquant (décédé en Angleterre en février 2023[5])
Panumas Saengdee Mick 14 ans[en 2],[Note 3] défenseur
Adul Sam-on   14 ans ailier gauche (immigré birman, seul à parler anglais)
Peerapat Sompiangjai Night 16 ans milieu de terrain (sorti le [LP 1])
Prajak Sutham Note 14 ans milieu de terrain et gardien remplaçant (sorti le [LP 1])
Nattawut Takamsai Tle 14 ans attaquant
Chanin Wiboonrungrueng Titan 11 ans attaquant (le plus jeune ; 11e sorti, le )
Ekkarat Wongsookchan Bew 14 ans gardien

Déroulement du sauvetage[modifier | modifier le code]

Au début, le Département des ressources naturelles au sein du ministère thaïlandais des ressources naturelles et de l'environnement constate qu'il ne dispose pas d'une carte complète, homogène et actualisée de la grotte. Après des recherches, il trouve Martin Ellis, un expert britannique des grottes thaïlandaises et il le contacte le 26 juin 2018 afin qu'il les aide à construire un plan de la grotte le plus précis possible à partir des cartes existantes[6].

Mobilisation des secours et premier contact[modifier | modifier le code]

Les plongeurs préparent l’équipement de plongée le 2 juillet 2018 à la grotte de Tham Luang.

Une cellule de crise est mise en place, dirigée par Narongsak Osottanakorn qui est aussi l'ancien gouverneur de la province de Chiang Rai[7].

Peu à peu, plus de mille secouristes sont mobilisés, et le , les enfants âgés de onze à seize ans ainsi que leur entraîneur âgé de 25 ans, sont retrouvés sains et saufs, perchés sur une banquette de sédiments, par deux plongeurs britanniques, Richard Stanton et John Volanthen (en), membres du British Cave Rescue Council (en), qui regroupe des secouristes experts en spéléo-plongée.

Le premier échange entre John Volanthen et les victimes fut : « Combien êtes-vous ? », « Treize », répond en anglais Adul Sam-on, l'un des jeunes footballeurs. « Treize ?... Formidable ! », lance le plongeur[LF 1],[en 3].

En incluant les deux Britanniques qui ont établi le premier contact avec les rescapés, le gouvernement thaïlandais a fait appel à environ quatre-vingt-dix plongeurs dont quarante étrangers[7] et treize « de classe mondiale », parmi lesquels l’Australien Richard Harris, qui est également anesthésiste[8].

Opérations préliminaires et élaboration des tactiques[modifier | modifier le code]

En raison de l'inondation de la grotte et de la distance de la sortie, évaluée à quatre kilomètres, des préparatifs de sauvetage sont menés en vue des opérations d'évacuation. Pour parcourir l'aller et retour dans des boyaux accidentés, avec de difficiles passages sous l’eau, jusqu’aux garçons et leur entraîneur, membres de l’équipe de football des Moo Pa (« Sangliers sauvages »), il faut à un plongeur aguerri, onze heures : six heures à l'aller et cinq heures au retour, grâce au courant[LM 1]. Le sauvetage s'annonce difficile.

Des pompages sont également réalisés afin de faire baisser le niveau d'eau dans les siphons et les lacs : en date du , 130 000 mètres cubes d’eau (de quoi remplir 50 piscines olympiques) avaient déjà été évacués de la grotte[LP 2].

Dans un premier temps, les secours semblent s'orienter vers un sauvetage qui pourrait durer plusieurs semaines, le temps d'initier le groupe au matériel de plongée. Cette option permettrait d'améliorer leur santé fragilisée en raison du nombre prolongé de jours qu'ils sont restés sans manger. Ainsi, le , le capitaine Anand Surawan de la marine thaïlandaise annonce : « (Nous allons nous) préparer à envoyer des vivres supplémentaires pour tenir au moins quatre mois et former les 13 (membres du groupe) à la plongée tout en continuant d'évacuer l'eau »[9]. Une attente de plusieurs mois permettrait de voir le niveau d'eau diminuer, en raison de la fin de la mousson, facilitant ainsi l'extraction du groupe.

La police recherche des entrées supérieures permettant de rejoindre directement les sinistrés.

En parallèle, d'éventuelles entrées supérieures permettant d'atteindre plus facilement les rescapés sont recherchées. Ainsi, plus de 100 forages ont été réalisés[LF 2].

Suraccident et décision tactique[modifier | modifier le code]

Des pompages visent à faire baisser le niveau d'eau dans les siphons et les lacs.

Le , le plongeur Saman Kunan, ancien membre des commandos de marine thaïlandaise, meurt sur le chemin du retour après avoir épuisé la réserve d'air de sa bouteille et avoir perdu conscience[en 4]. Il avait réussi à poser des bouteilles d'air en relais sur le parcours (afin qu'elles servent lors de l'évacuation du groupe), et à approvisionner les victimes en oxygène avec son compagnon de plongée, qui a essayé de l'aider et de le ramener, en vain[LP 3],[10].

Ce décès est un des facteurs qui va pousser les secours à s'orienter vers un sauvetage rapide, bien que cette option soit considérée comme très risquée par les spécialistes. La diminution du niveau d'oxygène dans la cavité et la dégradation des conditions météorologiques sont d'autres facteurs entraînant cette décision[LF 2].

Après que les secouristes sont parvenus à insérer un tuyau de plusieurs kilomètres pour acheminer de l’oxygène, le général Chalongchai Chaiyakorn et Narongsak Osottanakorn, le chef de la cellule de crise, annoncent que les 12 enfants et leur accompagnateur seront évacués, un par un, sur deux à trois jours, à partir du dimanche , le temps étant compté du fait que des pluies sont attendues les jours suivants, réduisant l'espace où sont confinées les victimes[11].

Treize spécialistes de niveau mondial, venant de pays ayant une expertise en spéléologie, sont amenés à participer à cette opération périlleuse, en raison notamment du fait qu'aucun des enfants ne sait nager[LM 2].

Sortie progressive des rescapés[modifier | modifier le code]

Les quatre premiers garçons sont sortis sains et saufs de la grotte le dimanche [en 5],[en 6],[LM 2].

Le lendemain , un nouveau groupe de quatre enfants est ramené à l'air libre pour être conduit, comme le groupe de la veille, à l’hôpital Prachanukroh de Chiang Rai, à une soixantaine de kilomètres de la grotte.

Les Navy Seals thaïlandais annoncent finalement, le à 19 h 50 (heure locale), que les douze garçons ainsi que leur entraîneur ont été évacués de la grotte[en 7], à l'issue d'une opération qui a duré dix-huit jours : du 23 juin au .

Certains enfants ont été sortis « endormis » de la grotte, sous l'effet de tranquillisants destinés à calmer leurs angoisses[8].

Soins aux rescapés[modifier | modifier le code]

Le docteur Jesada Chokedamrongsuk, responsable du ministère thaïlandais de la Santé publique, a d’abord annoncé que les enfants étaient tous « en bonne santé », ne souffrant pas de fièvre, et en « bonne santé mentale »[LP 4]. Cependant, après leur extraction de la grotte de Tham Luang, les treize rescapés ont été conduits en ambulance et hélicoptère à l'hôpital de Chiang Rai. Ils y sont mis en quarantaine et en observation pendant une semaine, vaccinés contre la rage et le tétanos ; la leptospirose et les infections respiratoires qui risqueraient de tourner en maladie infectieuse grave, la mélioïdose, sont également dépistées en isolement septique[LP 4],[LP 5].

Le , les douze enfants et leur entraîneur ont pu quitter l'hôpital après avoir donné une conférence de presse où ils se sont notamment tous présentés individuellement et ont raconté leur calvaire. Avant de rentrer chez eux, ils se sont rendus dans un temple pour rendre hommage au sauveteur décédé, Saman Kunan[LP 6].

Participations et impacts médiatiques[modifier | modifier le code]

Participations internationales[modifier | modifier le code]

Environ 4 000 personnes ont participé, sur place ou à distance, à ces opérations de secours, dont approximativement 200 plongeurs et une centaine d'organisations et personnes étrangers[en 8], parmi lesquelles :

  • Drapeau de l'Australie Australie : Une vingtaine de personnes dont Richard Harris, plongeur et anesthésiste qui a fait partie de l'équipe médicale et qui a déterminé dans quelles conditions physiques les enfants pourraient être sortis en plongée[en 9],[en 10].
  • Drapeau de la Belgique Belgique : Ben Reymenants, propriétaire d'une école de plongée à Phuket, a contribué à la fourniture et à l'entretien du matériel de plongée ; il a également passé huit heures en plongée au cours d'une seule journée et a installé les lignes qui ont permis aux plongeurs britanniques de trouver les enfants sans se perdre dans la grotte[en 9],[en 11].
  • Drapeau de l'Irlande Ireland : Jim Warny, considéré comme un des meilleurs plongeurs speleo du monde a participé à l'acheminement des enfants depuis la grotte vers la sortie.
  • Drapeau du Canada Canada : Erik Brown, instructeur de plongée à Vancouver, a fait partie des équipes de plongée[en 9],.
  • Drapeau de la République populaire de Chine Chine : Une équipe de six experts en secours souterrain est arrivée dès le avec du matériel de plongée, un robot subaquatique et un système d'imagerie 3D[en 11].
  • Drapeau de la Tchéquie République tchèque : Le gouvernement tchèque a proposé l'envoi de quatre pompes à haute performance pouvant évacuer chacune 400 litres par seconde soit au total 5 760 mètres cubes par heure[en 12].
  • Drapeau du Danemark Danemark : Deux plongeurs danois, Ivan Karadzic qui dirige un centre de plongée avec le Finlandais Mikko Paasi (cf. infra) et Claus Rasmussen, instructeur de plongée, ont intégré les équipes de plongée de l'opération de secours[en 9].
  • Drapeau de la Finlande Finlande : Le plongeur finlandais Mikko Paasi qui dirige un centre de plongée avec le Danois Ivan Karadzic (cf. supra) a intégré les équipes de plongée de l'opération de secours[en 9].
  • Drapeau de la Russie Russie : …
  • Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni : …
  • [12]


Impacts médiatiques internationaux[modifier | modifier le code]

Les opérations de sauvetage ont été largement médiatisées dans le monde entier. En Thaïlande notamment, les éditions spéciales ont contribué à diffuser cet événement sous le sobriquet de « la saga des 13 »[13].

Des messages de soutien envoyés par des personnalités telles que le président américain Donald Trump, les footballeurs internationaux Lionel Messi et Paul Pogba et le chef d'entreprise Elon Musk ont été adressés aux enfants[13].

Le président de la FIFA, Gianni Infantino, a invité les 12 enfants à assister à la finale du Mondial 2018 le à Moscou ; cette invitation a été déclinée par Thongchai Lertwilairatanapong, un haut responsable du ministère de la Santé[13].

Cinéma[modifier | modifier le code]

Cet évènement inspire les films suivants :

Télévision[modifier | modifier le code]

Un documentaire nommé « La Grotte » (The Rescue en version originale et Rescate en las profundidades en espanol)[17], diffusé sur Disney+, retrace ces opérations[18].

Un documentaire nommé « Les 13 Rescapés : Notre enfer dans la grotte » (The Trapped 13: How We Survived the Thai Cave en version originale), diffusé sur Netflix, retrace ces opérations.

Une mini-série nommée « Le sauvetage de l’impossible » (Thai cave rescue[19] en version originale) de Michael Russell Gunn et Dana Ledoux Miller (2022), diffusé sur Netflix, retrace ces opérations en 6 épisodes.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. L'ordre et la date de sortie de Monhkhol Boonpiam varie selon les sources.
  2. L'entraîneur Ekaphol (ou Ekapol) Chantawong est surnommé « Coach Ake » (ou « Aek »).
  3. Panumas Saengdee (ou Sangadee) a passé son 14e anniversaire alors qu'il était encore dans la grotte.

Références[modifier | modifier le code]

Le Figaro
Le Monde
  1. Bruno Philip, « Thaïlande : les ados disparus dans la grotte retrouvés vivants », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  2. a et b Bruno Philip, « Adolescents bloqués dans une grotte en Thaïlande : l’opération extraction se poursuit », sur lemonde.fr, (consulté le ).
Le Parisien
  1. a b c et d Ambre Lepoivre, « Grotte en Thaïlande : qui sont les 13 rescapés ? », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  2. J.Cl., « Grotte en Thaïlande : un plongeur meurt pendant les opérations de sauvetage », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  3. Zoé Lauwereys, « Saman Kunan, l’ex-Thaï Navy Seal décédé en aidant les enfants piégés dans la grotte », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  4. a et b J.Cl., « Grotte en Thaïlande : ce qui attend les treize de Tham Luang, désormais sortis », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  5. J.Cl., « Évacuation en Thaïlande : ils ne sont plus que cinq dans la grotte », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  6. « Thaïlande : les 13 rescapés de la grotte racontent leur calvaire », sur leparisien.fr, .
Autres références francophones et anglophones
  1. (en) Angie Puranasamriddhi,Lauren Said-Moorhouse, « Thai Navy SEAL dies from infection he contracted during cave rescue », sur CNN, (consulté le )
  2. (en-GB) « Thai cave rescuer dies from year-long blood infection », BBC News,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. Bangkok Post Public Company Limited, « Second hero of Tham Luang dies », Bangkok Post,‎ (lire en ligne, consulté le )
  4. « Thaïlande : quatre enfants déjà sauvés par les plongeurs – Actu », sur infoasie.net, (consulté le ).
  5. (en) AFP, « One of 12 boys rescued from Thai cave dies at British school », sur koreatimes.co.kr, The Korea Times,
  6. Max Constant (photogr. Max Constant), « Les secrets français de Tham Luang », Gavroche Thaïlande, no 289,‎ , p. 52 à 57 (lire en ligne [PDF])
  7. a et b « Thaïlande : tous les enfants ont été sauvés par les plongeurs », sur thailande-fr.com (consulté le ).
  8. a et b « Thaïlande : Certains enfants ont été sortis « endormis » de la grotte pour calmer leurs angoisses », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
  9. « Thaïlande : les enfants de la grotte recevront 4 mois de vivres et des cours pour apprendre à plonger », sur rtbf.be, (consulté le ).
  10. « Enfants coincés dans la grotte : un plongeur meurt », Le Matin,‎ (lire en ligne).
  11. « Grotte en Thaïlande : « Ils sortiront un par un, sur deux à trois jours » », sur 20min.ch, (consulté le ).
  12. « Opération de secours dans la grotte de Tham Luang (Thaïlande) », sur ffspeleo.fr, (consulté le ).
  13. a b et c « Grotte en Thaïlande : tous les enfants et leur entraîneur prisonniers de la grotte ont été évacués », sur Le HuffPost, (consulté le ).
  14. (en + th) Gregory Morrissey et Kong Rithdee, « Thai film to retell cave rescue drama », sur bangkokpost.com, Bangkok Post,
  15. (en) AFP, « Thai cave film makes world premiere at Busan festival », sur koreatimes.co.kr, The Korea Times,
  16. (en) Kong Rithdee, « Humanity over bureaucracy », sur bangkokpost.com, Bangkok Post,
  17. [vidéo] (es) Rescate en las profundidades, Elizabeth Chai Vasarhelyi et Jimmy Chin () Consulté le . “1 h 47 min”
  18. (fr)Thomas Sotinel, « « La Grotte », sur Disney+ : la version anglaise d’un sauvetage en Thaïlande », sur lemonde.fr, (consulté le ) : « les réalisateurs ont axé leur film autour d’un trio de plongeurs britanniques dont le rôle fut essentiel dans les opérations. »
  19. (en) « One more wild boars story left to be told », sur bangkokpost.com, Bangkok Post,
Références anglophones
  1. (en) Jacob Goldberg et Veena Thoopkrajae, « Talented and resilient: the Wild Boars footballers trapped in Thai cave », sur theguardian.com, (consulté le ).
  2. (en) Jane Wharton, « Who are the boys and football coach rescued from the Thai cave? », sur metro.co.uk, (consulté le ).
  3. (en) Yohannes Lowe, Victoria Ward et Francesca Marshall, « Thai cave rescue: mother of hero diver speaks of pride but warns 'it's not over yet' », sur telegraph.co.uk, (consulté le ).
  4. (en) Chris Peterman, « Risky Thailand cave rescue relied on talent, luck—and on sticking to the rules », sur Ars Technica, (consulté le ).
  5. (en) « Thailand cave rescue: four boys taken to hospital; operation to resume later – live », sur theguardian.com, (consulté le ).
  6. (en) « 'Four boys rescued' from Thai cave, officials say hours after operation to free trapped boys began », sur telegraph.co.uk, (consulté le ).
  7. (en-US) « Thai cave rescue operation: Day 3 as it happens », sur channelnewsasia.com, (consulté le ).
  8. (en) Hannah Beech, Richard C. Paddock et Muktita Suhartono, « ‘Still Can’t Believe It Worked’: The Story of the Thailand Cave Rescue », sur nytimes.com, (consulté le ).
  9. a b c d et e (en) « Cave rescue: The divers who got the Thai boys out », sur bbc.com/news, (consulté le ).
  10. (en) « Thai cave rescue: the Australian crew », sur news.com.au, (consulté le ).
  11. a et b (en) « Thai cave rescue: International team deployed to aid massive search and rescue effort », sur straitstimes.com, (consulté le ).
  12. (en) « Babis offers help in rescuing Thai boys from flooded cave », sur visegradgroup.eu, (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]