Wikipédia:Oracle/semaine 39 2015

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Savoir si deux arrêtés ont été mis en application en France[modifier le code]

Bonjour,

je travaille sur l'article Incendie de l'hôtel Paris-Opéra, drame qui a entraîné des modifications législatives sur la sécurité dans les hôtels. Sauf que je n'arrive pas à savoir si les arrêtés en questions ont finalement été mis en application.

Voici les arrêtés :

Et ce que j'ai trouvé sur le report :

S'il vous était possible de trouver une source indiquant l'application à une date précise, vous auriez ma reconnaissance éternelle. Je ne m'y connais pas plus que ça en droit, donc je ne sais pas où chercher (et si ça vous amuse, rien ne vous empêche de passer améliorer l'article WP sur l'incendie vous-même, bien sûr).--Soboky [me répondre] 22 septembre 2015 à 10:53 (CEST)[répondre]

Salut, Soboky. Je vérifie ça mais il me semble qu'en France les arrêtés sont d'application immédiate et ne requièrent pas de décrets d'application. C'est bien ça, « un arrêté est une décision exécutoire à portée générale ou individuelle », nous dit notre article, et plus loin, il est précisé qu'on le prend « en exécution d’un décret ou d’une loi [ou] en vertu du pouvoir du chef de service ». Donc, censément les arrêtés en question furent applicables dès la date de leur publication. Savoir maintenant s'ils sont réellement appliqués, c'est une autre histoire... >O~M~H< 22 septembre 2015 à 11:40 (CEST)[répondre]
D'ailleurs il y a une hiérarchie, sauf erreur : loi > décret > arrêté > circulaire. Un arrêté ne pourrait pas être complété par un décret... — Ariel (discuter) 23 septembre 2015 à 09:41 (CEST)[répondre]

Lettre nuncupatoire[modifier le code]

Chers tous,

Voilà une carte que je ne connais pas, et dont j'ai découvert l'existence au détour de la traduction de Martín Cortés de Albacar. J'ai donc traduit es:carta nuncupatoria par lettre nuncupatoire, sans trop de conviction, même si google semble connaître l'adjectif...

Bref : quoiquecé ? v_atekor (discuter) 23 septembre 2015 à 11:11 (CEST)[répondre]

Notification Vatekor : Ça serait plutôt une lettre nuncupative du coup, non ? [1]Orikrin1998 (+) blablatoir 23 septembre 2015 à 11:14 (CEST)[répondre]
C'est très possible. Je change ma traduction ! Merci Émoticône sourire v_atekor (discuter) 23 septembre 2015 à 11:15 (CEST)[répondre]
Il me paraît très hasardeux de créer ainsi un néologisme en calquant sur l’espagnol, qui sera compris par fort peu de personnes...
D’après le dictionnaire de la RAE [2], le sens correspond au français « épître dédicatoire ». rv1729 23 septembre 2015 à 12:09 (CEST)[répondre]
Merci Notification Herve1729 :, je vais utiliser cette formule. Cela étant, j'avais bien regardé que le mot soit connu - de google au moins - même si je n'en comprenais pas le sens... v_atekor (discuter) 23 septembre 2015 à 12:27 (CEST)[répondre]

"Homme" neutre[modifier le code]

Il y a une mot pour "Mensch" or "human" que n'est pas "Mann" or "man"? Il ya une article ou page de utilisateur, que listé cettes mots? -- Amtiss (discuter) 23 septembre 2015 à 12:00 (CEST)[répondre]

Normalement la différence se fait en latin entre vir (mâle) et homo (Homme). C'est le même mot qui est utilisé en français (et dans d'autres langues latines) pour les deux cas, la majuscule et le contexte faisant la différence. Cela étant les mot ayant des étymologies en vir- et homo- conservent généralement ces sens originels. S'il y a un risque de confusion, on peut toujours utiliser humain, en prenant garde de ne pas prendre le lecteur pour un c*n lorsqu'on l'utilise mal à propos... v_atekor (discuter) 23 septembre 2015 à 13:44 (CEST)[répondre]
Individu, être humain,... Normalement le contexte permet de faire la différence entre homme-ἀνδρός et Homme-ἄνθρωπος, mais à condition de ne pas mélanger les genres ; il vaut mieux dans ce cas éviter de superposer Homme et femme dans le même contexte - dire « un Homme sur deux est une femme » quoique correct sur le fond (les "anthropos - ἄνθρωπος" sont pour moitié des "gyne - γυνή") reste étrange dans la forme. Cordialement, Biem (discuter) 23 septembre 2015 à 17:31 (CEST)[répondre]
Même si ça n'est pas nécessaire et si ça semble excessif à certains (« politiquement correct » dans la mauvaise acception du terme) j'ai de plus en plus tendance à écrire « humain(s) » pour l'espèce ou ses membres quand le genre importe peu, « homme » pour un homme et « femme » pour une femme.
Au passage, les anglophones ont certes les termes « man » et « human », cela dit et contrairement aux francophones chez qui, comme rappelé plus haut, « homme » vaut en soi tant pour l'espèce que pour ses représentants masculins, l'usage de « man », qui ne désigne fondamentalement que les mâles de l'espèce, est couramment employé pour désigner l'espèce en général, cf. l'expression toute faite, et qui sert de nom à un groupe britannique, de « Brotherhood of Man », qui désigne formellement une fraternité (donc, un ensemble de frères) d'hommes au sens restreint de mâles humains, et qui pourtant sert bien à désigner toute l'humanité (en plus, le groupe était paritaire à l'origine Émoticône sourire). >O~M~H< 23 septembre 2015 à 18:58 (CEST)[répondre]
C’est simple : on écrit femme avec une minuscule pour un être humain de sexe féminin, et Femme avec une majuscule pour désigner un Pan sapiens de sexe quelconque. Ah, on me souffle que ce n’est pas tout à fait ça... Bon, alors je vais continuer d’écrire « humain », comme Olivier, lorsque les deux sexes sont concernés. Grasyop 23 septembre 2015 à 22:43 (CEST)[répondre]
@Notification Grasyop : au delà de la boutade le problème est bien l'étymologie des autres mots : la femme est un hominidé comme un autre. Il n'existe pas de mot commun pour l'homme mâle en français dérivé de vir- (comme varón en espagnol par exemple) et quoique l'usage d'appeler homme un représentant mâle de l'espèce soit répandu, ça sonne très très mal (Genre : cet individu représente l'espèce entière...) . S'il y avait un changement d'habitude à réaliser, ce ne serait pas de changer Homme par humain, mais homme par viril... v_atekor (discuter) 24 septembre 2015 à 10:07 (CEST)[répondre]

Taille des chiens[modifier le code]

Bonjour, j'ai remarqué qu'on trouve des chiens qui tiennent dans une poche et des chiens gros comme un veau (de 2 à 90kg). En revanche, on ne trouve pas de telles variétés de tailles chez les chevaux (80cm à 2m au garrot) ou chez les chats (de 3 à 10kg), ni même chez les vaches/zébus ou chez les animaux sauvages. J'exclue l'homme de ma question car la notion de race humaine est taxonomiquement trop ambigüe. Ce qui est curieux, c'est que ce sont des races de chiens interfécondes, donc pas des espèces différentes, tel que pourraient l'être les poissons ou les oiseaux. Je cherche comment expliquer de telles hétérogénéités, mais je dois manquer de vocabulaire pour orienter ma recherche. Quels sont les mots clés ? et si vous avez des explications ou d'autres exemples ? Merci d'avance. Bertrouf 23 septembre 2015 à 17:52 (CEST)[répondre]

Salut Bertrouf. Oui, ça a un nom, l'élevage, en ce cas l'élevage canin, dont le but principal est la sélection dirigée (non naturelle) des individus pour des traits formels et/ou comportementaux particuliers. La meilleure raison que je trouve au fait que les chiens connaissent une diversité formelle plus importante que les autres animaux domestiques est qu'ils accompagnent les humains depuis bien plus longtemps que les autres. Deux autres raisons sont l'une possible, l'autre probable : il se peut que Canis lupus familiaris ait une variété morphologique naturelle plus importante que d'autres espèces, et en tout cas il est certain que les éleveurs de chiens ont donc eu un très long temps pour la diversifier, la domestication du chien remonte au minimum à 100 000 ans, soit dix fois plus de temps que la seconde (ou la deuxième ?) espèce domestiquée, la chèvre, il y a environ 10 000 ans. >O~M~H< 23 septembre 2015 à 19:24 (CEST) (édit) Il y a aussi une question de proximité : notablement, les trois espèces domestiques qui ont une assez importante variété en forme et en taille sont aussi celles qui, de longue date, sont dans l'intimité des humains, le chien, le cheval et le chat. Même si c'est moins divers que pour les chiens, il y a tout de même un assez grand contraste entre un petit cheval miniature tel le Falabella (environ 75 cm au garrot, et 40 à 80 kg) et un cheval de trait tel le Percheron (de 160 à 185 cm, de 500 kg à 1,2 tonnes). >O~M~H< 23 septembre 2015 à 19:39 (CEST)[répondre]
Au sens strict, l'interfécondité entre dogue allemand et chihuahua reste sur un plan très théorique. En pratique, ces pauvres bêtes feraient comment ? Et deviendraient quoi ??? La définition de la race par l'interfécondité doit être pondérée pour les cas extrêmes. Cordialement, Biem (discuter) 23 septembre 2015 à 21:34 (CEST)[répondre]
Y a du vrai là-dedans, cependant les pulsions érotiques font parfois accomplir des prouesses, j'ai vu un jour le teckel de mon voisin couvrir une chienne de montagne des Pyrénées, c'était assez acrobatique... >O~M~H< 23 septembre 2015 à 22:30 (CEST)[répondre]
C’est l’espèce, et non la race, qui est définie par l’interfécondité, qu’il faut comprendre dans un sens large : le dogue et le chihuahua appartiennent à la même espèce car on peut les relier par une chaîne d’animaux (actuellement vivants) telle que chaque maillon de la chaîne soit interfécond avec le précédent et avec le suivant. (Voir la définition d’Ernst Mayr en 1942.)
En maths, on dirait qu’une espèce est une composante connexe du graphe de l’ensemble des êtres vivants pour la relation d’interfécondité.
En revanche, je n’ai jamais vu une définition claire (même à peu près) de ce qu’était une race (ou variété).
Grasyop 23 septembre 2015 à 23:21 (CEST) On peut aussi dire que c’est la clôture transitive de la relation « interfécond avec ». Reste les variations clinales qu’il serait cavalier d’évacuer de la sorte. rv1729 24 septembre 2015 à 10:05 (CEST) [répondre]
Au départ, la notion de race telle qu'utilisée plus tard pour définir de supposées « races humaines » est justement du domaine de l'élevage. Il y a une autre acception, plus ancienne, qui est de l'ordre du dénotatif, « Ensemble des personnes appartenant à une même lignée, à une même famille », appliqué surtout aux grandes familles, d'où l'acception seconde « de noble extraction ». Pour les éleveurs, la race est une « subdivision de l'espèce fondée sur des caractères physiques héréditaires, représentée par une population », le but d'un éleveur étant de stabiliser cette population pour obtenir des lignées de qualité constante. Quelles que soient les acceptions du mot, qui sont nombreuses (voir l'article du TLFi), elles reposent toutes sur des critères formels (généalogie, phénotype) sans pertinence pour déterminer si deux races sont ou ne sont pas de la même espèce, l'interfécondité non stérile (chevaux et ânes, tigres et lions sont interféconds mais pourtant pas de la même espèce) étant alors un bon critère. D'un sens, on peut dire qu'un mulet est « de la même race » que ses deux parents sans que ceux-ci ne soient de la même espèce ni de la même race entre eux ou avec leur descendant. >O~M~H< 24 septembre 2015 à 00:23 (CEST)[répondre]
Il me semble que la diversité des morphologies canines est à relier à la diversité des rôles assignés au chien par l’humain (en particulier, les différents types de chasse). Grasyop 23 septembre 2015 à 23:36 (CEST)[répondre]
Épampreur !
La taille des chiens s'opère à la sortie de l'hiver, en février ou mars selon les régions, lorsque les fortes gelées sont passées. Bien sûr, ce n'est pas une règle absolue, il est possible d'opérer plus tard, jusqu'en avril. Une seule règle: éviter les jours de disette. Vous devez ensuite tailler à une quinzaine de centimètres du sol ses pattes en biseau juste au dessus de l'œil qui se dirige vers l'extérieur du pied. Laissez de préférence trois ou cinq poils, mais s'il est mal orienté, coupez à moins. En général, on coupe à trois mouvements de queue pour les jeunes chiots ou les chiens plus massifs et à cinq mouvements les variétés à grandes oreilles. Au printemps, les chiens offrent un spectacle extraordinaire et il est alors temps de les tailler, opération bien plus importante que l'on peut le croire. Très technique, elle nécessite la prise de quelques précautions : choisissez toujours un outil bien aiguisé et désinfecté, munissez-vous de gants, on oublie trop souvent que les chiens peuvent non seulement blesser mais aussi transmettre la rage ! procédez de préférence le matin par temps sec, pour laisser à la plaie le temps de bien sécher. Pour conserver une forme harmonieuse aux chiens, il est toujours préférable de tailler suffisamment bas… Comment ça, "dehors" ? ÉmoticôneHautbois [canqueter] 24 septembre 2015 à 06:04 (CEST)[répondre]
Ce serait drôle si c’était faux. Mais ça existe : [3].
Bon, t’en as un peu rajouté quand même... Grasyop 25 septembre 2015 à 00:01 (CEST)[répondre]
(Smiley: triste) pas glop ! — Hautbois [canqueter]
@Grasyop Oui, des races de chiens appartiennent à la même espèce, donc sont interfécondes. La race défini un ensemble d'animaux objectivement homogènes d'apparence et d'origine, et validé par un accord entre éleveurs.
Bien noté pour l'élevage, c'est logique et ça va avec la définition de race. Pourtant j'ai deux doutes : j'ai cherché avec le mot clé Species Dimorphism, j'ai trouvé des scarabées de 1 à 16 cm de long. Je n'arrive pas à savoir s'ils sont dans une clôture transitive de la relation « interfécond avec » Émoticône. L'autre doute s'appelle Méganeura : si des tailles ont pu varier autant dans le temps, pourquoi les animaux avec de telles différences ne coexistent plus ? Est-ce parce qu'au-delà d'une certaine différence, les races deviennent des espèces différentes ? Dans ce cas, le chien est à la période transitoire entre beaucoup différencié et trop différencié. Bertrouf 24 septembre 2015 à 12:10 (CEST)[répondre]
Baudroie des abysses
Par nécessité, le dimorphisme sexuel au plan de la taille chez les espèces vivipares et ovovivipares est limité, spécialement les femelles ne peuvent pas être trop petites par rapport aux mâles, au risque de porter des fœtus mâles plus gros qu'elles. En revanche, chez les ovipares il n'y a pas ce genre de problème, et on trouve nombre d'espèces où le rapport de taille entre mâles et femelles peut être assez ou très important. Chez les oiseaux et les mammifères on a souvent une différence de taille parfois importante (jusqu'à du simple au quintuple) avec le plus souvent un mâle plus grand, chez les poissons et les autres vertébrés et les invertébrés une différence parfois énorme, avec le plus souvent une femelle plus grande. Parmi les poissons par exemple, la baudroie des abysses femelle est 200 fois plus grosses que le mâle, mais chez certains invertébrés la différence peut être bien plus importante, le mâle se comportant alors non comme commensal mais comme hôte, symbiote ou parasite de la femelle, je ne me rappelle plus son nom mais il y a au moins une espèce d'invertébré marin dont le mâle est un minuscule hôte des voies génitales de la femelle. >O~M~H< 24 septembre 2015 à 13:15 (CEST)[répondre]
C’est la bonellie... rv1729 24 septembre 2015 à 14:22 (CEST)[répondre]
Voilà, c'est ça, merci rv. Tout ça pour dire, au fait, que l'interfécondité peut avoir lieu entre deux individus d'un morphotype assez, très ou extrêmement différent quand le génotype ne l'est guère voire (cas de la bonellie justement) pas du tout puisque pour cette espèce la « féminité » ou la « masculinité » n'est pas déterminée par le génotype (pas de gène sexuel différenciant) mais par le contexte (développement de la larve autonome ou en contact avec un individu déjà développé). >O~M~H< 24 septembre 2015 à 15:30 (CEST) Serviteur ! rv1729 24 septembre 2015 à 15:43 (CEST)[répondre]
Mus musculus domesticus (souris des greniers)
Mus musculus musculus (souris des champs)
J’ai le sentiment que la discussion est en train de virer à un débat sur la spéciation, et peut-être en particulier sur la possibilité d’une spéciation sympatrique (priez pour nous), ou encore sur ce qui fait qu’après une séparation ayant conduit à une spéciation allopatrique (allô j’écoute ?!) deux espèces sont effectivement non inter-fécondes. Il y a beaucoup à dire, et si peu de temps... bon déjà un lien trop kawai : le zonkey... qui rappelle que l’interfécondité reste parfois possible. On me rétorquera qu’il faut que les hybrides soit féconds ; je répondrai qu’il n’est pas clair qu’ils soient systématiquement stériles (même pour les hybrides cheval/âne). On pourra également penser au cas des lions et des tigres, qui ne se côtoient pas dans la nature mais s’hybrident dans les zoos ; ou aux ours grizzlis et polaires, qui s’hybrident malgré leurs morphologies et leurs modes de vie différents.
Les sous-espèces Mus musculus musculus et Mus musculus domesticus s’hybrident peu dans leur zone de cohabitation — une bête histoire de phéromones, paraît-il. Surtout, les hybrides auraient beaucoup de mal à trouver chaussure à leur pied. Dans une cage de labo, il n’y aurait aucun problème.
Un peu dans le même genre, certaines des nombreuses espèces de cichlidés africains ne diffèrent que par leurs couleurs, et si on les place dans un aquarium éclairé par un néon monochromatique qui modifie les couleurs en question, ils se plaisent tout à fait.
Une cause possible de spéciation est la différence de période de reproduction. Dans ce cas, les deux espèces peuvent être extrêmement proches génétiquement.
Enfin bref, tout ça pour ajouter un peu de confusion à la discussion :) rv1729 24 septembre 2015 à 16:01 (CEST)[répondre]

Merci, c'est plus clair pour moi. J'avais clairement sous-estimé le rôle de l'homme dans ce processus. Bertrouf 24 septembre 2015 à 18:43 (CEST)[répondre]

Pour en revenir à cette question de chiens, voici quelque chose qui t’intéressera sûrement. rv1729 24 septembre 2015 à 21:51 (CEST)[répondre]
Bien trouvé, quand on voit comment on arrive à transformer un chien en caricature de lui-même en moins de 100 ans, on ne s'étonne plus sur 100 000 ans. Bertrouf 25 septembre 2015 à 11:02 (CEST)[répondre]

Plaisir malsain ?[modifier le code]

(… plaisir malsain pas saint) — Hautbois [canqueter]

Oh mais la honte... merci Hautbois —Sergio

Bonjour les pythies,

Depuis des années, lorsque j'ai du temps à tuer, je ressens un plaisir coupable de me balader dans les espaces communautaires de wikipédia, notamment à la recherche de petits conflits à me mettre sous la dent.

J'aime particulièrement les requêtes aux administrateurs (ou opérateurs) afin de voir ce qu'il se passe en coulisse. Je me délecte de conflits, parcourant les diffs comme un assoiffé de détails croustillants, d'argumentaires à n'en plus finir, d'insultes outrancières, de diffamations, j'en passe et des meilleurs. Je m'imagine un peu à l'image d'une ménagère (avec tout le respect qui leur est dû) qui, tous les soirs, ne raterait pour rien au monde son petit soap opera.

Est-ce grave ? Est-ce un passe-temps valable (au même titre que de regarder des sornettes à la télévision) ? Et surtout, comment "gérez"-vous le fait de savoir que n'importe qui peut épier le moindre de vos faux pas présumés ? Merci... ou pardon, chacun ces vices :( —Sergio @ 86.111.139.35 (discuter) 24 septembre 2015 à 18:49 (CEST)[répondre]

Mmm... Pas très oraculaire, tout ça. Au passage, « chacun ses vices » et non « chacun ces vices ». Notre but est d'éclaircir des questions d'ordre encyclopédique, ce qui ne me paraît pas si évident en la circonstance. Pour « encyclopédiser » la réponse, on peut généraliser sur la manière dont les sites Internet agissent. On peut dire qu'il y a quatre sortes de sites : fermés, semi-fermés, semi-ouverts, ouverts.
Pour les premiers c'est clair : seuls la partie publique est accessible aux visiteurs et aux utilisateurs inscrits, qui ne peuvent intervenir d'aucune manière, sauf bien sûr via une page « contact » qui permet de s'adresser aux mainteneurs du site mais en aucun cas on ne peut intervenir directement sur le contenu ni accéder aux données non publiques.
Pour les seconds, ou les deuxièmes (voir une pas si ancienne question sur le sujet « second » vs « premier ») ça me paraît aussi assez simple : nombre de sites autorisent les visiteurs ou utilisateurs inscrits à intervenir en postant des commentaires mais ne permettent pas l'accès aux parties non publiques, accessibles uniquement en interne et souvent, par une partie seulement des intervenants internes.
Les sites semi-ouverts permettent aux visiteurs ou seulement aux utilisateurs inscrits sans droits étendus d'accéder aux parties non publiques mais sans possibilité d'intervenir dessus, seuls les intervenants en interne et parfois certains utilisateurs externes avec des droits étendus pouvant ajouter leur grain de sel ou de poivre.
Les sites ouverts, par définition, sont ouverts. Cependant il peut là aussi y avoir un distinguo, certains permettent à tout le monde d'accéder à tout et de modifier ou compléter tout le contenu, sinon bien sûr le contenu d'arrière-plan qui gère la maintenance du site, d'autres requièrent d'être inscrits et pour les parties de gestion, d'obtenir des droits spéciaux.
Je ne connais pas de sites ouverts absolus, que ce soit sur Wikipedia ou ailleurs il existe toujours une barrière, celle de l'accès aux droits de maintenance et aux pages réservées aux mainteneurs. Maintenant, considérant que Wikipédia fait partie des sites ouverts, la réflexion de base est morale et politique : a-t-on quelque chose à cacher et doit-on limiter l'accès de certaines pages aux « non initiés » ?
Le concept de base, qu'on peut dire politique et philosophique, de Wikipédia, est qu'il s'agit d'un site intégralement ouvert où tous les intervenants sont égaux, qu'ils soient inscrits ou non, qu'ils aient des droits spécifiques (administrateurs, stewards) ou non. Cela n'empêche bien sûr pas des procédures spécifiques pour limiter voire interdire les interventions de certains mais a posteriori, quand ils ont démontré leur volonté de ne pas respecter les règles du site et de désorganiser l'encyclopédie.
Partant de là, le fait que « n'importe qui peut épier le moindre de [n]os faux pas présumés » n'est pas un problème : s'il s'agit d'un réel faux-pas, ça se règle en interne par la discussion, par la médiation, ou par des procédures régulières qui peuvent aller jusqu'à la proscription à temps ou définitive des fautifs ; s'il s'agit de la perception d'un tiers qu'une certaine attitude de contributeurs est un faux-pas mais qu'on n'en juge pas ainsi en interne, ça n'a pas grande importance, depuis presque aussi longtemps que Wikipédia existe il y a des critiques sur le projet et certaines (spécialement les sites dédiés à cela créés par des réfractaires au projet ou, souvent, d'anciens contributeurs déçus) s'appuient sur les discussions internes pour le débiner mais en interne ça n'a pas beaucoup de portée, et en externe les visiteurs peuvent faire la balance entre l'usage bénéfique qu'ils ont de l'encyclopédie et les critiques négatives sur elle, que jusque-là la balance penche du côté du bénéfice et qu'à mon jugé ça penchera encore longtemps de ce côté... >O~M~H< 24 septembre 2015 à 20:35 (CEST)[répondre]
… pas mieux. Merci Olivier. — Hautbois [canqueter] 24 septembre 2015 à 20:53 (CEST)[répondre]
Merci Olivier pour cette réponse complète. Je relève en particulier « a-t-on quelque chose à cacher et doit-on limiter l'accès de certaines pages aux « non initiés » ?» qui rend caduc ma vision de la chose. Force est de constater que mes questions n'ont pas vraiment de sens après ça et que, au final, ça n'a aucune espèce d'importance tant que le projet n'est pas impacté. Peut-être était-ce une sorte de confession de ma part. En espérant ne pas avoir trop abusé de votre temps, merci encore. —86.111.139.35 (discuter) 24 septembre 2015 à 22:12 (CEST)[répondre]

Henri Édouard Truchot[modifier le code]

Bonjour, je travaille actuellement sur le peintre Henri Édouard Truchot mort à 25 ans. Est-ce que l'une ou l'un d'entre-vous pourriez trouver des informations inédites ? Merci beaucoup.Philippe Nusbaumer (discuter) 25 septembre 2015 à 08:50 (CEST)[répondre]

Si c'est inédit c'est TI... Je suppose que tu veux dire "des informations supplémentaires mais sourcées" ? — Ariel (discuter) 25 septembre 2015 à 09:00 (CEST)[répondre]
Oups ! J'oubliais qu'on était sur l'Oracle, je pensais qu'il s'agissait de compléter l'article de Wikipédia. Si c'est juste pour ton travail personnel les infos inédites sont les bienvenues... — Ariel (discuter) 25 septembre 2015 à 09:51 (CEST)[répondre]
Allez tiens, une information inédite : jusqu'à ce jour j'ignorais l'existence de cet artiste ! Bon, bon, je sors... >O~M~H< 25 septembre 2015 à 12:15 (CEST) {{Référence nécesaire}} --Morburre (discuter) 25 septembre 2015 à 14:52 (CEST)[répondre]
Bonsoir, ce n'est pas en effet pour compléter la page mais pour en apprendre un peu plus. Vous êtes si savants ! Philippe Nusbaumer
Bonsoir. En effet, il n'y a pas grand chose sur cette courte vie. On trouve cependant quelques renseignements supplémentaires sur ce dessinateur et peintre né à BlisCastel (Sarre ?) dans le tome 1 de la « Galerie de son Altesse Royale la duchesse de Berry » (si le lien veut marcher : [4] (la gravure est peu exploitable). --Mistig (discuter) 25 septembre 2015 à 18:53 (CEST)[répondre]
Bravo ! Le lien fonctionne bien, merci, voila une bonne nouvelle.Philippe Nusbaumer

Jean-Claude Risset[modifier le code]

Bonjour

J'aimerais savoir si Jean-Claude Risset a un lien de parenté avec Jacqueline Risset ? Je pense que oui, d'après l'avis de décès en ligne sur Libra memoria, et d'après leurs âges respectifs (nés en 1936 et en 1938), ils sont sans doute frères et sœurs. Y a t-il une source quelconque ?

Merci

86.204.202.204 (discuter) 26 septembre 2015 à 09:59 (CEST)[répondre]

Bonjour. Il est difficile de réfuter une telle affirmation, mais encore plus de la prouver. Un indice n'est qu'un indice. On en trouve un autre dans un discours de JCR au CNRS : il y affirme avoir passé son enfance à Besançon, où est née JR, alors qu'il était né, deux ans avant elle, au Puy en Velay. Une autre source, aussi douteuse que péremptoire, affirme que Benoit Mandelbrot (né à Varsovie) était son cousin... Bonne chance dans votre quête. 88.165.212.52 (discuter) 26 septembre 2015 à 14:14 (CEST)[répondre]

Pour alsaciens (et autres)[modifier le code]

Bonjour. Approchant de Strasbourg, nous avons vu des cultures protégées par des filets à larges mailles. Pour stopper des oiseaux pilleurs semble-t-il ? Mais quelles sont les produits à protéger ? Graines ? Fruits ? Je vous remercie pour vos réflexions. Jojodesbatignoles, depuis strasbourg.

Les Anglophones ont un article en:Bird netting; on n'a pas encore d'article Filet arboricole (?) ([5]). Ici, où l'on parle d'arboriculture alsacienne, il est question de filets anti-grêle (probablement de plus petites mailles). -- Xofc [me contacter] 26 septembre 2015 à 16:06 (CEST)[répondre]
Les filets à larges mailles sont destinés à empêcher le pillage et le picorage des cultures fruitières par les oiseaux. On en voit en Champagne sur des vergers et sur des vignes. Il y a des filets plus fins pour protéger de certains insectes ravageurs et même de la grêle. Cordialement, -- Jean-Rémi l. (discuter) 26 septembre 2015 à 16:45 (CEST)[répondre]
Ou alors, des filets pour capturer les poissons volants ? >O~M~H< 26 septembre 2015 à 21:37 (CEST)[répondre]
La plante protégée est probablement du houblon destiné à la production de bière. Cordialement, Biem (discuter) 26 septembre 2015 à 22:47 (CEST)[répondre]
...Et la bière, c'est important en Alsace. --Lupercus (discuter) 26 septembre 2015 à 23:49 (CEST)[répondre]
Houblonnière.

Les filets à larges mailles ne seraient-ils pas tout simplement des houblonnières (cf. image ci-contre) ? Flammekueche (discuter) 1 octobre 2015 à 10:25 (CEST)[répondre]

Bonjour à tous. Je tente de me souvenir une pub, où il y avait un pied qui conduit une voiture(!) perdu dans la brouillard/ dans une lande/ dans la périphérie (de Dijon?)... Quelqu'un peut m'aider? Quelle a ete la pub? --93.50.167.245 (discuter) 27 septembre 2015 à 16:46 (CEST)[répondre]

Émoticône… heu, pourquoi ajouter des fautes d'orthographe dans les discussions précédentes ? — Hautbois [canqueter] 27 septembre 2015 à 19:20 (CEST) [répondre]

bonjour je me permet de vous écrire qu'on l'on parle du mot on, est(-ce que on parler deux personnes par exemple: on n'est en vacances dans 2 semaines merci de m'aider nils elhadj

Voir, par exemple, wikt:on où il y a des exemples. Oui, on peut partir en vacances, à deux, dans deux semaines. -- Xofc [me contacter] 27 septembre 2015 à 20:00 (CEST)[répondre]
Cette particularité curieuse d'un pronom grammaticalement de la troisième personne du singulier servant indifféremment pour désigner le locuteur(« je »), une personne quelconque (« il »), le locuteur et d'autres personnes (« nous »), plusieurs personnes (« ils »), vient probablement de son étymologie : il dérive de homo, « homme », qui probablement s'utilisait tant au singulier qu'au pluriel, incluant ou excluant le locuteur de cet homme ou ces hommes. C'est d'ailleurs ce que dit, en gros, cette page sur l'étymologie de « homme » et de « on ». >O~M~H< 28 septembre 2015 à 05:17 (CEST)[répondre]
Heu...pourquoi on N'est ? --Doalex (discuter) 1 octobre 2015 à 11:08 (CEST)[répondre]