Tilques

Tilques
Tilques
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Saint-Omer
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer
Maire
Mandat
Patrick Bédague
2020-2026
Code postal 62500
Code commune 62819
Démographie
Gentilé Tilquois, Tilquoises
Population
municipale
1 070 hab. (2021 en diminution de 3,34 % par rapport à 2015)
Densité 147 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 46′ 41″ nord, 2° 12′ 18″ est
Altitude Min. 1 m
Max. 72 m
Superficie 7,29 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Omer
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Omer
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Omer
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Tilques
Liens
Site web tilques.fr

Tilques est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer qui regroupe 53 communes et compte 105 142 habitants en 2019.

Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.

Géographie[edit | edit source]

Localisation[edit | edit source]

Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de quatre communes :

Communes limitrophes de Tilques
Serques Saint-Omer
Tilques
Zudausques Salperwick

Géologie et relief[edit | edit source]

La superficie de la commune est de 7,29 km2 ; son altitude varie de 1 à 72 mètres[1].

Hydrographie[edit | edit source]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

Climat[edit | edit source]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 848 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Watten à 6 km à vol d'oiseau[5], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 822,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité[edit | edit source]

Espaces protégés et gérés[edit | edit source]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[9].

Dans ce cadre, la commune fait partie de plusieurs espaces protégés :

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[edit | edit source]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1] : le marais de Serques à Saint-Martin-au-Laërt, d’une superficie de 555 hectares et d'une altitude variant de 2 à 6 mètres. Cette ZNIEFF, site touristique, située à l'ouest du marais audomarois, présente des terres entourées d'un important réseau de watergangs[16].

Et une ZNIEFF de type 2[Note 2] : le complexe écologique du marais Audomarois et de ses versants, d'une superficie de 12 177 hectares. Cette ZNIEFF est un élément de la dépression préartésienne, drainé par l’Aa, le marais Audomarois est un golfe de basses terres bordé à l’Ouest par la retombée crayeuse de l’Artois et à l’Est par les collines argileuses de la Flandre intérieure[17].

Site Natura 2000[edit | edit source]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des directives « habitats » et « oiseaux ». Ce réseau est constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].

Sur la commune, un site Natura 2000 de type B est défini en zone spéciale de conservation : les prairies, marais tourbeux, forêts et bois de la cuvette audomaroise et de ses versants, d'une superficie de 563 ha[19].

Urbanisme[edit | edit source]

Typologie[edit | edit source]

Tilques est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[20],[21],[22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Omer, une agglomération inter-départementale regroupant 23 communes[23] et 74 682 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[24],[25].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Omer dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 79 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[26],[27].

Occupation des sols[edit | edit source]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,7 %), prairies (13,9 %), zones urbanisées (8,9 %), zones humides intérieures (5,5 %)[28]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels et technologiques[edit | edit source]

Risque inondation[edit | edit source]

À la suite du passage des tempêtes Ciarán, Domingos et Elisa et des inondations et coulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du , en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au , comme 179 autres communes du département[29].

Toponymie[edit | edit source]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Tillia (1139) ; Tilleke (1144) ; Tillaka (1175) ; Tillecha (1190) ; Tilleca (1245) ; Tileke (1294) ; Tilkes (1337) ; Tilque (1370) ; Tilke (vers 1512) ; Tilcque (1533)[30].

Le nom de la localité est attesté en 1144 sous la forme Tilleke, forme germanisée de Tilliacum (domaine de Tillius), francisée par la suite. Cf. Tilly et Tillac.

Tilleke en flamand[31].

Histoire[edit | edit source]

En 1206, Ither, abbé de l'abbaye Saint-Médard d'Andres, Jean de Seninghem, Gérard de Renescure, sont désignés arbitres d'un litige entre l'abbaye de Saint-Bertin et Guillaume de Billeke (de Tilques) au sujet d'un droit de juridiction sur une terre (l'abbaye avait le privilège d'exercer la juridiction sur les terres dépendant d'elle, ce qui était source de nombreux litiges avec les seigneurs locaux)[32].

En 1217, Gautier de Tilcques est un des douze pairs (pairie) de l'évêque de Thérouanne[33].

Politique et administration[edit | edit source]

Découpage territorial[edit | edit source]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Omer du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[edit | edit source]

La commune est membre de la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer.

Circonscriptions administratives[edit | edit source]

La commune est rattachée au canton de Saint-Omer.

Circonscriptions électorales[edit | edit source]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la huitième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[edit | edit source]

Liste des maires[edit | edit source]

Liste des maires nommés
Période Identité Etiquette Qualité
1790-1791 Gilles François de la Moussaye
1791-1792 Nicolas Legrand
1792-1793 Liévin Caron
1793-1808 Antoine Helleboid
1808-1830 Simon Louis Taffin de Tilques
1830-1847 Ferdinand Dassonneville
1847-1860 Benoît Etienne Vasseur
1860-1870 Alfred Taffin de Tilques Avocat
Liste des maires élus
Période Identité Étiquette Qualité
1870 1892 Adolphe Legrand ? Distillateur-Brasseur
1893 1896 Horace Dambricourt ? Industriel
1896 1900 Augustin Lebel ? Agriculteur
1900 1900 Augustin Leullieux ? Instituteur à le retraite
1900 1902 Alfred Bouvart ? Agriculteur
1902 1912 Augustin Leullieux ? Instituteur à la retraite
1912 1919 Edmond Lurette ? Agriculteur
1919 1926 Arthur Bédague ? Brasseur
1926 1935 Eugène Helleboid ? Agriculteur
1935 1953 Auguste Lurette ? Agriculteur
1953 1977 André Legrand ? Agriculteur
1977 2001 Bernard Dassonneville[34] SE Agriculteur puis salarié d'Arc International
Vice-président de la CASO[Quand ?]
2001 2008 Pierre Lurette SE Salarié de chez Bonduelle
mars 2008 En cours
(au 7 avril 2022)
Patrick Bédague SE[35] Agriculteur
Président de la CAPSO 2019-2020
Vice-président de la CAPSO (2004-2019, puis 2020 → )
Réélu pour le mandat 2014-2020[36],[37],[38]
Réélu pour le mandat 2020-2026[39],[40],[41]

Équipements et services publics[edit | edit source]

Espaces publics[edit | edit source]

La commune est labellisée « 2 fleurs » au concours des villes et villages fleuris[42].

Postes et télécommunications[edit | edit source]

La commune, avec trois autres communes voisines que sont Saint-Omer, Salperwick et Serques, a la particularité, unique en France, d'avoir le courrier distribué par un facteur en barque pour une partie des habitants demeurant dans le marais[43].

Population et société[edit | edit source]

Démographie[edit | edit source]

Évolution démographique[edit | edit source]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[45].

En 2021, la commune comptait 1 070 habitants[Note 5], en diminution de 3,34 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
612645792790877931906944957
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9831 0381 0701 0691 1581 1481 1581 1621 226
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2201 057924860809780813742815
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
7667516967769009479931 0361 083
2014 2019 2021 - - - - - -
1 1091 0841 070------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[edit | edit source]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,5 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 532 hommes pour 560 femmes, soit un taux de 51,28 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[47]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,5 
5,3 
75-89 ans
6,5 
21,0 
60-74 ans
19,6 
25,9 
45-59 ans
24,8 
15,7 
30-44 ans
15,3 
14,8 
15-29 ans
16,4 
17,2 
0-14 ans
16,9 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[48]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine[edit | edit source]

Lieux et monuments[edit | edit source]

L'église.

L'église du Sacré-Cœur : elle fait suite à une église portant le même nom, qui semble déjà exister en 1294[49]. Le clocher, retravaillé au XVIIe siècle, est alors décrit comme une flèche bâtie en pierre[50]. Pendant la révolution, l'église est fermée, et le lieu sert de salpêtrière[51]. Lors du rétablissement du culte en 1801, le bâtiment est en mauvais état : « le clocher, en s'écroulant ayant entraîné la chute des nefs latérales, il n'y avait plus que des ruines. On fit les reconstructions les plus urgentes que l'on couvrit en chaume »[52]. La tour est reconstruite entre 1846 et 1848 tandis que la nef est remaniée entre 1863 et 1869 sous le direction de Charles Leroy, l'architecte de la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-la-Treille de Lille. À l'intérieur, la cloche Marie date de 1515, elle est inscrite aux monuments historiques depuis 1911.

Le château d'Ecou, période contemporaine
Le château du Hocquet, aujourd'hui Hôtel-Château de Tilques.

Le château d'Ecou : Le château d'Écou date du XIIIe siècle et il doit son nom au Seigneur Willelmus d'Ekout. Il a été remanié au XVe siècle. En 1595, il appartenait à Adrien de Croix seigneur de Wasquehal. Au milieu du XVIIIe siècle, il appartint à André de Martigny. Sa fille, Marie Marguerite, qui avait épousé en 1739 Guislain-Antoine d'Herbais de Villecasseau, en devint ensuite propriétaire puis, sa petite-fille, Marie-Louise d'Herbais, en hérita à la mort de sa mère en 1780. Marie-Louise d'Herbais étant mariée à Guislain-François de Taffin de Tilques, fils de Nicolas-Antoine, seigneur du Hocquet, le château passa entre les mains de leurs descendants jusqu'au début du XXe siècle. La famille Taffin de Tilques le conserva deux siècles. En grande partie détruit par les Allemands lors de la seconde guerre mondiale[53], le château est reconstruit et remanié par son nouveau propriétaire Joseph Philippe.

Le château du Hocquet : Le château du Hocquet fut construit en 1891 sur les ruines d'un ancien manoir datant du XVIIe siècle. Le Hocquet était un fief à Tilques, tenu de la seigneurie de la Motte à Moulle, qui était tenue du bailliage de Saint-Omer. Ce fief fut acquis en 1585 par Pierre Taffin et resta dans cette famille jusqu'au milieu du XXe siècle. D' à , le château du Hocquet devient le séminaire Saint Jean-Marie Vianney, pour les vocations tardives de prêtres[54].

Personnalités liées à la commune[edit | edit source]

Héraldique[edit | edit source]

Armes de Tilques

Les armes de Tilques se blasonnent ainsi :

d’argent aux trois têtes de maure de sable tortillées du champ.

Pour approfondir[edit | edit source]

Bibliographie[edit | edit source]

Jérémy Révillon, Tilques d'hier à aujourd'hui, 2020[55].

Jean-Charles Bédague, « La mémoire d'une paroisse, étude et édition du registre des curés de Tilques (début du XIXe-milieu du XXe siècle) », Bulletin de la Société des Antiquaires de la Morinie, T. 27 (2012-2015), p. 141-223.

Articles connexes[edit | edit source]

Liens externes[edit | edit source]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[edit | edit source]

Notes[edit | edit source]

  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[edit | edit source]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[edit | edit source]

  1. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Tilques et Watten », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Watten » (commune de Watten) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Watten » (commune de Watten) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « espace protégé FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « espace protégé FR1100774 - Marais Audomarois - Conservatoire du Littoral », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « espace protégé FR6300012 - Marais Audomarois - zone centrale », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « espace protégé FR6400012 - Marais Audomarois - zone tampon », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « espace protégé FR6500012 - Marais Audomarois - zone de transition », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « espace protégé FR7200030 - Marais Audomarois - zone humide », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « ZNIEFF 310013356 - Marais de Serques à Saint-Martin-au-Laërt », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « ZNIEFF 310013353 - Le complexe écologique du Marais Audomarois et de ses versants », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. (en) « The Natura 2000 protected areas network », sur European Environment Agency (consulté le ).
  19. « Natura 2000 FR3100495 - Prairies, marais tourbeux, forêts et bois de la cuvette audomaroise et de ses versants », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  22. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Unité urbaine 2020 de Saint-Omer », sur insee.fr (consulté le ).
  24. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  26. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Omer », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  29. République Française, « Inondations et coulées de boue », Journal officiel de la République française, no 264,‎ , p. 16 (lire en ligne, consulté le ).
  30. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 369.
  31. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
  32. Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome VII, 2e partie, Année 1206.
  33. P. Feuchère, « Pairs de principauté et pairs de château. Essai sur l'institution des pairies en Flandre. Étude géographique et institutionnelle », dans Revue belge de Philologie et d'Histoire, Année 1953, Tome 31, fascicule 4, p. 985, lire en ligne.
  34. D. M., « Tilques : Bernard Dassonneville, maire pendant 24 ans, est décédé : Bernard Dassonneville, maire de la commune durant vingt-quatre ans, est décédé mercredi dans sa 82e année. Ses funérailles seront célébrées lundi à 11 heures en l’église du Sacré-Cœur », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. Marie Jansana, « Municipales : ces candidats de l’Audomarois qui se voulaient « sans étiquette » : Témoignages de candidats de petites communes, qui, en déclarant leur liste à la sous-préfecture, ont dû déterminer une étiquette politique parmi 17 choix proposés. Difficile quand on se déclare apolitique », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. David Monnery, « Le bilan du maire de Tilques : un premier mandat qui en appelle d’autres : Patrick Bédague a encore envie de s’investir pour la commune. Avant de présenter la nouvelle liste qu’il conduira aux municipales de mars 2014, le maire sortant dresse le bilan de son premier mandat », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. « Patrick Bédague en reprend pour six ans comme maire de Tilques : Sans surprise, Patrick Bédague, 52 ans, a retrouvé son fauteuil majoral. Après les élections municipales de dimanche dernier où seule la liste du maire sortant était candidate, le conseil était convoqué vendredi soir pour élire son maire et ses adjoints », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. « Liste des communes et des maires »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
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