Simiane-Collongue

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Simiane-Collongue
Simiane-Collongue
Hôtel de ville de Simiane-Collongue.
Blason de Simiane-Collongue
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Bouches-du-Rhône
Arrondissement Aix-en-Provence
Intercommunalité Métropole d'Aix-Marseille-Provence
Maire
Mandat
Philippe Ardhuin
2020-2026
Code postal 13109
Code commune 13107
Démographie
Gentilé Simianais
Population
municipale
5 849 hab. (2021 en augmentation de 4,75 % par rapport à 2015)
Densité 196 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 25′ 55″ nord, 5° 26′ 00″ est
Altitude 238 m
Min. 192 m
Max. 711 m
Superficie 29,84 km2
Unité urbaine Marseille-Aix-en-Provence
(banlieue)
Aire d'attraction Marseille - Aix-en-Provence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gardanne
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Simiane-Collongue
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Simiane-Collongue
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Simiane-Collongue
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Simiane-Collongue
Liens
Site web https://www.simiane-collongue.fr/

Simiane-Collongue est un ville française située dans le département des Bouches-du-Rhône, à 15 km au sud d'Aix-en-Provence et en limite de Marseille, quoique inaccessible directement de cette dernière, étant située au pied du versant nord de la chaîne de l'Étoile, séparant la plaine d'Aix de l'agglomération marseillaise, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Simiane-Collongue est située à 15 km au sud d'Aix-en-Provence. Le village est situé au pied du versant nord de la chaîne de l'Étoile, séparant la plaine d'Aix de l'agglomération marseillaise.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Marseille et Plan-de-Cuques sont limitrophes par la Chaîne de l'Etoile, mais aucune voie carrossable ne les relie directement à Simiane.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Route[modifier | modifier le code]

On peut y accéder par l'A51 ou la D 7. Pour se rendre à Marseille (20 km), il faudra emprunter l'A7 vers le sud, ou la D 8N.

Train[modifier | modifier le code]

Une gare est située sur la commune. Elle est desservie en TER ZOU! tous les jours, à raison d'un train toutes les 20 minutes sur les relations :

Transports urbains[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les services LeCar de La Métropole Mobilité (lignes 190 et 191) vers Aix-en-Provence, Aix-Les Milles, Bouc-Bel-Air et Gardanne.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 640 mm, avec 6 jours de précipitations en janvier et 1,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mimet », sur la commune de Mimet à 6 km à vol d'oiseau[3], est de 13,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 725,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −13,4 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Statistiques 1991-2020 et records MIMET (13) - alt : 416m, lat : 43°25'06"N, lon : 5°29'58"E
Records établis sur la période du 01-01-1990 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,6 1,3 3,8 6,3 9,8 13,3 15,7 15,8 12,5 9,7 5,3 2,5 8,1
Température moyenne (°C) 5,7 6 9 11,6 15,6 19,5 22,3 22,2 18,1 14,2 9,3 6,4 13,3
Température maximale moyenne (°C) 9,7 10,7 14,1 17 21,3 25,8 28,8 28,7 23,7 18,7 13,3 10,2 18,5
Record de froid (°C)
date du record
−9,7
28.01.05
−13,4
07.02.12
−7,6
13.03.06
−2,7
03.04.22
−1,5
02.05.12
2,9
01.06.06
6,8
17.07.00
7,2
31.08.10
2,6
26.09.02
−2
25.10.03
−7,1
23.11.1999
−9,5
30.12.05
−13,4
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
19,7
28.01.08
20,3
18.02.1998
23,8
24.03.01
26,9
27.04.12
32,8
23.05.09
39,1
28.06.19
37,3
31.07.17
37,8
23.08.23
33,5
04.09.23
28,9
08.10.23
21,7
01.11.22
20,3
30.12.21
39,1
2019
Précipitations (mm) 66,4 41,4 40,7 68,9 54,3 38 16,4 36,7 96,9 97,2 100,3 68 725,2
Source : « Fiche 13062002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
9,7
1,6
66,4
 
 
 
10,7
1,3
41,4
 
 
 
14,1
3,8
40,7
 
 
 
17
6,3
68,9
 
 
 
21,3
9,8
54,3
 
 
 
25,8
13,3
38
 
 
 
28,8
15,7
16,4
 
 
 
28,7
15,8
36,7
 
 
 
23,7
12,5
96,9
 
 
 
18,7
9,7
97,2
 
 
 
13,3
5,3
100,3
 
 
 
10,2
2,5
68
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Simiane-Collongue est une commune urbaine[Note 2],[8]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Marseille-Aix-en-Provence, une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes[11] et 1 625 845 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Marseille-Aix-en-Provence est la troisième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris et Lyon[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (77,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (78,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (19,4 %), zones urbanisées (14,7 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), mines, décharges et chantiers (2,2 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

En occitan provençal Sumiana e Caulònga selon la norme classique ou Simiano-Cóulongo selon la norme mistralienne.

microtoponymie :

  • Notre Dame du Rot : rot signifie passage [17]

Histoire[modifier | modifier le code]

Sous la Préhistoire : la plaine de Simiane étant bordée de grands marécages, des tribus vivaient aux alentours du Pilon du roi, notamment au col Sainte-Anne et à proximité du centre-ville actuel comme l'attestent les fouilles préventives effectuées en 2022, où l'on retrouve des traces d'habitations dès 5000 av. J.-C.[17] ce qui ne manque pas d'étonner vu les conditions : même à l'époque, il ne s'agissait pas d'un choix anodin en matière d'accès et de culture.

Peu avant l'an mille (920), l'ensemble de la région est victime des pillages des Sarrasins, des villages voisins comme Bouc-Bel-Air (anciennement Albertas) se dotent d’un château en guise de protection. C’est certainement dans ce contexte que les églises de Venel (Quartier des Frères) et Collongue ont vu le jour.

La population commence à descendre dans les plaines (transformation des marais en cultures dès 975).

À cette époque, il existait déjà un réseau de circulation, le long de voies antiques on retrouvait généralement des églises (route de Siège, entre le Pilon du roi et le col Sainte-Anne, quartier Saint-Germain).

La population vivra autour de ces pôles religieux du produit de leur ferme.

Entre 1430 et 1685, les propriétés de Venel et Collongue viennent à changer de propriétaires de manière incessante (du comte de Provence, à un banquier marseillais en passant par le Roy René), après le rattachement de la Provence à la France en 1481, il n’y eut pas moins de six changements de propriétaires.

Le dernier en date (1684), fait alors partie d’une grande famille de seigneurs alliés aux grandes maisons provençales de l’époque : Le comte Jean de Simiane. Sa famille donna d’ailleurs aussi son nom à la commune de Simiane-la-Rotonde, dans les Alpes-de-Haute-Provence.

On sait qu’à cette période, le village compte près de 600 habitants, la peste de 1720 n’épargna pas le village. Plus de deux cents personnes périrent. Néanmoins dès cette époque la commune devint de plus en plus habitée.

Peu après la Révolution et l’apparition des communes, le village est rattaché au canton de Gardanne. En 1791 la commune s’appelle Collongue et ce jusqu’en 1814, date à laquelle elle change de nom en faveur de Simiane. Il faudra attendre 1919 pour obtenir le nom définitif de Simiane-Collongue.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste de l'ensemble des maires qui se sont succédé à la mairie de Simiane-Collongue :

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1959 1981 Marius Roussel SFIO-PS ...
1981 1983 Marius Magnan PS ...
1983 1989 Claude Maurice Simeoni DVD ...
1989 1990 Jacques Youx ... ...
1990 1992 Solange Kasparian ... ...
1992 2006 Odile Pietri PS ...
2006 2014 Michel Boyer PS ...
2014 En cours Philippe Ardhuin UMP puis LR Cadre

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[19].

En 2021, la commune comptait 5 849 habitants[Note 4], en augmentation de 4,75 % par rapport à 2015 (Bouches-du-Rhône : +2 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8427848369849921 0351 0341 0201 087
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0431 0601 0291 0081 071897858786817
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
770752744717754717694787824
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 1231 4061 9263 0304 3045 2245 5705 6975 435
2015 2020 2021 - - - - - -
5 5845 9175 849------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête de la musique en juin (spectacle et soupe au pistou)
  • Fête de la Saint-Jean fin juin (retraite aux flambeaux, défilé, bal populaire)
  • Fête de la Saint-Éloi en juillet (Grand messe en provençal, foire, cavalcade)
  • Fête de la Saint-Germain en août (messe, procession, fête des chasseurs)
  • Noël : Marché de noël, illuminations du village, messe de minuit, crèche vivante.

Loisirs[modifier | modifier le code]

  • Randonnées pédestres.
  • Boulodrome
  • VTT

Cultes et religions[modifier | modifier le code]

  • Le prieuré Sainte-Lioba est un prieuré bénédictin fondé de manière autonome en 1997. Il est constitué d'une communauté féminine et d'une communauté masculine qui partagent des offices communs. Cette fondation n'appartient pas à la Confédération des abbayes bénédictines[22]. Elle fait partie du diocèse d'Aix.
  • La paroisse catholique du village est sous le patronat de Saint Pierre es Liens. Son curé actuel est l'abbé Bastien Romera. Elle fait partie du diocèse d'Aix.

Économie[modifier | modifier le code]

  • Marché paysan le mardi et le samedi matin.
Secteurs d’activité Effectif
inconnu
De 1 à 9
salariés
De 10 à 49
salariés
Plus de
50 salariés
Nombre total
d’établissements
Agriculture 3 10 0 0 13
Commerce 0 41 0 0 41
Construction 0 31 2 1 34
Industrie 1 9 2 0 12
Services 13 124 4 1 142
TOTAL 17 215 8 2 242

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Monuments laïques[modifier | modifier le code]

  • Château de Collongue (XVIe siècle, morcelé en quartier d’habitation)
  • Château de Simiane - actuel hôtel de ville (XVIIIe siècle)
  • Tour sarrasine (XIIIe siècle)
  • Fontaine du Cours des Héros (1873)
  • Fontaine aux Vaches (XIXe siècle)

Monuments religieux[modifier | modifier le code]

  • Chapelle romane Saint-Germain (citée dès 1056)
  • Église Saint-Pierre (rebâtie entre 1786 et 1790)
  • Chapelle des Pénitents (aujourd’hui en ruines)
  • Abbaye de Sainte-Lioba.
  • Notre Dame du Rot : sur la crête entre le col Sainte-Anne et le Pilon du Roi, on peut observer les ruines d'un établissement religieux. Subsistent un mur, un caveau vouté, un mur de citerne et plusieurs plates-formes arrasées par la main de l'homme, ainsi que des trous correspondant à des supports de charpente. L'édifice fait face à Notre Dame des Anges sur Mimet. D'autres aménagements sont à noter entre eux et dans le secteur : sentiers muraillés et plateformes[23]. Il aurait existé du Ve au XVe siècle, date à laquelle Notre Dame des Anges serait seul resté. Entre les deux, on note d'autres plates formes, sentiers muraillés, abris sous roches, grottes, autels, et même bâtiments en remontant le vallon vers l'est, qui témoigne d'un phénomène religieux important dans cette zone. Rot signifie "passage" sans que l'on sache si cette signification est géographique ou religieuse[17].

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

  • Musée d'archéologie.

Visite de Simiane[modifier | modifier le code]

La commune de Simiane-Colongue, située entre Aix-en-Provence et Marseille, se trouve dans le creux d'un vallon, au pied du Pilon du roi, sur le versant nord de la Chaîne de l'Étoile.

Le village est dominé par le rocher du castrum, qui surplombe les vieilles rues du village et est surmonté d'une tour de guet, la Tour Sarrasine ou Tour de l'Horloge, datant du XIIIe siècle. Vue sur le village et ses environs, notamment : les crêtes de la chaîne de l’Etoile, la vallée, le terril minier et la montagne Sainte-Victoire.

Au cœur du village, un marché s'installe tous les samedis matin.

Vue depuis les hauteurs du Pilon du roi (711 m) et le col Sainte-Anne (591 m) sur toute la rade de Marseille d'un côté et le pays d'Aix de l'autre.

Un musée archéologique expose des objets datant de l'époque préhistorique et provenant de la commune.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

La commune de Simiane-Collongue s'étend sur le massif de l'Étoile, le site est protégé au titre du réseau Natura 2000 et en Zone Nationale d'Intérêt Écologique Faunistique et Floristique (ZNIEFF) de type II. Sur la commune, il existe quatre sentiers de randonnée balisés : le sentier du col des Ouides, la boucle « Les Santons », la boucle du Canyon et le sentier de la tour de l’Horloge.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jean-Baptiste Penon (1850-1929), évêque de Moulins né à Simiane-Collongue.
  • Nina Simone vécut dans la commune pendant 8 ans avant d’aller s’installer à Carry-le-Rouet où elle mourut.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Simiane-Collongue

Les armes peuvent se blasonner ainsi :

D'or semé de tours et de fleurs de lis d'azur.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Simiane-Collongue et Mimet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Mimet », sur la commune de Mimet - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Mimet », sur la commune de Mimet - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  8. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Marseille-Aix-en-Provence », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b et c « audio-notredamedurot », sur mimet-tourisme (consulté le ).
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. Site du prieuré
  23. « Le site énigmatique de Notre-Dame du Rot. », sur chroniques-souterraines.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]