Saint-Mitre-les-Remparts

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Saint-Mitre-les-Remparts
Saint-Mitre-les-Remparts
L’oppidum de Saint-Blaise.
Blason de Saint-Mitre-les-Remparts
Blason
Saint-Mitre-les-Remparts
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Bouches-du-Rhône
Arrondissement Istres
Intercommunalité Métropole d'Aix-Marseille-Provence
Maire
Mandat
Vincent Goyet
2020-2026
Code postal 13920
Code commune 13098
Démographie
Population
municipale
5 816 hab. (2021 en diminution de 1,62 % par rapport à 2015)
Densité 277 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 27′ 21″ nord, 5° 00′ 54″ est
Altitude 85 m
Min. −10 m
Max. 141 m
Superficie 21,02 km2
Unité urbaine Marseille-Aix-en-Provence
(banlieue)
Aire d'attraction Marseille - Aix-en-Provence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Istres
Législatives Treizième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Mitre-les-Remparts
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Mitre-les-Remparts
Géolocalisation sur la carte : Bouches-du-Rhône
Voir sur la carte topographique des Bouches-du-Rhône
Saint-Mitre-les-Remparts
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Voir sur la carte administrative de Provence-Alpes-Côte d'Azur
Saint-Mitre-les-Remparts
Liens
Site web Site officiel de la Mairie

Saint-Mitre-les-Remparts est une commune française, située dans le département des Bouches-du-Rhône en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Saint-Mitréens.

Géographie[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Fos-sur-Mer, Istres, Martigues, Port-de-Bouc et Berre-l'Étang.

Situation[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 579 mm, avec 5,6 jours de précipitations en janvier et 1,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cap Couronne », sur la commune de Martigues à 6 km à vol d'oiseau[3], est de 15,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 516,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −10,5 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Statistiques 1991-2020 et records CAP COURONNE (13) - alt : 27m, lat : 43°19'54"N, lon : 5°03'11"E
Records établis sur la période du 01-04-1961 au 31-01-2007
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 5,8 5,3 8,2 10 14,1 17,5 19,8 20,3 16,5 13,9 9,1 6,5 12,3
Température moyenne (°C) 8,7 8,8 11,9 13,9 18 21,8 24,2 24,8 20,5 17 12 9,3 15,9
Température maximale moyenne (°C) 11,6 12,3 15,6 17,8 21,8 26,1 28,6 29,1 24,4 20,1 14,9 12,1 19,5
Record de froid (°C)
date du record
−10,5
12.01.1987
−8,6
04.02.1963
−7
07.03.1971
1
15.04.1973
5
04.05.1967
8,1
02.06.1962
12
17.07.00
11,8
30.08.1986
7,4
21.09.1977
2,2
31.10.1997
−3
27.11.1989
−9,4
27.12.1962
−10,5
1987
Record de chaleur (°C)
date du record
21
28.01.02
20,8
18.02.1998
26
30.03.1976
28,4
27.04.1984
32
28.05.1997
36,8
16.06.1981
39,4
07.07.1982
37,8
13.08.1998
34,2
07.09.1988
31,5
02.10.1997
23
11.11.1984
19,4
29.12.1974
39,4
1982
Précipitations (mm) 47,2 28,5 21,7 55 36,4 19,5 6,8 20,3 95,8 80 61,5 44,1 516,8
Source : « Fiche 13056002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
11,6
5,8
47,2
 
 
 
12,3
5,3
28,5
 
 
 
15,6
8,2
21,7
 
 
 
17,8
10
55
 
 
 
21,8
14,1
36,4
 
 
 
26,1
17,5
19,5
 
 
 
28,6
19,8
6,8
 
 
 
29,1
20,3
20,3
 
 
 
24,4
16,5
95,8
 
 
 
20,1
13,9
80
 
 
 
14,9
9,1
61,5
 
 
 
12,1
6,5
44,1
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Mitre-les-Remparts est une commune urbaine[Note 2],[8]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Marseille-Aix-en-Provence, une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes[11] et 1 596 326 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Marseille-Aix-en-Provence est la troisième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris et Lyon[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[16]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (30,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (26 %), zones urbanisées (17,8 %), zones agricoles hétérogènes (10,3 %), eaux continentales[Note 4] (6,5 %), prairies (4,7 %), zones humides intérieures (2,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,9 %), eaux maritimes (0,1 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

La commune est nommée en occitan provençal: Sant Mitre dei Barris selon la norme classique ou Sant Mitre di Barri selon la norme mistralienne.

Mitre est un saint catholique, né à Thessalonique, en Grèce, en 433. Il est mort à Aix-en-Provence en 466 où il était vigneron après avoir été martyrisé. La légende raconte qu’il eut la tête coupée et que «ce martyr n’eut pas sitôt la tête coupée qu’il se leva, prenant sa tête entre ses mains, et marcha vers l’église cathédrale» où il déposa sa tête sur le marchepied du maître autel. Saint Mitre est honoré le .

En Provence, plusieurs communes sont placées sous son patronage. Il nous rappelle qu’il y a quelques siècles cet homme jouissait d’une grande popularité dans le milieu viticole et que se mettre sous sa protection ne pouvait qu’assurer l’intervention rapide de la grâce divine.

Histoire[modifier | modifier le code]

Il existait dans l'antiquité un oppidum celto-ligure, aujourd'hui oppidum de Saint-Blaise. Les étrusques y installèrent un comptoir La fondation de Saint-Mitre ou du moins celle du Castrum Sancti Mitrii (château fort de Saint-Mitre) remonte à l’époque où la ville voisine d’Ugium (aujourd’hui Saint-Blaise) fut saccagée par les troupes sarrasines, sans doute vers le IXe siècle. C’était alors sans doute une simple tour en bois : il n’en subsiste aucun vestige. Il faut attendre le XIIe siècle pour que soit mentionné le Castrum de Saint-Mitre et le XIIIe siècle pour que soit construit un château plus solide en pierres, qui est alors la propriété de l’archevêque d’Arles.

Vers 1395, la région est pillée par des brigands menés par le seigneur des Baux, Raymond de Turenne. Le bourg de Castelveyre, construit sur les ruines d’Ugium, est détruit : les habitants se réfugient au château de Saint-Mitre. La place forte se développe alors, l’archevêque autorise la population à agrandir le château et à étendre les fortifications. Au château du XIIIe siècle sont ajoutés de nouveaux remparts de 12 m de haut et 1,5 m d’épaisseur, construits en 1407. Malgré les modifications subies au fil des ans, ils existent encore dans leur quasi-totalité aujourd’hui, seuls vestiges de ce XVe siècle.

Les richesses de la ville provenaient de la culture du blé, de la vigne et principalement de l’olivier et de la commercialisation de l’huile d’olive, le sel et le vermillon (ou kermès) assurant la prospérité des familles saint mitrenques. Cette prospérité culmina au XVIIe siècle comme l’attestent les détails architecturaux qui subsistent sur les maisons à l’intérieur des remparts. Le bourg éclate et, bien que l’on conserve les fortifications, on assiste à l’apparition de nouveaux quartiers qui constitueront les faubourgs. Cette évolution extra muros sera due à la prospérité du village ainsi qu’à l’augmentation de sa population (1 080 personnes en 1621, 1 325 en 1787). Mais le XVIIIe siècle annonça le début de la phase de déclin de Saint-Mitre : destruction par le gel de la quasi-totalité des oliviers pendant le terrible hiver de 1709 et épidémies de peste (1620, 1720).

Moulin de Saint-Mitre, près de Martigues
Félix Ziem, 1890-1895
Petit Palais, Paris

Le XIXe siècle voit le déclin économique du village. La population quitte peu à peu Saint-Mitre et rejoint les villes voisines soumises à l’essor lié au début de l’industrialisation. Les habitants ne sont plus que 630 dans les années 1950. Il faudra attendre les années 1960-70 pour assister au redéploiement du village favorisé par les implantations industrielles de Fos-sur-Mer et le développement de la pétrochimie.

Un nouvel essor pour Saint-Mitre qui voit, depuis 1965, sa population s’accroître régulièrement et harmonieusement pour atteindre 5 467 habitants en 2008.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Conseil municipal de Saint-Mitre-les-Remparts (mandature 2020-2026).
Liste Tendance Président Effectif Statut
« Saint-Mitre-En vie ! » DVD Vincent Goyet 23 Majorité
« Les Saint-Mitréens avant tout » DVD Béatrice Aliphat 6 Opposition

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1957 mars 1989 Marius Fournier PCF  
mars 1989 avril 2012 Christian Beuillard DVD puis UMP  
avril 2012 2020 Béatrice Aliphat DVD Ingénieure
Conseillère régionale depuis mars 2015
juin 2020 En cours Vincent Goyet DVD Cadre, conseiller départemental depuis 2022

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21].

En 2021, la commune comptait 5 816 habitants[Note 5], en diminution de 1,62 % par rapport à 2015 (Bouches-du-Rhône : +2 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9888839221 1011 1451 2061 2241 0511 089
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0441 1121 055984940898712514489
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
499435457412423405430405667
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 0291 4113 3274 2975 1395 4585 3625 3725 870
2018 2021 - - - - - - -
5 8005 816-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

En , la commune accueille le 108e congrès de la Fédération photographique de France.

En 2016 est organisé pour la première fois le Festival International du Cinéma Indépendant à l'initiative du réalisateur Emmanuel Saez, Saint-Mitréen qui a déjà créé plusieurs courts, moyens et longs métrages dans les environs.

.http://www.smr13filmfestival.com/

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune possède deux groupes scolaires. La plupart des collégiens vont au collège Alphonse-Daudet à Istres. Pour le lycée, les plus proches sont à Istres ou Miramas. Pour l'enseignement supérieur, les facultés les plus proches sont celles d'Aix-Marseille Université.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Charles Rostaing (1904-1999), linguiste français, écrivain, spécialiste de l'œuvre de Frédéric Mistral, Capoulié du Félibrige de 1956 à 1962, grand-père du biographe Alain Wodrascka, décédé à Saint-Mitre-les-Remparts où il avait séjourné pendant une grande partie de sa vie et où il s’était installé après avoir pris sa retraite en 1974. C'est grâce à lui que l'expression « Les Remparts » a été rattachée au nom de la commune de Saint-Mitre.
  • Louis Brauquier, né à Marseille le et décédé à Paris le , est un écrivain et poète français. Sa poésie est tournée tout entière vers le monde maritime. Il passa une partie de son enfance à Saint-Mitre-les-Remparts et y revint prendre sa retraite.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Saint-Mitre-les-Remparts

Les armes peuvent se blasonner ainsi :

D'azur à une crosse d'or en pal accostée de deux fleurs de lis du même.
Les premières armoiries connues de Saint-Mitre-les-Remparts remontent seulement au XVIe siècle. Elles furent enregistrées au Parlement d’Aix pour la somme de 20 livres en 1551.

En termes d’héraldique, l’écu se lit d’azur, à une crosse d’or en pal, accostée de deux fleurs de lis, du même. C'est-à-dire que le fond du blason est bleu ciel, au centre se trouve une crosse d’archevêque couleur or, de chaque côté deux fleurs de lis or.

La signification des armoiries est liée à l’histoire même du village. Les couleurs bleu et or sont les couleurs de la ville d’Arles car Saint-Mitre-les-Remparts fut longtemps compris dans l’aire d’influence de cette ville.

La crosse est celle de l’archevêque d’Arles, un des premiers seigneurs de la ville. Les deux fleurs de lis représentent les armes du roi René d’Anjou auquel l’archevêque d’Arles avait cédé ses droits sur ce territoire en 1457.

Économie[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments du patrimoine[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Saint-Mitre-les-Remparts et Martigues », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Cap Couronne », sur la commune de Martigues - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Cap Couronne », sur la commune de Martigues - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Marseille-Aix-en-Provence », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  17. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Notice no PA00081436, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  25. Notice no PA00081520, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  26. Notice no PA00081434, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  27. Notice no PA00125714, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]