Saint-Jean-de-Vaux

Saint-Jean-de-Vaux
Saint-Jean-de-Vaux
La place des Tilleuls.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Chalon-sur-Saône
Intercommunalité Le Grand Chalon
Maire
Mandat
Michel Isaïe
2020-2026
Code postal 71640
Code commune 71430
Démographie
Gentilé Vallijeannois
Population
municipale
387 hab. (2021 en diminution de 3,73 % par rapport à 2015)
Densité 171 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 48′ 33″ nord, 4° 42′ 02″ est
Altitude Min. 221 m
Max. 325 m
Superficie 2,26 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Chalon-sur-Saône
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Givry
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Jean-de-Vaux
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Saint-Jean-de-Vaux

Saint-Jean-de-Vaux est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[edit | edit source]

Saint-Jean-de-Vaux, avec une superficie de 2,26 km2, est la cinquième plus petite des 567 communes de Saône-et-Loire[RP 1].

La commune est située en Bourgogne, dans le département de Saône-et-Loire, à environ 14 kilomètres de Chalon-sur-Saône. C'est un village viticole de la côte chalonnaise, faisant partie de la vallée des Vaux.

Communes limitrophes[edit | edit source]

OpenStreetMap Limite communale.

Accès et transports[edit | edit source]

Le village est situé à proximité des grands axes de circulation, à 15 kilomètres de l'autoroute A6 (Chalon-sur-Saône), à 9 kilomètres des voies ferrées Paris-Lyon-Marseille et 19 kilomètres du TGV (Le Creusot) et à 7 kilomètres de la route nationale 80 Chalon-Moulins.

Géologie et relief[edit | edit source]

Le territoire de la commune, essentiellement viticole, s'étend dans un paysage vallonné. Le vignoble a été implanté sur des sols où se sont déposés les sédiments marno-argilo-calcaires des mers jurassiques (230 à 135 millions d'années). L'altitude du village varie entre 221 et 325 mètres.

Hydrographie[edit | edit source]

L'Orbize (rivière) traverse le bas du village.

Vue d'une partie du village en hiver.

Climat[edit | edit source]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 805 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chalon-Champforgueil », sur la commune de Champforgeuil à 10 km à vol d'oiseau[3], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 736,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,6 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[edit | edit source]

Typologie[edit | edit source]

Saint-Jean-de-Vaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chalon-sur-Saône, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 109 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[edit | edit source]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (48 %), prairies (20,4 %), cultures permanentes (19 %), zones urbanisées (12,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[edit | edit source]

Histoire[edit | edit source]

Antiquité[edit | edit source]

Les Romains ont habité sur le site actuel de la commune, ainsi une lampe romaine en terre cuite a été trouvée dans une vigne du village[RP 2].

Moyen Âge et Renaissance[edit | edit source]

Le XIIe siècle voit l'édification de l'église Saint-Jean-Baptiste[MATB 1]. Autrefois, Sanctus Joannas in Valle relevait de la justice du prieuré de Saint-Denis de Vaux[RP 3] et aurait été fondée par les moines de Cluny[MATB 1]. Vers 1400, le village appartient à l'évêque d'Autun[MATB 2].

Époque moderne[edit | edit source]

En août 1677, le village est frappé par de très violents orages[MATB 3]. La commune est aussi touchée par des hivers rigoureux en 1709 et 1736, entraînant famine et grosse mortalité[MATB 3]. Au cours de la Révolution, le village prend le nom de Vaux-la-Montagne[MATB 3].

Époque contemporaine[edit | edit source]

XIXe siècle[edit | edit source]

Au XIXe siècle, il est noté la présence de plusieurs gros domaines viticoles, montrant l'omniprésence de cette culture dans le village (ainsi elle est cultivée presque sur les chaumes). Le Gamay est le principal cépage de la commune en 1812, avec 171 hectares sur 200[MATB 4]. La fin du XIXe siècle voit le phylloxéra toucher durement le vignoble. Ainsi en 1896, il est accordé une réduction de 25 % aux fermiers vignerons pour faciliter la reconstruction du vignoble par l'intermédiaire des cépages américains[MATB 5].

XXe siècle[edit | edit source]

L'année 1922 voit la commune s'équiper en lumière électrique[MATB 6]. À partir de 1930, le village va batailler pour avoir l'eau courante, ce qui ne sera fait et terminé qu'en décembre 1939[MATB 7]. En 1942, le moulin, le fournail et la boulangerie sont détruits par un incendie[MATB 8]. La piscine municipale est créée dans les années 1960.

XXIe siècle[edit | edit source]

Depuis 2002, par l'intermédiaire du regroupement pédagogique intercommunal, la commune voit ses enfants scolarisés dans une des quatre communes, le village lui-même, Saint-Mard-de-Vaux, Saint-Denis-de-Vaux et Barizey. En , la commune a rejoint la communauté d'agglomération de Chalon Val de Bourgogne. Par deux fois, le et le , le village est frappé par de fortes inondations caractérisées par des torrents d'eau qui ravagent certaines rues.

Politique et administration[edit | edit source]

Tendances politiques[edit | edit source]

Saint-Jean-de-Vaux est une commune qui à un vote assez équilibré entre droite et gauche. Depuis 1997, la droite est arrivée en tête dans 11 élections et la gauche dans 9 élections[Jsl 1],[Jsl 2],[Jsl 3],[Jsl 4],[Jsl 5],[Jsl 6],[Jsl 7],[Jsl 8],[Jsl 9],[Jsl 10],[Jsl 11],[Jsl 12],[Jsl 13],[Jsl 14],[Jsl 15],[Jsl 16],[Jsl 17],[Jsl 18],[Jsl 19].

Administration municipale[edit | edit source]

Saint-Jean-de-Vaux dépend de la sous-préfecture de Saône-et-Loire à Chalon-sur-Saône. Le conseil municipal est composé de 11 membres conformément à l’article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[RI 1]. À l'issue des élections municipales de 2020, Michel Isaïe a été à nouveau réélu maire de la commune pour un quatrième mandat[Jsl 20].

Listes des maires[edit | edit source]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1971 1986 Fernand Macaire    
1986 mars 2001 Roland Sarras    
mars 2001 en cours Michel Isaïe    
Les données manquantes sont à compléter.

Canton et intercommunalité[edit | edit source]

Cette commune fait partie du canton de Givry, comptant 12 057 habitants en 2007. En intercommunalité, ce village fait partie du Grand Chalon. Pierre Voarick est conseiller général de ce canton depuis 1998.

Instance judiciaire et administrative[edit | edit source]

Dans le domaine judiciaire, la commune dépend de la commune de Chalon-sur-Saône qui possède un tribunal d'instance et un tribunal de grande instance, d'un tribunal de commerce et d'un conseil des prud'hommes. Pour le deuxième degré de juridiction, elle dépend de la cour d'appel et de la cour administrative d'appel de Dijon[RI 2].

Jumelages[edit | edit source]

Population et société[edit | edit source]

Démographie[edit | edit source]

Évolution démographique[edit | edit source]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[15].

En 2021, la commune comptait 387 habitants[Note 4], en diminution de 3,73 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
500572591590620602590581571
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
500523513498515549571528486
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
489446402328262248230254273
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
314240292319314324350373399
2015 2020 2021 - - - - - -
402389387------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[17].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramides des âges[edit | edit source]

Enseignement[edit | edit source]

La commune de Saint-Jean-de-Vaux est située dans l'académie de Dijon. Il existe une école primaire en regroupement pédagogique intercommunal avec les communes de Saint-Mard-de-Vaux, Saint-Denis-de-Vaux et Barizey. Le collège le plus proche est situé à Givry et les lycées les plus proches à Chalon-sur-Saône.

Sports[edit | edit source]

La randonnée, la pêche, la chasse ainsi que la danse classique. La natation lorsque la piscine municipale est ouverte.

Santé[edit | edit source]

Il n'y a pas de docteur, pas de pharmacie, pas de kinésithérapeute, pas de dentiste sur ce village. Les plus proches se trouvent à Givry, Mercurey ou Mellecey. Le centre hospitalier se trouve sur Chalon-sur-Saône.

Écologie et recyclage[edit | edit source]

Le Grand Chalon gère la collecte de la commune. Il y a une collecte hebdomadaire des ordures ménagères.

Cultes[edit | edit source]

Culte catholique en alternance avec d'autres paroisses.

Associations[edit | edit source]

Il y a quelques associations à Saint-Jean-de-Vaux, comme l'Amicale de l'arc-en-ciel...

Devant et entrée du camping-piscine.

Économie[edit | edit source]

Vignes.
Les vignobles de la côte chalonnaise.

Il reste une boulangerie dans le village ainsi qu'un petit marché hebdomadaire. Il y a comme artisan, un électricien-plombier-ramoneur, un carreleur, un entrepreneur de terrassement, un plombier et un électricien-plombier[RP 4]. Le village possède un camping-piscine[RP 4] ouvert en période estivale (de mai à septembre), avec sur les lieux un restaurant-bar-guinguette. Du fait de l'activité viticole, il y a trois viticulteurs indépendants[RP 4].

Vignoble[edit | edit source]

Ce village viticole produit les appellations Bourgogne côte-chalonnaise (vin rouge et vin blanc), Bourgogne (vin rouge, vin blanc, vin rosé), Bourgogne passetougrain (vin rouge et vin rosé), crémant de Bourgogne (vin effervescent), il jouxte l'appellation Mercurey (vin rouge et vin blanc en appellation village et 1er cru) du côté de Saint-Martin-sous-Montaigu.

Culture locale et patrimoine[edit | edit source]

Lieux et monuments[edit | edit source]

Personnalités liées à la commune[edit | edit source]

Héraldique[edit | edit source]

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

De sinople à l'agneau pascal d'argent couché sur un livre du même, tenant une banderole d'or chargée d'une croisette de gueules, chaussé aussi d'or.

Pour approfondir[edit | edit source]

Bibliographie[edit | edit source]

  • Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs, éditions : JPM, 2005, 400 pages, (ISBN 2-84786-036-3)
  • Eugène Leclerc, Une promenade en vallée des Vaux, revue « Images de Saône-et-Loire » n° 48 (hiver 1981), pp. 3–6.

Articles connexes[edit | edit source]

Liens externes[edit | edit source]

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Notes et références[edit | edit source]

Notes[edit | edit source]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[edit | edit source]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[edit | edit source]

Le Journal de Saône-et-Loire[edit | edit source]

  1. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 28 mars 2011, Canton de Givry, p. 9.
  2. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 21 mars 2011, Canton de Givry, p. 10.
  3. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 22 mars 2010, Canton de Givry, p. 8.
  4. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 15 mars 2010, Canton de Givry, p. 7.
  5. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 8 juin 2009, Canton de Givry, p. 7.
  6. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 11 juin 2007, Canton de Givry, p. 18.
  7. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 18 juin 2007, Canton de Givry, p. 20.
  8. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 7 mai 2007, Canton de Givry, p. 18.
  9. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 23 avril 2007, Canton de Givry, p. 19.
  10. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 14 juin 2004, Canton de Givry, p. 4.
  11. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 29 mars 2004, Canton de Givry, p. 10.
  12. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 22 mars 2004, Canton de Givry, p. 10
  13. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du mardi 23 mars 2004, Canton de Givry, p. 8.
  14. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 10 juin 2002, Canton de Givry, p. 16.
  15. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 17 juin 2002, Canton de Givry, p. 14.
  16. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 22 avril 2002, Canton de Givry, p. 14.
  17. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 14 juin 1999, Canton de Givry, p. 4.
  18. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 23 mars 1998, Canton de Givry, p. 6.
  19. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 26 mai 1997, Canton de Givry, p. 24.
  20. Le Journal de Saône-et-Loire, 25 mai 2020, Actu Saône-et-Loire et Région, Conseils Municipaux élus (Saint-Jean-de-Vaux) : Quatrième mandat de maire pour Michel Isaïe, p.  11
  21. Le Journal de Saône-et-Loire, édition du 5 juillet 2016, Actu Chalonnais, Saint-Jean-de-Vaux : La piscine est ouverte, p. 16
  22. Le Journal de Saône-et-Loire, édition du 30 novembre 2016, Actu Chalonnais, Saint-Jean-de-Vaux : Les clés de ma commune, p. 19

Marie-Anne Trémeau-Böhm, Givry et ses environs[edit | edit source]

  1. a et b Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Saint-Jean-de-Vaux : p. 289)
  2. Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Saint-Jean-de-Vaux : p. 290)
  3. a b et c Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Saint-Jean-de-Vaux : p. 294)
  4. Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Saint-Jean-de-Vaux : p. 297)
  5. Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Saint-Jean-de-Vaux : p. 298)
  6. Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Saint-Jean-de-Vaux : p. 299)
  7. Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Saint-Jean-de-Vaux : p. 300)
  8. Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Saint-Jean-de-Vaux : p. 296)

Livres, ouvrages, sources papier[edit | edit source]

  1. « Voyage à la découverte de nos communes », article de Fernand Nicolas paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 100 de mars 1995, pages 20 à 27.
  2. Louis Armand-Calliat, Chalonnais gallo-roamins, SHAC, Chalon-sur-Saône, 1937.
  3. La Saône-et-Loire : Les 573 communes (page 188 sur Saint-Jean-de-Vaux)
  4. a b et c Annuaire Page Blanche de Saône-et-Loire, 2008

Internet[edit | edit source]

  1. « nombre des membres du conseil municipal des communes », sur Legifrance (consulté le ).
  2. « Annuaire des juridictions », sur le site du ministère de la justice (consulté le ).

Site de l'Insee[edit | edit source]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Saint-Jean-de-Vaux et Champforgeuil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Chalon-Champforgueil », sur la commune de Champforgeuil - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Chalon-Champforgueil », sur la commune de Champforgeuil - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chalon-sur-Saône », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  15. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.