Sailly-Labourse

Sailly-Labourse
Sailly-Labourse
Une entrée de la commune.
Blason de Sailly-Labourse
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Béthune
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Maire
Mandat
Dominique Hennebelle
2020-2026
Code postal 62113
Code commune 62735
Démographie
Population
municipale
2 577 hab. (2021 en augmentation de 14,33 % par rapport à 2015)
Densité 428 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 30′ 09″ nord, 2° 41′ 42″ est
Altitude Min. 19 m
Max. 41 m
Superficie 6,02 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Béthune
(banlieue)
Aire d'attraction Nœux-les-Mines
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Douvrin
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Sailly-Labourse
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Sailly-Labourse
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Sailly-Labourse

Sailly-Labourse est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 276 238 habitants en 2019.

Géographie[edit | edit source]

Localisation[edit | edit source]

Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de quatre communes :

Communes limitrophes de Sailly-Labourse
Beuvry
Labourse Sailly-Labourse Annequin
Mazingarbe

Hydrographie[edit | edit source]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est traversée par la Rivière militaire, cours d'eau naturel de 1,97 km, qui prend sa source dans la commune de Beuvry et se jette dans le fossé des Barizeaux au niveau de la commune de Beuvry[1].

Climat[edit | edit source]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Nord-est du bassin Parisien » et « Côtes de la Manche orientale »[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 730 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 17 km à vol d'oiseau[4], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels et biodiversité[edit | edit source]

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[edit | edit source]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 1] :

  • le marais de Beuvry, Cuinchy et Festubert. Cet ensemble de marais se situe dans le bassin versant de la Lys en limite nord/ouest du bassin minier du Pas-de-Calais qui est une zone très industrialisée et peuplée dans laquelle peu de milieux naturels subsistent[8] ;
  • le terril de la cité no 9 d’Annequin. Site constitué d’un petit terril plat couvert, sur sa moitié, par un boisement dense[9].
Carte des ZNIEFF sur la commune.

Urbanisme[edit | edit source]

Typologie[edit | edit source]

Sailly-Labourse est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[13] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nœux-les-Mines, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[edit | edit source]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (78,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,2 %), zones urbanisées (16 %), mines, décharges et chantiers (5,5 %), forêts (3,3 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[edit | edit source]

Sailly est attesté sous les formes Salli (1154) ; Sailli (1155-1159) ; Saillies (XIIe siècle) ; Sailliacum (1251) ; Salliacum (1253) ; Salli d’alès la Bourse (XIIIe siècle) ; Saille (1330) ; Saalli (1404) ; Sailli leez le Bourse (1439) ; Sailly-lez-le-Bourse (1515) ; Sailly-lez-Béthune (XVIe siècle) ; Sailly-lez-Bours (1749) ; Sailly-lez-Bourse (1651)[19].
Le nom de Sailly (attestation Salli, en 1154, ce qui n'est pas très instructif) proviendrait d'un nom d'homme gallo-romain, Salius, et du suffixe -acum[20], latinisation du suffixe gaulois -*acon. Il s'agit donc probablement d'une propriété rurale d'origine gallo-romaine, ou à la rigueur de l'Antiquité tardive.
Sailly est issu de saltus qui signifie bois[21].

Labourse est attesté sous les formes Bursa (1074) ; Le Borse (1206) ; Bourres (1403) ; Le Boursse (1407) ; Le Bourse-lez-Sailly (1565) ; Bourse-lez-Sailly (1739)[22].
Labourse est issu du néerlandais burs « la broussaille »[23].

Histoire[edit | edit source]

Néolithique moyen En 1975-1976 sur le territoire de Sailly-Labourse un site archéologique du néolithique moyen a été trouvé et fouillé. Les poteries et silex qui y ont été découverts sont datés de 3400 av. J.-C. Ils témoignent de l'implantation dans le secteur des premiers agriculteurs - éleveurs du Nord de la France. Auparavant nos contrées étaient habitées par des peuplades de chasseurs. Une première "poussée danubienne" vers 5000 av. J.-C. avait déjà vu l'arrivée d'agiculteurs-éleveurs en Belgique et en Provence. On ne sait bien sûr pas combien étaient ces premiers habitants de Sailly. mais on dénombra ensuite : 89 contribuables à la fin du XIIIe siècle ; 55 familles en 1469 ; 37 en 1698. puis 216 habitants en 1720 ; 642 en 1793 ; 710 en 1836 ; 699 en 1856 ; 744 en 1870 ; 1 416 en 1914 ; 1 410 en 1921 ; 1 920 en 1936 ; 2 106 en 1946 et 1 750 au recensement de 1982.

Sailly-Labourse a encore la chance de posséder une église digne d'intérêt, dans une région qui a énormément souffert des deux derniers conflits mondiaux. Elle est datée de 1573 dans un soubassement. Son chœur primitif fut toutefois démoli et reconstruit en 1782 sous une autre forme. Il possédait auparavant trois autels. Celui de droite était l'autel de Saint-Nicolas, d'une confrérie de porteurs de morts en terre analogue aux charitables. Ils ne sont plus aujourd'hui que des volontaires sans aspect religieux. L'ancien presbytère d'avant la Révolution existe encore rue de Nœux mais très déformé. Il fut vendu dans la tourmente qui a suivi la chute de l'ancien régime. Le presbytère actuel fut construit vers 1820. La reconstruction du chœur a nécessité presque cent ans. On peut suivre la progression de l'affaire dans l'inventaire sommaire des archives départementales (tome Ill. série H, fonds de l'abbaye St-Vaast, p. 154). En 1688, Charles Dudicourt, curé adresse une supplique au Conseil d'Artois pour obliger le décimateur (celui qui perçoit la dîme) à faire réparer ce chœur qui "est dans un estat ruineux. en sorte qu'il a esté obligé de le quitter, n'osant plus y dire la sainte messe".On trouve ensuite mention de devis et réparation du chœur en 1691 et en 1725 ; de la visite par un maçon et un charpentier, tous deux d'Arras en 1756 et de l'adjudication au rabais des travaux en 1762. On arrive à la conclusion 94 ans après le début de l’affaire soit en 1782.

Politique et administration[edit | edit source]

Découpage territorial[edit | edit source]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[edit | edit source]

La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.

Circonscriptions administratives[edit | edit source]

La commune est rattachée au canton de Douvrin.

Circonscriptions électorales[edit | edit source]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la dixième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[edit | edit source]

Liste des maires[edit | edit source]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1800 1813 Jacques-Philippe Dollet   Cultivateur
1813 1827 Théodore Lericque de Rocourt   Propriétaire
1827 1835 Jacques-Philippe Dollet   Cultivateur
1835 1840 Séraphin Lefrançois   Cultivateur
1840 1848 Aimable Dansou   Ancien officier
1848 1855 François Dollet   Cultivateur
1855 1861 Aimable Dansou   Ancien officier
1862 1876 Agathon Dollet   Cultivateur
1876 1896 Augustin Leleu   Cultivateur
1896 1908 Jean-Baptiste Démolin   Cultivateur
1908 1919 Constant Démolin   Cultivateur
1919 1925 Emile Essique   Mineur, puis Commerçant
1925 1945 Jules Mayeur Soc.ind. Marchand de chevaux
Conseiller d'arrondissement (1931 → 1937)
1945 1947 Joseph Machut   Mineur
1947 mars 1971 Jules Mayeur Soc.ind. Marchand de chevaux
mars 1971 mars 1977 Roland Leblanc   Employé aux houillères
mars 1977 mars 2001 Jean Coornaert PS Cultivateur
mars 2001 janvier 2003
(décès)
Jacques Delcloy    
mars 2003 mars 2014[24] Robert Copin DVG Ingénieur chimiste retraité
mars 2014[25],[26],[27] 2020 Moïse Baudelet DVG Ancien instituteur et directeur d'école
3 juillet 2020 En cours
(au 4 avril 2022)
Dominique Hennebelle   Ancien employé[28],[29]

Population et société[edit | edit source]

Démographie[edit | edit source]

Évolution démographique[edit | edit source]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

En 2021, la commune comptait 2 577 habitants[Note 4], en augmentation de 14,33 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
642752729722710685702727756
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
6997147447428008499699791 062
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2161 4081 4161 4101 6591 9201 8632 1061 946
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 9661 9571 8891 7501 9382 0132 1202 1512 163
2018 2021 - - - - - - -
2 3772 577-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[edit | edit source]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 137 hommes pour 1 240 femmes, soit un taux de 52,17 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
1,8 
4,9 
75-89 ans
8,1 
11,7 
60-74 ans
13,9 
18,6 
45-59 ans
18,3 
22,6 
30-44 ans
19,9 
18,6 
15-29 ans
15,8 
23,3 
0-14 ans
22,2 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine[edit | edit source]

Lieux et monuments[edit | edit source]

Patrimoine mondial[edit | edit source]

Depuis le , la valeur universelle et historique du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais est reconnue et inscrite sur la liste du patrimoine mondial l’UNESCO. Parmi les 353 sites, répartis sur 109 lieux inclus dans le périmètre du bassin minier, le site no 78 de Sailly-Labourse est composé de la cité pavillonnaire no 9, également située sur Annequin. Elle résulte de l'exploitation de la fosse no 9 des mines de Béthune[36],[37].

Autres lieux et monuments[edit | edit source]

Le monument aux morts.
  • L'église Saint-Martin, du XVIe siècle avec un chœur reconstruit au XVIIIe siècle.
  • Le château des Près, du début du XVIIIe siècle.
  • Le monument aux morts[38].

Personnalités liées à la commune[edit | edit source]

Héraldique[edit | edit source]

Blason de Sailly-Labourse Blason
Écartelé : au 1er d'argent à la fasce de gueules, aux 2e et 3e contre-écartelé d'or et de sable, au 4e d'or à la croix ancrée de gueules[39].
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[edit | edit source]

Bibliographie[edit | edit source]

  • Document utilisé pour la rédaction de l’articleAlbert Bourgeois, Sailly-Labourse à travers les siècles, édition communale - imprimerie l'Artésienne 62800 Liévin, , 126 p.

Articles connexes[edit | edit source]

Liens externes[edit | edit source]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[edit | edit source]

Notes[edit | edit source]

  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[edit | edit source]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[edit | edit source]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Rivière militaire (E3660800 ) » (consulté le )
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Sailly-Labourse et Lillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « ZNIEFF 310013361 - Marais de Beuvry, Cuinchy et Festubert », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « ZNIEFF 310030114 - Terril de la cité n°9 d’Annequin », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Noeux-les-Mines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 336.
  20. Albert Dauzat, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des Noms de Lieux en France, Librairie Guénégaud, réédition 1984
  21. Claude Millier, « Préface » de La Forêt paysanne dans l'espace rural : biodiversité, paysages, produits, par Gérard Balent, INRA, , p. 5.
  22. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 65.
  23. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Droz, , p. 1028.
  24. David Cierniak, « Le bilan du maire de Sailly-Labourse, Robert Copin : « Notre endettement a été pratiquement divisé par deux en dix ans » : Élu premier adjoint en 2001, Robert Copin ceint l’écharpe de maire en 2003, après des élections partielles provoquées par les décès de Jean Coornaert et Jacques Delcloy. Dix ans après, à 73 ans, Robert Copin souhaite se retirer de la vie publique. Avec le sentiment du devoir accompli à travers le désendettement de la commune mais aussi la création de la médiathèque ou encore la restauration du clocher et de la nef de l’église. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Sailly-Labourse :Robert Copin a adoubé son dauphin Moïse Baudelet, séquence émotion : Une séance empreinte d’émotion vendredi soir pour ce premier conseil municipal à la salle des fêtes. Petite touche d’humour involontaire quand l’un des assesseurs a fait un lapsus lors de l’élection du maire en déclarant 19 nuls au lieu de 19 voix pour l’élection de Moïse Baudelet. L’émotion sans doute », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  27. Ruben Muller, « Sailly-Labourse : Moïse Baudelet, maire, rêve d’une salle de sport d’ici... 2020 : C’est entendu, les finances ne sont pas au beau fixe, l’État se désengage, il faut faire des économies. Ça n’empêche pas de rêver : Moïse Baudelet compte construire une salle de sport d’ici la fin du mandat », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  29. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Sailly-Labourse (62735) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  36. « Bassin Minier Nord-Pas de Calais », sur whc.unesco.org, Unesco .
  37. « Liste des 109 lieux et des 353 sites qui les composent » [PDF] (217 Mo), sur le site du patrimoine mondial de l'Unesco (consulté le ).
  38. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
  39. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).