Quiestède

Quiestède
Quiestède
Le château de Laprée, monument historique.
Blason de Quiestède
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Saint-Omer
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer
Maire
Mandat
Alain Tellier
2020-2026
Code postal 62120
Code commune 62681
Démographie
Population
municipale
642 hab. (2021 en augmentation de 4,73 % par rapport à 2015)
Densité 227 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 40′ 48″ nord, 2° 19′ 07″ est
Altitude Min. 23 m
Max. 60 m
Superficie 2,83 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Béthune
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Omer
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fruges
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Quiestède
Liens
Site web mairie-quiestede.fr

Quiestède est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer qui regroupe 53 communes et compte 105 142 habitants en 2019.

Géographie[edit | edit source]

Localisation[edit | edit source]

Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de quatre communes :

Communes limitrophes de Quiestède
Heuringhem Racquinghem
Ecques Quiestède
Roquetoire

Hydrographie[edit | edit source]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est traversée par le ruisseau du bois fauchez du ravin d'ecques, cours d'eau naturel non navigable de 9,97 km, qui prend sa source dans la commune de Dohem et se jette dans le Lauborne au niveau de la commune d'Ecques[1] et par la Melde du Pas-de-Calais, cours d'eau d'une longueur de 15,29 km, qui prend sa source dans la commune d'Helfaut et se jette dans le bras de décharge de la lys oduel au niveau de la commune d'Aire-sur-la-Lys[2]

Climat[edit | edit source]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 821 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 17 km à vol d'oiseau[5], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité[edit | edit source]

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[edit | edit source]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 1] :

  • le plateau siliceux d'Helfaut à Racquinghem. Cette ZNIEFF correspond à un vaste plateau détritique de moins d’un kilomètre de large et de près de 10 km de long qui surplombe de plus de 90 m la vallée de l’Aa dont les versants abrupts taillés dans la craie sont en partie occupés par les pelouses de Wizernes[9] ;
  • les Bruyères d'Ecques, d’une superficie de 59 hectares et d'une altitude variant de 31 à 61 mètres. Cette ZNIEFF est une petite colline surplombant la vallée de la Lauborne et qui se compose d’argile de Louvil et de tuffeau de Saint-Omer, surmontée de sables et de grès d’Ostricourt. On y trouve la lande mésophile à callune commune et la bruyère cendrée[10].

et une ZNIEFF de type 2[Note 2] : la moyenne vallée de l’Aa et ses versants entre Remilly-Wirquin et Wizernes. La moyenne vallée de l’Aa et ses versants représentent un remarquable ensemble écologique associant des habitats très différents constituant des complexes de végétations souvent complémentaires[11].

Urbanisme[edit | edit source]

Typologie[edit | edit source]

Quiestède est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[15] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].

Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Omer dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 79 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols[edit | edit source]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (55,4 %), zones agricoles hétérogènes (20,8 %), prairies (11 %), zones urbanisées (8,7 %), forêts (4,1 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[edit | edit source]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Cheriestede (1119) ; Cerestede (1157) ; Cherestede (1179) ; Kierestede (1242) ; Quaitstede (1305) ; Quiesterde (1469) ; Quierestede (1486) ; Kierstede (vers 1512) ; Quiesterde le Grande (1528) ; Kiestede (1559) ; Guistède (1739) ; Grand Quistede (XVIIIe siècle)[21].

Histoire[edit | edit source]

La seigneurie de Quiestède a été achetée dans les années 1770 par Louis-Dominique-Eustache de Lencquesaing. Louis-Dominique-Eustache de Lancquesaing, seigneur de Laprée (château de Laprée), de Chocques, Meslau, né le , est écuyer, fils de Jean-Jacques, écuyer, et de Marie-Joseph-Eugénie du Puich. Grand bailli d'épée héréditaire du bailliage de Saint-Omer, il est confirmé dans cette charge par lettres de provision du . Ancien capitaine au régiment de Navarre, il devient bourgeois de Lille par achat le , puis échevin de Lille en 1772 et 1773. Il meurt à Lille le . Il épouse à Lille le Marie-Cécile-Joseph Aronio (1734-1802). Elle est la fille de Philippe-Louis Aronio, écuyer, seigneur de Lestrée, Heldinghe, bourgeois de Lille, et de Marie-Lucrèce Joseph de Fourmestraux, dame du Hem. Marie-Cécile-Joseph nait à Lille en novembre 1734 (baptisée le ) et y meurt le . Elle est enterrée au cimetière d'Esquermes[22]. Une fille du couple, Marie-Joséphine (1774-1858), épouse un futur député, officier de la Légion d'honneur : Louis Potteau d'Hancardrie.

Un autre descendant Albéric-Louis de Lencquesaing, né en 1851, fils de Louis-Dominique-Arthur et de Mélanie-Joseph-Marie Van der Cruisse de Waziers, licencié en droit, officier de réserve d'artillerie, chevalier de la Légion d'honneur le , est maire de Quiestède de 1886 à 1929 au moins[23].

Politique et administration[edit | edit source]

La mairie.

Découpage territorial[edit | edit source]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Omer du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[edit | edit source]

La commune est membre de la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer.

Circonscriptions administratives[edit | edit source]

La commune est rattachée au canton de Fruges.

Circonscriptions électorales[edit | edit source]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la huitième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[edit | edit source]

Liste des maires[edit | edit source]

Maire de 1886 à 1929 au moins : Albéric-louis de Lencquesaing, chevalier de la Légion d'honneur[23].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Hervé Floret    
mars 2008 En cours
(au 3 avril 2022)
Alain Tellier   Ouvrier qualifié d'industrie
Réélu pour le mandat 2014-2020[24],[25]
Réélu pour le mandat 2020-2026[26],[27]

Population et société[edit | edit source]

Démographie[edit | edit source]

Évolution démographique[edit | edit source]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

En 2021, la commune comptait 642 habitants[Note 5], en augmentation de 4,73 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
256294308328300300328329318
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
307340358375379410383426410
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
400380356331338329336354338
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
335303291402537665655649664
2014 2019 2021 - - - - - -
620627642------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[edit | edit source]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 315 hommes pour 306 femmes, soit un taux de 50,72 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
0,0 
3,8 
75-89 ans
5,5 
17,3 
60-74 ans
16,8 
26,1 
45-59 ans
29,1 
17,0 
30-44 ans
16,2 
17,0 
15-29 ans
14,6 
18,2 
0-14 ans
17,8 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine[edit | edit source]

Lieux et monuments[edit | edit source]

Monument historique[edit | edit source]

Le château de Laprée, inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du  : façades et toitures du château ainsi que les façades et toitures du pavillon daté de 1676[34].

Autres monuments[edit | edit source]

  • L'église Notre-Dame-de-l'Assomption (vitraux de Max Ingrand).
  • Le monument aux morts.
  • Le musée : l'atelier des curiosités.

Personnalités liées à la commune[edit | edit source]

Héraldique[edit | edit source]

Blason de Quiestède Blason
D'azur à la silhouette cartographique de la commune d'or et à l'église du même, mouvant de celle-ci à dextre, girouettée d'un coq contourné de sable, accompagnés de quatre fleurs de lis d'or ; au chef d'or chargé de deux étoiles d'azur[35].
Détails
Adopté par la municipalité le .

Pour approfondir[edit | edit source]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[edit | edit source]

Articles connexes[edit | edit source]

Liens externes[edit | edit source]

Notes et références[edit | edit source]

Notes[edit | edit source]

  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[edit | edit source]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[edit | edit source]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau du bois fauchez du ravin d'ecques (E3610820) » (consulté le )
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Melde du Pas-de-Calais (E3610750) » (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Quiestède et Lillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « ZNIEFF 310007011 - Plateau siliceux d'Helfaut à Racquinghem », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « ZNIEFF 310013771 - Les Bruyères d'Ecques », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « ZNIEFF 310013266 - la moyenne vallée de l’Aa et ses versants entre Remilly-Wirquin et Wizernes », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur insee.fr (consulté le ).
  16. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Omer », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 313.
  22. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises », Recueil de la Société d'études de la province de Cambrai, vol. 12, t. I,‎ 1906-1909, p.206-207 (lire en ligne).
  23. a et b Dossier de légion d'honneur, disponible en ligne : lire en ligne,cote 19800035/192/24977.
  24. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  25. Bruno Delannoy (CLP), « Les projets des maires : À Quiestède, Alain Tellier est devenu maire d’un village dont il ignorait l’existence il y a 30 ans : « Je cherchais à construire, raconte Alain Tellier, maire. Au travail, un copain me parle de terrain à Quiestède. C’était où ? En 1985 nous avons acheté. Le , nous sommes rentrés dans notre maison. On s’est très vite intégrés. » », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  27. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Quiestède (62681) », (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  34. « château », notice no PA00108379, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).