Mercus-Garrabet

Mercus-Garrabet
Mercus-Garrabet
Village de Garrabet.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Ariège
Arrondissement Foix
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Tarascon
Maire
Mandat
Patricia Testa
2020-2026
Code postal 09400
Code commune 09188
Démographie
Gentilé Mercusiens-Garrabetois
Population
municipale
1 215 hab. (2021 en augmentation de 4,56 % par rapport à 2015)
Densité 82 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 52′ 50″ nord, 1° 37′ 52″ est
Altitude 480 m
Min. 432 m
Max. 1 603 m
Superficie 14,79 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Foix
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sabarthès
Législatives Première circonscription
Localisation
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Mercus-Garrabet est une commune française située dans le centre du département de l'Ariège, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du pays du Sabarthès, structuré par la haute vallée de l'Ariège en amont du pays de Foix avec Tarascon-sur-Ariège comme ville principale.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Ariège, le ruisseau de Serbel et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste ») et sept zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Mercus-Garrabet est une commune rurale qui compte 1 215 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Foix. Ses habitants sont appelés les Mercusiens-Garrabetois ou Mercusiennes-Garrabetoises.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Louis, classée en 1910.

Géographie[edit | edit source]

Localisation[edit | edit source]

La commune de Mercus-Garrabet se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 10 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, et à 4 km de Tarascon-sur-Ariège[2], bureau centralisateur du canton du Sabarthès dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Tarascon-sur-Ariège[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Bompas (2,0 km), Arignac (2,6 km), Montoulieu (3,2 km), Arnave (3,3 km), Tarascon-sur-Ariège (4,1 km), Saint-Paul-de-Jarrat (4,5 km), Quié (4,8 km), Surba (5,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Mercus-Garrabet fait partie du pays du Sabarthès, structuré par la haute vallée de l'Ariège en amont du pays de Foix avec Tarascon-sur-Ariège comme ville principale[4].

Mercus-Garrabet est limitrophe de six autres communes. Les communes limitrophes sont Arignac, Arnave, Bompas, Cazenave-Serres-et-Allens, Montoulieu et Saint-Paul-de-Jarrat.

Géologie et relief[edit | edit source]

La commune est située dans les Pyrénées, une chaîne montagneuse jeune, érigée durant l'ère tertiaire (il y a 40 millions d'années environ), en même temps que les Alpes, certaines parties étant recouvertes par des formations superficielles. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches pour partie sédimentaires et pour partie métamorphiques datant pour certaines du Mésozoïque, anciennement appelé Ère secondaire, qui s'étend de −252,2 à −66,0 Ma, et pour d'autres du Protérozoïque, le dernier éon du Précambrien sur l’échelle des temps géologiques. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans la feuille « n°1075 - Foix » de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[6],[7] et sa notice associée[8].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 14,79 km2[9],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 15,07 km2[7]. Son relief est particulièrement escarpé puisque la dénivelée maximale atteint 1 171 mètres. L'altitude du territoire varie entre 432 m et 1 603 m[12].

Hydrographie[edit | edit source]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Mercus-Garrabet.

La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par l'Ariège, le ruisseau de Serbel, le ruisseau de Mouillère Marty et le ruisseau de Rouy, constituant un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[14],[15].

L'Ariège, d'une longueur totale de 162,91 km, prend sa source dans la commune de Porta et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Portet-sur-Garonne, après avoir traversé 56 communes[16].

Climat[edit | edit source]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[17]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées centrales, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 200 mm[18].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 108 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[17]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Aston à 12 km à vol d'oiseau[19], est de 5,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 103,9 mm[20],[21]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[22].

Milieux naturels et biodiversité[edit | edit source]

Réseau Natura 2000[edit | edit source]

Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »[24], d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs, avec des zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[25].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[edit | edit source]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[26] :

et trois ZNIEFF de type 2[Note 5],[26] :

  • « L'Ariège et ripisylves » (1 975 ha), couvrant 56 communes dont 43 dans l'Ariège et 13 dans la Haute-Garonne[31] ;
  • le « massif de l'Arize » (42 110 ha), couvrant 40 communes du département[32] ;
  • les « montagnes d'Olmes » (31 924 ha), couvrant 33 communes dont 31 dans l'Ariège et 2 dans l'Aude[33].

Environnement[edit | edit source]

L'industrialisation de la commune y a laissé des séquelles importantes. L'usine Aluminium Pechiney a été source d'une pollution des sols, de l'air et de l'eau, par divers polluants (hydrocarbures, PCB, cyanures, chrome hexavalent, cuivre, mercure, plomb, nickel, vanadium, baryum, aluminium, arsenic, fluorures (voir aussi les bases de données Basias et Basol)[34].

Urbanisme[edit | edit source]

Typologie[edit | edit source]

Mercus-Garrabet est une commune rurale[Note 6],[35]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2],[36].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Foix, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols[edit | edit source]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (87 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (80 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (36,5 %), zones urbanisées (7,6 %), zones agricoles hétérogènes (2,8 %), eaux continentales[Note 8] (2,6 %)[37]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et écarts[edit | edit source]

La commune se compose de trois villages, deux sur la rive droite de l'Ariège : Mercus et Garrabet, et un sur la rive gauche : Amplaing; et deux hameaux,Jarnat et Croquié, respectivement à 650 et 1 000 m d'altitude, accessibles par la route depuis Mercus.

Habitat et logement[edit | edit source]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 735, alors qu'il était de 673 en 2013 et de 627 en 2008[I 5].

Parmi ces logements, 74,1 % étaient des résidences principales, 16,2 % des résidences secondaires et 9,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 89,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 10,1 % des appartements[I 5].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Mercus-Garrabet en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (16,2 %) inférieure à celle du département (24,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 76,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (79,7 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 6].

Le logement à Mercus-Garrabet en 2018.
Typologie Mercus-Garrabet[I 5] Ariège[I 7] France entière[I 8]
Résidences principales (en %) 74,1 65,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 16,2 24,6 9,7
Logements vacants (en %) 9,6 9,7 8,2

Voies de communication et transports[edit | edit source]

Les trois villages sont très proches de la N 20, les hameaux de Jarnat et de Croquié sont accessibles par de petites routes en passant par Mercus.

Le village de Mercus est doté d'une gare, aujourd'hui désaffectée sur la ligne de Portet-Saint-Simon à Puigcerda (frontière). L'essentiel des transports se fait désormais par une desserte autobus entre Pamiers et Ax-les-Thermes.

Risques majeurs[edit | edit source]

Le territoire de la commune de Mercus-Garrabet est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier, le risque radon[38],[39].

Risques naturels[edit | edit source]

Zonage de l'aléa retrait-gonflement des argiles sur la commune de Mercus-Garrabet.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, ou ruissellement d'un versant[40].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Mercus-Garrabet[41]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[42].

Risques technologiques[edit | edit source]

Le risque de transport de matières dangereuses par une infrastructure routière ou ferroviaire ou par une canalisation de transport de gaz concerne la commune. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[43].

Sur le département de l’Ariège on dénombre cinq grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des 80 communes susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages[44].

Risque particulier[edit | edit source]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Mercus-Garrabet est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[45].

Toponymie[edit | edit source]

Histoire[edit | edit source]

Politique et administration[edit | edit source]

Découpage territorial[edit | edit source]

La commune de Mercus-Garrabet est membre de la communauté de communes du Pays de Tarascon[I 9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Tarascon-sur-Ariège. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[46].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Foix, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 9].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Sabarthès pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 9], et de la première circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[47].

Administration municipale[edit | edit source]

Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[48],[49].

Tendances politiques et résultats[edit | edit source]

Liste des maires[edit | edit source]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
décembre 1919 octobre 1935 Frédéric Subra PCF puis SFIO  
         
mars 2001 août 2017 José Lorenzo PS  
2017 En cours Patricia Testa    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[edit | edit source]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[51]. En 2021, la commune comptait 1 215 habitants[Note 9], en augmentation de 4,56 % par rapport à 2015 (Ariège : +1,38 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
614701768882877915901974987
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
813852828851916797764777734
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
665621704683796762722613601
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
5868699449729251 0051 1191 1351 143
2017 2021 - - - - - - -
1 1991 215-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[edit | edit source]

Revenus[edit | edit source]

En 2018, la commune compte 530 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 1 190 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 820 [I 10] (19 820  dans le département[I 11]).

Emploi[edit | edit source]

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 12] 7,9 % 6,4 % 8,7 %
Département[I 13] 8,9 % 11,1 % 11,2 %
France entière[I 14] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 752 personnes, parmi lesquelles on compte 77,2 % d'actifs (68,5 % ayant un emploi et 8,7 % de chômeurs) et 22,8 % d'inactifs[Note 11],[I 12]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Foix, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 15]. Elle compte 199 emplois en 2018, contre 207 en 2013 et 196 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 521, soit un indicateur de concentration d'emploi de 38,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,8 %[I 16].

Sur ces 521 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 99 travaillent dans la commune, soit 19 % des habitants[I 17]. Pour se rendre au travail, 91,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,4 % les transports en commun, 5,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 18].

Activités hors agriculture[edit | edit source]

73 établissements[Note 12] sont implantés à Mercus-Garrabet au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 19].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 73
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
10 13,7 % (12,9 %)
Construction 16 21,9 % (14,2 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
16 21,9 % (27,5 %)
Activités financières et d'assurance 1 1,4 % (2,8 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
8 11 % (13,2 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
14 19,2 % (14,4 %)
Autres activités de services 8 11 % (8,8 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 21,9 % du nombre total d'établissements de la commune (16 sur les 73 entreprises implantées à Mercus-Garrabet), contre 27,5 % au niveau départemental[I 20]. Les quatre entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[54] :

  • Société Nouvelle Coffra TP, fabrication de charpentes et d'autres menuiseries (992 k€)
  • Serra et Fils, construction de maisons individuelles (125 k€)
  • Amandine Esthetique 09, soins de beauté (77 k€)
  • Activités sur corde et travaux d'élagage - Acte, autres travaux spécialisés de construction (29 k€)

Agriculture[edit | edit source]

La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région pyrénéenne »[55]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est l'élevage d'herbivores hors bovins, caprins et porcins[56].

1988 2000 2010
Exploitations 14 11 16
Superficie agricole utilisée (ha) 726 1123 1338

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 14 lors du recensement agricole[Note 15] de 1988 à 11 en 2000 puis à 16 en 2010[56], soit une augmentation de 1,14 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 48 % de ses exploitations[58]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 726 ha en 1988 à 1 338 ha en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 52 à 84 ha[56].

Culture locale et patrimoine[edit | edit source]

Église Saint-Louis de Mercus.
Pont du diable.
Barrage de Mercus à Garrabet.

Lieux et monuments[edit | edit source]

  • Téléski nautique et loisirs aquatiques à Mercus sur l'Ariège[59].
  • Monuments préhistoriques sur la commune :
    • Sur les pentes du versant ouest du Mont Fourcat, une pierre à cupules, la Peyro Traucado, aussi appelée le Roc des Sorcières, a donné son nom au col du Traucadou (1253 m).
    • Le dolmen de Garrabet disparut le premier en 1913. Il était situé en fond de vallée, sur la rive opposée au Peyrogall.
    • Un second dolmen, le Peyrogall ou dolmen d'Amplaing, s'est dressé jusqu'en 1992 sur la plaine alluviale de l'Ariège, entre Amplaing et le Rocher du Barry. Il fut déplacé pour le protéger lors de la construction de la 2x2 voies, avec la promesse de l'installer à quelques mètres de son emplacement initial lorsque tout serait terminé. On attend impatiemment que la promesse soit tenue ?!
  • À Mercus : Église Saint-Louis construite au XIIe siècle en granite sur un piton de feldspath, et son portail sculpté en grès, classée Monument historique en 1910. Le clocher est du XIXe siècle. Ce piton, reste de moraine glaciaire, qui surplombe la vallée de l'Ariège est désigné comme "roc de Carol". La légende dit que l'empereur Charlemagne y serait monté pour considérer son armée rassemblée dans la plaine, avant l'entrée dans les vallées plus étroites des Pyrénées.
  • À Garrabet : Pont du Diable au-dessus de l'Ariège, avec sa légende au sujet de sa construction, semblable à toutes les autres légendes des "ponts du diable".
  • À Amplaing : Rocher du Barri au-dessus de l'Ariège, ce rocher supportait le château de Castelpenent ou Castelpendent qui existait déjà avant le Xe siècle. Détruit en 1211 par Simon de Montfort, il n'est plus mentionné dans l'inventaire des fortifications du comté de Foix en 1272.
  • Le roc des sorcières est une roche gravée néolithique. Selon la tradition c'était un lieu de sabbat ; « le samedi soir, les sorcières de la région se réunissaient en ce lieu pour faire leur sabbat car elles n'avaient pas à mettre le couvert, celui-ci étant mis en permanence sur la pierre »[60].

Personnalités liées à la commune[edit | edit source]

Pour approfondir[edit | edit source]

Bibliographie[edit | edit source]

Articles connexes[edit | edit source]

Liens externes[edit | edit source]

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Notes et références[edit | edit source]

Notes et cartes[edit | edit source]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[10],[11]
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
  4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  10. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  12. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[57].
  • Cartes
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Références[edit | edit source]

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Autres sources[edit | edit source]

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