Loivre

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Loivre
Loivre
L'hôtel de ville, école.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Marne
Arrondissement Reims
Intercommunalité Communauté urbaine du Grand Reims
Maire
Mandat
Claudine Rousseaux
2020-2026
Code postal 51220
Code commune 51329
Démographie
Population
municipale
1 409 hab. (2021 en augmentation de 10,42 % par rapport à 2015)
Densité 138 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 20′ 49″ nord, 3° 58′ 50″ est
Altitude Min. 63 m
Max. 116 m
Superficie 10,24 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Reims
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bourgogne-Fresne
Législatives Première circonscription
Localisation
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Loivre

Loivre [lwavʀə] est une commune française, située dans le département de la Marne en région Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Canal de l’Aisne à la Marne : maison de l'écluse au lieu-dit les Fontaines.




Le village a été établi dans la plaine Nord-champenoise qui est dominée à l'ouest par le massif de Saint-Thierry. Au sud, elle est dominée par la « butte » de Brimont sur laquelle fut édifié un fort qui faisait partie de la ceinture de défense de la ville de Reims. Il fut un enjeu important des combats de la Première Guerre mondiale dans le secteur. Au nord-ouest de la commune, une légère surélévation sur laquelle furent implantés des moulins à vent.

La commune est située à une dizaine de kilomètres au nord de Reims entre deux anciennes voies romaines dont le tracé est conservé par la RD 944 (Reims - Laon via Berry-au-Bac) et la RD 366. Elle est sur l'axe est-ouest qu'est la RD 30 de Bourgogne à Fismes.

Le territoire communal est traversé de nord en sud par :

Autrefois petit centre industriel et agroalimentaire avec sa sucrerie et sa verrerie, la commune est un village-dortoir dont la population travaille principalement sur l'agglomération rémoise.

Environnement[modifier | modifier le code]

La commune possède une zone humide protégée (vallée de la Loivre).

La commune est aussi un village fleuri avec deux fleurs.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 687 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chambrecy-Civc », sur la commune de Chambrecy à 21 km à vol d'oiseau[3], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 734,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −22,1 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Loivre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Reims, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 295 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,9 %), zones urbanisées (7,7 %), forêts (3,8 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

Origines[modifier | modifier le code]

L'origine de la commune est à ce jour incertaine. Elle peut cependant être liée à un établissement d'exploitation agricole gallo-romain. L'église qui a été détruite lors du premier conflit mondial, avait été construite au lieu-dit le Champ Vert au XIIe siècle.

L'agriculture a été l'élément dynamique du développement et de l'économie de la commune jusqu'au XIXe siècle. Les moulins encore présents avant la Première Guerre mondiale sur les hauteurs au nord-ouest de la commune en attestait l'importance.

Le château des Fontaines[modifier | modifier le code]

Le château des Fontaines a été construit par les seigneurs de Loivre vers le XVIIe siècle au lieu-dit des Fontaines. Il fut reconstruit au XVIIIe siècle et comprenait alors un corps deux logis, deux pavillons et un grand parc aménagé au XIXe siècle et qui descendait jusqu'à la Loivre.

Le moulin Berriot[modifier | modifier le code]

Le moulin à vent fut construit vers 1800 au lieu-dit le Beauscher par la famille Beriot, une dynastie de meuniers.

Le développement industriel[modifier | modifier le code]

Un développement lié aux infrastructures de transport[modifier | modifier le code]

Petit bourg de plaine entre deux voies de circulation antiques, la commune va connaître un essor important avec la réalisation au XIXe siècle de deux infrastructures importantes : le canal de l'Aisne à la Marne et la voie ferrée qui va relier Reims à Laon.

Ces deux infrastructures majeures vont permettre l'établissement d'une sucrerie et aussi d'une verrerie.

La sucrerie détruite lors de la Grande Guerre.

La verrerie - 1854[modifier | modifier le code]

Carte postale de la verrerie.

Eugène-Louis de Bigault de Granrut (1828-1894) qui épousa, en 1859, Isabelle De Boullenois de Senuc (1838-1908), et son frère Gabriel-Alfred de Bigault de Granrut (1827-1904) prirent la décision d’éteindre une partie des fours de la vallée du Four de Paris aux Islettes, en Argonne, devenus peu rentables et de délocaliser leur activité à Loivre. Leur sœur Marie-Emilie de Bigault de Granrut était mariée à Marie-Charles-Auguste Ruinart de Brimont dont les ancêtres étaient originaires de Loivre[14].

En 1853, ils se portèrent acquéreur du domaine des Fontaines, à Loivre, château et fermes et édifièrent en bordure du canal de l’Aisne, une verrerie pour répondre au marché des bouteilles de Champagne. Leur beau-frère Henry de Boullenois les rejoignit. Avec des millions de bouteilles, produites chaque année, elle fut rapidement célèbre et rentable. Dès 1855, la verrerie Granrut frères occupe un stand à la première exposition universelle de Paris. Eugène est mort en 1894 à Loivre, au château des Fontaines et inhumé dans le cimetière des Alleux dans les Ardennes où il avait acheté le domaine de Maison-Rouge. Sa tombe fut transférée ensuite à Senuc le pays de son épouse. Charles Marie Joseph Albert Louis comte de Bigault de Granrut succéda à son père et repris le titre de maître verrier, d’abord en société avec sa mère et sa sœur Lucie Marie Gabrielle Angèle de Bigault de Granrut (1862-1942) , puis seul à partir de 1899. Il épousa en 1892 Paule Charlotte Henriette de Puget de Barbentane de Cabassol du Real (1865-1936) et habitèrent le château des Fontaines à Loivre et le Four de Paris. Sa sœur Lucie, qui avait épousé Maurice Guy Marie Gautier de Charnace (1857-1923) habitait le château d'Aulnois à Aulnois-sur-Seille[15].

La sucrerie - 1885[modifier | modifier le code]

Colonne de soldats allemands entre Loivre et Brimont, dans le département de Marne, en France, en 1918.

La sucrerie a été par MM. Chovet et Thiery sur des terrains actuellement rues de Verdun et de Courcy qui utilisa le port du canal pour ses expéditions. Son directeur, M. Lemaire mourut au champ d'honneur. Après la guerre la sucrerie fusionna avec celle de Condé-sur-Suippes. Près de la verrerie était aussi installée, avant la Première Guerre mondiale, une fabrique de paillons utilisés pour le transport des bouteilles et qui fonctionna jusqu'en 1930.

La Motterie[modifier | modifier le code]

Jusqu'à la Première Guerre mondiale, il existait à Loivre à l'emplacement de ce qui est devenu ensuite une décharge, une motterie, lieu d'extraction de mottes de craies qui servaient pour la fabrication du blanc d'Espagne. Les galeries d'exploitations servirent de champignonnières. La Motterie fut détruite lors de la Première Guerre mondiale. C'est l'ancien mécanicien de l'aviateur Guynemer, le colonel Pinot qui remit le site en exploitation à partir de 1945 avec l'entreprise MEAC (marnages et épandages d'amendements calcaires) jusque dans les années 1960.

La gendarmerie[modifier | modifier le code]

À proximité immédiate de l'axe important qu'est la RN 44, Loivre est dotée d'une gendarmerie qui sera construite rue de la Vinderie (aujourd'hui rue du Général-Leclerc). La gendarmerie sera reconstruite le long du CD 30 avec deux bâtiments pour loger les gendarmes. Elle sera reconstruite en 1985 pour la gendarmerie actuelle.

Les destructions de la guerre[modifier | modifier le code]

à Loivre en 1915 par Jules Gervais-Courtellemont.

La commune est un enjeu stratégique avec le franchissement du canal, la voie ferrée. La zone est dominée par le fort de Brimont, tenu par les troupes françaises et qui commande l'accès Nord vers Reims. La commune sera totalement détruite et son territoire porte encore les stigmates de ces combats avec les sapes et tranchées plus ou moins bien comblées.

En 1919, après l'Armistice, la commune totalement dévastée, comme les communes voisines (Courcy, Brimont, Bermericourt et Cormicy), est classées en zone rouge.
Entièrement détruite pendant la Première Guerre mondiale, la verrerie de Loivre n'est pas reconstruite par Charles de Grandrut. M. Givelet lui racheta le fonds de commerce et les dommages de guerre afférents. La société prend le nom de « Verreries de Courcy et de Loivre réunis - Givelet et Cie ». La sucrerie fut aussi détruite pendant la Grande Guerre.

Décorations françaises[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La commune est comprise dans l'aire du SCOT (schéma de cohérence territoriale) de la Région de Reims [1]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune, membre de la communauté de communes de la Colline créée par un arrêté préfectoral du , puis, depuis le , membre de la communauté de communes du Nord Champenois jusqu'au .

En effet, conformément au schéma départemental de coopération intercommunale de la Marne du [16], cette communauté de communes du Nord Champenois est issue de la fusion, le , de :

Le , la commune adhère à la communauté urbaine du Grand Reims[19],[20]..

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1874 après 1879 de Granrut [21]    
avant 1981 ? Jean Demarty    
mars 2001 3 décembre 2014[22] Michel Guillou   Ingénieur

Démissionnaire

3 décembre 2014[22],[23] en cours Claudine Rousseaux
réélu mai 2020
   

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

En 2021, la commune comptait 1 409 habitants[Note 4], en augmentation de 10,42 % par rapport à 2015 (Marne : −1,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
580496459544609624690790720
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
8441 2181 2541 4361 5761 3721 3521 3841 466
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 4101 3801 379558533556531542543
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
6276335917589251 0971 1261 1561 283
2021 - - - - - - - -
1 409--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

L'économie de la commune est principalement agricole avec la culture de céréales et de betteraves et du tabac.

Les commerces de la commune se limitent à une boulangerie, une supérette et un café-tabac. La commune possède aussi deux garages automobiles.

La commune possède encore un port sur le canal avec des silos à grains liés à l'activité céréalière de la commune et de celles environnantes. Les silos sont gérés à ce jour par l'entreprise Vivescia[28].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église.
L'église

L'église du XIIe siècle au lieu-dit le Champ Vert, fut détruite pendant la Grande Guerre. À la suite de la dégradation de l'église de Bermericourt qui n'était plus entretenue au XVIIe siècle, le curé de Loivre eut la charge de la paroisse de Bermericourt [29]. Un baraquement en bois accueillit les fidèles jusqu’en 1927. À cette date, l’actuelle église dédiée à saint Remi fut reconstruite au cœur du village en reprenant notamment le principe du porche couverte de l'ancienne église et rappelant ceux d'Hermonville et de Cauroy-les-Hermonville tout proches. Cette église non classée s’est dégradée. En 2009, les travaux de rénovation (charpente, toiture, chauffage, éclairage, peinture intérieure...) ont été réalisés par la commune.

La gare de Loivre

La gare de Loivre témoigne de l'importance du trafic autrefois. Elle reste encore aujourd'hui un lien important avec l'agglomération rémoise et notamment pour les scolaires et les étudiants.

Le paysagiste Édouard Redont

La commune abrite aussi un parc qui fut élaboré par un paysagiste célèbre de l'après-guerre né à Champigny sur les bords de la Vesle, Edouard Redont (1862-1942). La maison bourgeoise "villa La Bruyère" de style 1930 est encore entourée des restes du parc initial.

Reconstruction

La commune possède quelques éléments architecturaux de la reconstruction et aussi une salle des fêtes de la même époque.

Le cimetière allemand.
Autres lieux
  • Un monument aux morts du 363e régiment d'infanterie, inauguré le en mémoire des soldats tombés lors de la reprise de Loivre le .
  • Monuments aux morts des enfants de la commune morts sur les fronts de la guerre 1914-1918.
  • Le cimetière allemand de Loivre. Il contient 4149 dépouilles de soldats allemands tués lors de la Première Guerre mondiale dont 1913 en ossuaire.
  • La mairie est reliée à l'église par l'allée des Mariés.

Vie associative, sport, culture[modifier | modifier le code]

  • L’étoile sportive Loivre Bermericourt, née le , devient en 1949 l’association sportive Loivre-Courcy. Son fondateur fut Pol Barre et en fut le président jusqu’en 1964. L’Etoile sportive Loivre Berméricourt fut relancée fin des années 70.
  • Triennale des peintres du canton de Bourgogne : Tous les trois ans, la commune organise un salon de peinture. Le dernier a eu lieu en 2014.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Loivre et Chambrecy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Chambrecy-Civc », sur la commune de Chambrecy - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Chambrecy-Civc », sur la commune de Chambrecy - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Texte réunis et commentés par Marc André et Michel De Paepe, La verrerie champenoise Charbonneaux -BSN Reims, de 1870 à nos jours, Dié, La Manufacture, .
  15. le calvaire du Four de Paris – Gilles Thierion de Monclin
  16. « Schéma départemental de coopération intercommunale de la marne » [PDF], Tout savoir sur votre SDCI, Association nationale des Pôles d'équilibre territoriaux et ruraux et des Pays (ANPP), (consulté le ), p. 2.
  17. « Arrêté préfectoral du 29 mai 2013 portant création du nouvel Établissement public de coopération Intercommunale issu de la fusion de la Communauté de communes de la Colline, de la Communauté de communes de la Petite Montagne, de la Communauté de communes des Deux Coteaux et de la Communauté de communes du Massif », Bulletin d'information et recueil des actes administratifs de la préfecture de la Marne, no 5 ter,‎ , p. 18-21 (lire en ligne).
  18. « Avant la fusion des communautés Les derniers vœux de la Colline », L'Union,‎ (lire en ligne).
  19. « CU du Grand Reims (N° SIREN : 200067213) », Fiche signalétique BANATIC, Ministère de l'intérieur - DGCL, (consulté le ).
  20. « Arrêté préfectoral du 15 septembre 2016 portant création du nouvel établissement public de coopération intercommunale issu de la fusion-extension-transformation en communauté urbaine de la communauté d'agglomération de Reims Métropole, de la Communauté de communes Beine-Bourgogne, de la Communauté de communes Champagne Vesle, de la Communauté de communes du Nord Champenois, de la Communauté de communes Fismes Ardre et Vesle, de la Communauté de communes de la Vallée de la Suippe, de la Communauté de communes des Rives de la Suippe, de la Communauté de communes Vesle et Coteaux de la Montagne de Reims et des communes d'Anthenay, Aougny, Bligny, Brouillet, Chambrecy, Chaumuzy, Cuisles, Jonquery, Lagery, Lhéry, Marfaux, Olizy-Violaine, Poilly, Pourcy, Romigny, Sarcy, Tramery et Ville-en-Tardenois » [PDF], Conférence de territoire Champagne Vesle (consulté le ).
  21. Almanach Matot-Braine de 1879, p225.
  22. a et b « Le Conseil municipal », Vie municipale, sur loivre.fr (consulté le ).
  23. « Claudine Rousseaux aux commandes de la commune de Loivre », L'Union,‎ (lire en ligne).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. PLU de Loivre - PADD http://www.loivre.fr/sites/ccnc_loivre/files/page/document/141016_padd_loivre_debattu.pdf
  29. Jadart et Demaison, Répertoire archéologique de l'arrondissement de Reims, Reims, Michaud, .