Leubringhen

Leubringhen
Leubringhen
La mairie.
Blason de Leubringhen
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Boulogne-sur-Mer
Intercommunalité Communauté de communes de la Terre des Deux Caps
Maire
Mandat
Hervé Dezombre
2020-2026
Code postal 62250
Code commune 62503
Démographie
Gentilé Leubringhenois
Population
municipale
296 hab. (2021 en augmentation de 2,07 % par rapport à 2015)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 51′ 30″ nord, 1° 43′ 20″ est
Altitude Min. 48 m
Max. 163 m
Superficie 7,98 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Calais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Desvres
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Leubringhen
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Leubringhen
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Voir sur la carte topographique du Pas-de-Calais
Leubringhen
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Leubringhen

Leubringhen est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes de la Terre des Deux Caps qui regroupe 21 communes et compte 22 249 habitants en 2019.

Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.

Géographie[edit | edit source]

Carte
Les limites du territoire communal.
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

Paysages[edit | edit source]

La commune s'inscrit dans le « paysage boulonnais » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[1].

Ce paysage qui concerne 66 communes, se délimite : au Nord, par les paysages des coteaux calaisiens et du Pays de Licques, à l’Est, par le paysage du Haut pays d’Artois, et au Sud, par les paysages Montreuillois.

Le « paysage boulonnais », constitué d'une boutonnière bordée d’une cuesta définissant un pays d’enclosure, est essentiellement un paysage bocager composé de 47 % de son sol en herbe ou en forêt et de 31 % en herbage, avec, dans le sud et l’est, trois grandes forêts, celle de Boulogne, d’Hardelot et de Desvres et, au nord, le bassin de carrière avec l'extraction de la pierre de Marquise depuis le Moyen Âge et de la pierre marbrière dont l'extraction s'est développée au XIXe siècle.

La boutonnière est formée de trois ensembles écopaysagers : le plateau calcaire d’Artois qui forme le haut Boulonnais, la boutonnière qui forme la cuvette du bas Boulonnais et la cuesta formée d’escarpements calcaires. Dans ce paysage, on distingue trois entités :

  • les vastes champs ouverts du Haut Boulonnais ;
  • le bocage humide dans le Bas Boulonnais ;
  • la couronne de la cuesta avec son dénivelé important et son caractère boisé[2].

Climat[edit | edit source]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 874 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boulogne-sur-Mer à 16 km à vol d'oiseau[5], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 824,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité[edit | edit source]

Espaces protégés et gérés[edit | edit source]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[9].

Dans ce cadre, la commune fait partie de quatre espaces protégés :

  • le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale, d’une superficie de 132 499 hectares réparties sur 153 communes, géré par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale[10] ;
  • les coteaux calcaires du Boulonnais, protégés par un arrêté préfectoral de protection de biotope, d’une superficie de 295,22 hectares[11] ;
  • la RNR de la forteresse de Mimoyecques et coteaux, parcelle en maitrise d'usage d’une superficie de 4,57 hectares. Terrain géré (location, convention de gestion) par le Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France[12] ;
  • la RNR de la forteresse de Mimoyecques et coteaux, parcelle acquise en maitrise foncière d’une superficie de 7,081 hectares. Terrain acquis (ou assimilé) par le Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France[13].

Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique[edit | edit source]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 2] :

  • le bocage au Nord de Ferques, d’une superficie de 467 hectares et d'une altitude variant de 57 à 139 mètres. Le site présente une géologie feuilletée où se succèdent une dizaine de couches géologiques dont les assises du Dévonien qui sont les plus étendues[14] ;
  • Le site du Mont de Couples et le Blanc Pays, d’une superficie de 681 hectares et d'une altitude variant de 34 à 161 mètres. Le mont de couple, constitué d’un éperon saillant qui est vaste coteau crayeux, est couvert de pelouses endémiques du Nord de la France : le Thymo britannici - Festucetum hirtulae. Ce mont présente, à son pied, un petit vallon qui abrite encore une prairie inondable[15].
Carte des ZNIEFF sur la commune.

Site Natura 2000[edit | edit source]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des directives « habitats » et « oiseaux ». Ce réseau est constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[16].

Sur la commune, un site Natura 2000 de type B est défini en site d'importance communautaire (SIC) : les falaises et pelouses du cap Blanc-Nez, du mont d'Hubert, des Noires Mottes, du fond de la Forge et du mont de Couple, d'une superficie de 728 hectares dont 40 % de superficie marine, avec une altitude maximum de 162 mètres[17].

Urbanisme[edit | edit source]

Typologie[edit | edit source]

Leubringhen est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[18],[19],[20].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Calais, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21],[22].

Occupation des sols[edit | edit source]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (99,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,4 %), prairies (39,6 %), zones agricoles hétérogènes (5,2 %), mines, décharges et chantiers (1,8 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels et technologiques[edit | edit source]

La commune est reconnue en état de catastrophe naturelle à la suite des inondations et coulées de boue du 1er au [24].

Toponymie[edit | edit source]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Lebringuehem (1170), Libringhem (1174), Lebringehem (1182), Libringehem (1224), Libreenghem (fin XIIIe siècle), Lœbringuen (1553), Leubringhen (1557), Lubringuen (1709), Leubringhen (depuis 1793)[25],[26].

Ernest Nègre avance comme origine toponymique l'anthroponyme germanique Liubheri, suivi de -ingen « gens (de) » + heim « demeure, maison », donnant la « demeure du peuple de Liubheri »[27].

Histoire[edit | edit source]

Le fief d'Isacre (ou de Disacre), à Leubringhen, était autrefois l'une des douze baronnies du comté de Boulogne[28],[29].

Politique et administration[edit | edit source]

→ Conseils pour la rédaction de cette section.

Découpage territorial[edit | edit source]

Commune et intercommunalités[edit | edit source]

Circonscriptions administratives[edit | edit source]

Circonscriptions électorales[edit | edit source]

Élections municipales et communautaires[edit | edit source]

Liste des maires[edit | edit source]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1798 1831 Pierre Etienne Lachere   Cultivateur
mars 2001 mars 2008 Louis Mionet    
mars 2008 2020 Mickaël Claptien   Cadre territorial
Réélu pour le mandat 2014-2020[30],[31],[32]
28 mai 2020 En cours
(au 25 mars 2022)
Hervé Dezombre   Ancien agriculteur exploitant[33],[34]

Population et société[edit | edit source]

Démographie[edit | edit source]

Évolution démographique[edit | edit source]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].

En 2021, la commune comptait 296 habitants[Note 5], en augmentation de 2,07 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
238179205267305283306307281
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
247238254230227221213208197
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
207206202208219220231146191
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
230201196192207257308315301
2017 2021 - - - - - - -
295296-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[edit | edit source]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 15,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 150 hommes pour 144 femmes, soit un taux de 51,02 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,7 
1,3 
75-89 ans
2,1 
14,7 
60-74 ans
11,9 
28,6 
45-59 ans
27,9 
19,1 
30-44 ans
22,8 
19,8 
15-29 ans
13,2 
16,5 
0-14 ans
21,4 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine[edit | edit source]

Lieux et monuments[edit | edit source]

Site classé[edit | edit source]

Un site classé ou inscrit est un espace (naturel, artistique, historique…) profitant d'une conservation en l'état (entretien, restauration, mise en valeur...) ainsi que d'une préservation de toutes atteintes graves (destruction, altération, banalisation...) en raison de son caractère remarquable au plan paysager. Un tel site justifie un suivi qualitatif, notamment effectué via une autorisation préalable pour tous travaux susceptibles de modifier l'état ou l'apparence du territoire protégé[41].

Dans ce cadre, la commune présente un site classé par arrêté du  : les ruines du château de Blacourt, au hameau du même nom, datant du XIIe siècle[42].

Autres monuments[edit | edit source]

Personnalités liées à la commune[edit | edit source]

Héraldique[edit | edit source]

Blason de Leubringhen Blason
D'argent au cœur d'azur chargé d’une fleur de lys d’or, au chef cousu du même chargé de trois tourteaux de gueules[43].
Détails
Armes de l'abbaye de Licques, ancienne détentrice du fief de Leubringhen, surmontées d'un chef évoquant le comté de Boulogne.

Adopté le .

Pour approfondir[edit | edit source]

Bibliographie[edit | edit source]

Lequien, Yvon, Leubringhen : regard sur le passé et le présent, Rinxent, Éd. Histopale, 2011, 360 p.

Articles connexes[edit | edit source]

Liens externes[edit | edit source]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[edit | edit source]

Notes[edit | edit source]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[edit | edit source]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[edit | edit source]

  1. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  2. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages boulonnais », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Leubringhen et Boulogne-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Boulogne-Sem » (commune de Boulogne-sur-Mer) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Boulogne-Sem » (commune de Boulogne-sur-Mer) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  10. « espace protégé FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « espace protégé FR3800091 - Coteaux Calcaires Du Boulonnais », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « espace protégé FR4505947 - RNR de la forteresse de Mimoyecques et coteaux », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « espace protégé FR1505857 - RNR de la forteresse de Mimoyecques et coteaux », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF 310030066 - Bocage au Nord de Ferques », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF 310013301 - Mont de Couples et le Blanc Pays », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. (en) « The Natura 2000 protected areas network », sur European Environment Agency (consulté le ).
  17. « Natura 2000 FR3100477 - Falaises et pelouses du Cap Blanc Nez, du Mont d'Hubert, des Noires Mottes, du Fond de la Forge et du Mont de Couple », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  20. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Calais », sur insee.fr (consulté le ).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  24. « Intempéries de fin octobre : 30 premières communes en état de catastrophe naturelle », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  25. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 221.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Leubringhen », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  27. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2, Librairie Droz, (lire en ligne), p. 1005.
  28. Paul Roger, Archives historiques et ecclésiastiques de la Picardie et de l'Artois, Amiens, Duval et Herment, (lire en ligne), p. 327.
  29. L.-E. de La Gorgue-Rosny, Recherches généalogiques sur les comtés de Ponthieu, de Boulogne, de Guines et pays circonvoisins, vol. 1, Boulogne-sur-Mer, Imprimerie Camille Le Roy, (lire en ligne), p. 480.
  30. « Leubringhen : réélu, Mickaël Claptien travaillera avec trois adjoints », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  32. http://www.lavoixdunord.fr/region/leubringhen-quels-sont-les-projets-du-maire-ia31b49056n2478779, « Leubringhen : quels sont les projets du maire ? : Élu en 2008, Mickaël Claptien a été largement réélu en mars. Âgé de 38 ans, ce directeur du service jeunesse de la ville de Réty gère une commune de 300 habitants étendue sur environ 8 km². », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  34. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Leubringhen (62503) », (consulté le ).
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  41. Articles L. 341-1 à 22 du code de l'environnement
  42. « Bilans annuel de la politique de classement des sites », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  43. « 62503 Leubringhen (Pas-de-Calais) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).