Embry

Embry
Embry
La mairie, l'école, la salle des fêtes et l'agence postale
Le bâtiment date de 1890.
Blason de Embry
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Montreuil
Intercommunalité CC du Haut Pays du Montreuillois
Maire
Mandat
Bruno Boulogne
2020-2026
Code postal 62990
Code commune 62293
Démographie
Gentilé Embryens
Population
municipale
230 hab. (2021 en diminution de 9,09 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 29′ 37″ nord, 1° 58′ 05″ est
Altitude Min. 55 m
Max. 177 m
Superficie 11,69 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Fruges
Législatives 4e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Embry
Géolocalisation sur la carte : France
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Embry
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
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Embry
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Embry
Liens
Site web embry.fr

Embry est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois qui regroupe 49 communes et compte 15 757 habitants en 2019.

Ses habitants sont appelés les Embryens.

La commune a donné son nom au ruisseau de l'Embrienne (affluent de la Créquoise qui se jette elle-même dans la Canche) et à la « Vallée de l'Embrienne ».

Géographie[edit | edit source]

Localisation[edit | edit source]

Le village d'Embry est situé le long de la rivière Embrienne, petit affluent de la Créquoise. La culture de jonc sur les rives permettait de couvrir les toits des maisons. on y trouvaient les fleurs endémiques de la région, comme certaines orchidées sauvages ou lys d'Artois qui ne se voyaient que dans ce canton.

Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de neuf communes :

Hydrographie[edit | edit source]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est traversée par quatre petits cours d'eau :

  • l'Embrienne, d'une longueur de 6,19 km, qui prend sa source dans la commune de Rimboval et se jette dans la Créquoise au niveau de la commune d'Hesmond[1] ;
  • l'Hesmond, d'une longueur de 4,87 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans la Créquoise au niveau de la commune d'Offin[2] ;
  • le Ronville, d'une longueur de 4,79 km, qui prend sa source dans la commune de Rimboval et se jette dans l'Embrienne au niveau de la commune[3] ;
  • le Petit Hesmond, d'une longueur de 2,82 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans l'Embrienne au niveau de la commune d'Hesmond[4].

Ainsi que par trois petits ruisseaux qui prennent leur source dans la commune et finissent leur course également dans la commune :

  • le Bouillet, d'une longueur de 2,32 km[5] ;
  • l'Embry, d'une longueur de 1,47 km[6] ;
  • le Pottier, d'une longueur de 1,32 km[7].

Climat[edit | edit source]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 015 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Radinghem à 12 km à vol d'oiseau[10], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 038,1 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Paysages[edit | edit source]

La commune est située dans le « paysage montreuillois » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[14]. Ce paysage, qui concerne 98 communes, se délimite : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy[15].

Milieux naturels et biodiversité[edit | edit source]

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[edit | edit source]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : le bois de Créquy. D’une superficie de 2 017 hectares et d'une altitude variant de 54 à 182 mètres, c'est un des plus vastes massifs boisés des hautes terres artésiennes[16].

et une ZNIEFF de type 2[Note 3] : les vallées de la Créquoise et de la Planquette, d’une superficie de 15 157 hectares et d'une altitude variant de 13 à 181 mètres. Ces deux vallées se situent aux confins de deux régions naturelles : le Haut Pays d’Artois et le Ternois et constituent un des paysages ruraux traditionnels du Nord-Pas-de-Calais les mieux conservés[17].

Urbanisme[edit | edit source]

Typologie[edit | edit source]

Embry est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[18],[19],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21],[22].

Occupation des sols[edit | edit source]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,8 %), prairies (21,3 %), forêts (7,6 %), zones agricoles hétérogènes (4,9 %), zones urbanisées (2,5 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[edit | edit source]

Voies de communication[edit | edit source]

La commune est desservie par les routes départementales D 108 et D 149[24].

Transport ferroviaire[edit | edit source]

La commune se trouve à 11 km, au nord-est, de la gare de Beaurainville, située sur la ligne de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples, desservie par des trains TER Hauts-de-France[25].

Toponymie[edit | edit source]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Amaniacum au IXe siècle ; Embriacum en 826 ; Embreka en 838 ; Embrica en 868 ; Embri en 1311 ; Embry vers 1512[26], Embry depuis 1793 et 1801[27]

Vient du nom d'homme gaulois Ambarrius suivit du suffixe -acos, -acum « domaine (de) »[28].

Embreke en flamand[29].

Histoire[edit | edit source]

À Embry se dressa longtemps un château-fort à la sortie du village en direction du sud-ouest. Les détenteurs étaient les membres de la famille de Renty dont Oudart 1er, chevalier de Renty. Baudouin de Renty, père de Oudart, a résidé dans ce château estimé froid, austère, humide et sombre, durant les ravages causés par les guerres avant et au début de la guerre de Cent Ans. Son fils Oudart en fut le 1er châtelain. Il y vécut avec son épouse Catherine d'Azincourt dont postérité.

Foulques de Renty, seigneur d'Embry, a combattu et trouvé la mort à la bataille d'Azincourt en 1415[30].

Le château se composait d'une tour donjon renforcée par des arcs-boutants à la base et des créneaux en chef. À côté, une muraille fermait une basse cour abritant les écuries et les communs. Le tout était cerné d'eau courante dans un large fossé. Cette eau venait d'une source qui y jaillissait. À la lisière du bois de Créquy, ce château a d'abord été une motte féodale avec un donjon en bois. Puis au XIIe siècle fut construit un nouveau donjon pratiquement carré. Au XIIIe siècle, furent ajoutés des angles de pierre en pointes de diamant. Le donjon fut renforcé et les fenêtres du haut agrandies.

De l'ancien château, détruit le 3 mai 1595[31], il n'en reste qu'un monticule dans les bois où des traces de pierres et le fossé témoignent de sa présence par le passé. Aujourd’hui, un manoir du XIXe siècle construit en brique et tout proche de l'église, est considéré par les locaux comme le château d'Embry.

L'église d'Embry est en grande partie d'époque médiévale. Elle a été ensuite rénovée à la Renaissance par Eustache II de Renty, descendant de Oudart et qui vivait à Embry. Il avait offert une cloche au clocher de son village pour se concilier les habitants et percevoir plus facilement une part de la dîme.

En 1787, Ferdinand Philippe Bernard de Bryas, chevalier, est marquis de Bryas, Royon et Embry et domicilié au château de Royon. Il est également détenteur d'un fief dit Oudenhove dans la châtellenie de Bourbourg[32].

Politique et administration[edit | edit source]

Découpage territorial[edit | edit source]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[27].

Commune et intercommunalités[edit | edit source]

La commune est membre de la communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois.

Circonscriptions administratives[edit | edit source]

La commune est rattachée au canton de Fruges, depuis 1801[27].

Circonscriptions électorales[edit | edit source]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[edit | edit source]

Liste des maires[edit | edit source]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  1987 Léon Baillet   Décédé en fonction
1987[33] 2014[34] Francis Verhamme DVD Employé à La Poste
2014 2020 Philippe Deram   Agriculteur[35],[36]
3 juillet 2020 En cours
(au 15 février 2022)
Bruno Boulogne   Employé de la fonction publique[37],[38]

Équipements et services publics[edit | edit source]

Enseignement[edit | edit source]

La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.

La commune administre, en regroupement pédagogique intercommunal (RPI), une école élémentaire[39].

Justice, sécurité, secours et défense[edit | edit source]

La commune dépend du tribunal de proximité de Montreuil-sur-Mer, du conseil de prud'hommes de Boulogne-sur-Mer, du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer et du tribunal pour enfants de Boulogne-sur-Mer[40].

Population et société[edit | edit source]

Démographie[edit | edit source]

Les habitants sont appelés les Embryens[41].

Évolution démographique[edit | edit source]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[43].

En 2021, la commune comptait 230 habitants[Note 5], en diminution de 9,09 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
681666725744761785738719654
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
644630667669659555568601608
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
591531481423379355394368360
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
349316288251226203224230254
2018 2021 - - - - - - -
236230-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[44].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[edit | edit source]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 35,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 122 hommes pour 114 femmes, soit un taux de 51,69 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[45]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,9 
12,3 
75-89 ans
14,9 
24,6 
60-74 ans
18,4 
17,2 
45-59 ans
16,7 
9,0 
30-44 ans
17,5 
20,5 
15-29 ans
17,5 
16,4 
0-14 ans
14,0 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[46]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie[edit | edit source]

Culture locale et patrimoine[edit | edit source]

Lieux et monuments[edit | edit source]

  • La chapelle Notre-Dame-de-Lourdes[49]. Une plaque est fixée à gauche de l'entrée. Il y est indiqué le texte suivant : « Cette chapelle a été construite en l'an 1874 par la famille Duflos Lefebvre d'Embry en reconnaissance à N.D.de Lourdes pour une guérison inespérée ».

Personnalités liées à la commune[edit | edit source]

Héraldique[edit | edit source]

Blason de Embry Blason
D'argent au chevron de gueules accompagné de trois doloires du même[51].
Détails
Armes de la famille de Renty, dont Oudart fut seigneur du village en 1487, auxquelles a été ajouté le chevron des armes des Vidart de Saint-Clair, Antoine de Vidart de Saint-Clair ayant été seigneur d'Embry en 1766.

Adopté par la municipalité.

Pour approfondir[edit | edit source]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[edit | edit source]

Articles connexes[edit | edit source]

Liens externes[edit | edit source]

Notes et références[edit | edit source]

Notes[edit | edit source]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[edit | edit source]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[edit | edit source]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Embrienne (E5400900) » (consulté le )
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Hesmond (E5400830) » (consulté le )
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ronville (E5400930) » (consulté le )
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - le Petit Hesmond (E5400950) » (consulté le )
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - le Bouillet (E5401580) » (consulté le )
  6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Embry (E5401590) » (consulté le )
  7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Pottier (E5401570) » (consulté le )
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  10. « Orthodromie entre Embry et Radinghem », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Radinghem » (commune de Radinghem) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Station Météo-France « Radinghem » (commune de Radinghem) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  14. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  15. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  16. « ZNIEFF 310013286 - Bois de Créquy », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « ZNIEFF 310013285 - Les vallées de la Créquoise et de la Planquette », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  20. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  24. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  25. « Distance entre la commune et la gare de Beaurainville », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  26. « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
  27. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, (lire en ligne), p. 212.
  29. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
  30. « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? ».
  31. Recueil historique de Jean Hendricq, bourgeois de Saint-Omer, depuis l’an 1594 jusqu’à l’an 1605, ms 808, BASO.
  32. Georges Dupas, Seigneuries et seigneurs de la châtellenie de Bourbourg, 2001, Coudekerque-Branche, Galaad Graal, page 119
  33. « Embry : finalement, Francis Verhamme passera la main : L’annonce de Francis Verhamme de ne pas briguer un nouveau mandat électif, dimanche à l’occasion de la présentation des vœux à la population, a fait l’effet d’une bombe à Embry. En effet, même si on le sentait un peu hésitant, il avait choisi dans un premier temps de repartir à nouveau pour un sixième mandat de maire », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. « Le bilan des maires: à Embry, Francis Verhamme s’est efforcé de «maintenir les bâtiments en état» : À 61 ans, Francis Verhamme, retraité de la Poste, termine son cinquième mandat de maire. Il est également président du Syndicat des eaux de l’Embryenne depuis 27 ans et délégué communautaire et au syndicat mixte du centre de traitement et de tri (SMTT) de Beaurainville », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. « Embry : Philippe Deram passe un grade et devient maire : Francis Verhamme ne se représentant pas, sa succession a suscité quelques vocations avec l’entrée en force de deux nouveaux et jeunes conseillers. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  37. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  38. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  39. « École élémentaire », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
  40. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  41. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  42. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  43. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  45. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Embry (62293) », (consulté le ).
  46. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
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  48. « Pyxide », notice no PM62008673, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  49. Philippe Lambert, « Il y a 150ans, la plus belle chapelle du Montreuillois voyait le jour à Embry », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  50. « monument aux morts d’Embry », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
  51. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).