Courset

Courset
Courset
L'église Saint-Maurice.
Blason de Courset
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Boulogne-sur-Mer
Intercommunalité CC de Desvres - Samer
Maire
Mandat
Marc Denavaut
2020-2026
Code postal 62240
Code commune 62251
Démographie
Gentilé Coursetois
Population
municipale
512 hab. (2021 en diminution de 1,16 % par rapport à 2015)
Densité 50 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 38′ 49″ nord, 1° 50′ 32″ est
Altitude Min. 121 m
Max. 209 m
Superficie 10,24 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Boulogne-sur-Mer
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Desvres
Législatives 6e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Courset

Courset est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Coursetois.

La commune fait partie de la communauté de communes de Desvres - Samer qui regroupe 31 communes et compte 23 301 habitants en 2019.

Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.

Géographie[edit | edit source]

Localisation[edit | edit source]

La commune est limitrophe, au nord, de la commune de Desvres et à 21 kilomètres au sud-est de Boulogne-sur-Mer (chef-lieu d'arrondissement).

Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Géologie et relief[edit | edit source]

La superficie de la commune est de 10,24 km2 ; son altitude varie de 121 à 209 m[1].

La commune se situe immédiatement au sud de la boutonnière du Boulonnais, de ses coteaux calcaires, et du Mont Pelé. L'altitude, de 209 m au sud-ouest (maximum communal), est d'environ 200 m le long de la limite nord (dont Mont Liébaut). Plus au sud, plusieurs vallons sont creusés. Le principal vallon (vallée de la Marque) est celui qui forme la vallée de la Course au-delà du territoire communal, et qui descend à 125 m sur la commune. Le village se situe entre la vallée Berquier et la vallée Saint-Maurice[2].

Hydrographie[edit | edit source]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[3].

Climat[edit | edit source]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 978 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Nielles-lès-Bléquin à 14 km à vol d'oiseau[6], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 976,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Paysages[edit | edit source]

La commune est située dans le « paysage montreuillois » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[10]. Ce paysage, qui concerne 98 communes, se délimite : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy[11].

Milieux naturels et biodiversité[edit | edit source]

Espace protégé[edit | edit source]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[12].

Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé : le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale, d’une superficie de 132 499 ha réparties sur 153 communes, géré par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale[13].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[edit | edit source]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 2] :

  • le bois de l'Eperche, le coteau de Longfossé et la pelouse du Molinet. Ce site appartient au complexe écologique constitué par la cuesta crayeuse du haut Boulonnais[14] ;
  • les coteaux de la haute vallée de la Course à Doudeauville et au Courset. Cette ZNIEFF, composée de trois sites disjoints, est principalement composée de pelouses. Les altitudes, qui varient de 94 m à 194 m, sont parmi les plus élevées du département[15].

et deux ZNIEFF de type 2[Note 3] :

  • la vallée de la Course. Elle se situe dans le pays de Montreuil et plus précisément dans l’entité paysagère des ondulations montreuilloises[16] ;
  • la cuesta du Boulonnais entre Neufchâtel-Hardelot et Colembert. Cette ZNIEFF marque la séparation entre les terrains du Jurassiques du Bas-Boulonnais et les plateaux crayeux des hautes terres Artésiennes[17].

Réseau Natura 2000[edit | edit source]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des directives « habitats » et « oiseaux ». Ce réseau est constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].

Sur la commune, un site Natura 2000 de type B est défini en site d'importance communautaire (SIC) : les pelouses et bois neutrocalcicoles de la cuesta sud du Boulonnais. Ce site, créé par un arrêté du , a une superficie de 420 ha et une altitude qui varie de 65 mètres à 200 mètres[19].

Urbanisme[edit | edit source]

Typologie[edit | edit source]

Courset est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[20],[21],[22].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Boulogne-sur-Mer, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[23],[24].

Occupation des sols[edit | edit source]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,4 %), prairies (18,1 %), zones agricoles hétérogènes (9,9 %), forêts (5,1 %), zones urbanisées (2,4 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[edit | edit source]

L'urbanisation se répartit en hameaux - dont constructions anciennes (le principal étant Sacriquier) - et urbanisations linéaires - récentes. Le parc du château constitue un ensemble arboré qui coupe cette urbanisation. On compte par ailleurs une dizaine de corps de ferme.

Voies de communication et transports[edit | edit source]

Voies de communication[edit | edit source]

La commune est desservie par les routes départementales D 127, D 343 et la D 341, appelée chaussée Brunehaut, qui relie Sainte-Catherine et Saint-Martin-Boulogne[26].

Transport ferroviaire[edit | edit source]

La commune se trouve à 16 km, à l'est, de la gare d'Hesdigneul, située sur les lignes de Longueau à Boulogne-Ville et de Saint-Omer à Hesdigneul, desservie par des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[27].

Toponymie[edit | edit source]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Curset en 1203, Curs en 1208, Courset vers 1512, Coursset en 1739, Courset depuis 1793 et 1801[28],[29].

Courset est le diminutif de « Course », rivière naissante qui traverse la commune[30] et qui prend sa source au hameau du même nom sur la commune de Doudeauville et se jette dans la Canche, à Attin.

Histoire[edit | edit source]

Courset était autrefois l'une des douze baronnies du comté de Boulogne[31].

Guillaume de La Folie, seigneur sur la commune actuelle de Courset, meurt à la bataille d'Azincourt en 1415[32].

Politique et administration[edit | edit source]

Découpage territorial[edit | edit source]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Boulogne-sur-Mer du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[1].

Commune et intercommunalités[edit | edit source]

La commune est membre de la communauté de communes de Desvres - Samer.

Circonscriptions administratives[edit | edit source]

La commune est rattachée au canton de Desvres, depuis 1793 et 1801[1].

Circonscriptions électorales[edit | edit source]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[edit | edit source]

Liste des maires[edit | edit source]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  mars 1989 Albert Pochet SE  
mars 1989 mars 2001 Marcel Pochet SE  
mars 2001 mars 2008 Jean-Luc Marcotte DVD  
mars 2008 En cours
(au 30 mai 2020)
Marc Denavaut SE Logisticien
Réélu pour le mandat 2014-2020[33],[34],[35]
Réélu pour le mandat 2020-2026[36]

Équipements et services publics[edit | edit source]

Enseignement[edit | edit source]

La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.

L'école est en regroupement pédagogique (RP) avec Zoteux (120 élèves au total). La commune a la charge de 65 élèves[37]. Il existe par ailleurs un établissement privé de 200 élèves (jusqu'au collège)[38].

Justice, sécurité, secours et défense[edit | edit source]

La commune dépend du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer, du conseil de prud'hommes de Boulogne-sur-Mer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer et du tribunal pour enfants de Boulogne-sur-Mer[39].

Population et société[edit | edit source]

Démographie[edit | edit source]

Les habitants sont appelés les Coursetois[40].

Évolution démographique[edit | edit source]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[42].

En 2021, la commune comptait 512 habitants[Note 6], en diminution de 1,16 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
327450443461401411389380390
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
368350355351403412421457481
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
421465463424400367366407405
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
355338363334365396439445506
2017 2021 - - - - - - -
515512-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[edit | edit source]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,5 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 243 hommes pour 272 femmes, soit un taux de 52,82 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[44]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,7 
90 ou +
0,8 
5,4 
75-89 ans
8,5 
12,9 
60-74 ans
19,3 
23,5 
45-59 ans
18,8 
21,8 
30-44 ans
19,4 
14,4 
15-29 ans
13,6 
20,4 
0-14 ans
19,7 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[45]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Sports et loisirs[edit | edit source]

En 2012, un terrain de jeux et un terrain de rugby sont aménagés.

Économie[edit | edit source]

Culture locale et patrimoine[edit | edit source]

Lieux et monuments[edit | edit source]

Monument historique[edit | edit source]

  • La fermette située au 52, rue des Trois-Hameaux au hameau de la Gaverie : la maison, la grange attenante et ses dépendances avec ses clôtures et la haie formée de tilleuls taillés en espaliers font l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le [46]. C'est un édifice datant du milieu du XIXe siècle constitué d'une petite maison basse sur un solin de silex, aux murs de torchis et toiture de pannes artésiennes, d'une grange en retour sur cour. À l'intérieur, on y trouve une grande cheminée, un four à pain et des menuiseries d'origine.

Autres lieux et monuments[edit | edit source]

  • Le château : près de l’église Saint-Maurice et de la mairie, le château de Courset est situé au sein d’un vaste domaine.
Acheté en 1728 par Georges du Mont, ancien chirurgien du régent, son petit-fils Georges-Louis-Marie fut un botaniste de renom, qui aménagea le parc du château et y planta de nombreuses essences.
À sa mort, en 1824, le château fut transmis à sa fille unique, épouse de Fortuné-Louis-Joseph-Valentin-Hubert de Malet de Coupigny (12 mai 1778, † 24 janvier 1833), lui-même frère de Valentin-Charles-Hubert de Malet de Coupigny (18 juillet 1771, † 17 avril 1844)[47], qui fut député à la chambre introuvable. Il entreprit de reconstruire le château. Celui-ci demeura dans la famille de Malet de Coupigny jusqu'en 1923.
Ce n’est qu’en 1923, alors qu’il était devenu la propriété de Georges Martel (dit Geo Martel, faïencier d'art à Desvres), qu’il fut agrandi suivant les plans d’un architecte de Boulogne-sur-Mer, M. Dutertre.
Depuis 1971 cette propriété abrite un foyer de charité et un établissement scolaire catholique : l'école et le collège privés Sainte-Odile. Cet établissement accueille environ 200 élèves, demi-pensionnaires et internes.

Personnalités liées à la commune[edit | edit source]

Héraldique[edit | edit source]

Blason de Courset Blason
D'azur au chevron d'or accompagné de trois serres d'aigle du même[49].
Détails
Armoiries de Georges du Mont, ancien chirurgien du Régent, et grand-père de Georges Louis Marie Dumont de Courset, qui acheta le château de Courset en 1728.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[edit | edit source]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[edit | edit source]

  • Jacques Thiébaut, Le guide des châteaux de France, 62 Pas-de-Calais, éditions Hermé, (ISBN 2-86665-041-7)
  • Pierre-André Wimet et Michel Parenty, Châteaux et maisons de campagne du Boulonnais, (ISBN 2-9508638-1-7)

Articles connexes[edit | edit source]

Liens externes[edit | edit source]

Notes et références[edit | edit source]

Notes[edit | edit source]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.

Cartes[edit | edit source]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[edit | edit source]

  1. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Visualisation de la carte topographique pour Courset. » sur Géoportail (consulté le 3 janvier 2011)..
  3. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Courset et Nielles-lès-Bléquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Nielles-les-blequin_sapc » (commune de Nielles-lès-Bléquin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Nielles-les-blequin_sapc » (commune de Nielles-lès-Bléquin) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « espace protégé FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF 310007264 - Bois de l'Eperche, coteau de Longfossé et Pelouse du Molinet », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF 310007264 - Coteaux de la Haute vallée de la Course à Doudeauville et Courset », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « ZNIEFF 310013724 - la vallée de la Course », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « ZNIEFF 310013721 - La Cuesta du Boulonnais entre Neufchâtel-Hardelot et Colembert », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. (en) « The Natura 2000 protected areas network », sur European Environment Agency (consulté le ).
  19. « Natura 2000 FR3100484 - Pelouses et bois neutrocalcicoles de la cuesta sud du Boulonnais », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  22. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Boulogne-sur-Mer », sur insee.fr (consulté le ).
  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  26. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
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  28. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 113.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Courset », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  30. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 3, Librairie Droz, (lire en ligne), p. 1721.
  31. Paul Roger, Archives historiques et ecclésiastiques de la Picardie et de l'Artois, Amiens, Duval et Herment, (lire en ligne), p. 327.
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  39. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  40. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
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