Beaumerie-Saint-Martin

Beaumerie-Saint-Martin
Beaumerie-Saint-Martin
La mairie.
Blason de Beaumerie-Saint-Martin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Montreuil
Intercommunalité CC des Deux Baies en Montreuillois
Maire
Mandat
Patrick Herlange
2020-2026
Code postal 62170
Code commune 62094
Démographie
Gentilé Beaumeriens
Population
municipale
392 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 27′ 23″ nord, 1° 47′ 57″ est
Altitude Min. 3 m
Max. 73 m
Superficie 9,37 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Berck
Législatives 4e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Beaumerie-Saint-Martin
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Beaumerie-Saint-Martin
Liens
Site web www.beaumerie-saint-martin.com

Beaumerie-Saint-Martin est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Beaumeriens.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois qui regroupe 46 communes et compte 65 940 habitants en 2019.

Géographie[edit | edit source]

Localisation[edit | edit source]

Carte

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

Communes limitrophes de Beaumerie-Saint-Martin
Montreuil-sur-Mer Marles-sur-Canche
Écuires Beaumerie-Saint-Martin Brimeux
Boisjean

Géologie et relief[edit | edit source]

La superficie de la commune est de 9,37 km2 ; son altitude varie de 3 à 73 mètres[1].

Hydrographie[edit | edit source]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

La commune est traversée par la Canche, un cours d'eau naturel de 100,22 km, qui prend sa source dans la commune de Gouy-en-Ternois et se jette dans la Manche entre Étaples et Le Touquet-Paris-Plage[3].

Climat[edit | edit source]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 878 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Touquet-Paris-Plage à 16 km à vol d'oiseau[6], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,8 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Paysages[edit | edit source]

La commune est située à la jonction de deux paysages tel que définis dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[10] :

  • le « paysage montreuillois », qui concerne 98 communes, et qui se délimite : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy[11] ;
  • le « paysage du val d’Authie », qui concerne 83 communes, et qui se délimite : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu, dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.
Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.
L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à 163 mètres qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composé pour 70 % en culture[12].

Milieux naturels et biodiversité[edit | edit source]

Espaces protégés et gérés[edit | edit source]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13]. Dans ce cadre, la commune fait partie de deux espaces protégés et gérés (location, convention de gestion) par le Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France :

  • le marais de Montreuil d’une superficie de 12,528 hectares[14] ;
  • le marais de Beaumerie-Saint-Martin d’une superficie de 39,041 hectares[15].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[edit | edit source]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Beaumerie-Saint-Martin comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 2] :

  • le bois tourbeux et marais de Marles-sur-Canche, d’une superficie de 60 ha et d'une altitude variant de 6 à 7 mètres[16] ;
  • le marais de la Nocq, d’une superficie de 167 ha et d'une altitude variant de 5 à 8 mètres[17]

et une ZNIEFF de type 2[Note 3] :

  • la basse vallée de la Canche et ses versants en aval d’Hesdin, d’une superficie de 12 059 ha et d'une altitude variant de 4 à 133 mètres[18].

Urbanisme[edit | edit source]

La route nationale.

Typologie[edit | edit source]

Beaumerie-Saint-Martin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[19],[20],[21]. La commune est en outre hors attraction des villes[22],[23].

Occupation des sols[edit | edit source]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (87,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,5 %), forêts (10,7 %), prairies (9,4 %), zones agricoles hétérogènes (8,3 %), zones humides intérieures (0,2 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[edit | edit source]

Voies de communication[edit | edit source]

La commune est desservie par la route départementale D 138 et la D 349 qui relie Hesdin et Montreuil[25].

Transport ferroviaire[edit | edit source]

La commune se trouve à 2,6 km de la gare de Montreuil, située sur la ligne de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples. C'est une halte voyageurs de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), desservie par des trains TER Hauts-de-France[26].

Risques naturels et technologiques[edit | edit source]

Risque inondation[edit | edit source]

À la suite du passage des tempêtes Ciarán, Domingos et Elisa et des inondations et coulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du , en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au , comme 179 autres communes du département[27].

Toponymie[edit | edit source]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Belmeriacum (1042), Belmeri (1100), Belmery (1154), Biaumeri (1209), Beumery (1286), Baumeri (XIIIe s.), Biaumeril ou Biaumery (1477), Beaumerie (1793)[28], Beaumerie et Beaumerie-Saint-Martin (1801)[1].

Saint-Martin est un hagiotoponyme, désignant une section de la commune et Saint-Martin-d’Esquincourt, un lieu dit de la commune de Beaumerie-Saint-Martin ; ancien faubourg de Montreuil-sur-Mer[28].


Histoire[edit | edit source]

Politique et administration[edit | edit source]

Découpage territorial[edit | edit source]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[edit | edit source]

La commune a fait partie, de 2001 à 2016, de la communauté de communes du Montreuillois et, depuis le , elle fait partie de la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois (CA2BM) dont le siège est basé à Montreuil.

Circonscriptions administratives[edit | edit source]

La commune faisait partie du canton de Saint-Josse (1793), depuis la loi du reprise par la constitution de 1791, qui divise le royaume (la République en ), en communes, cantons, districts et départements, puis du canton de Montreuil[1].

Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est maintenant rattachée au canton de Berck qui passe de 10 à 31 communes[29].

Circonscriptions électorales[edit | edit source]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie, depuis 1986, de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[edit | edit source]

Liste des maires[edit | edit source]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  1945 Paul Blart    
1945 1976 François de Gélas    
1976 1993 Jean De Sainte Maresville   Agriculteur
1993 1995 René De Backer   Secrétaire de mairie
1995 1996 Jeanne-Marie Locqueville   Agricultrice
1996 2001 Chantal Leduc    
mars 2001 En cours
(au 31 janvier 2022)
Patrick Herlange ex-UDF Réélu pour le mandat 2014-2020[30],[31],[32]
Réélu pour le mandat 2020-2026[33],[34]

Équipements et services publics[edit | edit source]

Justice, sécurité, secours et défense[edit | edit source]

La commune dépend du tribunal de proximité de Montreuil, du conseil de prud'hommes de Boulogne-sur-Mer, du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants de Boulogne-sur-Mer[35].

Population et société[edit | edit source]

Démographie[edit | edit source]

Les habitants de la commune sont appelés les Beaumeriens[36].

Évolution démographique[edit | edit source]

Aujourd'hui à Beaumerie et depuis 26 ans, il y a une entreprise très réputée pour ses cardans, sous le nom de Flament Distribution.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].

En 2021, la commune comptait 392 habitants[Note 5], en stagnation par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
258244234291312325327353360
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
350373382359378357347347373
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
360373320298334293334304279
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
301306263296309318345384393
2021 - - - - - - - -
392--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[edit | edit source]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 191 hommes pour 212 femmes, soit un taux de 52,61 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,9 
5,3 
75-89 ans
6,5 
13,6 
60-74 ans
14,2 
25,2 
45-59 ans
17,7 
22,3 
30-44 ans
20,9 
14,0 
15-29 ans
14,1 
19,7 
0-14 ans
25,6 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie[edit | edit source]

→ Conseils pour la rédaction de cette section.

Culture locale et patrimoine[edit | edit source]

Lieux et monuments[edit | edit source]

L'église et le monument aux morts.

Personnalités liées à la commune[edit | edit source]

Héraldique[edit | edit source]

Blason de Beaumerie-Saint-Martin Blason
D'argent à trois fasces de gueules surmontées de trois trèfles de sinople rangés en chef.
Détails
Armes de la famille De Belloy, originaire de Belloy-Saint-Léonard en Picardie, seigneurs de Beaumerie au XVIIe siècle, auxquelles ont été ajoutés les trèfles en chef, qui évoquent la famille Blondin de Baizieux, famille picarde propriétaire au début du XIXe siècle du manoir de Beaurepaire, à Beaumerie, et qui portait «d'azur à la bande d'or chargée de trois trèfles de sable».

Adopté par la municipalité.

Pour approfondir[edit | edit source]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[edit | edit source]

Articles connexes[edit | edit source]

Liens externes[edit | edit source]

Notes et références[edit | edit source]

Notes[edit | edit source]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.

Cartes[edit | edit source]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[edit | edit source]

  1. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canche (E54-003-) » (consulté le )
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Beaumerie-Saint-Martin et Le Touquet-Paris-Plage », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Le-Touquet » (commune du Le Touquet-Paris-Plage) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Le-Touquet » (commune du Le Touquet-Paris-Plage) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d’Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Espace protégé FR4507232 - marais de Montreuil », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Espace protégé FR4505949 - marais de Beaumerie-Saint-Martin », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « ZNIEFF 310013690 - Bois tourbeux et Marais de Marles-sur-Canche », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « ZNIEFF 310030085 - Marais de la Nocq », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « ZNIEFF 310013699 - La basse Vallée de la Canche et ses versants en aval d’Hesdin », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  25. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
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  32. « Le bilan du maire de Beaumerie-Saint-Martin : perturbé par l’incendie de la salle polyvalente P. Herlange veut poursuivre son action : Patrick Herlange est âgé de 60 ans, maire de la commune, il est aussi vice-président de la CCM chargé des érosions, inondations et de la gestion des ressources naturelles. C’est son deuxième mandat qu’il termine avec l’envie d’en briguer un nouveau », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Beaumerie-Saint-Martin (62094) », (consulté le ).
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