Villefranche-sur-Mer

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Villefranche-sur-Mer
Villefranche-sur-Mer
Vue de Villefranche-sur-Mer.
Blason de Villefranche-sur-Mer
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Nice
Intercommunalité Métropole Nice Côte d'Azur
Maire
Mandat
Christophe Trojani
2020-2026
Code postal 06230
Code commune 06159
Démographie
Gentilé Villefranchois
Population
municipale
4 989 hab. (2021 en diminution de 2,41 % par rapport à 2015)
Densité 1 022 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 42′ 18″ nord, 7° 18′ 45″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 575 m
Superficie 4,88 km2
Unité urbaine Nice
(banlieue)
Aire d'attraction Nice
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Beausoleil
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Villefranche-sur-Mer
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Villefranche-sur-Mer
Liens
Site web villefranche-sur-mer.fr

Villefranche-sur-Mer (Vilafranca de Mar ou Villafranca en occitan, Villafranca en italien) est une commune française, limitrophe de Nice, située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Villefranchois, comme dans la plupart des communes portant le nom de Villefranche, et li Vilafranquié en niçois. Par dérision, ils avaient aussi reçu le sobriquet de Suça-carouba[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Vue sur la ville depuis la rade de Villefranche.

Localisation[modifier | modifier le code]

Villefranche-sur-Mer est située sur la Côte d'Azur, entre Nice et Monaco, au bord de la mer Méditerranée.

Séparée de Nice dont elle est limitrophe par le mont Boron, le mont Alban et le mont Vinaigrier et distante d’environ 10 km de Monaco, la ville s’étale en gradin sur les flancs de la rade de Villefranche, un des mouillages naturels les plus profonds de la Méditerranée occidentale.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Commune membre de la Métropole Nice Côte d'Azur.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Carte de Villefranche-sur-Mer.

La superficie de la commune, située sur l'aire du Parc de la Grande Corniche, est de 488 hectares ; son altitude varie entre 0 et 575 mètres[2].

La rade de Villefranche offre un mouillage sûr à l’abri des vents d’est et accueille de nombreux navires de croisière. Avec une profondeur moyenne de 17 m, elle atteint 95 m à son entrée et se prolonge au large à environ un mille par le canyon de Villefranche, un abysse de plus de 500 m au large de la baie des Anges.

Les limites de la commune s’étendent aux collines avoisinantes passant du niveau de la mer à 577 mètres au mont Leuze, son point culminant, le relief terrestre reflétant ainsi les fonds sous-marins.

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Villefranche-sur-Mer dispose de la station d'épuration intercommunale de Nice d'une capacité de 650 000 équivalent-habitants[3].

Climat[modifier | modifier le code]

Villefranche-sur-Mer, nichée au fond de sa rade, jouit d'un climat très doux : De hautes falaises l'abritent des vents d'est, d'ouest et de nord. Le sud, ouvert au large est malgré tout protégé par l'étroitesse de la rade, sauf durant de rares mais spectaculaires coups de vent d'hiver.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Le quai Ponchardier, port de la Santé.
La rade de Villefranche.

Voies routières[modifier | modifier le code]

Villefranche-sur-Mer est traversée par les trois Corniches, trois routes principales menant de Nice à Monaco et Menton vers la frontière italienne, offrant des panoramas sur le littoral.

Voies ferroviaires[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la ligne de Marseille-Saint-Charles à Vintimille et est desservie par une gare[4].

Ports[modifier | modifier le code]

  • Port de la Santé : Port de pêche, gare maritime pour les paquebots en rade de Villefranche
  • Port de la Darse : Ancien arsenal militaire, actuellement port de plaisance

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Des liaisons par autocar avec les principales villes de la Route du bord de mer de la Côte d'Azur, (Nice en particulier) sont effectuées régulièrement dans le cadre des transports du Département.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[5].

La commune est intégrée dans le plan local d'urbanisme métropolitain approuvé le [6].

Typologie[modifier | modifier le code]

Villefranche-sur-Mer est une commune urbaine[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nice, une agglomération intra-départementale regroupant 51 communes[10] et 942 886 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Nice est la septième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse et Bordeaux[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[15]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (60,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (26,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (57,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (26,9 %), forêts (12 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,6 %), eaux maritimes (0,9 %)[18].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Vue générale de Villefranche-sur-Mer.

Logement[modifier | modifier le code]

En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 5 150, alors qu'il était de 5 123 en 1999[Insee 1].

Parmi ces logements, 53,8 % étaient des résidences principales, 39,7 % des résidences secondaires et 6,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 25,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 74,5 % des appartements[Insee 2].

La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 59,5 %, en hausse sensible par rapport à 1999 (53,7 %). La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était de 3,1 % contre 3,6 % en 1999, leur nombre ayant nettement diminué de 115 à 86[Insee 3].

Projets d'aménagements[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Origine du nom[modifier | modifier le code]

Par décret du , Journal officiel du avec effet au , Villefranche devient Villefranche-sur-Mer.

Dans d'autres langues[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune en italien Villafranca ou Villafranca Marittima, (gentilé : Villafranchesi), fut notamment en usage sous la Restauration savoisienne. Il est Vilafranca de Mar en nissart.

Histoire[modifier | modifier le code]

Carte ancienne de la rade de Villefranche.

La rade de Villefranche est fréquentée dès l'Antiquité par les marins grecs et romains. Ceux-ci s'en servent comme mouillage et lui donnent le nom d'Olivula Portus. Le site est cependant victime d'attaques barbares répétées. Au IXe siècle, les pirates sarrasins tenaient à l'emplacement de Villefranche-sur-Mer une forteresse[24]. Les habitants délaissent le bord de mer et se réfugient sur les hauteurs ; ils y fondent un autre village, Montolivo.

Fondation de Villefranche[modifier | modifier le code]

En 1295, Charles II d'Anjou, comte de Provence, comprend l'importance stratégique de ce site, situé aux frontières de son territoire. Afin d'encourager les habitants à revenir peupler le bord de mer, il leur octroie une franchise de taxes. Le village est ainsi baptisé Villa Franca.

Le Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Daniel Marquesani fut un familier du roi Robert ; il connut une ascension rapide puisque de simple notaire immigré à Nice à la fin du XIIIe siècle[25], il devint coseigneur de La Turbie (1329-1331) puis seigneur de Coaraze et Castellan à vie de Villefranche[26]. Raymond Marquesani succéda à son père comme castellan de Villefranche et son frère, Louis, hérita de la seigneurie de Coaraze. Le , il acheta tout ce que le damoiseau Boniface Chabaudi, seigneur de Roquebrune possédait dans les territoires de Roquebrune, Palayson et Villepey[27].

Le port de la maison de Savoie[modifier | modifier le code]

Le port de la Darse.

Lors de la dédition du Comté de Nice au Duc de Savoie, en 1388, Villefranche est dédiée au duché de Savoie. La ville devient ainsi la seule porte maritime des États de Savoie jusqu'à la construction du port de Nice au XVIIIe siècle et tire ses revenus de tous les navires marchands accostant au port (droit de Villefranche).

À la suite de l'occupation, en 1543, de la rade de Villefranche par la flotte franco-turque commandée par Khayr ad-Din Barberousse, le duc Emmanuel-Philibert de Savoie (1528-1580) ordonne sa fortification.

Le duc Emmanuel-Philibert ne possédait plus que Verceil et le comté de Nice au début de son règne, en 1553. Il s'est engagé au côté de l'Espagne de Philippe II. Il a gagné la bataille de Saint-Quentin, le . Il a retrouvé son duché de Savoie en 1559, à la signature du second traité de Cateau-Cambrésis. Il décide de s'engager dans la lutte opposant le monde chrétien et l'Empire ottoman en Méditerranée. Les conflits annuels peuvent opposer des flottes de deux cents à trois cents galères. Pour participer à ce conflit, il décide de faire de Villefranche un port bien protégé permettant de construire et d'entretenir des galères. Le fort du mont Alban, le fort de Saint-Hospice et la citadelle Saint-Elme sont ainsi construits. Cette dernière sera achevée en 1557. Une première flotte de guerre est construite dans le port de la Darse[28].

Les Français occupent le comté de Nice plusieurs fois entre 1710 et 1722 et à nouveau en 1744, pendant la guerre de Succession d'Autriche, quand le prince de Conti prend d'assaut le mont Alban avec ses troupes franco-espagnoles, chassant les Savoisiens de Charles-Emmanuel III. Au cours du XVIIIe siècle, la ville perd de son importance maritime et portuaire avec la construction du port Lympia de Nice.

En 1793, les troupes françaises révolutionnaires envahissent à nouveau le comté de Nice et Villefranche en Piémont passe sous administration française jusqu'en 1814 qui verra le retour à son statut particulier sous dédition et protection du duc de Savoie.

En 1856, le duc de Savoie donne à bail le lazaret de Villefranche à la marine impériale russe qui fera du port une base navale de premier plan pour ses navires en Méditerranée, notamment l'année suivante, avec le ravitaillement en charbon des bateaux. Cette arrivée provoquera la construction d'infrastructures importantes par Victor Emmanuel II, notamment la route de la rade.

Seigneurie de Villefranche[modifier | modifier le code]

La Citadelle Saint-Elme de Villefranche (XVIe siècle).

Au XVIIIe siècle, la seigneurie de Villefranche fut attribuée aux Germano, avec érection en comté (1700), aux Auda (1743), puis aux Dani (1743).

En 1705, la ville est prise par les troupes françaises du maréchal de La Feuillade qui assiège également Nice[29]

Révolution, Consulat et Empire[modifier | modifier le code]

À la suite de l'entrée en guerre de la France contre l'Autriche et la Prusse, en avril 1792, Villefranche-en-Piémont est prise, le , par le général D'Anselme, après la reddition sans combat du gouverneur François Daviet de Foncenex, lui permettant d'être entièrement maître du comté de Nice.

La présence russe à Villefranche-sur-Mer[modifier | modifier le code]

Elle remonte à la fin du XVIIIe siècle et a fait preuve depuis d'une originale constance. L'intérêt stratégique de la rade de Villefranche n'avait pas échappé aux autorités maritimes russes de l'époque qui y mouillaient à chaque conflit avec la Turquie. Elle leur devient essentielle quand, au lendemain de la guerre de Crimée en 1856, la Marine impériale russe est privée d'accès à la Méditerranée par le Bosphore : le duc de Savoie, roi de Chypre, de Jérusalem et de Sardaigne qui est aussi vicaire impérial pour toute l'Europe méditerranéenne accepte alors de céder à la Russie le lazaret et la Darse de Villefranche qui lui servent de dépôt à vivres et à combustibles. La rade de Villefranche devient alors le port d'attache de la noblesse impériale en villégiature dans les états de Savoie, ce qui durera encore un peu après malgré l'annexion du comté de Nice par les autorités françaises en 1860. En 1893, une équipe de scientifiques russes de Kiev remplace les militaires pour pratiquer des recherches océanographiques en profitant de la présence d'un courant ascendant de la rade. Ces études, malgré les aléas politiques entre les deux nations, se poursuivent jusqu'aux années 1930.

Annexion à la France[modifier | modifier le code]

Façades colorées sur la place Amélie-Pollonais.

En 1860 le Comté de Nice est à nouveau annexé à la France à la suite du Traité de Turin et du plébiscite (contesté par les nationalistes niçois en raison de preuves avérées comme, entre autres, la présence du seul bulletin oui, le bourrage des urnes, l'interdiction de vote pour certains Niçois, la surveillance du vote par les militaires français).

Jusqu’en 1891, Beaulieu, et jusqu’en 1904, Saint-Jean, font partie de Villefranche dont elles se détachent pour prendre leur autonomie municipale.

Lieu de villégiature prisé dès 1816 par les aristocraties russe et anglaise, la rade de Villefranche abrite la sixième flotte des États-Unis à l’issue de la Seconde Guerre mondiale, dans le cadre de l’Organisation du traité de l'Atlantique nord entre 1945 et 1966.

Villefranche-sur-Mer n'est plus aujourd’hui le premier port de croisière de France, dépassé par Marseille depuis 2008.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 5 000 et 9 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 29[30].

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1860 1870 François Ferry    
1870 1872 Georges de Brès    
1872 1900 Désiré Pollonais    
1900 1934 François Binon    
1934 1936 Victor Contesso    
1936 1937 J.-B. Bonifassi    
1937 1939 Alfonsi    
1939 1941 Frédéric Bay    
1941 1942 Henri Heurtault    
1942 1944 Roger Vilarel    
1944 1945 Albert Honnorat    
1945 1947 Jules Feaudière    
1947 mars 1965 Philippe Olmi CNIP Député des Alpes-Maritimes (1946 → 1955)
mars 1965 mars 1971 Guy Perdoncini   Médecin
mars 1971 mars 1977 Gilbert Bastet Mod.  
mars 1977 juin 1995 Joseph Calderoni RPR Horloger-bijoutier retraité
Président du SIVOM du canton de Villefranche
juin 1995 avril 2014 Gérard Grosgogeat UMP Opticien retraité
Suppléant du député Jean-Claude Guibal (2002 → 2012)
avril 2014[31] En cours Christophe Trojani UMP-LR Chirurgien

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

La commune relève, pour partie, de la loi relative à l'aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral, dite loi littoral.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Au , Villefranche-sur-Mer est jumelée avec[34] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

En 2021, la commune comptait 4 989 habitants[Note 3], en diminution de 2,41 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
2 1172 0352 1772 4912 5742 3632 9492 9113 344
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
3 0933 0023 4894 2994 4074 4305 0424 4254 741
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
3 1845 3235 1525 0144 4075 0395 9536 7907 200
1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 2021
7 3638 0806 8336 6496 6105 4195 1125 0024 989
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[39] :

  • Écoles maternelles et primaires[40],
  • Collèges à Beaulieu-sur-Mer, Nice,
  • Lycées à Nice.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Le Combat naval fleuri de Villefranche-sur-Mer.
  • En fin février, le Combat naval fleuri rassemble au port de la Santé les pointus de Villefranche et la yole décorés de fleurs qui lancent des bouquets à la foule massée sur les quais. La manifestation se déroule chaque année depuis 1902.
  • Depuis 2009, la ville de Villefranche-sur-Mer organise avec l'association NICEXPO le salon Franchement Art dans la Citadelle de Villefranche-sur-Mer.
  • Depuis quelques années, le Trophée Pasqui[41], rassemblement des plus beaux yachts de tradition, est organisé à Villefranche-sur-Mer : manifestation phare, mettant en valeur les métiers de l'artisanat maritime et plus particulièrement le chantier naval Gilbert Pasqui, formant de grands charpentiers de marine.
  • La rade de Villefranche est le site de compétitions d'apnée. Le premier « championnat du monde d'apnée par équipe » s'y est déroulé en 1996. Elle fut le lieu d'évolution préféré de Loïc Leferme qui y a battu plusieurs reprises le record du monde d'apnée no limit. En 2010, Aurore Asso y a battu le record de France féminin d'apnée en poids constant à -70 mètres. Le huitième championnat du monde d'apnée a eu lieu à Villefranche-sur-Mer en septembre 2012.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[42] :

  • Médecins,
  • Pharmacies,
  • Hôpitaux à Nice.
  • L’Etablissement d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes (EHPAD)[43].

Sports et activités nautiques[modifier | modifier le code]

Laïssa Ana, la Yole de Villefranche, devant la citadelle de Villefranche-sur-Mer.

De nombreuses activités sportives sont pratiquées à Villefranche sous l’égide de l’Union Sportive de Villefranche (U.S.V.), association multisports.

La pratique de la voile ou de l’aviron s’effectuent au sein du Club de la Voile ou du Club d’aviron, tous deux implantés dans le port de la Darse.

En 2014 une épreuve nautique alliant la nage, le paddle et l'aviron a été créée en rade de Villefranche : le "Triathlon des Mers"[44]

Depuis , la Darse de Villefranche-sur-Mer est le port d'attache de la réplique historique d'une embarcation de 1796 : la yole de Bantry Laïssa Ana. Gérée par une association locale et naviguant toute l’année, la Yole accueille volontiers de nouveaux équipiers pour des initiations.

De nombreux pointus traditionnels sont regroupés dans la Darse par l’Association des Bateliers – Plaisanciers de Villefranche (ABPV)[45] qui organise chaque automne une série de régates, la « Resquilhada ».

La liste détaillée des associations sportives locales se trouve sur le site de la Ville[46].

L'aéroceanaute Stephane Rousson installé depuis 2010 au port de la Darse, effectue régulièrement les essais de ses véhicules dans la rade que ce soit avec ses sous-marins Scubster[47], ou ses ballons à propulsion humaine comme le Zeppy en [48], et la restauration de la pilotine Trait-d'union de 1948[49].

La Villefranche Paddle race fait partie du circuit Fédéral de la Coupe de France de Stand up Paddle 14'[50].

Médias[modifier | modifier le code]

  • Biologie du Développement de Villefranche-sur-Mer[51].
  • Médias - AARV - Association Les Amis de la Rade de Villefranche-sur-Mer[52].

Cultes[modifier | modifier le code]

Église Saint-Michel de Villefranche-sur-Mer.
  • Villefranche-sur-Mer dispose de deux lieux de culte catholique : L'Église Saint-Michel dans la vieille ville et la chapelle Notre-Dame-de-France au col de Villefranche. Toutes deux font partie de la paroisse "Notre Dame de l'Espérance".

Économie[modifier | modifier le code]

Pendant le XIXe siècle, la culture du caroubier par une grande partie de la population a fourni le bois dont la belle couleur rouge était appréciée dans la marqueterie locale. La chanson traditionnelle et les dictons populaires en portent encore témoignage[53].

Budget et fiscalité 2019[modifier | modifier le code]

En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[54] :

  • total des produits de fonctionnement : 10 880 000 , soit 2 114  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 10 434 000 , soit 2 028  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 3 326 000 , soit 648  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 4 521 000 , soit 879  par habitant ;
  • endettement : 7 869 000 , soit 1 529  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 16,03 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 13,97 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 9,04 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 30 908 , ce qui plaçait Villefranche-sur-Mer au 12 464e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[55].

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 24 300 [56].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 3 374 personnes, parmi lesquelles on comptait 68,9 % d'actifs dont 62,0 % ayant un emploi et 6,8 % de chômeurs[Insee 4].

On comptait 1 878 emplois dans la zone d'emploi, contre 1 711 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 2 161, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 4] est de 86,9 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre moins d'un emploi par habitant actif[Insee 5].

Entreprises-services et commerces[modifier | modifier le code]

  • Au , Villefranche-sur-Mer comptait 847 établissements : 10 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 28 dans l'industrie, 76 dans la construction, 634 dans le commerce-transports-services divers et 99 étaient relatifs au secteur administratif[Insee 6].
  • En 2011, 69 entreprises ont été créées à Villefranche-sur-Mer[Insee 7], dont 43 par des autoentrepreneurs[Insee 8].
  • Halle dite Cité marchande de Villefranche[57].
  • Établissement de bains[58].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La commune compte sept monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[71] et 160 lieux et monuments répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel[72].

Elle compte par ailleurs 66 objets répertoriés sur l'inventaire des monuments historiques[73] et 95 objets répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel[74].

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

La chapelle Saint-Pierre décorée par Jean Cocteau.
  • Église Saint-Michel, rue de l'église, au cœur de la vieille ville, fut érigée dans le premier quart du XIVe siècle puis fut transformée à la fin du XVIIIe siècle. Cette église a pris les traits de style baroque savoyard. Elle héberge plusieurs pièces d’art, dont une toile représentant saint Michel, un Christ sculpté du XVIIIe siècle (dit Christ du galérien) et une statue polychrome en bois de saint Roch et son chien. Cet édifice est classé au titre des monuments historiques le [75].
Son orgue de tribune[76],[77],[78],[79] ,[80],[81],[82],[83].
Cloches[84],[85],[86],[87],[88].
Son orgue de tribune[92].
  • Chapelle Sainte-Élisabeth[93], rue du Vallons 1595[94].
  • Chapelle de L'Ange-Gardien, avenue de l'Ange Gardien 1716.
  • Chapelle sous le vocable de Notre-Dame des Neiges, appelée la Madone noire, boulevard de Suède XVIIe siècle[95].
  • Chapelle Saint-Grat, avenue Olivula 1817.
  • Chapelle Saint-Elme, à la citadelle XVIe siècle.
  • Chapelle de l'ancien hospice, avenue Clemenceau XVIIIe siècle.
  • Église Notre-Dame-de-France du Col de Villefranche.

Bâtiments et lieux publics[modifier | modifier le code]

Vue d'un bâtiment de l'Observatoire océanologique de Villefranche-sur-Mer, ancien hôpital des galériens.
  • Le musée Goetz-Boumeester, situé dans la Citadelle, qui contient une centaine d'œuvres du peintre-graveur Henri Goetz (1909-1989) et de son épouse Christine Boumeester (1904-1971) qui donnèrent leur collection à la ville.
  • Le Musée dit Musée des Ruines, puis maison de villégiature dite Villa [101].
  • La Villa Léopolda[102],[103], qui semble être la demeure la plus chère du monde.
  • Maison de villégiature dite Villa Sémiramis[104].
  • La tour dite Torre Vecchia et remparts (restes)[105].
  • Remparts (vestige dit Le Bastionnet)[106].
  • Le jardin public dit Jardins François-Binon[107].
  • Monuments commémoratifs :
    • Le monument aux morts[108],[109],[110].
    • Obélisque et ronde-bosse au cimetière.
    • Monument à Jean Cocteau[111].
    • Dalle funéraire de frère Jérôme Cacherano de Osasco[112],[113].
    • Cénotaphe d'Octave-Emmanuel Scarampo de Caire [114].
    • Plaque de Villefranche-sur-mer commémorant le départ de l’équipe de France pour la Coupe du monde 1930

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Villefranche-sur-Mer Blason
D’argent à l’arbre terrassé au naturel accosté des lettres capitales V et F de sable, au chef parti au 1er d’azur à trois fleurs de lis d’or rangées en fasce et surmontées d’un lambel de gueules et au 2e de gueules à la croix d’argent[115].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Artisanat[modifier | modifier le code]

Le port de la Darse est réputé au niveau international pour la restauration de navires du patrimoine où sont présents de nombreux charpentiers spécialisés. Le chantier naval Pasqui est renommé dans la restauration des vieux gréements et la fabrication des grands mâts en bois[116].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Dans le passé, Villefranche a hébergé de nombreuses personnalités de l'art ou du show business, parmi lesquelles :

Le Port de Villefranche, 1892
Eugène Boudin
Édimbourg, Galerie nationale d'Écosse
La rue de l'Église, Villefranche-sur-Mer par Henri-Eugène Le Sidaner (1928).

Honoré Boniface Papachin, ou Honorato Bonifazio Papacino en italien, corsaire puis amiral de la flotte espagnole au service du roi Charles II, mort en 1692. Il combattit l'amiral de Tourville en 1688 près d'Alicante durant la guerre de la ligue d'Augsbourg. Son nom a été donné au quai Papacino du port Lympia de Nice.

Films tournés à Villefranche-sur-Mer[modifier | modifier le code]

(Voir : Catégorie:Film tourné à Villefranche-sur-Mer)

Cinéma[modifier | modifier le code]

La liste est très loin d'être exhaustive, plus d'une centaine de films répertoriés : la proximité des studios de la Victorine, à Nice, facilitant les choses. Notamment, on ne compte plus les tournages publicitaires.

Plusieurs scènes de films ont été tournées dans la rue Obscure de Villefranche-sur-Mer.

Télévision[modifier | modifier le code]

Panorama de la rade de Villefranche.
Villefranche-sur-Mer et la rade de Villefranche vus du Mont Boron.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Insee
  1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
  2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
  3. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
  4. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
  5. EMP T5 - Emploi et activité.
  6. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
  7. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
  8. DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.
Autres références
  1. Jean-Gabriel Maurandi, Calant de Vilafranca, note 1. Page créée le , consulté le .
  2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne]
  3. Description de la station NICE-HALIOTIS
  4. « gare de Villefranche-sur-Mer », notice no IA06001494, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  5. Le Plan Local d’Urbanisme de la commune a été approuvée par délibération du Conseil Métropolitain le 29 mars 2013
  6. Plan local d'urbanisme métropolitain (PLUm)
  7. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Nice », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Les communes soumises à la loi littoral », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  16. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Loi relative à l’amenagement, la protection et la mise en valeur du littoral », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Relais Thalasso
  20. Grand Nice, Conservatoire du littoral
  21. Décret n°2003-1169 du 2 décembre 2003 portant approbation de la directive territoriale d'aménagement des Alpes-Maritimes
  22. Centre de thalassothérapie
  23. L'éco-quartier de l'Octroi
  24. Philippe Sénac, Musulmans et Sarrasins dans le sud de la Gaule: VIIIe – XIe siècle, pp. 51-57. Sycomore, 1980.
  25. Venturini, Evolution, p. 132
  26. Idem
  27. B1149, couverture intérieure
  28. Michel Bottin, La gestion des galères de Savoie. 1560-1637. Aspects administratifs et comptables, dans Comptabilité(S), 2012, no 3 (lire en ligne)
  29. 1705, le dernier siège de Nice
  30. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  31. Résultats officiels pour la commune Villefranche-sur-Mer
  32. L'Observatoire Océanologique
  33. Villefranche-sur-Mer sur le site "Provence 7"
  34. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Établissements d'enseignements
  40. École élémentaire
  41. « Trophée Pasqui - Régates de Nice - Villefranche sur Mer », sur Trophée Pasqui (consulté le ).
  42. Professionnels et établissements de santé
  43. L’Etablissement d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes
  44. Site du "Triathlon des Mers"
  45. Site de l'Association des Bateliers – Plaisanciers de Villefranche
  46. Site Internet de la Ville de Villefranche-sur-Mer
  47. (en-US) Pierre Thebault, « French engineers test pedal-boat submarine », U.S.,‎ (lire en ligne, consulté le )
  48. (en) Charles Bremner, « Stéphane Rousson and his pedal-powered dirigible », The Times,‎ (lire en ligne, consulté le )
  49. « Chantier à Villefranche sur mer Bateau Ecolo », Direct Matin Côte d'azur no 896,‎ , p. 8
  50. « Villefranche Paddle Race 2017 », sur Villefranche-sur-Mer, (consulté le ).
  51. Projet développé au Laboratoire de Biologie du développement (LBDV UMR7009) à l’Observatoire Océanologique de Villefranche-sur-Mer (OOV)
  52. édias - AARV - Association Les Amis de la Rade de Villefranche-sur-Mer
  53. Jean-Gabriel Maurandi, Calant de Vilafranca, note 1. Page créée le 19 avril 2001, consultée le 10 janvier 2016.
  54. Les comptes de la commune
  55. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  56. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  57. « halle dite Cité marchande de Villefranche », notice no IA06001533, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  58. « établissement de bains », notice no IA06001525, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  59. « hôtel de voyageurs dit La Maison Dorée », notice no IA06001441, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture recensement du patrimoine balnéaire
  60. « Dolmen de la Gastée », notice no PA00081562, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  61. « hôtel de voyageurs dit Hôtel des Pyramides », notice no IA06001557, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  62. « hôtel de voyageurs dit Hôtel de l'Univers, puis Hôtel Welcome », notice no IA06001538, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  63. « hôtel de voyageurs dit Hôtel La Régence, puis Café du Centenaire, actuellement Chez Betty », notice no IA06001469, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  64. « hôtel de voyageurs dit La Réserve, puis immeuble dit La Réserve », notice no IA06001539, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  65. « hôtel de voyageurs dit Hôtel Provençal », notice no IA06001521, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  66. « hôtel de voyageurs dit Le Petit Hôtel de la Rade », notice no IA06001496, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  67. « hôtel de voyageurs dit Château de Madrid », notice no IA06001548, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  68. « Casino de la Corne d'Or, actuellement immeuble », notice no IA06001558, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  69. Casino de la Corne d'Or, actuellement immeuble
  70. Résidence de la Corne d'Or
  71. « Liste des monuments historiques de la commune de Villefranche-sur-Mer », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  72. « Liste des lieux et monuments de la commune de Villefranche-sur-Mer à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  73. « Liste des objets historiques de la commune de Villefranche-sur-Mer », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  74. « Liste des lieux et monuments de la commune de Villefranche-sur-Mer à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  75. « Eglise paroissiale Saint-Michel », notice no PA00080921, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  76. Notice no PM06002757, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune de l'église Saint-Michel
  77. Notice no PM06001247, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune : partie instrumentale de l'orgue
  78. Notice no PM06002758, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune : buffet d'orgue
  79. Notice no IM06000358, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture buffet d'orgue, partie instrumentale de l'orgue
  80. Notice no IM06000357, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture tribune d'orgue
  81. Inventaire de l'orgue de Villefranche-sur-mer, église Saint Michel
  82. Notice no PM06002759, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune : buffet d'orgue église Saint-Marcel
  83. Notice no PM04000154, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune église Saint-Marcel
  84. Notice no PM06001269, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Église paroissiale Saint-Michel : cloche : Saint Michel archange
  85. Notice no PM06001268, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche dite Maria Mater Pietà
  86. Notice no IM06000435, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche dite Maria mater
  87. Notice no PM06001267, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche : San Pietro d'Arena
  88. Notice no IM06000436, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche dite Pietro d'Arena
  89. « Chapelle Saint-Pierre », notice no PA00135615, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  90. « chapelle Saint-Pierre dite chapelle Cocteau », notice no IA06001032, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  91. DRAC PACA - Label Patrimoine du XXe siècle : Chapelle Saint-Pierre
  92. Notice no PM04000154, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche
  93. « chapelle du Saint-Esprit puis Sainte-Elisabeth », notice no IA06001033, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  94. Les églises et édifices religieux recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux
  95. h Le culte mariale dans les Alpes-Maritimes
  96. « Citadelle (ancienne) », notice no PA00080920, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  97. « citadelle de Villefranche, de la place de Nice », notice no IA06000019, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  98. « Port de la Darse (bâtiments et éléments d'infrastructure) », notice no PA00080960, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  99. Site de l'observatoire océanologique
  100. « arcade rue Obscure », notice no PA00080922, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  101. « musée dit Musée des Ruines, puis maison de villégiature dite Villa Olivula », notice no IA06001556, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  102. « maison de villégiature dite Villa La Léopolda (N°1) », notice no IA06001559, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  103. « maison de villégiature dite Villa La Léopolda (N°2) », notice no IA06001561, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  104. Notice no IA06001482, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Maison de villégiature dite Villa Sémiramis
  105. « Tour dite Torre Vecchia et remparts (restes) », notice no PA00080924, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  106. « Remparts (vestige dit Le Bastionnet) », notice no PA00080923, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  107. « jardin public dit Jardins François-Binon », notice no IA06001555, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  108. Monument aux morts : Conflits commémorés : 1914-1918 - 1939-1945
  109. Monument aux morts Villefranche-sur-Mer
  110. Le monument aux morts sur la base Patrimages
  111. Notice no IM06000935, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture monument à Jean Cocteau
  112. Notice no IM06000359, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture dalle funéraire de frère Jérôme Cacherano de Osasco
  113. Notice no PM06001245, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture dalle funéraire de Jérôme Cacherano d'Basco
  114. Notice no IM06000360, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cénotaphe d'Octave-Emmanuel Scarampo de Cairo
  115. Dominique Cureau, « Nice Côte-d'Azur 3 : Villefranche-sur-Mer », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).
  116. « Zoom sur la success story du chantier naval Pasqui à Villefranche-sur-Mer », sur Nice-Matin, (consulté le ).
  117. film documentaire tourné au moyen du Kinétographe, la première caméra de cinéma inventée au début des années 1890 par l'Américain Thomas Edison
  118. W.E. 2012 britannique Réalisé par Madonna, avec Abbie Cornish, Andrea Riseborough, James d'Arcy : Drame

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Michel Bottin, Le Droit de Villefranche, thèse de doctorat en Droit, Université de Nice, 1974
  • Jacques Biangini, Calant de Villafranca...Dictionnaire nostalgique de Villefranche et de ses rues Serre éditeur 2003
  • Jacques Biangini, Jean Cocteau... de Villefranche-sur-Mer Serre éditeur 2007
  • Jacques Biangini, La Chapelle Saint Pierre à Villefranche-sur-Mer (édition bilingue français-anglais) Serre éditeur 2009
  • Jacques Biangini (ouvrage collectif), Vive la France, regards croisés sur l'union du Comté de Nice à la France 1860-1947 [pages 83 à 122] Serre éditeur 2010
  • André Cane, Histoire de Villefranche, troisième édition, 1987
  • Armanac Nissart,Villefranche-sur-Mer, Nice, 1942
  • Jean H. Prat, Villefranche-sur-Mer, éditions du Tigre, Paris, 1952. Préface de Jean Médecin, maire de Nice.
  • Jean-Claude Poteur, Villefranche-sur-Mer, le port d'Olive et l'ensemble portuaire, Paris, Société française d'archéologie, , 285 p. (ISBN 978-2-901837-42-8)
    p. 239-254, dans Congrès archéologique de France. 168e session. Monuments de Nice et des Alpes-Maritimes
  • Marie Rose Rabaté et André Goldenberg, Villefranche-sur-Mer hier et aujourd'hui, Vifa Serre 2002
  • Madeleine Servera-Boutefoy, Villefranche-sur-Mer Reflets d'histoire, Serre éditeur, 2000
  • Madeleine Servera-Boutefoy et Mara de Candido, De Villefranche à Turin, histoire de la fortification, Serre éditeur, 2006
  • Villefranche, un destin maritime : numéro spécial de Nice Historique, no 1-2 102e année), Academia Nissarda, ISSN 1141-1791
  • La Navigation du Savoir, étude de sept arsenaux historiques de la Méditerranée, édition de l’Université de Malte, 2006 [pages 35 à 57 pour la Darse de Villefranche] : Synthèse des travaux d’un Projet pilote administré par la Division du patrimoine culturel de l'UNESCO ; conduit par l'Université de Malte, il faisait partie de l'Euromed Heritage II, Union Européenne
  • Sauver la darse de Villefranche, Chasse-Marée no 115,
  • La Darse retrouvée, de l'Arsenal militaire du XVIIIe siècle au Port du XXIe siècle, ASPMV et Serre,
  • Émile Buffon, Du rôle de Villefranche dans l'histoire, p. 101-104, Nice-Historique, 1910, no 143 Lire en ligne
  • Émile Buffon, Du rôle de Villefranche dans l'histoire - Suite 1, p. 125-130, Nice-Historique, 1910, no 143 Lire en ligne
  • Émile Buffon, Du rôle de Villefranche dans l'histoire - Suite 2, p. 156-160, Nice-Historique, 1910, no 143 Lire en ligne
  • Émile Buffon, Du rôle de Villefranche dans l'histoire - Suite 3, p. 175-177, Nice-Historique, 1910, no 143 Lire en ligne
  • Émile Buffon, Du rôle de Villefranche dans l'histoire - Suite 4, p. 229-234, Nice-Historique, 1910, no 143 Lire en ligne
  • Émile Buffon, Du rôle de Villefranche dans l'histoire - Suite 5, p. 249-251, Nice-Historique, 1910, no 143 Lire en ligne
  • Émile Buffon, Du rôle de Villefranche dans l'histoire - Suite 6, p. 273-286, Nice-Historique, 1910, no 143 Lire en ligne
  • Émile Buffon, Du rôle de Villefranche dans l'histoire - Suite 7, p. 303-305, Nice-Historique, 1910, no 143 Lire en ligne
  • Émile Buffon, Du rôle de Villefranche dans l'histoire - Suite 8, p. 351-354, Nice-Historique, 1910, no 143 Lire en ligne
  • Émile Buffon, Du rôle de Villefranche dans l'histoire - Suite 9, p. 376-385, Nice-Historique, 1910, no 143 Lire en ligne
  • Émile Buffon, Du rôle de Villefranche dans l'histoire - Fin, p. 398-411, Nice-Historique, 1910, no 143 Lire en ligne
  • Édouard Béri, Les ports de Nice et de Villefranche en 1770, p. 227-230, Nice-Historique, 1913, no 55 Lire en ligne
  • Georges Doublet, Esquisse du passé de Villefranche, p. 179-200, Nice-Historique, 1931, no 295 Lire en ligne
  • André Cane, Villefranche au milieu du XVIe siècle d'après les comptes communaux, p. 3-34, Nice-Historique, 1957, no 42 Lire en ligne
  • Roy Ellis, La base russe de Villefranche, p. 67-81, Nice-Historique, 1964, no 90 Lire en ligne
  • André Cane, Dans le sillage de la reine Victoria, Lord Salisbury à Villefranche-sur-mer, p. 47-52, Nice-Historique, 1984, no 42 Lire en ligne
  • André Cane, Aspects de la vie quotidienne d’un noble villefranchois pendant la Révolution. Les comptes domestiques et ruraux d’Ignace de May, 1793-1797, p. 152-161, Nice-Historique, 1992, no 73 Lire en ligne
  • André Cane, Villefranche un destin maritime, p. 1, Nice-Historique, 1999, no 77 Lire en ligne
  • Mara de Candido, La défense du littoral niçois dans la première moitié du XVIe siècle, p. 2-11, Nice-Historique, 1999, no 69 Lire en ligne
  • Michel Bottin, La politique navale de la Maison de Savoie en Méditerranée 1560-1637, p. 12-23, Nice-Historique, 1999, no 46 Lire en ligne
  • Mara de Candido, Le fort de Saint-Elme et le port de Villefranche, p. 24-35, Nice-Historique, 1999, no 70 Lire en ligne
  • Mara de Candido, Villefranche, port de la Maison de Savoie. Le bassin de construction des galères : “La Forma delle galere”, p. 36-, Nice-Historique, 1999, no 71 Lire en ligne
  • Jacques Paviot, Dominique Tailliez, Une escale bourguignonne à Villefranche en 1442, p. 44-5, Nice-Historique, 1999, no 234 Lire en ligne
  • Olivier Vernier, Villefranche et la marine à l’époque contemporaine : du port de guerre à l’escale mondaine 1814-1939, p. 56-71, Nice-Historique, 1999, no 295 Lire en ligne
  • André Cane, Les comptes de Benoît de May de Villefranche. 1650-1687. Prêteur sur gages et troqueur, p. 72-83, Nice-Historique, 1999, no 78 Lire en ligne
  • Dominique Tailliez, Mémoire d’un passé maritime (Villefranche), p. 84-85, Nice-Historique, 1999, no 264 Lire en ligne
  • Éric Dulière, Les routes de la Méditerranée retracées : trésors d'épaves à Villefranche-sur-Mer (06), Institut de Préhistoire et d'Archéologie Alpes Méditerranée, Tome LIV, 2012 Lire en ligne
  • Villefranche sur mer : le Comté de Nice en 1850; villefranche murs et linteaux; sites du 18ème Nice est Villefranche; tours à signaux; préfabrication; Desastre de 1516; fondation de Villefranche
  • Des campagnes de fouilles sous-marines à la recherche du passé
  • À Villefranche-sur-Mer, toujours des découvertes archéologiques
  • Épaves modernes La Lomellina (Villefranche-sur-Mer)
  • Tour du lazaret
  • Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
  • Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
  • Cavités souterraines naturelles

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]