Thoiry (Ain)

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Thoiry
Thoiry (Ain)
L'église Saint-Maurice de Thoiry.
Blason de Thoiry
Blason
Thoiry (Ain)
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ain
Arrondissement Gex
Intercommunalité Pays de Gex Agglo
Maire
Mandat
Muriel Bénier
2020-2026
Code postal 01710
Code commune 01419
Démographie
Gentilé Thoirysiens, Thoirysiennes
Population
municipale
6 136 hab. (2021 en diminution de 0,41 % par rapport à 2015)
Densité 212 hab./km2
Population
agglomération
194 216 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 46° 14′ 14″ nord, 5° 58′ 50″ est
Altitude Min. 400 m
Max. 1 720 m
Superficie 28,93 km2
Unité urbaine Genève (SUI)-Annemasse (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Genève (SUI)-Annemasse (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Thoiry
(bureau centralisateur)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Thoiry
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Thoiry
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Thoiry
Liens
Site web mairie-thoiry.fr

Thoiry est une commune française située dans la communauté de communes du Pays de Gex, dans le département de l'Ain, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Vue aérienne.

Localisation[modifier | modifier le code]

Vue depuis le Jura (Thoiry Devant) sur Thoiry, Genève, Annemasse, le Salève et le massif du Mont-Blanc.

Thoiry se situe au nord-est du département de l'Ain, dans le pays de Gex, au pied des monts Jura, à environ 10 km de Genève et 15 km de Gex.

L'altitude de la commune varie de 400 mètres (au sud de la commune, sur la frontière franco-suisse) à 1 720 mètres (au crêt de la Neige, point culminant du massif du Jura)[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Jura, caractérisée par une forte pluviométrie en toutes saisons (1 000 à 1 500 mm/an), des hivers rigoureux et un ensoleillement médiocre[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 354 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Cessy à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 063,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Jusqu'en décembre 2018, la commune était desservie par la ligne de bus Y des Transports publics genevois (TPG). Cette ligne a depuis été remplacée par les lignes 66[8],[9] et 68[10],[11]. En outre, Thoiry est desservie par le car du TER 33 Ferney-Voltaire/Bellegarde-sur-Valserine.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Thoiry est une commune urbaine[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Genève (SUI)-Annemasse (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 35 communes[15] et 194 216 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Genève (SUI)-Annemasse (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,1 %), zones agricoles hétérogènes (16 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (15,5 %), terres arables (9,9 %), zones urbanisées (8,7 %), prairies (7,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (4,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,2 %)[20].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

La commune est composée de cinq hameaux ; à son extrémité ouest se situe le hameau de Fenières, puis à l'est celui d'Allemogne, et à son extrémité est le petit hameau de Baizenas, connu dans la région pour ses yaourts, flans et fromages de brebis. Au sud de la commune, le hameau de Gremaz avec sa pisciculture et enfin le hameau de Badian à l'extrémité sud.

Logement[modifier | modifier le code]

Le nombre total de logements dans la commune est de 2 848[21] en 2015. Parmi ces logements, 88,5 % sont des résidences principales, 7,3 % sont des résidences secondaires et 4,2 % sont des logements vacants. Ces logements sont pour une part de 57,6 % des maisons individuelles, 41,7 % sont d'autre part des appartements et enfin seulement 0,7 % sont des logements d'un autre type. Le nombre d'habitants propriétaires de leur logement est de 63,1 %[22]. Ce qui est supérieur à la moyenne nationale qui se monte à près de 55,3 %. En conséquence, le nombre de locataires est de 35 % sur l'ensemble des logements qui est inversement inférieur à la moyenne nationale qui est de 39,8 %[22]. On peut noter également que 1,9 % des habitants de la commune sont des personnes logées gratuitement alors qu'au niveau de l'ensemble de la France le pourcentage est de 2,6 %. Toujours sur l'ensemble des logements de la commune, 1,9 % sont des studios, 11 % sont des logements de deux pièces, 18,3 % en ont trois, 19,6 % des logements disposent de quatre pièces, et 49,2 % des logements ont cinq pièces ou plus[22].

Histoire[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Thoiry

La commune de Thoiry porte :

Tranché : au premier de gueules à la croix du Reculet cousue de sable, au second d'azur à l'écusson bandé d'argent et de gueules ; à la cotice d'argent brochant sur la partition[23].

Les anciennes armes se blasonnaient :

De gueules à la bande d'argent cotoyée de deux cotices du même.
Armes de Thoiry (ancienne)

Toponymie[modifier | modifier le code]

Allemogne: Allamognia en 1373. D'un nom de personne germanique Adalmund + suffixe roman -ia.

Thoiry : Du nom d'homme latin Taurius, issu du mot latin taurus (« taureau »), avec le suffixe possessif –acum.

Faits historiques[modifier | modifier le code]

En 3500 av. J.-C., Thoiry et le pays de Gex ont connu une implantation de la civilisation « lémanique ». Par la suite, en 50 apr. J.-C., les Romains s'installèrent dans le pays de Gex. L'église Saint-Maurice de Thoiry fut construite au VIIe siècle.

Plus tard, après l'occupation genevoise en 1591, le pays de Gex fut rattaché à la France après la signature du traité de Lyon entre Henri IV et le Duc de Savoie le 17 janvier 1601.

Allemogne appartint à la famille de Livron, titrés marquis, puis à Jacques Brisson, titre confirmé en mai 1722, dont les héritiers le vendirent aux Conzié, à nouveau confirmés en 1769. Françoise de Conzié (1744-1813) transmit le château à son mari, Pierre de Buttet de Tresserve (x 1764), membre du Sénat de Savoie, lequel, devenu veuf, le "vendit à une bande noire ; il fut détruit par un incendie le 12 avril 1829"[24] .

Les communautés très anciennes de Thoiry, Fenières et Allemogne sont regroupées en une seule commune en 1790. Cependant, les deux hameaux gardent jalousement la gestion de leurs biens jusqu'en 1795, rédigeant chaque année leurs comptes propres. En 1793, Thoiry devient le chef-lieu d'un canton du district de Gex. Celui-ci est supprimé en 1801, et Thoiry est alors rattachée au canton de Collonges.

En 1815, lors du rattachement de Genève à la Suisse consécutif à la chute du Premier Empire, une zone franche est créée de Collonges au col de la Faucille, incluant Thoiry. En 1822, la commune est rattachée au nouveau canton de Ferney-Voltaire. Les écoles de Fenières et de Thoiry ainsi que la mairie de Thoiry sont construites dans la seconde moitié du XIXe siècle. En 1892, la croix du Reculet est érigée le 7 août au mont Reculet sur le Jura à 1 717 mètres d'altitude. La croix fut entièrement portée et assemblée par de simples moyens humains.

Après la Première Guerre mondiale, le 17 novembre 1926, un accord de réconciliation franco-allemande entre Aristide Briand, homme politique et diplomate français (onze fois président du Conseil — l'équivalent du Premier ministre sous la troisième République —, vingt fois ministre, Prix Nobel de la paix en 1926) et Gustav Stresemann, homme politique allemand ayant été chancelier du Reich, a été signé à l'hôtel Léger de Thoiry qui est devenu aujourd'hui une boulangerie.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, des résistants ont été fusillés au hameau de Badian.

Quelques années plus tard, en été 1977, sous la direction du maire de l'époque Henri Masson, le chalet de Narderans est restauré grâce à une centaine de bénévoles. Ensuite en 1985, le premier salon des vins voit le jour, il est aujourd'hui très apprécié des Gessiens mais aussi des étrangers comme les Suisses. En 1993, Val-Thoiry, le plus grand centre commercial du pays de Gex voit le jour. Le 28 février de la même année, la réserve naturelle de la haute chaîne du Jura est créée, c'est la troisième de France avec 18 000 hectares. En 2002, le nouveau blason de Thoiry voit le jour.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Ancien logo de la municipalité.

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Thoiry est membre de l'intercommunalité Pays de Gex Agglo, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Gex. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[25].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Gex, au département de l'Ain et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[26]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Thoiry pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[26], et de la troisième circonscription de l'Ain pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[27].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2008 Jocelyne Boch DVD Conseillère générale
2008 2014 Gérald Dentinger DVD  
2014 En cours Muriel Bénier DVD Commerçante
Conseillère départementale

Jumelages[modifier | modifier le code]

La commune a développé une association de jumelage qui a pour but[28] d'être une source d’enrichissement mutuel, un échange de cultures, d’expériences dans tous les domaines de la vie locale, de traditions, de projets et d’amitiés. Thoiry est jumelée avec :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

En 2021, la commune comptait 6 136 habitants[Note 3], en diminution de 0,41 % par rapport à 2015 (Ain : +4,96 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1141 1781 1011 1831 2901 4351 4431 4991 408
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4231 4601 4231 3931 3561 3191 2951 3491 356
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2901 2801 2021 0131 0761 0631 0779871 091
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 1301 4381 8592 1123 0154 0634 7464 9386 006
2018 2021 - - - - - - -
5 9816 136-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune de Thoiry possède une école maternelle et une école primaire.

Les collèges les plus proches sont situés à Saint-Genis-Pouilly et Péron, et les lycées à Saint-Genis-Pouilly, Ferney-Voltaire et Bellegarde-sur-Valserine.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Médecins généralistes et spécialisés sont présents dans le village ainsi qu'un vétérinaire. Également des pharmacies.

Sports[modifier | modifier le code]

  • AAPPMA (Association Agréée pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique) de Thoiry
  • Avenir Gessien Gymnastique de Thoiry
  • Club Gessien d’Education Canine
  • DJADAÏ Africa Dance - Danses orientale et africaine, Modern Jazz, cours de gym
  • École d’Athlétisme
  • Football Sud Gessien
  • Football Vétérans Thoiry
  • Gym et Danse pour tous
  • Karaté DO Pays de Gex - section de Thoiry
  • Les Ecuries de Badian
  • Moto Cross
  • Neige et Montagne
  • Tennis-Loisirs de Thoiry
  • Thoiry Pétanque
  • Club d'Echecs de Thoiry
  • Société de Chasse de Thoiry

Médias[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Entreprises de l'agglomération[modifier | modifier le code]

Commerce[modifier | modifier le code]

  • Le centre commercial Val Thoiry comporte plus d'une soixantaine de boutiques ainsi que différents services et lieux de restauration.
  • Il y a également d'autres commerces dans le centre du village, tels que des fleuristes, boulangeries, épiceries et bureaux de presse.

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

La Croix du Reculet.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Monuments préhistoriques mégalithiques[modifier | modifier le code]

On rencense sur le territoire de la commune plusieurs mégalithes de type menhir[33],[Note 4].

Monuments laïques[modifier | modifier le code]

  • Le monument aux morts

Monuments religieux[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Espaces verts et fleurissement[modifier | modifier le code]

En 2014, la commune de Thoiry bénéficie du label « ville fleurie » avec « 3 fleurs » attribuées par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[34].

Gastronomie[modifier | modifier le code]

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Sur des près jouxtant le chemin des Baizens, 3 petits menhirs au point 46° 15′ 25″ N, 5° 58′ 54″ E et un plus volumineux au point 46° 15′ 22″ N, 5° 58′ 54″ E.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Commune de Thoiry » sur Géoportail..
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Thoiry et Cessy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Cessy », sur la commune de Cessy - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Cessy », sur la commune de Cessy - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Recherche d'horaires - tpg », sur tpg.ch (consulté le ).
  9. « Recherche d'horaires - tpg », sur tpg.ch (consulté le ).
  10. « Recherche d'horaires - tpg », sur tpg.ch (consulté le ).
  11. « Recherche d'horaires - tpg », sur tpg.ch (consulté le ).
  12. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Genève (SUI)-Annemasse (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  16. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. « Immobilier à Thoiry (01710) », sur linternaute.com (consulté le ).
  22. a b et c Données INSEE compulsées par Linternaute - Logement à Thoiry.
  23. « Armes de Thoiry »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur labanquedublason2.com.
  24. Woelmont, Notices généalogiques to 6 (1930), p 450 ; d'après Galiffe, Notices genevoises to V (1884), p 70.
  25. « Pays de Gex Agglo - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  26. a et b « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Thoiry », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  27. « Découpage électoral de l'Ain (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  28. L'association de jumelage.
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Pierre Delacrétaz, Pierres mystérieuses, Éditions Cabédita, 1994, p.114 et 147
  34. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Lien externe[modifier | modifier le code]