Forges-les-Eaux

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Forges-les-Eaux
Forges-les-Eaux
L'hôtel de ville.
Blason de Forges-les-Eaux
Blason
Forges-les-Eaux
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC des Quatre Rivières
Maire
Mandat
Christine Lesueur
2021-2026
Code postal 76440
Code commune 76276
Démographie
Gentilé Forgions
Population
municipale
3 702 hab. (2021)
Densité 241 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 36′ 48″ nord, 1° 32′ 44″ est
Altitude Min. 124 m
Max. 227 m
Superficie 15,33 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Forges-les-Eaux
(ville-centre)
Aire d'attraction Forges-les-Eaux
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Gournay-en-Bray
Législatives 6e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Forges-les-Eaux
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Liens
Site web Site officiel

Forges-les-Eaux est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie, célèbre pour son casino et son lac.

Elle est créée le sous le statut de commune nouvelle après la fusion des communes de Forges-les-Eaux et du Fossé[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

L'avenue verte à Forges-les-Eaux.

Forges-les-Eaux est une ancienne ville thermale du Pays de Bray en Normandie située à une quarantaine de kilomètres au nord-est de Rouen, à 45 km au nord-ouest de Beauvais et à une cinquantaine de kilomètres au sud-ouest de la Manche à Dieppe.

Au nord-est de la ville se trouve le bois de l'Épinay, qui abrite quelques lieux connus des habitants (notamment la source de La Chevrette, l'une des quatre sources de la ville), et qui est le théâtre annuel d'un concours de chiens de traineaux. .

La commune est traversée par l'Andelle. Elle abrite également plusieurs lacs, alimentés par ladite rivière.

Forges-les-Eaux est classée parmi les « plus beaux détours de France », et ses jolies villas ainsi que son ambiance balnéaire en font une étape vélo appréciée sur l'avenue verte[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Les étangs d'Épinay.

La commune est drainée par l'Andelle et plusieurs ruisseaux qui s'y jettent, dont la Chevrette. Elle comprend également plusieurs lacs, alimentés par l'Andelle, qui est un affluent de la Seine.

Les sources thermales ferrugineuses de la ville ont été découvertes en 1573, mais l'activité thermale de la ville a cessé dans les années 1990 [3].

Une source, dont la pureté reconnue a fait la renommée de Forges-les-Eaux, est présente aux abords du bois de l’Epinay. En 1880, le bois appartenait à "Monsieur de Monthalent", qui décida d’exploiter cette source existante et de mettre son eau en bouteilles. Un puits fut ensuite creusé et l’arrivée de l’eau fut canalisée. Ainsi naquit la "Cristal Fontaine".

Cette exploitation perdurera jusqu'à la fin des années 80, avant d'être abandonnée dans la forêt[4].

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

  • Moyenne annuelle de température : 10,1 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,1 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 833 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,2 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1959 à 2007 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[11]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records FORGES (76) - alt : 160 m 49° 36′ 06″ N, 1° 31′ 18″ E
Statistiques établies sur la période 1981-2007 - Records établis sur la période du 01-10-1959 au 30-04-2007
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,6 0,5 2,4 3,7 7,3 9,9 12,1 11,8 9,2 6,8 3,2 1,4 5,8
Température moyenne (°C) 3,8 4,1 6,9 9,1 12,8 15,6 18 17,9 14,7 11,3 6,8 4,4 10,5
Température maximale moyenne (°C) 6,9 7,8 11,4 14,4 18,3 21,1 23,8 23,9 20,2 15,7 10,4 7,4 15,1
Record de froid (°C)
date du record
−18
17.01.1985
−13
07.02.1991
−12
04.03.05
−5,3
12.04.1978
−3,7
07.05.1979
−1
01.06.1989
2,2
01.07.1960
1,9
28.08.1974
−0,5
27.09.1990
−6
28.10.03
−9,5
22.11.1988
−12,6
07.12.1969
−18
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
15,5
09.01.1998
20
28.02.1960
23
25.03.03
27
30.04.05
31
15.05.1998
35
26.06.01
38
19.07.06
38,5
13.08.03
32,5
12.09.06
26,6
01.10.1959
19
04.11.1993
16
21.12.1989
38,5
2003
Précipitations (mm) 80,9 59,6 62,4 58,3 65,7 59,7 57,3 57,7 65,6 86,1 79,1 94,8 827,2
Source : « Fiche 76276001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Forges-les-Eaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Forges-les-Eaux, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[15] et 4 796 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[16],[17].

Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Forges-les-Eaux, dont elle est la commune-centre[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 5 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Forges-les-Eaux est desservie par le tracé initial de l'ancienne route nationale 15 (actuelles RD 915 et 1314) et de l'ex-Route nationale 319 (actuelle RD 919), une voie secondaire qui reliait Rouen à Lille.

La ville a perdu sa desserte ferroviaire sur l'ancienne ligne de Saint-Denis à Dieppe et la gare de Forges-les-Eaux est fermée depuis 2009, mais elle est desservie par des autocars de substitution. La gare de Serqueux, située dans la couronne de Forges-les-Eaux, est aujourd'hui la gare la plus proche de la ville. Sur la plate-forme de l'ancienne ligne a été aménagée l'avenue verte, un itinéraire cyclable qui relie Paris à Londres.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Forges-en-Bray au XIXe siècle, avant que la réputation de ses eaux ne lui fournisse ce complément thermal dans la première moitié du XXe siècle[20].

Forges : du mot latin Făbrĭca, « atelier d'artisan », à l'origine du mot « fabrique ».

Forges-les-Eaux tient en effet son nom de son sol, riche en fer, et de ses sources thermales.

Histoire[modifier | modifier le code]

Il convient de se reporter aux articles consacrés aux anciennes communes fusionnées.

Le , les communes de Forges-les-Eaux (5,22 km2) et du Fossé (10,11 km2) fusionnent sous le régime juridique des communes nouvelles. L'ensemble ainsi formé reprend le toponyme de Forges-les-Eaux[1].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune nouvelle se trouve dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime[21].

Pour les élections départementales, la commune fait partie du canton de Gournay-en-Bray[21]

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Forges-les-Eaux était le siège de la communauté de communes du canton de Forges-les-Eaux, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[22], cette intercommunalité, qui n'atteignait pas le seuil de population requis, a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes des Quatre Rivières dont est désormais membre Forges-les-Eaux.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors des élections municipales de 2020[23], la liste menée par le maire sortant Michel Lejeune — élu dans l'ancienne commune de Forges-les-Eaux depuis 1995 — remporte le scrutin au second tour avec 49,64% des suffrages exprimés (827 voix), devançant celles de Frédéric Godebout (698 voix, 41,82%) et de Pascal Roger (141 voix, 8,46%), l'abstention étant limitée à 39,05 %[24], taux peu élevé pour ces élections marquées par la crise de la Pandémie de Covid-19 en France.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

De la fusion de communes jusqu'aux élections municipales de 2020, le conseil municipal de la nouvelle commune était constitué de l'ensemble des conseillers municipaux élus en 2014 dans les anciennes communes[1]. Pour le mandat 2020-2026, le conseil municipal est composé de 29 membres, soit plus que le nombre normal de conseillers correspondant à l'importance démographique de la commune[25].

Dans le cadre de la fusion, il a été décidé que la commune nouvelle comprendrait les deux communes déléguées suivantes[1] :

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
janvier 2016 avril 2021[26] Michel Lejeune[27] LR Vétérinaire
Maire de l'ancienne commune de Forges-les-Eaux (1995 → 2015)
Député de la Seine-Maritime (12e circ.) (2002 → 2012)
Conseiller général de Forges-les-Eaux (1995 → 2015)
Conseiller départemental de Gournay-en-Bray (2015 → 2020)
Président de la CC de Forges-les-Eaux (2008 → 2016)
Vice-président de la CC des quatre rivières (2017 → 2020)
Décédé en fonction
mai 2021[28],[29] En cours
(au 12 mai 2021)
Christine Lesueur   Experte-comptable
Vice-présidente de la CC des Quatre Rivières (2020 → )

Pour le mandat 2020-2026, le conseil municipal a élu Pascale Dupuis maire déléguée du Fossé[30],[28].

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

En 2018, la ville dispose de plusieurs labels : Ville fleurie, Station verte, Plus beaux détours, Famille plus, Commune touristique[31]...

En 2016, la commune détient le label « village internet @@@@@ »[32]. Cette distinction est renouvelée en 2017 et 2018[31]

La commune est classée « trois fleurs » au Concours des villes et villages fleuris[réf. nécessaire].

Enseignement[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique du territoire de la commune nouvelle
1968 1975 1982 1990 1999 2008 2013 2019
3 3583 5883 9143 7353 8463 9783 9893 812
Nombre retenu à partir de 1968 : population sans doubles comptes.
Les données mentionnées ci-dessus sont établies à périmètre géographique constant, dans la géographie en vigueur au .
(Source : INSEE RGP 2016[33])

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Festival International des Magiciens : fin avril[34].
  • Concours d'attelage du Bois de l'Épinay : début mai. Nombreuses épreuves proposées (dressage, maniabilité, endurance)
  • Fête de la Nature
  • Marathon du Terroir Brayon : fin juin. Marché de produits locaux, animations et courses (marathon et semi-marathon) dans les alentours de Forges et des villages brayons. Les participants sont invités à se déguiser.
  • Festival de la Marionnette : en juillet.
  • Forges Academy : le 14 juillet. Concours de chant[35]
  • Fête de l'Andelle : en juillet.
  • Fête du Cheval : en juillet. La fête du cheval est très populaire chaque année et est arpentée par près de 10 000 visiteurs. 800 chevaux sont réunis dans le bois de l'Épinay afin de participer à de nombreux concours[36].
  • Trot en Fête : fin juillet-début août à l'hippodrome de Mauquenchy.
  • Danses au Lac : le 15 août. Animation labellisée "Normandie impressionniste"[Quand ?], un pique nique est organisé autour des lacs. De nombreuses animations sont organisées (danses, jeux…)
  • Fête Brévière : début octobre. La Fête Brévière se déroule à Forges-les-Eaux depuis 1873. Une fête foraine est organisée, ainsi qu'une brocante[37].
  • Fête du Cidre : en octobre.
  • Marché de Noël : en décembre à la halle Baltard.

Économie[modifier | modifier le code]

Le casino.

La ville est marquée par la présence du casino de Forges-les-Eaux et de ses installations thermales. Élément du groupe Partouche, c'est le second casino le plus proche de Paris après celui d'Enghien-les-Bains.

Il convient par ailleurs de se reporter aux articles consacrés aux anciennes communes fusionnées.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Il convient de se reporter aux articles consacrés aux anciennes communes fusionnées.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Forges-les-Eaux dans les arts et la culture[modifier | modifier le code]

Le film Poulet au vinaigre a été tourné dans cette commune[42].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Forges-les-Eaux Blason
De gueules à la fasce d'or, chargée d'une enclume de sable, et accompagnée de douze marteaux de sable, posés en fasce, la panne en bas et rangés deux par deux en quinconce, six en chef et six en pointe.
Devise
Ferro et Aqua (par le fer et par l'eau).
Détails
La devise de Forges-les-Eaux est très compréhensible lorsque l'on se plonge dans son histoire.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d « Arrêté du 5 octobre 2015 portant création de la commune nouvelle de Forges-les-Eaux », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Seine-Maritime, no 109,‎ , p. 30-31 (lire en ligne [PDF]).
  2. « Forges-les-Eaux, ville thermale », sur avenuevertelondonparis.com (consulté le ).
  3. « Les eaux thermales de Forges-les-Eaux : les fables de la fontaine miraculeuse : Forges-les-Eaux. Il était une fois l’histoire de sources miraculeuses, qui ont fait de Forgesune cité thermale reconnue et réputée… », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. « Cristal Fontaine devient-elle dangereuse pour l’environnement ? » (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  8. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  10. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  11. « Fiche du Poste 76276001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Forges-les-Eaux », sur insee.fr (consulté le ).
  16. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Forges-les-Eaux », sur insee.fr (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. Christian Guerrin - Les compléments toponymiques dans les noms de communes de Seine-Maritime [article] Nouvelle revue d'onomastique Année 2000 - page 318.
  21. a et b « Commune de Forges-les-Eaux (76276) : commune actuelle », Code Officiel Géographique (date de référence : 01/01/2020), sur insee.fr (consulté le ).
  22. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  23. « Municipales 2020. Trois candidats pour un fauteuil à Forges-les-Eaux/Le Fossé : Forges-les-Eaux/Le Fossé. Dimanche 28 juin 2020, les électeurs de la commune nouvelle choisiront leur maire lors du second tour. Questions aux trois candidats, Frédéric Godebout, 1er adjoint sortant, Michel Lejeune, maire sortant, et Pascal Roger », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. Laurent Hellier, « Michel Lejeune décroche un nouveau mandat aux municipales à Forges-les-Eaux : A Forges-les-Eaux, Michel Lejeune remporte les élections municipales sans vraiment trembler. Un 5e succès depuis 1995 », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Souvent élu dans un fauteuil et sans combat par le passé, il a su relever le gant dans l’adversité. Et après un premier tour plutôt serré, il a su mobiliser ses troupes ».
  25. Article L. 2113-8 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
  26. Laurent Hellier, « Le maire de Forges-les-Eaux, Michel Lejeune, est décédé : Michel Lejeune est associé pour longtemps à Forges-les-Eaux. Il était maire depuis 1995. Il s’est éteint ce jeudi 29 avril 2021 à l'hôpital de Rouen à l'âge de 74 ans », L’Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ) « L’ancien vétérinaire forgion a pris la suite de Pierre Blot à la mairie de Forges-les-Eaux le 25 juin 1995. Réélu en 2001, 2008 et 2014, il avait réussi à conserver son fauteuil en 2020 malgré une opposition pourtant plus motivée qu’à l’accoutumée ».
  27. Réélu pour le mandat 2020-2026 : « À Forges-les-Eaux, Michel Lejeune réélu maire lors d’un conseil d’installation tendu : Après une campagne électorale mouvementée, les membres du conseil municipal ont élu le maire et les adjoints vendredi 3 juillet. Michel Lejeune repart ainsi pour un nouveau mandat », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Deux élus se sont portés candidats au poste de maire : Michel Lejeune, édile sortant et Pascal Roger, tête de liste de « Forges/Le Fossé Transition ». Avec 22 voix en sa faveur, Michel Lejeune conserve sans surprise sa place de maire pour les six prochaines années à venir. Six élus se sont abstenus et un vote a été pour le second candidat ».
  28. a et b Benjamin Epineau, « Forges-les-Eaux : Christine Lesueur est la nouvelle maire de la ville : Suite au décès de Michel Lejeune, Christine Lesueur a été élue par le conseil municipal en tant que maire de Forges-les-Eaux, le 11 mai 2021 », L’Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Première adjointe chargée des finances, depuis 2020, Christine Lesueur est devenue la nouvelle maire de Forges-les-Eaux, après les élections du 11 mai 2021, et succède ainsi à Michel Lejeune ».
  29. « Christine Lesueur succède à Michel Lejeune comme maire de Forges-les-Eaux : Suite au décès brutal du maire Michel Lejeune, les élus forgions ont élu l’ex-première adjointe à la tête du conseil municipal, mardi 11 mai 2021. Christine Lesueur devient la première femme maire de la cité thermale », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Cette Brayonne de naissance a vu le jour à Neufchâtel-en-Bray et effectué toute sa scolarité à Forges, avant de partir à Yvetot se former à l’agriculture. Experte-comptable, elle travaille depuis trente ans dans un cabinet forgion. Mariée à un vétérinaire, elle est mère de trois enfants. Élue depuis 2007, elle a pris un poste d’adjoint aux travaux et au personnel en 2014 avant de rempiler, en 2020, aux finances ».
  30. « L'équipe municipale », sur forgesleseaux.fr (consulté le ).
  31. a et b « Forges-les-Eaux : la commune conserve son label Village Internet : Forges-les-Eaux. La commune peut s’enorgueillir d’avoir obtenu, pour la troisième année consécutive, le label Village Internet qui récompense son implication dans le domaine du numérique », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. [PDF]Palmarès 2016 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 27 mars 2017.
  33. INSEE, Recensement général de la population 2019, Document mentionné en liens externes.
  34. « La 32e édition du Festival international de la magie à Forges-les-Eaux jusqu’au 7 avril », sur paris-normandie.fr (consulté le ).
  35. « Forges Academy | Événements », sur fr.forgesleseaux-tourisme.com (consulté le ).
  36. « Les passionnés de chevaux ont rendez-vous à Forges-les-Eaux », sur France 3 Normandie (consulté le ).
  37. « Fête Brévière », sur forgesleseaux.fr (consulté le ).
  38. Patrice Valfré, C. Potter le potier révolutionnaire et ses manufactures de Paris, Chantilly, Montereau.., Bagneaux sur Loing 2012, p. 281-283.
  39. « Nicolas François Thiessé », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale
  40. « Jules, Théodore Thiessé (1833-1912) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  41. Fiche biographique sur le site de l'Ordre de la Libération
  42. « Forges-les-Eaux : quand Chabrol tournait Poulet au vinaigre... », paris-normandie.fr, 21 août 2016.