Craponne

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Craponne
Craponne
Les piles du Tourillon au début du XXe siècle
Blason de Craponne
Blason
Craponne
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Métropole Métropole de Lyon
Circonscription départementale Circonscription départementale du Rhône
Arrondissement Lyon
Maire
Mandat
Sandrine Chadier
2020-2026
Code postal 69290
Code commune 69069
Démographie
Gentilé Craponnois[1]
Population
municipale
11 903 hab. (2021 en augmentation de 8,42 % par rapport à 2015)
Densité 2 576 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 44′ 46″ nord, 4° 43′ 27″ est
Altitude 285 m
Min. 213 m
Max. 306 m
Superficie 4,62 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Lyon
(banlieue)
Aire d'attraction Lyon
(commune du pôle principal)
Localisation
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Craponne
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Craponne
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Craponne
Liens
Site web mairie-craponne.fr

Craponne est une commune française située dans la métropole de Lyon en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Craponne est une commune du Rhône, située à 10 km à l’ouest de Lyon et au pied des monts du Lyonnais.

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

  • Les Landes
  • Val d'Yzeron
  • La Tourette
  • Le Corlevet
  • La Patelière
  • La Gatolière
  • La Peluze

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Relief[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

L'Yzeron est une limite naturelle au sud de Craponne avec les communes de Brindas et de Francheville sur une longueur de 3,6 km.

Le Ratier est une limite naturelle au nord de Craponne avec les communes de St-Genis-les-Ollières et Tassin-la-Demi-Lune sur une longueur de 2,8 km.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 775 mm, avec 8,9 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Brindas », sur la commune de Brindas à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 717,6 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records BRINDAS (69) - alt : 317m, lat : 45°42'47"N, lon : 4°41'35"E
Records établis sur la période du 01-12-2004 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,5 0,5 3,2 6,2 9,6 13,3 15,6 14,6 11,6 8,4 4,2 0,9 7,4
Température moyenne (°C) 3,7 4,4 8 11,8 15,1 19,4 21,8 20,7 17,3 12,9 7,7 4,2 12,2
Température maximale moyenne (°C) 6,8 8,3 12,8 17,3 20,7 25,6 28 26,9 23 17,5 11,3 7,4 17,1
Record de froid (°C)
date du record
−10,5
12.01.09
−14,1
05.02.12
−11,4
01.03.05
−4,7
08.04.21
0,2
17.05.12
5,1
08.06.19
9,2
31.07.11
7,2
27.08.11
2,8
27.09.10
−3,5
30.10.12
−6,6
28.11.13
−10,8
30.12.05
−14,1
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
17,8
30.01.13
20,5
18.02.22
24,3
31.03.21
27,9
23.04.07
34,1
24.05.09
37,4
27.06.19
39,6
07.07.15
41
24.08.23
33,8
04.09.23
29,7
02.10.23
21,1
20.11.09
18,5
31.12.22
41
2023
Précipitations (mm) 44,9 37 42,2 65,8 71,9 67,8 66,1 62,6 54,9 76,2 81,1 47,1 717,6
Source : « Fiche 69028001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Craponne est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lyon, une agglomération inter-départementale regroupant 124 communes[11] et 1 653 951 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lyon est la deuxième plus importante de la France en termes de population, derrière celle de Paris[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (85,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (77,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (77,7 %), forêts (14,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,8 %), prairies (0,2 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Desserte routière[modifier | modifier le code]

La D489 dessert la commune, sous le nom d'Avenue Pierre Dumond.

Transports ferroviaires[modifier | modifier le code]

Il existait une ligne de chemin de fer qui reliait Lyon - Saint-Just et Vaugneray par Craponne. Après 68 ans d'utilisation la voie ferrée a été démantelé en 1955.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Plusieurs lignes de bus des Transports en commun lyonnais desservent Craponne :

Les lignes 2Ex, 147 et 567 des Cars du Rhône desservent également la commune reliant respectivement à Gorge de Loup (Lyon 9e) ou Chazelles-sur-Lyon, Pollionnay et Grézieu-la-Varenne.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune viendrait de crappe, désignant un bourbier en ancien français[17].

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune de Craponne naît le 15 février 1836 en se séparant de la commune mère de Grézieu-la-Varenne. Un premier maire, M. François Boirivent est nommé le . Une mairie et une école sont ouvertes. D'après un premier recensement de 1833 effectué spécialement pour préparer la séparation, Craponne n'a alors que 874 habitants. Sur le premier plan établi lors de cette séparation, on constate que les constructions sont clairsemées, moins de 150 maisons ou fermes sont construites sur l'ensemble des 464 hectares de la commune. Cinquante ans plus tard, en 1886, la population de Craponne a doublé avec près de 1900 habitants. Cette augmentation s'explique par l'essor de la blanchisserie, la proximité de Lyon, l'accroissement du trafic depuis la construction en 1756 de la route Royale (avenue Édouard-Millaud aujourd'hui), et surtout depuis l'ouverture en 1886 du chemin de fer reliant Lyon St-Just à Vaugneray et traversant Craponne, appelé le train de Vaugneray.

Le Grand Lyon disparait le , et laisse place à la collectivité territoriale de la métropole de Lyon.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Hôtel de ville

Maires entre la conception de Craponne et la seconde guerre mondiale :

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1925 1940[18] Jean-Marie Bergeron    
Les données manquantes sont à compléter.
1945 mars 1971 Pierre Auguste Roiret[19]   Ingénieur puis dirigeant d'entreprise
mars 1971 mars 1977 Paul Langlois    
mars 1977 mars 1989 Étienne Bador SE  
mars 1989 juin 2020 Alain Galliano DVD Haut fonctionnaire retraité
11e vice-président de la Métropole de Lyon (2015 → 2020)
juillet 2020 En cours Sandrine Chadier DVD Ingénieur commercial - 3M Health Care

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la communauté urbaine du Grand Lyon dont elle représente environ 0,89 % du territoire et 0,69 % de la population en 2007[Note 3].

Elle appartient à d'autres Établissement public de coopération intercommunale (EPCI) parmi lesquels : AQUAVERT, syndicat Intercommunal à Vocation Unique (S.I.V.U) gérant un parc de loisirs intercommunal (espace forme, activités aquatiques et extérieures) ; SYGERLy , syndicat Intercommunal de la Gestion des Énergies de la Région Lyonnaise.

Budget et fiscalité[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1836. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[21],[Note 4].

En 2021, la commune comptait 11 903 habitants[Note 5], en augmentation de 8,42 % par rapport à 2015 (Rhône : +3,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876
9171 0461 1351 2921 4111 5031 5391 4711 623
1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926
1 7761 9141 9111 9101 9572 1092 1322 0342 104
1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
2 2622 0672 1632 5602 8593 4234 5925 5367 048
1999 2006 2011 2016 2021 - - - -
8 0028 6399 86511 15811 903----
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Craponne est située dans l'académie de Lyon.

Elle dispose de 4 écoles maternelle et élémentaires, dont une privée.

La commune de Craponne est dotée d'un collège.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Cadre de vie[modifier | modifier le code]

Associations[modifier | modifier le code]

La vie associative est, par ailleurs, active et dense avec plus de 70 associations qui proposent des activités sportives, culturelles.

Environnement[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 36 195 € ce qui plaçait Craponne au 5 314e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[24].

Emploi[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

La commune compte plus de 50 entreprises commerciales, artisanales et industrielles, sans compter les marchés forains.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le reservoir double de l'aqueduc de l'Yzeron en 2011

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Lavoirs illustrés par Joannès Drevet (1854–1940).
  • Craponne fut de 1800 à 1960 la capitale des blanchisseurs du Lyonnais. Le musée associatif de la Blanchisserie de Craponne[25] retrace l'histoire des blanchisseurs, du lavage à la rivière à la blanchisserie industrielle moderne.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Craponne Blason
De gueules à la bande d'argent chargée de trois battillons du champ et accompagnée en chef d'un lion et en pointe de trois besants ordonnés en orle, le tout aussi d'argent[OLDJP 1].
Détails
Le lion d'argent sur champ de gueules est le blason du Lyonnais.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Calcul basé sur les données de l'INSEE
  4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 29/09/2008.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Craponne et Brindas », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Brindas », sur la commune de Brindas - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Brindas », sur la commune de Brindas - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Lyon », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Jean Coste, Dictionnaire des noms propres : toponymes et patronymes de France : quelles origines, quelles significations ?, Paris, Armand Colin, , 701 p. (ISBN 2-200-26969-2), p. 181.
  18. Suspendu de ses fonctions.
  19. L'avenue Pierre Auguste Roiret, mairie-craponne.fr, site officiel de la commune de Craponne.
  20. « Jumelage », sur Comité de jumelage de Craponne (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur insee.fr (consulté le ).
  25. « Présentation du musée », sur le site du GREHC (consulté le ).

OLDJP[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]