Essertaux

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Essertaux
Essertaux
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité CC Somme Sud-Ouest
Maire
Mandat
Jean Dubois
2020-2026
Code postal 80160
Code commune 80285
Démographie
Population
municipale
267 hab. (2021 en augmentation de 1,14 % par rapport à 2015)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 44′ 28″ nord, 2° 14′ 44″ est
Altitude Min. 100 m
Max. 154 m
Superficie 6,6 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ailly-sur-Noye
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
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Essertaux
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Essertaux
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Essertaux

Essertaux est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Essertaux est un village du Plateau picard, desservi par l'ancienne route nationale 1 (actuelle RD 1001) et l'ancienne route nationale 320 (actuelle RD 920), ainsi que par l'échangeur Sortie 17 de l'autoroute A16, autoroute qui limite à l'ouest le territoire communal.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 721 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-les-Merles à 13 km à vol d'oiseau[3], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Essertaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (83,3 %), forêts (6,5 %), zones urbanisées (5,7 %), zones agricoles hétérogènes (3,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,7 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est traversé par la route départementale 1001 qui relie Amiens à Beauvais et par la route départementale 920 qui relie Poix-de-Picardie à Moreuil.

En 2019, la localité est desservie par les lignes de bus du réseau Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche[13].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sartelli en 1190 ; Essertialis en 1200 ; Essartiaus en 1271 ; Essartiaux en 1337 ; Essertiaus en 1429 ; Escharteaux en 1630 ; Les Sarteaux en 1567 ; IsserteauxEssarreaux en 1648 ; Eschurreau en 1657 ; Esserteaux en 1679 ; Isceteaux en 1696 ; Essertaux en 1733[14].

Le nom du village vient du latin Essertiaus qui signifierait, défrichements (essartages), opérés dès les VIe et VIIe siècles[15].

Le nom du village en picard est Chartieu[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Stèle commémorative du combat du .

Les traces de deux villas gallo-romaines ont été retrouvées au lieu-dit l'Argilière, aux abords de la RD 920, et à proximité de deux anciennes voies romaines, celle reliant Amiens et Beauvais et celle entre Amiens et Paris[17].

Des céramiques médiévales ont été découvertes à proximité du cimetière[17].

En mars 1764, un titre de marquis fut attribué au seigneur local[15], Henry-Gabriel de Béry. La terre dEssertaux avec le hameau de Flers, relevant de la châtellenie de Bonneuil, fut unie à Oresmaux, et à la baronnie de Jumelles, relevant de Boves, au bailliage d’Amiens[18]. L'arrêt d'enregistrement fait connaître le développement de la seigneurie :

« La seigneurie d'Essertaux, relevante en entier du roy, à cause de la châtellenie de Bonneuil, est très considérable par les bâtiments, cour et jardin, parc, avenues, terres labourables et bois qui en dépendent ; que le seigneur d'icelle a droit de haute justice dans toute l'étendue de laditte seigneurie, a laquelle est joint au[cun ?] fief dans la paroisse de Flers, succursale d'Essertaux, de laquelle il est seigneur en partie ; que cette même seigneurie d'Essertaux consiste en plusieurs fiefs restrains ; que plusieurs autres fiefs en relèvent ; et que le revenu annuel de laditte terre est d'environ cinq à six mille livres, consistants en cinquante arpens d'enclos ; en un domaine de trois cens quarante quatre arpens de terre labourable affermés à différents particuliers ; en un droit de champart ; un moulin à vent ; neuf journaux de bois en coupe à l’âge de neuf ans ; en une réserve d'environ trente cinq journaux de terre, tant en labour que plantés, remises, arbres fruitiers ; en un pressoir de censives annuelles, tant en grains qu'en argent ; droicts seigneuriaux, lots et ventes, bannalité de moulins »[19].

Henri Gabriel de Béry est encore seigneur de Treux, Villecourt, Villers-Saint-Paul. Il a épousé Anne Marie Claude De Berbier Du Metz. Leur fils Claude Louis Gabriel de Bery, né à Paris en 1749, capitaine au régiment de mestre de camp général cavalerie, est comte d'Essertaux. Il épouse à Lille le Robertine Joseph de Surmont, fille de Claude Joseph, chevalier, seigneur des Mottes et de Lucie Victoire joseph Lecomte. Elle nait à Lille en septembre 1754 (baptisée le ) et meurt après 1825. Dont postérité[20].

La commune, instituée lors de la Révolution française, a absorbé entre 1790 et 1794 celle de Rossignol[21].

Lors de la bataille d'Amiens, au début de la Seconde Guerre mondiale, 9 soldats français sont tués au village le en tentant d'empêcher l'avancée ennemie[22].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Conty[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton d'Ailly-sur-Noye.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes du canton de Conty, créée par un arrêté préfectoral du 23 décembre 1996, et qui s’est substituée aux syndicats préexistants tels que le SIVOM et le SIVU de la coulée verte. Cette intercommunalité est renommée communauté de communes du Contynois en 2015, à la suite de la disparition du canton.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Ce projet prévoit la « fusion des communautés de communes du Sud-Ouest Amiénois, du Contynois et de la région d'Oisemont », le nouvel ensemble de 37 412 habitants regroupant 120 communes[23],[24]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[25], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion[26].

La communauté de communes Somme Sud-Ouest, dont est désormais membre la commune, est ainsi créée au [27].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1995 En cours
(au 3 juin 2020)
Jean Dubois   Réélu pour le mandat 2020-2026[28],[29]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2021, la commune comptait 267 habitants[Note 3], en augmentation de 1,14 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
407364493408487525501493490
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
512534475425352313290275262
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
256230211182170165167158128
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
130135153154197199236251243
2014 2019 2021 - - - - - -
264260267------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Petite enfance[modifier | modifier le code]

A la suite de difficultés financières, la crèche associative de 25 berceaux, Les sucres d'orge, créée en 1988, est reprise en 2019 par la communauté de communes Somme Sud-Ouest en partenariat avec la communauté de communes Avre Luce Noye[33],[34],[35].

Autres équipements[modifier | modifier le code]

La commune s'est dotée en 2019 d'une salle multifonctions qui remplace l'ancienne et vétuste salle des fêtes[36].

Économie[modifier | modifier le code]

L'ancienne communauté de communes du canton de Conty a aménagé un pôle économique à Essertaux, ainsi qu’un atelier-relais pour la société Touquet Savour (conditionnement et vente de pommes de terre à chair ferme). Touquet-Savour, né en 1986, est une des principales entreprises du marché français de la pomme de terre haut de gamme, et distribue plus de 20 000 tonnes de ces tubercules, dont notamment la ratte, la Pompadour et la Roseval[37].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Essertaux et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  13. « Trans80, Abbeville », sur trans80.hautsdefrance.fr.
  14. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 339 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  15. a et b Panneau informatif sur la place Général de Guillebon.
  16. Ch’Lanchron, ech jornal picard, no 117-118, Courts-jours 2010.
  17. a et b Tahar Ben Redjeb, « La villa gallo-romaine d'Esserteaux (Somme), lieu-dit : « l'Argilière » », Cahiers archéologiques de Picardie, no 6,‎ , p. 238-243 (ISSN 2104-3914, DOI https://doi.org/10.3406/pica.1979.2922, lire en ligne, consulté le ).
  18. Voir : Ambroise Ledru (abbé), Histoire de la Maison de Béry, Mamers, G. Fleury et A. Dangin impr., 1902, (Reprint Genève, Mégariotis, 1978).
  19. Enregistrement au parlement de Paris, le 1er avril 1765.
  20. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.172-173 (lire en ligne).
  21. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Pierre Vasselle, La bataille au Sud d'Amiens 20 mai - 8 juin 1940 : combats des 7e D.I.C. et 16e D.I. sur le plateau de Dury et de la 24e D.I. sur la position d'Essertaux, Abbeville, Imprimerie F. Paillart, , 209 p..
  23. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  24. Benoît Delespierre, « Intercommunalité : La carte qui fait peur aux élus locaux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  25. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  26. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes du sud-ouest Amiénois, de la communauté de communes du Contynois et de la communauté de communes de la région d'Oisemont », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 93-95 (lire en ligne [PDF]).
  27. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Somme Sud-Ouest issue de la fusion de la communauté de communes du Continois, de la communauté de communes de la Région de Oisement et de la communauté de communes du Sud Ouest Amiénois à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  28. Réélu pour le mandat 2014-2020 : Le Courrier picard - édition Région d'Amiens du 5 avril 2008
  29. « Jean Dubois réélu maire, mes indemnités revues à la baisse », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3606,‎ , p. 24 « Ce dimanche 24 mai, Jean Dubois, maire sortant, élu depuis 34 ans au conseil municipal, a postulé pour un conquième mandat ».
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Sylvie Godin, « Des parents se mobilisent pour préserver la crèche : Les parents craignaient pour la pérennité de la crèche associative. Une solution transitoire semble trouvée », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3415,‎ , p. 27 « Sucre d’orge fut une pionnière. Ouverte en 1988, cette crèche associative d’une capacité de 20 places a su répondre aux besoins de nombreuses familles pendant 28 ans. Pourtant l’avenir de la structure est sur la sellette depuis la démission du bureau annoncée en juillet ».
  34. « La crèche d’Essertaux veut accueillir plus d’enfants : L’association qui gère la crèche Les Sucres d’orge a demandé un agrément pour pouvoir recevoir des enfants jusqu’à 6 ans. Elle espère ainsi assurer l’avenir de la structure », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  35. « La crècge reprise par la CC2SO », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3575,‎ , p. 24.
  36. Monique Biéri, « Une salle multiculturelle toute neuve et ouverte à tous les projets à Essertaux : La commune dispose depuis quelques semaines d’un équipement rénové de fond en comble. Un chantier coûteux mais indispensable à la qualité de vie, selon le maire », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. Sylvie Godin, « Prouzel : Ils veulent sauver la Pompadour », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers,‎ , p. 33.
  38. « Le château d'Essertaux », notice no PA00116145, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture pour la famille de Guillebon.
  39. « Jardin d'agrément du château d'Essertaux », notice no IA80000430, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. « L'église », notice no PA00116146, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.