Croissy-Beaubourg

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Croissy-Beaubourg
Croissy-Beaubourg
La mairie.
Blason de Croissy-Beaubourg
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Torcy
Intercommunalité Communauté d'agglomération Paris - Vallée de la Marne
Maire
Mandat
Michel Gérès
2020-2026
Code postal 77183
Code commune 77146
Démographie
Gentilé Croisséens
Population
municipale
1 990 hab. (2021 en diminution de 0,3 % par rapport à 2015)
Densité 171 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 49′ 45″ nord, 2° 39′ 38″ est
Altitude Min. 87 m
Max. 116 m
Superficie 11,63 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Champs-sur-Marne
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Croissy-Beaubourg
Liens
Site web croissy-beaubourg.fr

Croissy-Beaubourg (prononcé [kʁwa.si bo.buʁ]) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située à environ 3 km au sud de Torcy. Elle s'étend sur 1 163 hectares dont 600 de massif boisé.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Croissy-Beaubourg
Lognes Torcy Collégien
Croissy-Beaubourg
Émerainville Roissy-en-Brie Pontcarré

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

L'altitude de la commune varie de 87 mètres à 116 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 99 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le système hydrographique de la commune se compose d'un cours d'eau référencé : le canal 01 de la Commune de Pontcarré, long de 2,18 km[3], qui conflue avec le Morbras. Sa longueur totale sur la commune est de 0,02 km[4].

La commune compte de nombreuses pièces d'eau dont 2 étangs traditionnels et anciens, l'étang de Croissy et étang de Beaubourg probablement créés au XVIIe siècle comme étangs d'agrément du château[5]. C'est ici que nait le Maubuée, affluent de la Marne[6] qui donna son nom au val éponyme.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 710 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Torcy à 2 km à vol d'oiseau[9], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 716,4 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Statistiques 1991-2020 et records TORCY (77) - alt : 43m, lat : 48°51'48"N, lon : 2°39'03"E
Records établis sur la période du 01-06-1993 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,2 2,3 4 6,1 9,6 12,7 14,6 14,2 11,2 8,8 5,1 2,9 7,8
Température moyenne (°C) 4,8 5,6 8,3 11,2 14,6 18 20,1 19,8 16,3 12,8 8,1 5,5 12,1
Température maximale moyenne (°C) 7,4 8,9 12,6 16,2 19,7 23,2 25,6 25,5 21,5 16,8 11,1 8 16,4
Record de froid (°C)
date du record
−12,6
07.01.09
−11,4
07.02.12
−8,6
01.03.05
−3,3
06.04.21
0,4
07.05.1997
2,8
04.06.01
6,6
13.07.1993
5,8
28.08.1998
2
30.09.18
−3,4
30.10.1997
−9,7
24.11.1998
−9,6
29.12.1996
−12,6
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
17,3
05.01.1999
20,9
27.02.19
26,2
31.03.21
28,8
20.04.18
31,6
27.05.05
36,6
27.06.11
42,1
25.07.19
39,7
11.08.03
35,7
08.09.23
28,7
02.10.11
21,9
07.11.15
17,8
07.12.00
42,1
2019
Précipitations (mm) 57,2 53,2 52,5 50 71,3 57,6 60,5 66,1 53,3 60,5 59,5 74,7 716,4
Source : « Fiche 77468001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].

Un espace protégé est présent sur la commune : l'« étang de Beaubourg », objet d'un arrêté préfectoral de protection de biotope, d'une superficie de 49 ha[15].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Croissy-Beaubourg comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1],[16],[Carte 1], l'« Étang de Croissy et étang de Beaubourg » (117,55 ha)[17], et un ZNIEFF de type 2[Note 2],[16], les « forêts d'Armainvilliers et de Ferrières » (5 682,94 ha), couvrant 12 communes du département[18].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Croissy-Beaubourg est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[19],[20],[21]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[22] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[23],[24].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[25],[26].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

En 2018[27], le territoire de la commune se répartit en 58 % de forêts, 16,7 % de zones industrielles commercialisées et réseaux de communication, 11,3 % de terres arables, 7,6 % de zones urbanisées, 4,2 % de milieux à végétation arbusive et/ou herbacée, 1,9 % d’espaces verts artificialisés non agricoles et 0,5 % de prairies[4],[28].

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

La commune compte 31 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[29] (source : le fichier Fantoir).

Logement[modifier | modifier le code]

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 780 dont 94,6 % de maisons et 4,7 % d'appartements.

Parmi ces logements, 98,1 % étaient des résidences principales, 0,4 % des résidences secondaires et 1,5 % des logements vacants[Note 6].

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 83,7 % contre 13,9 % de locataires[30] dont, 10 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 7] et, 2,4 % logés gratuitement.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La ville de Croissy-Beaubourg est desservie par les lignes de bus 321 et 421 du réseau de bus RATP et par la ligne 20e du réseau de bus de Marne-la-Vallée.

La ville est bordée, au nord, par l'Autoroute A4 dont l'accès est facilité par un échangeur situé sur la commune (sortie 10.1 Val Maubuée Sud).

Le village est aussi traversé par les routes départementales D406, D1406 et D10P. La route départementale D128 venant y terminer sa course.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Panneau d'entrée.

C'est en 1804 qu'ont fusionné Croissy et Beaubourg.

La commune se nommait auparavant Croissy-en-Brie[31].

Voir Croissy-sur-Seine

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune, constituée de deux anciennes paroisses : Beaubourg et Croissy, a été réunie en une seule commune le 1er floréal de l'an XII (20 avril 1804)[32].

Croissy[modifier | modifier le code]

Crussiacum : la seigneurie de Croissy-en-Brie aurait été donnée dans le premier tiers du XIe siècle, sous le roi Robert le Pieux, par le sire Henry de Croissy à l'abbaye de Lagny, dont les maîtres de Croissy la tiendraient désormais. Croissy doit ensuite probablement relever des Garlande, grands possesseurs de seigneuries, fiefs, châteaux, domaines, terres, moulins ou forêts en Brie aux XIe – XIIe siècles (cf. Livry, Noisiel, Tournan, Gournay, La Queue, Roissy, Torcy... ; blason : D'or aux deux fasces de gueules), et passer ensuite à leurs descendants Montfort (Agnès de Garlande épouse Amaury III de Montfort en 1120), puis Meulan (leur fille Agnès de Montfort est mariée en 1141 à Galéran IV de Meulan) et Longueval (leur arrière-petite-fille Jeanne/Anne de Meulan marie l'amiral Aubert II de Longueval-Framerville en 1265). En tout cas, il est avéré que les Meulan puis les Longueval possèdent Croissy[33],[34], et après eux les Montmorency (leur fille Jeanne de Longueval épouse en 1286 E(v)rard de Montmorency-Conflans et Breteuil, échanson royal, fils cadet de Mathieu III) et les Léon (leur fille Jeanne de Montmorency marie en 1307 Hervé VI de Léon sire de Noyon-sur-Andelle). Leur fils Henri VII de Léon en faisait encore l'hommage en 1344.

Probablement par une vente, une saisie ou un échange, Croissy passe ensuite à un certain Pierre de/du Pala(i)s, dont la veuve le cède vers 1355 contre 4 000 deniers d'or à l'agneau à Nicolas Braque, conseiller de Jean II et Charles V, ce dernier lui rachetant Croissy pour la même somme le 17 décembre 1356[35]. Autres conseillers des rois Valois, le chambellan royal Bureau de La Rivière l'avait en 1372 (avec Gournay), puis Jean Jouvenel des Ursins de Traînel en 1376, 1379 ; une fille de Bureau, Perrette de La Rivière, † vers 1451/1463, femme de Guy VI de La Roche-Guyon, † 1415 à Azincourt, retrouve le fief dans la 1re moitié du XVe siècle. Dans la 2e moitié de ce siècle, Jacques d'Estouteville-Torcy de Beynes, conseiller-chambellan de Charles VIII, prévôt de Paris en 1479-1509 est seigneur de Croissy, Obsonville, Beynes et Blainville, baron d'Ivry (Jacques était le fils de Robert VII et l'époux de Gillette de Coëtivy ; curieusement, son lointain cousin homonyme Jacques était le fils de Marie de La Roche-Guyon, le petit-fils de Guy VII de La Roche, et l'arrière-petit-fils de Perrette de La Rivière et Guy VI de La Roche-Guyon). Durant la guerre de Cent Ans, le château médiéval de Croissy est pris et brûlé par les Armagnacs.

Puis on trouve comme détenteurs de Croissy-en-Brie : en 1510 Etienne Petit, notaire et secrétaire du roi, aussi seigneur de Torcy dès 1482/1484 ; en 1553 Michel de Champrond, bailli-capitaine de Chartres ; en 1573, le marquis de Cœuvres, père de Gabrielle d'Estrées - favorite de Henri IV - en est le possesseur, suivi de son gendre le duc de Brancas-Villars ; puis au XVIIe siècle : Antoine Fouquet de Croissy, diplomate, parlementaire et frondeur[36], et Joachim Bérault.

Restitution de la vue sur le parterre du château de Croissy-Beaubourg, XVIIIe siècle.

En effet en 1656, la terre est achetée par Joachim Béraud (1603-1683), Grand Audiencier de France, par ailleurs seigneur de Torcy par son mariage en 1655 avec l'héritière Marguerite de Laistre : ils marient leur fille Françoise Béraud à Charles Colbert, frère cadet du ministre de Louis XIV. Ainsi est créé le « marquisat de Croissy et Torcy » en juillet 1676. En 1764, la terre de Croissy est vendue avec Torcy (mais sans le titre de marquis) au fermier général et secrétaire du roi Antoine François Bouret de Valroche (1711-1776), frère puîné d'Etienne-Michel et créancier de Jean-Baptiste-Joachim Colbert. Sa fille héritière Marie-Antoinette Bouret de Valroche, comtesse de Villereau par son 2e mariage en 1775 avec Louis-Gaspard de Villereau, devra céder Torcy à Etienne-Pascal Gigault de Crisenoy, mais réussira à conserver Croissy-en-Brie.

Après la Révolution de 1789, parmi les personnes illustres qui ont possédé le château de Croissy, citons la comtesse de Montesquiou (1821)[37], le prince de La Trémoille (1826 ; le duc Charles-Bretagne, prince de Tarente ? Son neveu Charles-Léopold-Henri prince de Talmont, fils du chef chouan Antoine-Philippe, est dit avoir des biens, terre et château, à Croissy-Beaubourg[38] : né en 1787, il était mort dès le 7 novembre 1815), puis le comte et la comtesse d'Agoult (1833), ou Jules de Courmont (1853 ; sa demi-sœur Annette-Cécile de Courmont est la mère des Goncourt[39]). Marie d'Agoult, spirituelle femme de lettres, crée un salon où l'aristocratie et les artistes se rencontrent. Parmi les visiteurs, notons : Ingres, Émile de Girardin, Sainte-Beuve, Heine, Rossini, Chopin, Meyerbeer, Alfred de Vigny, Eugène Sue et Franz Liszt (l'amant de Mme d'Agoult). Le château a été dénaturé au XIXe siècle et a subi une destruction quasi complète le 17 août 1944 lorsque les troupes allemandes qui l'occupaient le firent sauter.

Beaubourg[modifier | modifier le code]

Bellus Bergus : Beaubourg, seul village de ce nom en France, avait une chapelle seigneuriale érigée en paroisse au XIIe siècle Elle avait pour patrons sainte Marie-Madeleine et saint Marlin et elle était édifiée dans la cour du château. Le château de Beaubourg, construit sur une petite éminence avec fossés à l'entour, était le chef-lieu d'une seigneurie relevant de la baronnie de Montjay. Parmi les principaux possesseurs, peuvent être cités ([34], p. 854-859) :

  • une famille seigneuriale locale du XIIIe siècle (Jean en 1221, et Simon de Beaubourg en 1240) ; Simon des Essarts en 1326 ;
  • Nicolas Braque (vers 1320-août 1388), puissant conseiller des rois Valois Jean et Charles, acquiert Croissy (voir ci-dessus), Clotomont (à Croissy) et Beaubourg vers 1355, puis sa fille Marie Braque transmet ces deux derniers fiefs à son mari Pierre de Villebéon ; un certain Raoul de Longueval, que l'historien Jean Lebeuf présentait comme le 2e époux de Marie Braque, ce qui n'a rien d'assuré ; la fille de Pierre et Marie Braque, Marguerite de Villebéon, épouse Guillaume du Drac vicomte d'Aÿ, † sans postérité vers 1414, fils de Jacqueline d'Aÿ († 1404) et de Jean Ier d'Aÿ († 1413)[40] ;
  • la famille du Drac[41] garde alors Beaubourg et Clotomont, avec les deux frères de Guillaume, Philippe du Drac vicomte d'Aÿ, et Girard du Drac sire de Claye ; Anne du Drac, petite-fille de Philippe, porte les fiefs à son mari Jean de Marle(s) de Versigny[42] (fils d'Arnaud de Marle, Garde des Sceaux, † 1456, lui-même fils du chancelier Henri) : parents de Christophe de Marle (vers 1485-1555 ; conseiller au Parlement, chanoine d'Avranches), de Claude (x Augustin de Thou), et de Nicole de Marle (x René Hector de Péreuse) ; les fils de ces derniers, Nicolas Hector de Perreuse (maître des requêtes, prévôt des marchands en 1586-1588) et son frère Christophe Ier Hector de Marle de Versigny (maître des requêtes), héritent Beaubourg et Clotomont de leur oncle maternel Christophe de Marle ; Jacques Hector de Marle († 1651 ; deuxième fils de Christophe Ier Hector de Marle), les possède ensuite, puis sa fille Claude Hector de Marle qui les apporte à son cousin germain Bernard Hector de Marle († 1694 ; fils de Marie, fille d'Oudard Colbert de Villacerf, et de Christophe II Hector de Marle, le frère aîné de Jacques), qu'elle épouse en 1655 ; en 1665, Bernard Hector de Marle vend Beaubourg et Clotomont à Marie Vivien, veuve de Simon Bachelier, receveur général des Finances d'Orléans ;
  • autre Simon Bachelier, fils des précédents, aussi receveur général des Finances d'Orléans, succède à sa mère Marie Vivien en 1668, puis viennent après lui son fils Jean-Baptiste-Joseph (en 1697) et son petit-fils Louis-Jean-Baptiste Bachelier (en 1711) ; hérite ensuite le cousin germain de ce dernier, Simon-Louis Brûlart de La Borde de Rouvres[43] († sans postérité ap. 1754 ; fils de Denis-Noël Brûlart marquis de Rouvres (vers 1670-1739) et de Bonne-Marie Bachelier, † 1716, sœur de Jean-Baptiste-Joseph) ;
  • Les derniers seigneurs sont les Tissart de Rouvres, la sœur de Denis-Noël, Madeleine Brulart (vers 1666-1761) ayant épousé en 1696 Louis-Alexandre Tissart (vers 1659-1732) : leur fils Louis-Jacques-Noël marquis de Tissart de Rouvres[44] († 1775 ; cousin germain de Simon-Louis Brulart, officier des gardes françaises) est le nouveau seigneur ; il magnétisa un arbre du parc du château ; sa postérité est assurée par son fils le marquis Louis-Joseph (1754-1795) et sa fille Louise-Marthe (1754-1804 ; x 1773 Emmanuel-Maurice Pondre de Guermantes, 1747-1785).

Puis l'ancien domaine fut démantelé : le jurisconsulte Treilhard (1742-1810) fut propriétaire du château, qui deviendra en 1846 la propriété de M. de Tupigny de Bouffé. À son décès, sa nièce, la comtesse de Ferrières de Sauveboeuf, en héritera, puis le revendra. M. Smadja, patron et directeur du journal Combat, en sera le dernier propriétaire. En 1975, le château en ruines fut démoli pour permettre l'implantation de bureaux. Seules ont été conservées et restaurées les dépendances du château, qui appartient désormais au groupe d'hypermarchés Cora pour abriter leur direction.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Commune de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée, elle appartient au secteur II du Val Maubuée.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

liste des maires successifs[31]
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1947 Augustin Durecq    
1947 mars 1977 Jean-Baptiste Lemarié    
mars 1977 mars 1983 Michel Diefenthal PS  
mars 1983 en cours Michel Gérès[45] UMP (jusqu'en 2012)
MoDem (entre 2012[46] et 2014)[47]
Divers droite / Sans étiquette[48]
Cadre commercial retraité
Vice-président de la CA Paris - Vallée de la Marne
Suppléant du député Gérard Jeffray (1993 → 1997)
Suppléant de la députée Chantal Brunel (2002 → 2012)
Réélu pour le mandat 2020-2026
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Drapeau de l'Italie Roccasecca (Italie)

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[50].

En 2021, la commune comptait 1 990 habitants[Note 8], en diminution de 0,3 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
201193274259259267282265282
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
277270281277247233244252260
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
242260241260273306227161190
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
2172319571 5552 3962 2362 1472 0972 037
2014 2019 2021 - - - - - -
2 0082 0261 990------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

Contrairement à l’arrondissement dont la population est en forte hausse avec 343 583 habitants en 1999 pour 302 207 en 1990 soit 41 376 personnes en plus avec une densité de 1 138 habitants au km² ; la commune a perdu en 9 ans 160 habitants (2 396 en 1990 et seulement 2 236 en mars 1999), avec une densité de 192 habitants au km². Le village comptait 957 habitants en 1975 et 231 habitants en 1968. De 1990 à 1999, 203 naissances et 61 décès ont été enregistrés, soit un excédent naturel de 142 personnes. Par ailleurs, le déficit des entrées sur les sorties de population est de 302 personnes, ce qui explique la perte de 160 personnes et ces chiffres traduisent une nette décohabitation.

Enseignement[modifier | modifier le code]

École maternelle Alfred-Chartier.

La commune possède sur son territoire deux écoles publiques : une école maternelle (Alfred-Chartier) et une école élémentaire (Les Lions-de-Beaubourg). Croissy-Beaubourg dépend du collège du Segrais (Lognes) et du lycée Jean-Moulin (Torcy).

Loisirs[modifier | modifier le code]

Croissy-Beaubourg dispose d'une crèche communale, d'un centre de loisirs (pour les enfants), d'un club pour les adolescents et d'un club pour les retraités. Un voyage est organisé chaque année par la mairie pour les retraités de la commune et des séjours, colonies et voyages d'école sont organisés pour les enfants et les jeunes de la commune.

Un espace culturel Michel Fugain a été inauguré en janvier 2019.

Associations et Sports[modifier | modifier le code]

Salle polyvalente de l'Orangerie
Club des jeunes

De nombreuses associations sont sur la commune dont des associations sportives.

L'ASCB (Association Sportive de Croissy-Beaubourg) propose des sections foot, gym, arts martiaux, yoga, tennis de table, motricité et d'autres sports sont proposés par diverses associations (Atelier d'arts chorégraphiques, Tennis (ATCB), Club de boules de Croissy-Beaubourg CBCB (Pétanque), Club de Kung-fu Wushu, Golf club de Croissy-Beaubourg, Judo Club Croissy Umenoki, Croissy-Beaubourg Modern'Jazz, Badminton Club de Croissy-Beaubourg).

D'autres associations sont implantées tel que l'ABCDEFGH (Association des Briards), l'Association des familles et ASTROCOM (Astrologie & communication) ou encore le comité des fêtes (qui organise les fêtes à Croissy-Beaubourg), la Maison Pour Tous « Juge Michel », Mistigris Croissy-Beaubourg (Association de défense des chats), l'Association pour la démocratie et la transparence, le PIMV (Parents Indépendants de Marne-la-Vallée : Fédération de parents d'élèves). Ces associations sont présentes lors du forum des associations chaque année au mois de septembre avant que les activités ne reprennent pour une nouvelle saison.

Événements[modifier | modifier le code]

  • Fête du village : 2e dimanche de septembre (en l'honneur de la Nativité de la Vierge)

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 804 (dont 80 % imposés), représentant 2 058 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 29 120 euros[52], le 1er décile[Note 9] étant de 15 840 euros avec un rapport interdécile de 2,9[Note 10].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total d’emplois dans la zone était de 6 019, occupant 842 actifs résidants (dont 13,5 % dans la commune de résidence et 86,5 % dans une commune autre que la commune de résidence).

Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 71,6 % contre un taux de chômage de 7,1 %. Les 21,3 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 11 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 7,5 % de retraités ou préretraités et 2,8 % pour les autres inactifs[53].

Secteurs d'activité[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Au , le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 671 dont 45 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 106 dans la construction, 265 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 29 dans l’Information et communication, 28 dans les activités financières et d'assurance, 17 dans les activités immobilières, 137 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 25 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 21 étaient relatifs aux autres activités de services[54].

En 2020, 63 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 26 individuelles.

Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[55].

  • La ZAC Paris-Est qui s'étend entre les communes de Croissy-Beaubourg, Lognes et Émerainville compte en 2016 un peu plus de 200 entreprises.
  • La ZAC de Lamirault à l'Est de la commune jouxte la ZAC des Portes de la Forêt de Collégien.
  • La commune dispose d'un centre commercial. C'est dans ce centre commercial que se situe la pharmacie du village.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

La municipalité a créé une médaille d'honneur intitulée la Croix d'honneur Charles de Colbert de Croissy.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Cette ferme fortifiée Logo monument historique Inscrit MH (1985)[56] s'étend à la fois sur les communes de Croissy-Beaubourg et de Collégien.
Elle a la particularité d’être entourée de fossés, déjà mentionnés au XIVe siècle.
Maison seigneuriale au XVIIe siècle, Fouché en fait l'acquisition et transforme le château en ferme. L’édifice sera plus tard acquis par James de Rothschild.
  • L'église placée sous le vocable de saint Marcel (Marcel de Chalon qui subit le martyre à Chalon-sur-Saône et non saint Marcellin)[57]. L'église primitive (XVIIe siècle) fut déplacée à son emplacement actuel en 1687, restaurée en 1856 et détruite en 1958 en raison de risques d'effondrements. L'église actuelle fut inaugurée en 1961 et son clocher ajouté en 1993.
  • Vestiges du château de Croissy reconstruit au XVIIe siècle par Charles Colbert et incendié en juin 1944[58].

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

D’or, à une couleuvre ondoyante en pal d’azur.

Les armoiries de Croissy-Beaubourg sont celles de la famille Colbert, qui résida au château de Croissy au cours du XVIIIe siècle. Le blason représente une couleuvre ondoyante en pal d'azur sur écu d'or, il est soutenu par deux licornes et surmonté d'une couronne de marquis.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Croissy-Beaubourg », p. 1416–1418
  • collectif, Croissy-Beaubourg, un siècle d'images, Manchecourt,

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  6. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  7. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Salaire annuel au-dessus duquel se situent 90 % des salaires .
  10. Le rapport interdécile met en relation le 1er et le 9e déciles de la distribution des niveaux de vie mensuels et se calcule comme : D9 / D1.
  • Cartes
  1. « Zones ZNIEFF de Croissy-Beaubourg » sur Géoportail (consulté le 14 janvier 2021)..

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Croissy-Beaubourg » sur Géoportail. Carte IGN classique.
  2. « Plan séisme consulté le 3 décembre 2021 ».
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal 01 de la Commune de Pontcarré (F6648002) » (consulté le ).
  4. a et b Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 13 juillet 2018
  5. Syndicat d'agglomération nouvelle (SAN) du Val Maubuée, « Les étangs du Val Maubué », (consulté le ).
  6. Syndicat d'agglomération nouvelle (SAN) du Val Maubuée, « Val Magazine no 107 - Chaîne des plans d’eau : Quand le paysage guide les aménageurs », (consulté le ), p. 29.
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Croissy-Beaubourg et Torcy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Torcy » (commune de Torcy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Torcy » (commune de Torcy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. « Les différents espaces protégés. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur observatoire-biodiversite-centre.fr (consulté le ).
  14. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « l'« étang de Beaubourg » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Croissy-Beaubourg », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « ZNIEFF l'« Étang de Croissy et étang de Beaubourg » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « ZNIEFF les « forêts d'Armainvilliers et de Ferrières » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  29. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb (consulté en ).
  30. Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 30 mai 2020
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  36. « Fouquet de Croissy », sur Dictionnaire des Journalistes (1600-1789).
  37. De 1821 à 1826, le maire de Croissy est le comte Henry de Montesquiou. S'il s'agit d'Henry, ce qui reste à établir, la comtesse de Montesquiou pourrait être sa fille Elodie, épouse de son cousin le comte Anatole de Montesquiou-Fezensac, mais pas sa femme, † jeune dès 1797.
  38. « Chartrier de Thouars, Archives de la Maison de La Trémoïlle, p. 162 », sur Archives nationales.
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  40. « Jean du Drac et Jacqueline d'Aÿ », sur Geneanet Pierfit.
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  48. https://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/croissy-beaubourg-michel-geres-se-retire-quelques-jours-pour-raisons-personnelles-21-01-2019-7993353.php
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  50. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  51. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  52. Statistiques officielles de l'Insee, section «Revenus et pauvreté des ménages en 2018», consultée le 3 décembre 2021.
  53. Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2018», consultée le 3 décembre 2021.
  54. Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2020», consultée le 4 décembre 2021.
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  58. « Le parc du château de Croissy », sur renard-nature-environnement.fr (consulté en ).
  59. « Atelier Anselm Kiefer à Croissy », Connaissance des arts, hors série no 689.
  60. Valérie Duponchelle, « Anselm Kiefer : "Dès que l'on fait un tableau, tout devient beau" », Le Figaro, encart « Le Figaro et vous »,‎ 27-28 mars 2021, p. 18 (lire en ligne).