Yport
Yport | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Le Havre | ||||
Intercommunalité | CA Fécamp Caux Littoral Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Philippe Capron 2024-2026 |
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Code postal | 76111 | ||||
Code commune | 76754 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Yportais | ||||
Population municipale |
709 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 343 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 44′ 19″ nord, 0° 18′ 50″ est | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 96 m |
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Superficie | 2,07 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Fécamp (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Fécamp | ||||
Législatives | 9e circonscription de la Seine-Maritime | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : Normandie
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Liens | |||||
Site web | https://www.ville-yport.fr/ | ||||
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Yport est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Géographie
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]Yport est une commune littorale normande située à une trentaine de kilomètres au nord-est du Havre, sur le littoral de la Manche.
La commune est desservie plusieurs fois par jour par la ligne de bus régionale no 24 reliant Le Havre à Fécamp.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Yport se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]A quelques centaines de mètres à l’Est de la plage d’Yport sur l’estran se trouvent des resurgences d’eau douce de type karstiques[2]. Elle sont appelées « Fontaines d’Yport » et sont visibles à marée basse.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 886 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Octeville-sur-Mer à 25 km à vol d'oiseau[6], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 790,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Yport est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fécamp, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[11]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].
La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[14]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[15].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (47,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,5 %), forêts (34 %), zones urbanisées (16,6 %), zones humides côtières (1,9 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est mentionné sous les formes Isport en 1217 puis vers 1262 ; Ipport en 1461-62 ; et enfin Yport en 1552[17].
Le second élément -port vient bien du français port qui désigne bien un port comme l'atteste d'ailleurs la notation de 1217 : portus de Isport « port d'Yport »[17].
Le premier élément est peut-être un anthroponyme comme dans Vatteport (Vateport 1616) à Vatteville (Eure, Watevilla 1086). Cependant, les formes sont peu anciennes et pas assez caractérisées[18] pour révéler la nature de l'élément Is- récurrent jusqu'au XVIe siècle[17]. Il y a en effet plusieurs possibilités : la Haute-Normandie est caractérisée par un phénomène secondaire qui affecte le groupe Wi- initial qui se réduit à I- / Y-[19] dès le XIIIe siècle. D'autre part, le second élément des noms de personnes germaniques occidentaux et nordiques a tendance à s'amuïr devant un appellatif toponymique, comme ici -port. Un composé de type scandinave *Isulfr / Ísólfr / Ísolfr[20] pourrait convenir, en admettant une chute précoce de l'élément -ou dans *Isouport > *Iseport > Isport, bien que cet anthroponyme ne semble pas attesté ailleurs en Normandie. Cette chute de la finale -ou (< -olfr / ulfr) est possible au début du XIIIe siècle[21] cf. Gonneville-sur-Dives (Gunnolvilla en 1135 ; Gonnouvilla en 1198 ; Gonnevilla au XIVe siècle[22]), sur nom de personne norrois Gunnulfr/ Gunnólfr.
Histoire
[modifier | modifier le code]Le site fut probablement occupé durant la période néolithique. Il fut habité, après le IVe siècle av. J.-C., par les Calètes.
Durant l'époque romaine, une voie romaine reliant Fécamp à Étretat passait à l’actuel lieu-dit du Fond Pitron, d'où partait une bifurcation vers le village. L'actuelle D 940 a repris le tracé de cette voie romaine. La présence d'indigènes gallo-romains a été établie par différentes fouilles archéologiques mais rien ne prouve que l'habitat était permanent et il s'agissait peut-être seulement d'un site de pêche.
L'habitat permanent à Yport n'est avéré qu'à partir du haut Moyen Âge sous le nom de Isport. Le village dépend alors de Criquebeuf-en-Caux, où se trouvaient l'église, le cimetière et l'école, à deux kilomètres d'Yport.
Ce n'est qu'au XIXe siècle que la commune d'Yport existera en tant que telle, avec notamment la construction de l'église. La commune d'Yport est créée officiellement le et son premier maire est Jean-Baptiste Feuilloley.
Le XIXe siècle marque aussi le début de l'essor de la pêche qui entraîne l'arrivée de nouveaux habitants. La population atteint 1 800 habitants. Le front de mer évolue beaucoup durant cette période : rampe en 1842, épi en 1858, chenal en 1873, corps de garde (détruit en 1905), plate-forme d'artillerie. Port d’échouage, le front de mer est marqué par la présence de cabestans, de caïques et de caloges (anciennes caïques renversées servant de réserve).
C'est aussi au XIXe siècle que la mode des bains apparaît, et Yport n'y échappe pas.
En 1849 puis en 1884, le village est touché par une épidémie de choléra.
Actuellement, si la pêche a disparu, comme partout sur la Côte d'Albâtre (les dernières caïques sont désarmées dans les années soixante) l'aspect du village n'a que très peu changé. Seul le front de mer a subi de notables évolutions avec la construction du Casino Groupe Tranchant, et de l'activité liée au tourisme estival. Un grand parking a remplacé les caloges.
Yport avait son propre idiome, quasiment éteint à l’heure actuelle, mais qui se caractérisait par une grande différence avec celui parlé à Fécamp.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1846. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].
En 2021, la commune comptait 709 habitants[Note 3], en évolution de −15,39 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]- Tennis de table : le club US yportaise Tennis de table compte l'équivalent de 10 % de la population en nombre d'adhérents, jouant au niveau national depuis plus de quinze ans et au niveau professionnel en ProB depuis cinq ans[C'est-à-dire ?].
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Retraite aux flambeaux le 13 juillet.
- Fête de la mer et de la peinture le 15 août (messe, bénédiction, procession des ex-voto, exposition de peintures, peintres et sculpteurs dans les rues et sur la plage, vente aux enchères vers 17 h des œuvres effectuées dans la journée).
Économie
[modifier | modifier le code]Petite station balnéaire, Yport profite du tourisme, mais également des retombées économiques de son casino.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Falaises.
- Plage de galets, plage d'échouage, boutiques sur le front de mer.
-
Commerces du front de mer
- Église : construite à partir de 1838, elle ne sera terminée qu'en 1876 après de nombreuses modifications. Ex-voto. La rénovation intérieure est terminée et il est à nouveau possible de la visiter. Chemin de croix peint par Jef Friboulet (vers 1980).
-
L’église Saint-Martin à Yport
-
La nef de l'église ependant la fête de la mer 2017
-
Vitrail et ex-voto
- Casino.
- Le Manoir Laurens de style néo-médiéval éclectique.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jules Diéterle (1811-1889), architecte, décorateur et peintre. Il fait construire en 1863, la villa « Les Charmilles » à Yport. À son décès, la villa est vendue en 1891 au peintre Albert Fourié.
- Jean-Paul Laurens (1838 - 1921), peintre, membre de l'Institut. En 1872, il achète à Yport une ancienne corderie qu'il fait transformer, le «Manoir Laurens». Il y travaille notamment son grand tableau pour le Panthéon à Paris : La Mort de sainte Geneviève. Une place de la ville porte son nom. Sa belle-fille est Yvonne Diéterle (1882-1974), petite-fille de Jules Diéterle.
- Paul-Alfred Colin (1838-1916), peintre de paysages et de marines, ancien prix de Rome, professeur de dessin à l'École Polytechnique, fils du 2e mariage d'Alexandre Colin (1798-1875). Il fait construire à Yport, la « Villa Colin ». Sa belle fille est Anne Henriette Émilie Diéterle (1876-1961), petite-fille de Jules Diéterle[35].
- Albert Fourié (1854-1937), peintre, a peint un Repas de noces à Yport en 1886.
- Henry E. Burel (1883-1967), peintre, est venu peindre à Yport (dont une toile Marine à Yport - Barques de pêche, 1947, conservée au Musée des Pêcheries de Fécamp.
- Jef Friboulet (1919-2003), peintre, a vécu et est décédé dans la commune.
- Maurice Boitel (1919-2007), peintre, est venu peindre à Yport dans les années 1970.
- Jean Recher (1924-2005), capitaine de grande pêche et auteur du Grand Métier dont la famille est originaire d'Yport.
Yport dans les arts
[modifier | modifier le code]- Littérature
- Yport est le lieu où se passe l'action du roman Une Vie, de Guy de Maupassant
- Frédéric H. Fajardie, Un soir d'hiver à Yport (in Chrysalide des villes, Ed. Manitoba)[36]
- Georges Simenon, Maigret et la vieille dame (Ed. LGF)[36]
- Pierre Guyaut-Genon, Le Rivage des égarés[37]
- Yport sert de cadre à l'intrigue policière du roman N'oublier jamais de Michel Bussi, paru en 2014.
- Aristide Frémine, Un bénédictin (Ed. Cahiers culturels de la Manche)[36]
- Peinture
-
Albert Fourié : Un Repas de noces à Yport (1887) - Musée des beaux-arts de Rouen.
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Pierre-Auguste Renoir (1883) : Marée basse à Yport - Musée de l'Hermitage
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Paul-Alfred Colin (1871) : La Plage d'Yport
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-
Takeshirō Kanokogi (1907) : 'Plage en Normandie(Yport)
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de la commune de Yport se blasonnent ainsi : |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Marie-Hélène Desjardins, Des peintres au pays des falaises, éditions des falaises, 2004. (chapitre Yport pages 98 à 129)
- Annales du patrimoine de Fécamp, édition Fécamp Terre-Neuve, numéro spécial, no 13 - 2006.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Yport sur le site de l'Institut géographique national
- « La station balnéaire de Yport vers 1900 avec ses artistes et ses villas », sur Duboys Fresney
- « Dossier complet : Commune de Yport (76754) », Recensement général de la population de 2017, INSEE, (consulté le ).
- « Yport »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- La salle polyvalente de la commune porte le nom de ce maire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Plan séisme
- BRGM, « Étude hydrogéologique des fontaines d’Yport », (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Yport et Octeville-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Octeville » (commune de Octeville-sur-Mer) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Octeville » (commune de Octeville-sur-Mer) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Yport ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Fécamp », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Charles de Beaurepaire et Dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, Paris, 1982-1984, p. 1081.[1]
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 167.
- François de Beaurepaire, op. cit., p. 19
- Site de Nordic Names (anglais) : nom de personne Ísolfr
- François de Beaurepaire, op. cit., p. 84
- Célestin Hippeau, Dictionnaire topographique du département du Calvados, Paris, 1883, p. 129 [2]
- « Le regard critique de Francis Grandguillot, ancien élu à Yport : Dans « L’effet maire », Francis Grandguillot raconte ses expériences de premier magistrat et d’adjoint à Yport », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « Entré au conseil municipal d’Yport en 2001, l’ancien commerçant et animateur socioculturel fut élu d’emblée adjoint. En janvier 2004, il succéda au maire, Daniel Loisel, décédé subitement ».
- « Le village en effervescence », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « Dès samedi matin, dès le conseil d’installation du nouveau maire, l’opposition entre ancienne et nouvelle équipe s’est fait sentir : alors qu’Alain Charpy, tout fraîchement élu maire, proposait un poste de quatrième adjoint issu de l’équipe de Christophe Dubuc, le maire sortant, ce dernier refusait la main tendue ».
- « Résultats municipales 2020 à Yport », sur lemonde.fr (consulté le ).
- « Élections municipales 2020 : Alain Charpy laissera son fauteuil de maire d’Yport en mars prochain », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
- Matthias Chaventré, « Municipales 2020 : à Yport, près de Fécamp, une liste constituée autour de l’ancien maire Christophe Dubuc : L'ancien maire, actuel conseiller municipal, figure en tête de la liste « Nouvel élan pour Yport », à l’approche d’une nouvelle échéance », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
- Matthias Chaventré, « Municipales 2020. À Yport, Christophe Dubuc aux manettes : L'élu retrouve le poste de maire qu’il avait dû quitter en 2014. Autour de lui, quatorze adjoints et conseillers issus de sa liste », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « La liste menée par Christophe Dubuc, maire de 2008 à 2014 et conseiller municipal d’opposition sortant, avait obtenu les quinze sièges à pourvoir ».
- « "Déterminé et courageux" : des hommages après le décès de Christophe Dubuc, maire d’Yport : Le maire en exercice d'Yport, ancien correspondant de presse pour Paris Normandie, s’est éteint mercredi 1er novembre 2023. Ses proches se souviennent de lui. », Paris-Normandie, (lire en ligne , consulté le ).
- Matthias Chaventré, « Philippe Capron est le nouveau maire d'Yport : Premier adjoint de Christophe Dubuc, le pharmacien du village a assuré l'intérim à compter du décès de celui-ci. Depuis le vendredi 19 janvier 2024, il est officiellement le nouveau maire. », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Anne Henriette Émilie Diéterle, fille de Charles Jules Diéterle artiste peintre et de Marie Louise Perrine Van Marcke de Lummen. Elle est née dans le 9e arrondissement de Paris, le 11 septembre 1876. Elle épouse Laurent Alexandre Maurice Colin dans le 17e arrondissement de Paris, le 12 février 1898. Anne Diéterle meurt à Grisy-les-Plâtres, le 18 août 1961.
- « Lettres Yportaises ».
- « Pierre Guyaut-Genon – Le rivage des égarés ».